Lundi 24 septembre
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18:30
Corvée du lundi 24 septembre
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Maître Michael donnait ce matin les instructions pour le changement du
temps de travail. Les lundis et vendredis le travail aux toilettes continuera comme d'habitude. Un changement tout de même suite aux commentaires, je dois poser mes vêtements pliés au sol et mes
chaussettes dans ma bouche. Pour les mardis et jeudis, ce travail se fera à mon domicile dans la chambre. Pour les différentes couleurs il a été décidé que le lundi le marqueur noire sera
utilisé, le mardi sera le bleu, le jeudi le rouge et le vendredi, ce sera le vert. Ainsi chaque jour aura sa propre couleur. Les Masters rappelaient aussi les changements validés pour les
inscriptions sur le torse et le pubis.
Je passais à la salle de bain pour ma toilette. Terminé, je prenais le
marqueur noir et, assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais la date du jour sur ma cuisse gauche et le numéro du slave sur celle de droite. Devant le miroir j'inscrivais à
l'envers
sur mon torse : "Sous-merde de
Master Eric et de Maître Michael" suite à la validation du commentaire réclamant cette modification. En ce qui concerne mon pubis, j'écrivais pour la première fois, à contre-cœur, "Nouille en
cage depuis le 16-07-17." Les inscriptions ne sont pas toujours lisible pour une première fois. Elles ne
pourront que s’améliorer. Cela fait
plus d'un an que je n'ai pu me masturber et jouir !!! Lors de mes différentes hospitalisations, n'ayant pas pû avoir d'instructions, je m'étais obligé et contraint à ne pas jouir, me toucher
le moins possible, ayant dû ôter la cage. C'était d'autant plus humiliant et frustrant cette astreinte que je
m'imposais. Parfois, les traitements
lourd aidaient à cette abstinence. Après avoir réalisé tous ses écris sur le corps, je photographiais ces références suivant les nouvelles directives et je m'habillais pour partir au travail. En
arrivant, je saluais les personnes présentes qui me demandaient de mes nouvelles. Après les avoir
informé de mon mi-temps, je me
rendais à mon bureau. Je posais mon gilet sur le dossier du fauteuil et je me mettais au travail. Dans la matinée, une envie d'uriner se faisais de plus en plus pressente. Je vérifiais que
personne ne me voyais et je me rendais aux toilettes. Les picots de la cage ne cessaient de martyriser mon pauvre gland et mon palpitant se mit à battre la chamade. Je refermais rapidement la
porte derrière moi. Je commençais à me déshabiller et à plier mes vêtements suivant les dernières instructions. Je les posais au sol, les uns sur les autres. Mes chaussettes, je les roulais en
boule et je les enfournais dans ma malheureuse bouche. Elle devint sèche très rapidement sans pouvoir la ré-humidifier. Mon cœur continuait à battre de plus en plus fort et rapidement ! Je
prenais les premiers clichés de mes vêtements au sol, de la date inscrite sur ma cuisse gauche, le
numéro de slave sur celle de droite,
les chaussettes dans la gueule, l'appartenance de la sous-merde sur le torse et, pour terminer, la nouvelle inscription sur le bas du ventre et le pubis. J'avais l'impression de devenir un homme
sandwich avec toutes ces références qualifiant le slave que je suis. Je terminais par une photo de
pieds. Je relevais le couvercle et la
lunette des toilettes à contre cœur. Je m'asseyais sur la faïence glacée qui refroidissait mes pauvres petites fesses. J'écartais les cuisses et je lâchais les vannes. Je prenais une nouvelle
photo. Terminé, je séchais le bout de la cage où quelles que goûtes stagnaient.
J'enlevais les chaussettes pour
pouvoir ré-humidifier mon malheureux palais. Je posais un instant le téléphone sur le bord du lavabo. Je me rhabillais en me hâtant. Le palpitant allait exploser et sortir de ma cage thoracique.
Mon pauvre gland ne cessait d'être supplicié. Je tirais la chasse d'eau. Je rabattais la lunette et le couvercle. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je repositionnais le téléphone dans
la poche frontale de mon gilet sans manche. Je jetais un dernier coups d’œil autour de moi pour vérifier que je n'avais rien oublié. Entendant des voix dans le couloir, j'ouvrais la porte
délicatement. Je sortais des toilettes dans un vestibule et je regardais discrètement d'où venait ces voix. Elle sortaient du bureau du directeur qui se trouve juste en face de la porte de ce
local. Heureusement pour le slave, sa porte était au trois quart fermée. Je regagnais avec
soulagement mon poste de travail tout en étant frustré et humilié de porter tous ses écris sur moi et encore plus, d'avoir du faire tout ce reportage photo qui sera
publié sur le blog. Je n'avais plus qu'une hâte, de rentrer chez moi ce midi afin d'effacer tous ces slogans humiliants et dégradants.
Je remercie mes Masters et les visiteurs de ce blog pour
leurs compréhensions lors de mon absence de la semaine dernière.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
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