Lundi 19 décembre
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07:32
Le mercredi 14 décembre.
Je me levais de bonne heure car je voulais changer de plug. Pour
cela, je devais aller à la salle de bain et faire le changement pendant ma toilette pour que ma famille ne s’aperçoive de rien. Je me levais donc, je m’habillais et je me faisais un café. Je
préparais
le petit déjeuner pour mes hôtes. Lorsqu’ils se mettaient à table, j’en profitais pour me rendre à la salle de bain. Je me déshabillais pour prendre une bonne douche. Je
prenais le plug N° 06, je le lubrifiais et je le présentais à ma petite fleur. Je le faisais tenir avec la ceinture car, avec sa forme, ma pauvre petite rondelle ne pouvait plus se refermer.
Quand il fut en place, je dus retenir des gémissements car le premier anneau jouait déjà avec ce nouveau venu. Il faisait des allers retour sur le cône. Je l’enlevais un instant pour prendre un
suppositoire afin de calmer le côlon. Je replaçais le nouveau venu en place. L’anneau recommençait ses jeux. Je continuais ma toilette et progressivement ma petite rondelle se calma. Malgré tout,
j’avais le cul en feu et je sentais bien le nouveau jouet. Ma toilette terminée, je saluais la famille et nous nous souhaitions une bonne journée. Je prenais ma veste et je me rendais au
bureau.
À chaque pas, je ressentais de plus en plus le nouveau plug qui
explosait ma petite fleur. Le premier anneau reprit de son activité. Il se divertissait avec le nouveau venu. Malheureusement cela provoqua aussi une érection contrariée par la cage. Les picots
rentrèrent en action ! Ils stimulaient le gland qui
essayait de gonfler la verge !
Celle-ci était encastrée dans sa cage. Mon pénis ne pouvait plus avoir d’érections ! Elles étaient contrariées par cette prison. Je m’imaginais en train de me masturber et jouir enfin car ça fait
151 jours que ce carcan est en place ! Je maudissais cette cangue. Je sentis une chose humide s’accrocher à ma cuisse gauche. Comme elle ne coulait pas ce ne pouvait être une fuite urinaire !
Honteux, j’en déduisais que je devais mouiller ! À Force que mon gland soit supplicié, j’étais en train de produire des sécrétions séminales. Honteux, je ressentais s’accrocher sur ma cuisse, un
long filament humide. Cette situation en pleine rue devenait de plus en plus frustrante, humiliante et dégradante ! Je rêvais, en début de journée, que je me masturbais et que, enfin, je pouvais
jouir à volonté.
J’arrivais enfin au bureau sur cette chimère. Je saluais les
collègues déjà présents et je gagnais mon bureau. J’espérais que cette petite communauté reprendrait son calme assis dans mon fauteuil de bureau. En posant ma veste, je vérifiais que mon
téléphone mobile et mon feutre noire étaient bien dans la poche frontale de ma sous-veste. Je sentais de plus en plus le nouveau plug. Heureusement, la ceinture le maintenait en place
et l’empêchait de s’échapper car le premier anneau s’était remis à jouer avec le cône. La matinée se déroulait lentement et j’avais du mal à me concentrer avec ce
nouveau jouet qui était l’attraction de mon petit monde. Je ressentais de plus en plus les picots supplicier mon malheureux gland. Les heures s’écoulaient lentement. J’attendais le moment où je
serai obligé de soulager ma vessie. Je vérifiais que personne ne pourrait me voir et je me décidais à faire ma besogne hebdomadaire.
Je refermais derrière moi la porte à clef pour ne pas être
déranger. Je posais sur le lavabo, le feutre noir et le téléphone mobile. Je commençais à me déshabiller en pliant mes
vêtements et en les rangeant sur le
bord du lave-mains. Quand j’enlevais mes chaussures et que je posais le pied au sol, je ressentis le froid du carrelage sous la plante des pieds malgré mes chaussettes. Je prenais le feutre et
j’inscrivais la date du jour : "Le 14 - 12" sur ma cuisse gauche et que je photographiais. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes. Je m’assaillais sur la faïence, qui elle aussi,
était glacé. Une nouvelle fois un frisson parcouru tout mon corps. Je devais accéléré le mouvement. Suivant les instructions que j’avais reçues, je devais prendre des clichés assis sur ces
toilettes. Malgré la périodicité de cette corvée et devoir tout photographier, je ressentais toujours cette frustration, cette humiliation et cet avilissement. En me relevant, je sentais mon
gland torturé par les pics de la cage. Je prenais en gros plan mon malheureux pénis emprisonné dans sa geôle. Sur la demande de Mr Alain, je posais le portable et je m’accroupissais. Lorsque je
bougeais la ceinture je sentis ma petite fleur s’ouvrir et l’invité s’enfuir. Je le rattrapais et je le remettais en place. Un gémissement m’échappa. Tout en tenant le plug, je stoppais un
instant la servitude et je tendais l’oreille. Heureusement, personne ne m’avait entendu. Je serrais les fesses pour
maintenir son hôte en place et je
prenais de nouveaux clichés. Malgré cela, il ressorti de nouveau. Je le rentrais une nouvelle fois et je repositionnais la ceinture pour le soutenir. Je prenais le portable et je me relevais. Je
m’apercevais alors que j’étais en train de mouiller une nouvelle fois. Comme Maître Michael avait commandé, je devais photographier tout nouvel évènement. Je prenais donc un cliché de la fuite
séminale. Je me sentais de nouveau frustré, humilié et avili par ce nouvel épisode. Pour terminé le travail du jour, je prenais une dernière photo de pied du slave. Je commençais à me vêtir quand
une personne essaya
d’entrer et frappa à la porte. Je demandais 2 minutes, j’avais bientôt terminé. Rapidement, je me rhabillais discrètement et précipitamment. Je rangeais dans la poche
frontale mon mobile et le feutre. Je tirais la chasse d’eau et je refermais les toilettes. Je me lavais rapidement les mains. Je me les séchais et je sortais.
Un collègue attendait. Je renouvelais mes excuses et je m’enfuyais
sans demander mon reste. Je retournais à mon poste de travail. Je ressentis une nouvelle goutte d’urine couler le long de ma cuisse. Ces fuites deviennent de plus en plus frustrante, humiliante
et dégradante ! Entre les fuites urinaires après être allé aux toilettes et les sécrétions séminales, je me sentais de plus en plus mal à l’aise et honteux. En arrivant je saluais mon collègue
qui était arrivé en mon absence. Il me saluait à son tour et me demanda :
-
- "Tu étais en pose ?
-
- Non, j’étais aux toilettes."
Je lui répondais embarrassé. Il continua :
-
- "Tu passes tes journées aux toilettes ces temps !
-
- Pas spécialement, pourquoi ? J’ai tout simplement des problèmes digestifs !
-
- On dit ça, mais il me semble que lorsque tu y vas, tu y reste de plus en plus
longtemps.
-
- Lorsque ça ira mieux, j’y serai moins longtemps !"
Je me sentais de plus en plus frustré humilié et avilis par ces
réflexions.
-
- "On dit ça….
-
- L’essentiel c’est que le travail soit fait ! Tu es arrivé il y a longtemps ?
-
- Il y a une vingtaine de minutes que je suis là.
-
- Je comprends maintenant, avant d’aller aux toilettes je suis allé boire un coup et j’en
ai grillé une sur le balcon ! Avant de reprendre, j’en ai profité pour vidanger.
-
- Je comprends
mieux alors !"
De plus en plus honteux, blessé et dégradé. Je reprenais mon travail malgré le
mensonge que je venais de dire. Pour fumer une cigarette je devrai attendre la pause de midi !
Je m’assaillais rapidement car j’avais le cul qui se remettait à pousser. Je ne pouvais pas gémir ! Je retenais ma respiration le temps qu’il se calme
et je respirais lentement. Au bout d’un certain temps mon trou se calma et les picots cessèrent de martyriser mon gland. Je reprenais mon labeur en souhaitant que mon petit monde reste le plus
longtemps au repos. Malheureusement, je savais que ça ne durerait pas !
Merci à mes Maîtres pour cette nouvelle corvée hebdomadaire.
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