Lundi 1 octobre
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/Oct
13:00
Corvée du lundi 1er octobre
2018 :
Je me levais
et je me faisais un café le temps que mon ordinateur se mette en marche. Je saluais mes Masters. Après quelques échanges, je
passais à la salle de bain. La veille, le dimanche, j'avais rafraîchi le rasage du corps. Ce matin je me retrouvais donc lisse comme un nouveau-né. Je faisais ma toilette et je prenais une
douche pour me réveiller complètement. Avant de m'habiller, je prenais le marqueur noir, couleur du lundi, et je commençais à inscrire toutes les références sur le corps. Devoir chaque journée
renouveler ces graffitis, devenait chaque jour un peu plus humiliant et dégradant ! Je débutais par la cuisse gauche, assis sur le rebord de la baignoire, j'inscrivais la date du jour, soit
le lundi 1er octobre 2018. Je continuais par la cuisse droite qui recevait le numéro d'enregistrement du slave : 411-103-335. Je me levais face au miroir pour la suite des références.
Sur le torse, je notais l'appartenance de la sous-merde et je terminais par le bas-ventre et le pubis qui recevaient la date de mise sous chasteté. Date de plus en plus dégradante et humiliante
au fur et à mesure
que les jours, les semaines et les mois passent. Quand le corps du slave avait sur lui toutes ses marques et ses références, je prenais le portable pour le
premier cliché de pieds dans la salle de bain. Je m'habillais avec un jean, une paire de baskets blanche, un pull col roulé mi-saison et mon gilet sans manches qui me sert à ranger
certaines affaires dont le portable dans une des poches frontales. Je me mis à sentir les picots empaler mon pauvre gland ! Une érection avortée
s'ensuivait. Plus je tentais de calmer mon pénis et plus mon gland s'excitait sur ses geôliers ! Je prenais ma veste, une écharpe et un bonnet car une pluie
ininterrompue tombait depuis la veille. En sortant, le froid humide calmait ma trique. J'arrivais sur mon lieu de travail et je saluais la secrétaire déjà présente. Je montais à l'étage et je me
rendais à mon bureau. Au passage, je saluais la secrétaire comptable qui m'avait devancée de quelques minutes. Je me mis à sentir
de nouveau une érection qui s'empalait à nouveau sur les pics de la cage. Plus je m'interdisais de bander et plus les geôliers excitaient mon malheureux gland ! Je
m'empressais de rejoindre mon poste de travail pour ne pas alerter ma collègue. Mon palpitant en profita pour s'emballer. Je posais ma veste, mon écharpe et mon bonnet sur le dossier de mon
fauteuil. Je lançais mon ordinateur et je prenais place dans le siège. Je commençais à travailler lorsque le
directeur arriva. Il me saluait et nous échangions des politesses. J'essayais de me concentrer sur mes dossiers, mais mon gland continuait à jouer avec les picots. Je
tentais de contrôler ma respiration en évitant des gémissements trop fort. J'avais de plus en plus de mal à canaliser mes esprits. Mon souffle devenait de plus en plus saccadé et rapide. Ne
maîtrisant plus personne et sentant ma vessie de plus en plus remplie, je me résolvais à exécuter la séance photo aux toilettes. Je me levais sans avoir, auparavant, espionner le couloir. Un
groupe de stagiaires montaient les escaliers et nous nous croisions dans le couloir. Mon cœur se remit à battre la chamade synchronisée avec les hallebardes qui tombaient à l'extérieur et se
fracassaient sur les baies vitrées. Je fermais la porte derrière moi et je posais sur un coin du lavabo mon téléphone. Mon moteur était toujours emballé. Je posais sur mes chaussures mon
pantalon, puis mon gilet et mon pull. Je sentais toujours les tortionnaires torturer leur prisonnier. Cette souffrance ne calmait pas mon palpitant qui continuait ses
frasques. À contre cœur, je me déchaussais et j'enfournais dans ma gueule de slave, la plante des pieds des chaussettes. Ma plante des pieds nus sentit le froid du
carrelage qui allait réfrigérer progressivement, non seulement mes pieds, mais aussi remonter dans mes mollets. Je prenais le portable et je débutais la séance photo. J'entendais dans le couloir,
des voix qui allaient et venaient ce qui m’angoissait encore plus. Je photographiais mes vêtements au sol. Je
continuais par la date du jour et le numéro d'enregistrement du slave. Pour la première fois, je sollicitais ma malheureuse gueule gobant la plante des pieds de mes
chaussettes. Je poursuivais par le torse où était transcrite l'appartenance de la sous-merde. Ensuite, la date de mise en cage de mon malheureux sexe était dans la boîte. Je
prenais un dernier cliché du slave en entier. Le couvercle
et la lunette des toilettes étaient restés ouverts. Je m’asseyais sur la faïence glacée qui refroidissait aussitôt mes petites fesses roses. Je poussais pour faire
sortir les premières goûtes d'urine malgré l'érection avortée. De lâcher ainsi les vannes, me fit débander progressivement. J'en profitais pour prendre le dernier cliché de la journée assis
sur le trône. Lorsque ma vessie fut vidangée, je secouais la cage de chasteté pour évacuer l'urine qui pouvait stagner. Je prenais un peu de papier toilette et je terminais de la sécher. Je me
relevais frustré et humilié par cette nouvelle séance. Je tirais la chasse d'eau et je commençais à me rhabiller. J'enfilais mon pull, mon gilet, avec grand plaisir mes chaussettes que j'enlevais
de leurs lieux de rangement et que je remettais à leur place initiale et mes chaussures. Je me lavais les mains, me les rinçais et je me les séchais. Mon cœur s'était régulièrement
calmé
ainsi que mon pénis. Je rangeais mon
téléphone dans une des poches frontales de mon gilet. Je vérifiais autour de moi et n'ayant rien oublié, j'ouvrais la porte. Je sortais dans le vestibule puis dans le couloir qui était devenu
désert à ma grande satisfaction. Je regagnais mon bureau et je reprenais mon travail en cours.
Bonne journée à mes Masters et merci pour cette
"aventure".
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
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