Mercredi 26 septembre
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18:30
Corvée du mardi 25 septembre :
Je me levais un peut plus tard que d'habitude pour
saluer mes Masters avant qu'ils ne partent au travail. Maître Michael m'informait qu'il allait créer une nouvelle adresse e-mail pour le slave. Je ne disais rien mais j'avais des craintes sur le
nom de cette nouvelle coordonnée et ce que j'allais trouver
sans mon consentement. Maître
Michael prenait congé et de mon coté je refermais mon ordinateur. Je terminais ma grâce matinée. Je me m'éveillais en sur saut car j'avais la trique. Contrarié par la cage et malmené par les
picots mon malheureux
gland souffrant me réveilla en me
rappelant à l'ordre…. Après avoir bu un bon café expresso pour reprendre mes esprits, je passais à la salle de bain pour ma toilette. Terminé, je prenais le marqueur bleu pour refaire les
notations sur le corps. Le bleu étant attribué pour le mardi.
Je commençais par la cuisse gauche
avec la date du jour. Je continuais avec la droite et le numéro du slave. Sur le torse j'inscrivais l'appartenance et je terminais par le pubis et son nouveau graffiti. La maudite cage continuait
à martyriser le malheureux gland dans son carcan. Je passais dans la chambre et je posais au sol mes vêtements qui se trouvaient sur le lit. Je roulais mes chaussettes que j'enfournais, tant bien
que mal, dans ma gueule. Je débutais par un cliché de la cuisse gauche, puis celle de droite, les chaussettes dans ma bouche,
le torse et le pubis.
Je terminais ce travail quand le téléphone sonna. Un ami m'appelait et nous restions 40 minutes à échanger. Lorsque je raccrochais, je passais de nouveau à la salle de bain pour effacer tous ces
graffitis ignobles. Je déteste ces marqueurs indélébile car seul le
white spirit arrive à détruire ces
tatouages. J'avais bien tenter, au début, un marqueur effaçable mais ce n'est possible que si on photographie de suite le marquage. Comme je dois maintenant le faire dans ma salle de bain en
avance, ayant de
plus en plus de références, les
vêtements estompaient les écris. Je m'étais donc résigner à en trouver sans odeur qui ne pouvaient être qu’indélébiles. Malheureusement, il a fallut que je prenne un lot complet des 4 couleurs de
base car, ceux au détaille, avaient tous une odeur plus ou moins forte et très repérable. Lorsque tout le marquage avait disparu, je reprenais une douche en savonnant bien les parties du corps
qui avait été en contact avec ce produit corrosif. Je me séchais après m'être bien rincé. Comme je devais sortir faire des courses, je m'habillais avec mes vêtements au sol.
Merci à mes Masters pour les progressions du
slave.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
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mes respects aux Master Eric et Maître Michael.
Avec l'autorisation de Mr Alain44 mon Maître, je réponds à ta question. Moi, pour effacer les marquages imposés par mon Maître, j'utilise de l'alcool à 90°. Cela chauffe un peu mais n'est pas abrasif; (peut être aussi de l'alcool ménager (mais je suis moins sûr).
Bonne progression à toi mon ami.
Mes respects à tes Maîtres
Mes respects à mon Maître.
Bonjour Zorba et mes respects à Monsieur Alain,
Je te remercie pour ta réponse mais malheureusement j'ai déjà fait l'essaie avec de l'alcool. Il atténue les inscriptions sans pour autant les supprimer. Je reviens continuellement par dépit au white spirit ne trouvant pas encore un produit moins abrasif. Je te remercie tout de même pour ton idée qui est bonne pour certains marqueurs et feutres.
Le slave de Master Éric et Maître Michael.
Mes respects à Master Eric et Maître Michael.
Je trouve le fait d'écrire de la même couleur que les marquages de bastardàKC très sympathique.
Les clichés sont toujours de bonne qualité, on y voit bien les inscriptions. Pour les effacer, il y aurait peut être une solution que le white spirit très abrasif.
Mes respects aux Maîtres Michael et Master Eric
Mes respects à mon Maître.
Bonsoir fréro,
je te remercie pour tes remarques. Si tu connais un produit moins corosif, je te remercie de me le faire savoir.
Le slave de Master Éric et Maître Michael
Bonjour Master ERC et Maître MICKAEL,
Je rejoins globalement les remarques de Master Phoenix. L' on constate une absence de rigueur dans les instructions que vous lui aviez données. Cela était peut être dû à une trop longue grasse matinée en ce jour de congé.
Mr Alain44
Bonjour Master Éric et Maître Michael,
Bonne rédaction mais plusieurs points m'attristent :
– Il manque le cliché de votre sous-merde dans sa salle de bain avec ses inscriptions. Manquement regrettable sans conséquence.
- L'exercice se fait dans la chambre de votre bâtard alors qu'elle devrait se dérouler dans ses toilettes. Est-ce normal ? Il serait plus logique, dans la suite du bureau, que cet exercice se réalise dans ses toilettes porte ouverte.
- Ainsi, il pourrait y avoir un cliché de votre salope sur ses toilettes, cuisses écartées au maximum, en train de pisser comme une pute.
- Votre sous-merde devrait avoir la plante des pieds de ses chaussettes dans sa gueule de salope et non pas roulées pour les camoufler comme elle a agi jusqu'à présent.
Ses Masters devraient lui dire le jour et l'heure où la sous-merde peut mettre de nouvelles chaussettes propres. Ensuite, la salope devra les garder tout le temps que ses Maîtres le désireront. Eux seul auront la possibilité d'autoriser leur bâtard à porter de nouvelles chaussettes propres et le style de celle-ci : en laine, fil de coton, baskets blanches.... Suivant la saison, la température extérieure des lieux....
- Dans le cas ou votre sous-merde mériterait une punition ou une sanction, votre bâtard pourrait prendre un dernier cliché à genoux devant ses toilettes, porte ouverte, cuisses écartées au maximum, les chaussettes dans sa gueule de salope et les mains sur la tête.
Master Phénix.