Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Jeudi 22 décembre 4 22 /12 /Déc 07:46

Visite chez l’Infectiologue.

01---Infectio---D----.jpg        Je venais de passer une nuit très mouvementée. J’avais fait des cauchemars où j’essayais en vain de me masturber. Ce qui provoquait, pendant que je dormais, des érections contrariées par la cage. Je me réveillais en sur-saut avec la sensation que mon gland était transpercé par des aiguilles. Ce n’était que les picots qui excitaient mon malheureux gland martyrisé. Après avoir été réveillé de la sorte une dizaine de fois dans la nuit, je me levais à contre cœur ayant fait nuit blanche. Je maudissais cette détestable cage et ses maudits picots qui deviennent insupportables avec mon malheureux gland et mon pénis martyrisés.

        J’avais posé dans mon pauvre côlon, le plug N° 04 à deux boules. En allant au bureau, il recommençait à jouer avec l’anneau qui avait gobé la première boule. De plus, les picots continuaient à maltraité mon malheureux gland. Je ressentais de plus en plus les piqûres de chacun d’eux. Je m’assaillais soulagé. J’avais prévenu que je devrai m’absenter dans la matinée.

02 - Infectio - D - -        À 10h00 j’allais chercher ma voiture. En m’assaillant, je ressentis encore plus le plug pénétrer plus profondément ce qui excita encore plus l’anneau. Je devais mouiller comme un âne ! Le matin j’avais dû changer de pantalon car je l’avais tâché la veille avec le plug malgré la ceinture. Je maudissais le jour où j’avais reçu l’ordre d’ôter toutes protections absorbantes après un commentaire. 03 - Infectio - D - -À chaque dos-d’âne, l’intrus dans ma petite fleur, réactivait sa stimulation et ses tortures. Avec soulagement, j’arrivais à destination. Je rentrais dans le hall et je passais aux toilettes pour ôter tous les attributs du slave que je rangeais dans ma sacoche et j'enfilais le boxer blanc.

        Je m’aperçus alors que le cadenas se voyais encore mieux sans la doublure. Je le positionnais en travers en espérant qu’il ne bouge pas. Je montais dans le service mais le sous-vêtement compressait la cage et les picots s’en donnaient à cœur joie ! je ressentais encore plus chacun des pics pénétrer dans mon malheureux gland ce qui provoquait une nouvelle érection contrariée. J’arrivais enfin et après une courte attente, le médecin vint me chercher.

        Ne s’étant pas revu depuis un an, nous prenions de nos nouvelles respectives car je le connais très bien. Nous avons travaillé en collaboration pour certaines actions ce qui à renforcé 04 - Infectio - D - -notre amitié respective. Il m’invita à me mettre en sous-vêtement pour m’ausculter. J’essayais de me cacher derrière une chaise pour me déshabiller car il n’y a pas de cabine. Je vérifiais que le cadenas n’était pas de trop visible et discrètement je le repositionnais. Après être passé à la pesée, il m’invita à m’allonger. À partir de ce moment là, les humiliations et les frustrations allaient se succéder. Il commença à m’interroger surpris :

  • -    "Tu te rase complètement maintenant, c’est quoi cette nouvelle lubie ?
  • -    Tous simplement, je me suis remis au vélo et si j’ai un accident cela sera plus facile à soigner.
  • -    Ne me dis pas que te raser le pubis c’est aussi pour ça !
  • -    Ce n’est qu’un mauvais paris que j’ai perdu….
  • -    Tu en es vraiment sûr ? On se connaît depuis assez 05 - Infectio - D - -longtemps tu peux tout me dire !
  • -    Je le sais mais pour le moment il n’y a que ça…."

        Je savais qu’il ne me croyait pas et je me sentais très mal allongé sur sa table avec cette proéminence dans mon boxer ! Il s’en aperçu et eu un très large sourire qui en disait encore plus long. Je craignais qu’il me 06 - Infectio - D - -pose encore des questions. Il avait du ressentir mon mal être et ma gène car il ne posa plus de questions mais ses silences étaient encore plus éloquents et humiliants. La consultation continuait. Lorsqu’il eut terminé, il m’autorisa à me relever et à m’habiller. Je m’exécutais sans dire un mot mais en me relevant j’aperçu le cadenas de la cage qui s’était retourné et se voyait très bien. Je comprenais mieux les 07 - Infectio - D - -allusions et les sourires que mon médecin avait faits. Pendant ce temps il regagna son bureau et il regarda les résultats de ma dernière prise de sang. Tout allait bien mes CD4 étaient stables à 680 copies et la charge virale indétectable. Les autres résultats étaient eux aussi très bon et dans la moyenne. Il n’y avait rien à redire sur le bilan sanguin. Il m’établissait ma nouvelle ordonnance pour 6 mois en renouvelant le même 08 - Infectio - D - -traitement. Il rédigeait aussi la prescription avec les examens sanguins que je devrai faire pour la prochaine visite. Il me donnait aussi le prochain rendez-vous pour le mercredi 7 juin 2017 à 16h00. Avant de me saluer définitivement il me dit :

  • -    "Tu sais que tu peux venir me voir quand tu veux pour discuter. Tu as mes coordonnées et mon téléphone, alors 09 - Infectio - D - -n’hésites pas tu sais que ça restera entre nous.
  • -    Je te remercie. Si j’en ai besoin, je te contacterai. Tu sais que je ne me gêne pas avec toi depuis tout ce temps."

        Ce n’était pas vraiment vrai, je me sentais très mal et je maudissais toutes ces instructions humiliantes et dégradantes encore plus avec ce médecin. Je me sentais 10 - Infectio - D - -encore plus honteux, frustré et avili de ne pas pouvoir lui dire la vérité. Je le quittais après lui avoir souhaité de bonnes fêtes de fin d’année. Une nouvelle fois, à chaque pas que je faisais, je sentais mon malheureux gland martyrisé par les pics. J’avais l’impression que l’on me piquait avec des aiguilles. Plus cela durait et plus cela devenait insupportable. Je prenais l’ascenseur et je descendais au rez-de-chaussée. Avant de me rendre aux toilettes, je jetais un œil dans le hall 11 - Infectio - D - -pour vérifier que je ne connaissais personne et que la famille n’était pas là.

        Je rentrais dans les premières toilettes ouvertes et je fermais la porte à clef. Je posais sur le bord du lave-mains le téléphone, le collier que je sortais de ma sacoche ainsi que le plug, le lubrifiant et la ceinture que je posais à terre. J’accrochais le sac à une patère contre la porte et je commençais à me déshabiller. Je suspendais ma veste à la seconde patère avec ma sous-veste. Je continuais par le pull. J’ôtais mes chaussures. En posant les pieds au sol je sentis le 12 - Infectio - D - -froid glacer mes pieds malgré les chaussettes. Je remerciais Maître Michael d’avoir consentit de les garder à l’hôpital et dans les toilettes publiques suite à un commentaire sur face book. Au bureau ce sera une autre affaire ! J’ôtais mon jeans et mon maillot de corps. Je me retrouvais en boxer. Je vérifiais la position du cadenas. À mon grand désespoir, il s’était retourné et se voyait très bien ! Je ne m’étais pas trompé dans le bureau du médecin. Je prenais le portable et je faisais les premières photographies. Depuis que j’ai du détruire toutes les doublures des shorts et du boxer, la cage et le cadenas s’entrapercevaient beaucoup plus. Je le rangeais dans la sacoche et je relevais la lunette des toilettes. Avant de soulager ma vessie, je photographiais la maudite cage avec mon pénis encastré et mon malheureux gland supplicié. Je m’assaillais sur la faïence pour uriner. Je ressentis le froid glacer mes pauvres fesses. Je prenais de nouveaux cliché comme commandé. Je trouvais de plus en plus humiliant, frustrant et dégradant de devoir prendre toutes ces photos ! J’ai du mal à 13 - Infectio - D - -m’habituer à un tel exhibitionnisme ! J’étais dans ces réflexions lorsqu’une personne essaya d’ouvrir la porte. Je stoppais un instant pour ne plus faire de bruit et ne pas alerter la personne de l’autre coté. Impossible d’être tranquille ! Je l’entendis entrer dans des toilettes voisines. Je terminais de vidanger ma vessie. Pour continuer, je posais sur le carrelage le mobile et je graissais le plug. J’immortalisais ma petite fleur. Je lui présentais son invité. Mon petit trou s’ouvrit. Au fur et à mesure que le convive pénétrait dans le côlon, je prenais de nouveaux clichés. Quand la première boule butta contre l’anneau, je poussais pour l’ouvrir et il goba le premier étage du plug pendant que le reste était absorbé par ma petite fleur. Je prenais la ceinture et je bloquais le nouvel invité. Je me relevais et à mon grand désespoir, j’étais encore en train de mouiller ! À contre cœur, je photographiais cette nouvelle humiliation. Je séchais cette coulure avec du papier toilette et je prenais les derniers clichés de la cage et de pieds. Quand tous les attributs du slave étaient de nouveau en place, je me rhabillais. Je 14 - Infectio - D - -rangeais le lubrifiant, le boxer dans la sacoche et le portable dans la poche frontale de ma sous-veste. Je tirais la chasse d’eau et je me lavais les mains.

        Avant de sortir, je vérifiais que je n’avais rien oublié et j’ouvrais la porte. Je regagnais ma voiture mais à chaque nouveau pas, l’anneau jouait avec l’intrus et mon malheureux gland était martyrisé par les pics qui l’excitait et provoquait une nouvelle érection contrariée par cette maudite cage. Enfin le véhicule ! Malheureusement les tortures allaient continuer. En m’assaillant, le plug excita un peu plus le côlon et les picots renouvelaient leurs supplices. En retournant au bureau, je me remémorais la honte, l’humiliation, la frustration et l’avilissement de cette nouvelle auscultation.

        Je dois tout de même remercier mes Maîtres de me faire évoluer dans la soumission et dans la direction qu’ils désirent l’emmener.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Humiliations - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
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  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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