Dimanche 30 septembre
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08:00
Corvée du vendredi 28 septembre :
Je saluais mes masters, dès que je me levais, comme à l'accoutumé. Suite à ma gaffe d'exploration du nouveau serveur où Maître
Michael avait créé une nouvelle adresse e-mail et malgré mes excuses immédiates, il ordonnait une punition. Je faisais le cliché demandé dans mes toilettes avant de passer à la salle de bain pour
réaliser les références journalière sur mon corps. Avant de réaliser ces écrits, je faisais ma toilette journalière et je terminais par une douche bienfaitrice. Sur le tapis de bain, debout, je
me séchais le mieux possible. J'allais chercher le marqueur vert, couleur choisi par les Maîtres, pour le vendredi. Je débutais, assis sur le bord de la baignoire, par inscrire la date du jour
sur la cuisse gauche. Je continuais par la droite en notant le numéro d'enregistrement du slave. Debout devant mon miroir, je transcrivais sur mon torse, l'appartenance de la sous-merde. Je
terminais par le bas du ventre et le pubis en rappelant la date de mise sous cage de mon malheureux pénis en abstinence depuis plus d'un an ! Suivant les instructions, je prenais le premier
cliché de pieds dans ma salle de bain avant de
m'habiller pour me rendre au bureau. J'enfilais mes chaussettes, mon pantalon, un polo et mon gilet sans manche où je rangeais dans une des poches mon portable pour réaliser le reportage photo
journalier à mon grand désespoir. Je buvais un dernier café après avoir avalé mes traitements. J'enfilais un gilet en laine et une petite écharpe que je garderai tout le temps où je travaillerait
afin de dissimuler le collier et principalement la médaille humiliante. Malgré la
connaissance de cette parure dégradante par mes collègues, j'avais toujours, et encore plus chaque jours, de plus en plus honte de la porter en public. Malgré tous mes subterfuges pour la
camoufler le mieux possible, principalement la médaille, je me sentais toujours autant frustré et humilié de la porter en permanence sur moi sauf de rares exceptions que je remercie mes Masters
d'accepter ces dérogations. Je fermais ma porte à clef avec toutes ses pensées qui
s'entrechoquaient dans ma petite tête. Arrivée sur mon lieux de travail, je saluais les collègues présents et quelles que mères de familles qui attendaient pour des inscriptions. Je montais à
l'étage et je retrouvais mon poste de travail. Je posais sur le dossier de mon fauteuil, mon gilet. Je prenais place en attendant que mon ordinateur se mette en marche. Ma voisine et collègue
arriva sur ses entre faits. Nous échangions un instant sur nos projet
de week-end. J’omettais délibérément quelles que détailles dégradants des desseins de mes Masters. Je me plongeais dans mes dossiers. En milieu de matinée, ma collaboratrice, proposait un pose
café-cigarette. Cette coupure tombait à pic car une envie de plus en plus pressente me tiraillais le ventre. Je l'invitais à me servir un café en attendant que je me soulage d'une grosse
commission. Excuse pour justifier mon absence prolongé dans les toilettes. Mon palpitant se mit à battre de plus en plus fort. Je refermais la porte à clef derrière moi. Je commençais à me
déshabiller en posant mes vêtements sur mes chaussures. Le jeans en premier, puis l'écharpe, le gilet sans manche où je retirais le portable que je posais en attente sur le lavabo, le polo que je
pliais et mes chaussettes. J'en laissais une avec mon tas d'habit au sol. La seconde, je la roulais sur elle même et je l'enfournais dans ma petite gueule de bâtard. Je relevais le couvercle et
la lunette des toilettes. Tout était en place pour démarrer la chronique photo. Je prenais le portable et j’actionnais l'appareil photographique. Je
débutais le reportage journalier, humiliant et frustrant, par mes affaires sur le carrelage. Je continuais par ma cuisse gauche avec la date du jour, la cuisse droite suivait avec le numéro
d'enregistrement du slave. Je continuais par la chaussette roulée dans ma petite gueule, suivait l'appartenance de la sous-merde. Je poursuivais par la date dégradante de la mise en abstinence de
ma malheureuse queue et je terminais cette première série par un cliché de pieds. Mon
cœur battait toujours aussi fort et je tendais l'oreille afin de vérifier que personne ne pouvait m'entendre. Je m'asseyais sur la faïence toujours aussi froide qui glaçait mes petites fesses.
J'écartais un peu les cuisses pour apercevoir suffisamment la prison de mon pénis. Ayant la vessie pleine, je lâchais les vannes et un flot continue d'urine se dévidait dans les toilettes.
Lorsqu'elle se retrouvait vide, je secouais un peu le carcan pour évacuer les goûtes qui pouvaient
rester et je prenais du papier toilette afin de le sécher complètement. Je déposais l'appareil téléphonique sur le rebord du lave main et je commençais à m'habiller une nouvelle fois. Je débutais
par les chaussettes afin d'ôter celle qui asséchait ma bouche. Je continuais par le jeans et le polo. Je terminais par le gilet sans manche et l'écharpe légère. Je tirais la chasse d'eau,
j'abaissais la lunette et le couvercle des toilettes et je me rinçais les mains. Je me les séchais en jetant un dernier coups d’œil autour de moi. Mon palpitant n'avait cessé de battre la
chamade. J'ouvrais délicatement la porte et je me retrouvais dans le vestibule. Au lieu de sortir par la porte qui donne directement dans le couloir, je passais par celle de côté. En regagnant le
couloir principale, je croisais ma collègue qui se demandait ce que je pouvais faire et qui revenait de vérifier si j'étais encore aux toilettes. Je prétextais être passé dans la bibliothèque,
qui justement, est dans cette partie excentrée des bureaux. Nous retournions dans la salle de pose boire notre café et grillé une tige de dix. Mon instinct avait eu raison de me faire sortir par
la petite porte. Ma tension était montée d'un cran et le moteur s'emballait encore plus. Ce repos écourté mais bienfaiteur me permettait de reprendre mes esprits et de calmer la
mécanique. Nous retournions à nos postes de travail et reprenions nos dossiers.
Merci à mes Masters, Master Eric et Maître Michael de faire
progresser le slave que je suis.
Mes respects à Master Eric et Maître Michael.
Bonjour,
Mon commentaire ira plus dans le sens du soumis; pour atténuer les attaques dues au white spirit, ne pourrait il pas écrire moins épais, ce qui compte n'est il pas ce qui est écrit?
Mes respects aux Maître et Master.
Mes respects à mon Maître.
et excusez mon incivilité d'abord bonjour Master Eric et Maître Michael ainsi qu'a Master phénix et Mr Alain44
je suis bien décu par le recit sur la journée du vendredi 28, sa lectre ne m'a pas fait ni vibrer ni tendre mon pénis encagé moi aussi par mon Maitre.
soumis binouze
Bonjour Master ERIC et Maître MICKAEL,
Encore les fautes de français! Je vous propose que votre larve détecte ses fautes et les liste (verbe Lister) ici.
D' autre part ces c/rendus ont normalement pour but de relater le passage aux WC, en tenue d' Adam et non pas de nous relater que votre sous-merde porte une écharpe, ni qu' elle ferme à clef la porte de son logement. Lasous-merde n' est pas " payée de retour " au nombre de mots. Les lecteurs attendent le poids des mots judicieusement choisis et le choc des photos.
Mr Alain44
Bonjour Master Éric et Maître Michael,
J'espère que votre sous-merde débutera le mois avec de bonnes résolutions. Pour ce dernier exercice de septembre, voici mes remarques :
Un tapis de bain est beaucoup trop luxueux pour un sous-homme comme votre bâtard. Ce n'est réservé que pour les Êtres Supérieurs, les Hommes dignes de ce nom, les Maîtres etc.... Pour une sous-merde comme votre salope, le sol est bien suffisant ou une panosse (serpillière) sera raisonnablement somptueux pour un bâtard.
Il serait bien que votre sous-merde précise l'état de sa nouille. Au lieu d'inscrire sur son bas-ventre : "Nouille en cage depuis le...." elle devrait écrire : "Nouille de salope en cage..." ou "Nouille de pute en cage..."
Master Phénix.