Vendredi 28 septembre
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07:00
Corvée du jeudi 27 septembre :
Ne travaillant pas ce jour, je me levais
comme d'habitude pour saluer mes Maîtres avant qu'ils ne partent vaquer à leurs occupations. Après plusieurs échanges, Maître Michael me congédiait en me commandant de terminer ma grâce matinée
nu sur le sol de ma chambre. Je m’exécutais en éteignant mon ordinateur. Je m'allongeais sur le sol dur et froid ! D'habitude, j'avais un tapis pour adoucir la dureté de la dalle et comme
isolation contre la fraîcheur de celle-ci. Malheureusement, sur suggestion et recommandation de certains commentaires, Master Michael m'avait ordonner de supprimer tous les tapis dans ma chambre
et les toilettes. Étant nu en permanence chez moi lorsque je suis
seul,
seule tenue autorisée par mes Masters, mes plantes de pieds ressentaient de plus en plus la froideur du sol. Me retrouver complètement nu, allongé sur cette dalle, le
refroidissement gagnait progressivement tout mon corps. La dureté du planché ne facilitait pas le ré-endormissement !
Àforce de me tourner dans tous les sens pour trouver une position la moins inconfortable
possible, à regret, je n'avais plus envie de dormir. Dépité et désespéré de pouvoir faire une grâce matinée, je me résignais à me lever et je buvais un café pour dissiper les brumes matinales de
mon cerveaux. Je passais
ensuite à la salle de bain pour la toilette et pour, malheureusement, refaire tous les tags journaliers sur le corps. En prenant le feutre rouge, couleur du jeudi, je
décidais pour une meilleur lecture, que les rapport serait de la
même couleur à l'exception du lundi. Le fond étant déjà noir, le texte sera donc blanc pour le contraste. Assis sur le bord de la baignoire, je débutais les graffitis sur
ma cuisse gauche avec la date du jour, celle de droite le numéro d'enregistrement du slave. Je continuais, à contrecœur, par l'appartenance du slave. Je terminais, malgré moi, par la situation
dégradante et humiliante de mon malheureux pénis, martyrisé en permanence par les picots et de mes testicules gonflées un maximum, débordantes de semence depuis plus d'un an d'abstinence et de
frustration. Avant de sortir
de la salle de bain, je prenais le premier cliché. Je passais dans ma chambre pour la séance photos. Avant de la débuter, je pliais mes vêtements en les déposant au sol.
Je roulais une chaussette que j'enfournais dans ma malheureuse petite bouche.
La session pouvait alors démarrer. Je photographiais mes habits rangés suivant les directives. Je continuais par la date du jour sur la cuisse gauche. Celle de droite
suivait en portant le
numéro du slave. Je poursuivais par la chaussette dans ma déplorable bouche asséchée. La séance se prolongeais avec le torse qui porte l'appartenance du slave. La
session continuait avec la situation déplorable de mon malchanceux pénis brimé dans son carcan. Enfin, se terminait cette séance par une prise de vue de pieds du bâtard. Je remballais tout mon
matériel et je me rendais à mon ordinateur pour enregistrer ces cliché humiliants et dégradants. Sur ces entre-faits, le téléphone sonna. Je stoppais tout pour répondre et faire une petite
pose.
Merci à mes Maîtres pour cette journée de repos.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
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