Lundi 17 septembre
1
17
/09
/Sep
20:00
Nouvelle corvée.
Le
mercredi j'avais la corvée hebdomadaire avec les inscriptions sur mon corps. Le marqueur ordinaire que j'utilisais avait une odeur forte et très repérable. En fin d'année, je me rendais dans une
papeterie pour en trouver un sans odeur. La vendeuse me conseillait une boite de 4 marqueurs, sans odeurs, les 4 couleurs de bases : noir, rouge, bleu et vert. Elle n'avait pas de couleur
noir en individuel n'ayant aucune odeur. Je me résignais à acheter ce lot ne sachant pas ce que je ferai des couleurs que je n'aurai pas besoin.
Mon planning ayant évolué je me retrouve dans l'incapacité d'honorer
mes Masters réalisant cette maudite corvée ce jour là. Je les en informais. Après concertation, ils décidèrent que ce travail de soumission deviendrai, cette année, à mon grand désespoir,
journalier ! Chaque jour où je serai au bureau, soit le lundi, mardi, jeudi et vendredi. Je
devrai noter sur une cuisse la date du jour, sur l'autre mon numéro de slave et sur le torse mon appartenance. À ma grande déception, ce
matin, Maître Michael m'ordonnait de débuter cette routine dégradante dès aujourd'hui. Allant partir, je me résignais à passer avant à la salle de bain pour réaliser tous les écrits. Sur la
cuisse droite je notais la date du jour : Lundi 17 septembre 2018, sur la gauche mon numéro : Slave N° 411-103-335. Je terminais par le torse en écrivant mon appartenance : Slave
de Master Éric et de Maître Michael. Je me rhabillais précipitamment. J'arrivais un peu en retard prétextant que la reprise était difficile, ce qui n'est pas tout à fait faux. Heureusement seul
l'hôtesse d'accueil et le directeur étaient présent à l'ouverture. En fin de matinée, une envie d'uriner se faisait de plus en
plus pressente. Contraint et résigné, je me rendais aux toilettes les plus proches. Je sortais le portable de la poche frontale de mon gilet sans manche et je le posais sur le rebord du lavabo.
Je continuais à me dévêtir. Je me retrouvais nu comme un vers. Je préparais l'appareil photo du téléphone en activant le retardateur car Maître Michael, suite aux commentaires désobligeants des
Maîtres qui me suivent, avait réclamé que je refasse la photo à genoux mains sur la tête, en plus les cuisses bien écartées ! Je me résignais à réaliser sa demande. Je lançais le retardateur
et positionnais le téléphone contre une de mes basket pour qu'il soit en bonne position. Je me mettais à genoux écartant mes cuisses et je positionnais mes mains sur ma tête. J'attendais quelles
que secondes le déclenchement de
l'appareil. Je me relevais et je prenais un cliché de la date, du numéro de slave et je terminais par le torse et son inscription d'appartenance. J'avais de plus en plus envie d'uriner. Je
relevais la lunette de je m’asseyais sur la faïence glacée des toilettes les cuisses bien écartées suivant les injonctions de mes Masters. Une position humiliante, dégradante et frustrante !
Je lâchais les vannes et j'asséchais ma vessie. J’immortalisais, à contre cœur, cette vidange. Terminé, j'essuyais le bout de la cage avec du papier toilette où des goûtes d'urines perlaient
encore. Les picots intérieurs ne cessaient de martyriser mon malheureux gland. Je tirais la chasse d'eau et je remettais en place la lunette. Je m'empressais à me rhabiller et je camouflais mon
portable dans la poche du gilet. Je sortais et je regagnais mon poste. Heureusement ce matin, je me
retrouvais seul avec le directeur qui avait son bureau en face de la porte du vestibule des toilettes. S'étant rendu à l'accueil, j'en avais profité pour m'éclipser à l'anglaise. Il n'était
toujours par revenu quand je regagnais mon bureau pour mon grand soulagement. Je devrai recommencer cette corvée humiliante et dégradante demain !
Merci à mes Maîtres pour la confiance qu'ils ont mis dans ma
personne de slave.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
-
Publié dans : Labeurs Journaliers
2
Derniers Commentaires