Jeudi 15 décembre
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08:23
Restitution de la MAPA.
Dès que je rentrais chez moi
le midi, je passais à la salle de bain pour ôter la date de la corvée hebdomadaire ne sachant pas comment se passerai le rendez-vous de l’après-midi. La veille j’avais du subir une exhibition
frustrante, humiliante et dégradante. Je rangeais mon jock-strap dans ma sacoche. J’y introduisais aussi le lubrifiant et la clef pour ouvrir le collier. Je partais de chez moi comme j’avais
rendez-vous à 14h00. En marchant, les picots maltraitaient de nouveau mon malheureux gland ce qui l’excitait et essayait de gonfler mon pauvre pénis qui avait une érection contrarié et martyrisé.
En m’asseyant dans la voiture, je sentis le plug N° 04 pénétrer un peu plus profondément ce qui excita l’anneau intérieur qui se mit à pousser ! Je démarrais pour me rendre à l’hôpital. Bien que
le trajet soit assez court il fut tout de même frustrant et dégradant car, à chaque dos d’âne, l’anneau
jouait avec son jouet.
J’essayais de les aborder le plus doucement possible mais certain sont vraiment sec et violent pour les amortisseurs et mon pauvre petit trou. Il y avait aussi beaucoup de circulation et nous
avancions très doucement. Bien que je sois parti en avance, je voyais les
minutes tourner….
Avec soulagement, j’arrivais à destination. Je garais la voiture
et je me rendais à l’hôpital mais à chaque pas la cage, ses picots et l’invité de ma malheureuse petite fleur continuaient leurs jeux sadiques. Arrivé dans le hall, je me dirigeais vers les
toilettes. Je regardais l’heure, il me restait seulement 5 minutes avant mon rendez-vous. Je devais me hâter. Rapidement, j’enlevais le collier, le plug et sa ceinture que je rangeais dans la
sacoche, j’enfilais ensuite le jock-strap. Je me rhabillais encore plus hâtivement. Je prenais l’ascenseur et j’arrivais dans le service. Personne dans le couloir ! J’avais une petite chance que
je serai moins humilié que la veille et je ferais mon possible pour qu’il en soit ainsi ! Je signalais ma présence à la secrétaire qui m’invita à attendre un instant. Je l’entendis
téléphoner pour signaler ma présence. L’infirmière de la veille vint me chercher. Je la saluais un peu honteux en me mémorisant l’exhibition humiliante de la veille. Elle
me fit entrer dans la salle où 3 autres infirmières étaient présentes et me tournaient le dos. Elle m’invita à me mettre torse nu comme la veille. Je posais donc ma sacoche. J’enlevais ma
veste, mon pull et mon maillot. Je défaisais la ceinture et les boutons pour sortir l’appareil mais j’évitais de baisser la braguette pour esquiver les déboires de la
veille. Elle commença par débrancher le monitoring comme je l’avais sorti du treillis. Je jetais un œil aux visiteuses qui, elles-mêmes, me regardaient furtivement. J’avais été suffisamment
l’attraction et la risée il y a 24 heures pour ne pas recommencer les frustrations et les humiliations. Ensuite, elle me débarrassait de la ceinture qui le tenait. Elle ôtait les sparadraps pour
libérer le tube et faisait de même pour le brassard. Lorsqu’elle eut tout récupérer, elle m’invita à me rhabiller en me proposant de regarder les résultats préliminaires. Je m’exécutais sans
demander mon reste et certainement à la grande insatisfaction de ses collègues. J’enfilais le maillot et je refermais le pantalon.
J’enfilais le pull et la
veste aussi rapidement et je prenais ma sacoche. Elle me signalait alors qu’il y avait de petites chutes. Le médecin me donnera sûrement un rendez-vous et m’en dirait plus. Je prenais alors congé
et je m’enfuyais de ce service où j’avais suffisamment été humilié.
Je descendais soulager au rez-de-chaussée
et me dirigeais de
nouveau vers les toilettes. Je refermais derrière moi la porte à clef. Je sortais de la sacoche les attributs du slave et le téléphone que je posais sur le bord du lavabo. Je me déshabillais une
nouvelle fois et j’accrochais mes vêtements aux patères de la porte. Lorsque j’enlevais les chaussures et que je posais les
pieds sur le carrelage glacé,
une envie d’uriner s’invita. Je me hâtais à photographier le jock-strap avant de l’enlever définitivement pour cette épreuve. Je relevais la lunette des toilettes à contre cœur. Quand je
m’assaillais sur la faïence glacée mes petites fesses se refroidirent aussi ! Un frisson parcouru tout mon corps nu comme un
nouveau-né. Suivant les
commandements reçus par mes Maîtres, je prenais de nouveaux clichés assis sur le trône. Devoir toujours photographier assis sur les toilettes sans la lunette et avec la cage est de plus en plus
frustrant, humiliant et dégradant. Je n’arrive pas à m’habituer à ces clichés. J’étais dans ces réflexions quand une
personne essaya d’entrer. Je sursautais et je devais me dépêcher en
espérant qu’elle entre dans les autres toilettes. Je me relevais et séchais le bout de la cage. Je lubrifiais le plug à deux boules et je posais au sol le téléphone. Je prenais une nouvelle fois
ma petite fleur puis, je lui présentais son hôte. Il commença à entrer et
elle avala la première boule. Je maintenais la pression. Elle vint
buter contre le premier anneau. Après une nouvelle pression et en poussant du cul, il la goba et le trou avala le plug. En place, j’installais la ceinture pour le bloquer quand je m’aperçus que
je mouillais de la nouille. Pour la satisfaction de mes Masters et le
plaisir des visiteurs je prenais une nouvelle photo que je trouvais
frustrante, humiliante et avilissante de mouiller de la sorte. Ce doit être le manque de masturbation qui me fait mouiller de plus en plus souvent mais qui me rend honteux, déshonoré et dégradé.
Une nouvelle fois la poignée se baissa et on frappa à la porte. Je répondais que j’avais bientôt terminé. Cette nouvelle pression augmenta encore ma frustration, mon humiliation et mon
avilissement. Je me dépêchais à poser le collier et à prendre les derniers clichés après avoir épongé les sécrétions séminales. Je rangeai rapidement dans ma sacoche le lubrifiant et le
sous-vêtement. J’enfilais hâtivement mon maillot puis mon treillis. Je terminais par le pull et la veste où je rangeais mon
portable. Je tirais alors la
chasse d’eau et je me lavais les mains. Je prenais ma sacoche et j’ouvrais la porte. Une personne se tenait devant moi. Je la saluais et lui laissais la place chaude. Elle entra à ma suite. Dans
le hall d’entrée, je réfléchissais si je n’avais rien oublié dans les toilettes. À ce moment là je m’imaginais avoir omis quelle que chose comme le collier ou le plug et la personne me rejoindre
pour me tendre mon oublie. Machinalement je vérifiais si je l’avais bien au coup. Pour l’invité, il jouait avec mon trou et je le sentais bien sans le voir. J’imaginais l’humiliation que je
pourrai avoir dans cette situation et je soufflais avec soulagement que cela n’arrive jamais.
Comme j’avais du travail qui m’attendait, je saluerai la famille
ce soir et je regagnais ma voiture. Tout en marchant les picots continuaient à exciter mon malheureux gland qui stimulait une
érection frustrée par la
cage. Enfin le véhicule ! En m’assaillant, je faisais attention de ne pas envenimer la situation entre ma petite fleur, son anneau et leur invité incongru. Les dos d’ânes, en retournant au
travail, s’en chargèrent. J’arrivais avec ma petite fleur faisant la fête avec son hôte. En regagnant mon poste de travail, j’essayais de calmer tout ce petit monde mais à chaque pas le plug
stimulait mon côlon et les picots excitaient de nouveau le gland qui encourageait une érection contrariée par la cage ce qui était très frustrant, humiliant et avilissant. Le reste de la journée
allait être très longue avec tout ce petit monde en fête….
Je remercie aussi mes Masters pour cette nouvelle expérience et
pour ce nouveau pas dans la soumission.
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