Mercredi 14 décembre
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Le mercredi 30 novembre.
En premier lieu, je réitère mes excuses
auprès de mes Masters et des visiteurs pour le retard pris dans la rédaction de mes rapports. En fin de semaine ils seront tous à jour. C’est pourquoi, je prie mes Maîtres et les visiteurs de
bien vouloir m’excuser pour tous ces retards. Heureusement, comme je me doutais que je prendrais du retard, j’avais pris des notes pour la rédaction future de mes rapports.
Comme l’après-midi j’avais rendez-vous pour rendre la MAPA, je
devais donc réaliser la corvée hebdomadaire impérativement le matin car je ne savais si je revenais au bureau l’après-midi. Mon pauvre pénis était encore et toujours torturé par les picots de la
cage. Le plus douloureux est lorsque je marche et que les pics excitent mon malheureux gland. Dans la matinée, une envie d’uriner commença à titiller ma vessie. Lorsque l’envie devint intenable,
je vérifiais le feutre et le téléphone dans ma poche frontale de ma sous-veste. Je vérifiais que personne ne pouvait me voir et je m’empressais d’aller aux toilettes. Je refermais la porte à clef
derrière moi, je posais le feutre et le portable sur le bord du lavabo. À peine je les avais
posés qu’une personne essaya d’ouvrir la porte. J’essayais d’écouter mais aucun
bruit. Je ne pouvais pas savoir si la personne attendait ou était partie car je n’avais pas entendu la porte voisine se fermer. Je me déshabillais discrètement et je posais mes affaires sur le
rebord du lave-mains. Dès que j’enlevais mes baskets, je sentis le froid du carrelage à travers les chaussettes. Je notais la date sur ma cuisse gauche "Le 30-11" et je la prenais en photo. Je
relevais la lunette des toilettes comme je n’ai plus le droit de m’asseoir avec. Je sentis le froid de la faïence dès que je m’assaillais sur le trône. Je commençais à vider la vessie tout en
prenant de nouveaux clichés. Bien que ce soit toutes les semaines, je trouve cela de plus en plus humiliant, frustrant et dégradant de réaliser cette corvée régulièrement. J’avais toujours la
MAPA qui m’avait fait passer une nuit blanche car toutes les 20 minutes le brassard se gonflait pour prendre la tension. Si l’appareil n’avait pas pu la prendre correctement il se regonflait
toutes les minutes pour corriger. La nuit fut donc longue et pénible. Quand ma vessie
s’était vidangée, je séchais la cage
avec du papier. J’allais me lever quand la poignée se baissa de nouveau. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et fort. Un collègue frappa à la porte et demanda si tout allait bien. Je
lui répondais que j’avais une grosse commission…. Je me sentais mal à l’aise et il allait très certainement me refaire une réflexion dans la matinée. Je posais le portable sur le carrelage. Je
déplaçais légèrement le bloc-plug et je le photographiais comme l’avait demandé Mr Alain dans un de ses commentaires. Comme je devais prendre la voiture pour me rendre à l’hôpital, je portais le
plug N° 04 (à 2 boules) car
devoir conduire avec tous les ralentisseurs dans la ville, c’était vrai purgatoire
à chaque trajet. Je m’empressais à prendre la cage en gros plan avec mon malheureux gland martyrisé. Quand ce fut fait, je me dépêchais à en faire une de plein pied. Je reposais le portable et je
commençais à me rhabiller. J’enfilais mon maillot de corps puis mon pantalon. Avec difficulté je bouclais la ceinture au-dessus de l’appareil et du bloc-plug. Heureusement le matin j’avais troqué
mon jeans avec un treillis. Je continuais avec mon pull et ma sous-veste où je rangeais le feutre et le
téléphone dans une poche frontale. Je me rinçais les mains. Je tirais la chasse
d’eau et je rebaissais la lunette et le couvercle des toilettes. J’ouvrais la porte et je tombais nez à nez avec le collègue qui attendait. Lorsque je sortis il me dit :
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- "Enfin ! Je pensais que tu faisais une sieste pour terminer ta nuit !
-
- J’avais tout simplement une grosse commission !
-
- Elle devait être énorme ! J’espère que tu ne les as pas bouchées !
-
- Pourquoi, tu es jaloux ?"
Je lui répondais ironiquement et je m’empressais de m’enfuir.
J’avais le cœur qui s’était remis à jouer la chamade. À chaque pas que je faisais pour rejoindre mon poste, les picots maltraitaient de nouveau mon gland qui l’excitait et mon malheureux pénis
essayait en vain de se gonfler. Cette corvée hebdomadaire devient de plus en plus humiliante, vexante et dégradante ! Non seulement devoir répéter régulièrement cet exercice au travail et en
ayant les testicules pleins sans pouvoir se masturber et se
vidanger, devient chaque jour un peu plus déshonorant, frustrant et avilissant. En
retournant à mon bureau, nouvelle humiliation et frustration ! Je sentis une goutte d’urine couler le long de ma jambe gauche. J’espérais que ce ne serait qu’un petit accident. Que cette goutte
avait été bloquée dans l’urètre comme mon malheureux pénis était compressé et maltraité et non que j’aie une incontinence ! J’arrivais enfin à mon poste. D’où je suis, je peux apercevoir les
personnes qui vont aux toilettes. Quand le collègue sorti, il me jeta un regard avec un grand sourire ironique. Je faisais celui qui n’avait rien vu encore trop frustré, humilié et avili. Je
pensais alors à l’épreuve qui me restait l’après-midi, devoir rendre l’appareil et qu’elle nouvelles humiliations je devrai de nouveau supporter.
Quand est ce que cet exercice hebdomadaire prendra enfin fin ? Je
me posais cette question le reste de la matinée. Je dois tout de même remercier mes Masters de me faire évoluer dans la soumission et l’obéissance à mes Maîtres.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
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