Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Labeurs Journaliers

Mercredi 10 octobre 3 10 /10 /Oct 07:00

Corvée du lundi 08 octobre 2018 :

37 - Corvée. - D - -.-

         De nouveau, la nuit fut longue en torture. Les pics n'avaient pas cessé de martyriser mon malheureux gland qui, excité, faisait gonfler mon pénis en érection permanente, avortée par la méprisable cage de chasteté. Ma nuit était en pointillés. Je n'arrivais à dormir que 30 à 45 minutes d'affilée. Jour et nuit ces tortionnaires ne cessaient les supplices et les tourments de ma pauvre queue. Ne plus pouvoir me toucher et me masturber est en soi déjà un calvaire, mais si les geôliers se déchaînent sur mon appendice cela devient une misérable géhenne. Enfin l'aube se levait et le réveil annonçait la levée du slave. Je buvais un bon café pour me réveiller complètement et pour dissiper les brumes persistantes. Je saluais mes Maîtres. Après des échanges de politesse et des différentes occupations de fin de semaine,38 - Corvée. - D - -.- Maître Michael renouvelait ses recommandations pour l'accueil de mon aide ménagère. Je faisais ma toilette. Terminé, je prenais le marqueur noir et assis sur le coin de la baignoire, je débutais ma séance journalière de graffitis. Sur la cuisse gauche, j'inscrivais la date du jour, sur la droite le numéro d'enregistrement du slave. Debout devant le miroir, je transcrivais l'appartenance de la sous-merde et sur mon pubis la maudite date de mise en chasteté de mon pénis affligé. Je me préparais à m'habiller lorsque Maître Michael commandait de sortir le harnais et de le porter toute la journée. Je lui faisais remarquer en vain, que j'avais grossi et que certaines sangles seraient trop petites. Sans surprise, il s'en moquait et ordonnait de trouver une solution. À mon grand regret, je sortais de son 39 - Corvée. - D - -.-rangement l'objet de controverses. N'ayant pas mis auparavant l'anneau qui sert aussi de cockring, j'ôtais les sangles de l'entre-jambe. Je passais à la salle de bain de nouveau pour tenter d'enfiler le moins péniblement possible ce nouvel asservissement. Je devais prendre un bout de ficelle pour fermer la sangle abdominale. Je regrettais que40 - Corvée. - D - -.- les kilos en trop se fussent donné rendez-vous exclusivement sur le ventre. Je sais, heureusement, que ce n'est que momentané et lorsque mon traitement sera terminé, je pourrai dégonfler. En attendant, j'avais encore cinq mois à patienter la fin de cette thérapie pour amorcer le dégonflement. Je m'habillais et je 41 - Corvée. - D - -.-saluais mes Masters avant de partir. De nouveau, chaque pas était un calvaire perpétuel. Lorsque j'avançais ma jambe gauche, le mouvement faisait pénétrer, un peu plus, les pics dans mon pauvre gland. Le cercle vicieux reprenait de plus belle. L'excitation du gland provoqué par ses42 - Corvée. - D - -.- tortionnaires, faisait gonfler un peu plus mon pénis emprisonné. Cette stimulation perpétuait l'érection avortée par le pénitencier de ma queue. J'arrivais enfin à destination et je m'empressais de regagner mon poste de travail après avoir salué rapidement les personnes présentes. J'avais le cœur qui battait la chamade et je devais retenir mon souffle pour ne pas gémir de souffrance. Pour dissimuler les sangles et surtout les boucles du harnais, j'avais enfilé un gros pull, col roulé, en laine. Certains de mes collègues l'avaient remarqué et m'interrogeaient. Je prenais l'excuse des nuits et l'aube très fraîches de la région. À regret, ils me faisaient remarquer que j'allais avoir très chaud en fin de matinée et cet après-midi. Honteux, je répondais que je préférais avoir trop chaud et que la transpiration me ferait perdre quelques décigrammes d'eau, sur un ton ironique, pour faire passer "la pilule". Je me mettais au travail. Dans la matinée, à 43 - Corvée. - D - -.-force de boire régulièrement, ma vessie se remplissait inexorablement. Après avoir guetté l'absence de personne dans le couloir, je me levais et je me rendais aux toilettes pour la corvée journalière. La porte fermée, je posais le téléphone sur le bord du lave-main. Je retirais mes chaussures et je posais mes vêtements pliés, dessus. Que je me retrouvais dans la tenue44 - Corvée. - D - -.- d'un nouveau-né, j'enfournais dans ma bouche, la plante des pieds de mes chaussettes. L'appareil photo en main, je prenais les premiers clichés de mes vêtements au sol. Je continuais par la cuisse gauche et la date du jour. Pour suivre, je photographiais le numéro d'enregistrement. Je continuais par les tennis dans ma gueule. J'enregistrais l'appartenance du slave et sa mise sous cage. Pour 45 - Corvée. - D - -.-terminer, je prenais un cliché de pieds avant de m’asseoir sur la faïence des toilettes. Auparavant, à regret, j'avais relevé le couvercle et la lunette. Une dernière photographie de mon pénis encagé lâchant les vannes. Je secouais le mitard et son occupant pour évacuer les dernières gouttes d'urine. Je le séchais avec du papier toilette et je me rhabillais rapidement le cœur battant la chamade. Le faîte de pisser n'avait pas fait débander mon malheureux appendice. Les picots reprenaient, de plus belle, les supplices. Je me rinçais les mains et je tirais la chasse d'eau après avoir rabattu la lunette et le couvercle. Je rangeais le téléphone dans la poche frontale du gilet. Après avoir jeté un dernier regard autour de moi, j'ouvrais la porte et je regagnais mon poste de travail avec soulagement. Je n'avais croisé personne, ce qui me rassurait. Un gémissement involontaire sortit subitement de mes poumons.46 - Corvée. - D - -.- J'espionnais autour de moi afin de vérifier qu'aucun collègue m'avait entendu. Intérieurement, je soufflais quand je sentis un résidu s'écouler le long de ma cuisse. De nouveau, les pertes inopinées reprenaient du servie. À contre-cœur, je séchais les débordements avec le jean. Je me mettais à maudire de nouveau ces impondérables dégénérescences….

 

        Mes remerciements à mes Masters et aux personnes qui suivent mes progrès.

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Dimanche 7 octobre 7 07 /10 /Oct 19:00

Corvée du vendredi 05 octobre 2018 :

28 - Corvée. - D - -.-

         Une nouvelle fois, la nuit était mouvementée. Non pas par des cauchemars, mais par les geôliers qui, toute la nuit, s'étaient acharnés à brimer et malmener mon malheureux gland. Plus il était martyrisé et plus son excitation augmentait et faisait gonfler mon pénis ! Je fus réveillé, des dizaines de fois, en sursaut ! De nouveau, une trique continue avait jalonné mon sommeil. D'habitude bienfaitrice, elle devenait un enfer assorti de ses tortures. Une bonne masturbation ne pourrait qu’apaiser mon pénis en manque réel de tendresse, de douceur et d'affection. Malheureusement, mis en prison, mon pénis était inaccessible et seuls ses matons profitaient de leur pouvoir pour opprimer le captif de ce cachot. Je maudissais, à de multiples reprises, cette prison de chasteté qui me privait de tout plaisir charnel depuis plus d'un an ! Enfin, l'aube se faisait entrevoir et je me levais 29 - Corvée. - D - -.-encore plus fatigué que je ne m'étais couché la veille. Je me faisais un double expresso pour tenter de dissiper les brumes de mon esprit. Entre-temps, j'avais lancé mon ordinateur pour pouvoir saluer mes Masters. Ils m'informaient qu'ils avaient accepté une demande du Slave Zorba contrôlé par Monsieur Alain 44. Je devais répondre à toutes ses30 - Corvée. - D - -.- demandes par e-mail avec toutes les déférences lié à son rang supérieur au mien. Un mot avait d'ailleurs été publié sur le blog annonçant ces conditions. Ne pouvant réprimer ouvertement ces dernières directives, je les acceptais avec angoisse et je refoulais avec colère la révolte qui montait en moi. Je passais à la salle de bain pour ma toilette matinale. Terminé, je prenais le 31 - Corvée. - D - -.-marqueur vert, couleur du vendredi, et je commençais les graffitis du jour. Sur la cuisse gauche la date de ce vendredi, sur la droite, le numéro d'enregistrement du slave. Je continuais par le torse et l'appartenance de la sous-merde pour terminer par le bas-ventre et le pubis avec la date de mise en cage de chasteté. Chaque jour,32 - Corvée. - D - -.- cette inscription devenait de plus en plus humiliante et dégradante au fur et mesure que les semaines et les mois s'écoulaient. Je prenais la paire de tennis que j'avais portée lundi toute la journée, car mes Maîtres m'avaient ordonné de mettre la même paire de chaussettes le lundi et le vendredi et une seconde paire pour les autres jours de la semaine. Je m'habillais avec un pantalon, un pull col roulé mi-saison, un gilet sans manches qui recevait le téléphone. Bien sûr, j'ai en permanence les attributs du slave que je suis soit la maudite cage de chasteté, le collier et sa médaille. J'enfilais une veste et un bonnet, car la nuit avait été fraîche. Je pouvais me rendre à mon travail. Chaque nouveau pas que j'effectuais était un calvaire ! Quand ma jambe gauche avançait, les pics de la cage pénétraient un peu plus dans 33 - Corvée. - D - -.-mon pauvre gland ! Cette excitation faisait gonfler d'autant plus mon pénis à l'étroit dans sa prison. Arrivé sur place, je saluais la secrétaire qui avait déjà un parent. Je montais à l'étage pour rejoindre mon poste. Une marche sur deux perpétuait le supplice. Je posais, enfin, ma veste et mon bonnet sur le dossier du fauteuil pendant que34 - Corvée. - D - -.- mon ordinateur se mettait en marche. Je prenais place sur mon siège et je me mettais à l'ouvrage. De temps en temps, je buvais une gorgée d'eau ayant en permanence, sur le coin du bureau, une bouteille. Je saluais les collègues au fur et à mesure qu'ils passaient devant mon bureau. Ce vendredi je serai seul car ma collègue avait pris 35 - Corvée. - D - -.-sa journée. Ce serait un peu plus facile pour la corvée journalière. Malheureusement, les tortionnaires continuaient leurs supplices. En milieu de matinée, à force de boire, ma vessie se remplissait inexorablement. N’entendant aucun bruit venant du couloir, je me décidais à réaliser la corvée journalière. Je me levais en vérifiant que le téléphone était bien dans la poche frontale du gilet. Les persécuteurs de mon malheureux gland redoublèrent de vigueur à chaque nouveau pas. Avec soulagement, je refermais la porte derrière moi. Je posais le téléphone sur le bord du lavabo et je me déshabillais. Je posais mes vêtements sur mes chaussures pour qu'ils ne reposent pas sur le carrelage. Les chaussettes, je repliais le haut pour qu'elles ne cachent pas les ignobles graffitis. Je prenais les différents clichés comme à l'habitude. Mon pauvre36 - Corvée. - D - -.- gland ne cessait d'être martyrisé par ses tortionnaires. Je maudissais cette ignoble cage, car, depuis que j'avais éjaculé inconsciemment, mon pénis me rappelait son abstinence forcée et ses manques de plaisirs. Pour terminer, je m'assaillais sur le rebord de la faïence des toilettes et je vidais, avec soulagement, ma vessie. Tous les clichés dans la boîte, je me rhabillais et je me rinçais les mains. Je tirais la chasse d'eau et je jetais un dernier coup d’œil avant de sortir et de regagner mon poste de travail.

 

        Merci à mes Maîtres qui me font progresser malgré les supplices des tortionnaires.

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Vendredi 5 octobre 5 05 /10 /Oct 07:00

19 - Corvée. - D - -.-Corvée du jeudi 04 octobre 2018 :

 

         Avec des amis, vivants ou ayant disparu, nous nous amusions sur une plage de sable. Une grande étendue d'eau calme s'étendait à nos pieds. À tour de rôle, nous étions dans l'eau rafraîchissante ou sur le sable chauffé à blanc qui pourtant ne nous brûlait pas. En se retournant nous nous retrouvions dans un immense désert de sable où, aucune vie à perte de vue venait bousculer le calme de cette vision. Ce silence assourdissant nous portait dans un brouillard cotonneux où les sensations voluptueuses, sensuelles et érotiques. Nous nous retrouvions dans une mer déchaînée où les vagues venaient fracasser nos corps nus. Dans un demi-sommeil, je ressentais de l'humidité sur une cuisse. À moitié réveillé, je me20 - Corvée. - D - -.- levais pour me rendre aux toilettes pensant avoir une grosse envie d'uriner. À ma grande surprise, en me levant, je ne ressentais pas la goutte d'urine s'écouler normalement. Arrivé aux toilettes, j'allumais le plafonnier et à mon grand désespoir, je me rendais compte que cette 21 - Corvée. - D - -.-auréole humide n'était que mon sperme ! Je venais de jouir et d'éjaculer dans mon sommeil sans avoir vraiment eu des sensations sensuelles et encore moins sexuelles. Je maudissais cette abstinence forcée qui, avec le temps, deviens de plus en plus humiliante et dégradante. Se22 - Corvée. - D - -.- décharger de son sperme de la sorte sans avoir eu réellement de plaisir augmentait d'autant plus mes frustrations ! Tout en maudissant mes Masters qui ne faisaient pas une pause 23 - Corvée. - D - -.-bienfaitrice dans cette privation de plaisir, je nettoyais ce petit monticule stagnant. Dépité et contrarié par cette mésaventure nocturne, je retournais me coucher dans la tenue du nouveau-né. Avec des pensées malveillantes et haineuses, je retrouvais le sommeil progressivement honteux et frustré d'avoir joui et éjaculer sans vraiment de plaisir. Lorsque le réveil sonna, je me levais avec l’impression d'avoir vécu un très mauvais cauchemar ! Malheureusement, je réalisais que mes souvenirs étaient réels. Je me faisais un café pour me donner du courage et je saluais mes Masters en omettant mes déboires de la nuit trop honteux et frustré de la vidange spontanée et24 - Corvée. - D - -.- involontaire. Étant dans la tenue la plus minimaliste, la seule autorisée par mes Masters chez moi lorsque je suis seul, et la température en baisse, je devais allumer mon chauffage d’appoint pour avoir un peu de chaleur ambiante pour ne pas avoir besoin d'enfiler un 25 - Corvée. - D - -.-vêtement interdit à domicile. Après un certain temps d'échange, je reprenais un café et je passais à la salle de bain. Je faisais ma toilette puis je prenais le marqueur rouge, couleur du jeudi. Assis comme à l'habitude sur le26 - Corvée. - D - -.- rebord de ma baignoire, je notais la date du jour sur la cuisse gauche et le numéro du slave sur la droite. J'inscrivais l'appartenance du bâtard sur le torse et, pour terminer, la date d'abstinence sur le bas-ventre et le pubis. J'allais chercher mon portable et je prenais le premier cliché dans la salle de bain. Je prenais mes vêtements, que je porterai pour sortir, plié sur le lit et je les disposais au sol dans le couloir devant les toilettes. Les chaussettes, je les enfournais dans ma petite bouche et je débutais la série de photographies journalières commandées par mes Maîtres. Pour terminer, je me posais sur les toilettes, le couvercle et la lunette relevés. Mes petites fesses ressentaient la 27 - Corvée. - D - -.-froideur de la faïence. Je vidangeais ma vessie. J’égouttais la cage de chasteté et je la séchais avec du papier toilette. Je tirais la chasse d'eau et je me rinçais les mains au lavabo. Je remettais mes vêtements sur le lit en attendant de les enfiler pour sortir.

 

        Je remercie mes Masters et je leur souhaite une bonne journée.

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Jeudi 4 octobre 4 04 /10 /Oct 09:00

Corvée du mardi 2 octobre 2018 :

10 - Corvée. - D - -.-

         Je marchais sur les chemins de mon enfance et retrouvais des personnes disparues. Cette randonnée devenait de plus en plus agréable avec les effluves qui me revenaient en mémoire. Le tableau changea complètement et je me retrouvais attaché sur une croix de saint André. Je ne voyais rien étant cagoulé, mais je ressentais une érection bienfaitrice. Par contre, des aiguilles pénétraient mon gland. Plus je bandais et plus il y avait de pointes malveillantes. Je faisais un bond dans mon lit, le cœur battant à tout rompre. Je comprenais très vite que j'avais la trique du matin ! Ma main, instinctivement, allait masturber mon pénis quand les picots continuèrent à torturer mon gland. Plus je tentais une érection avortée par la cage et plus le gland subissait les assauts de ses tortionnaires. Mon rêve attrayant et séduisant s'était transformé en cauchemar délirant dès mon réveil. La journée11 - Corvée. - D - -.- débutait mal, car plus je tentais de stopper la trique et plus le gland malmené, s'excitait sur ses geôliers ! Frustré de ne pouvoir me branler et plus, je me levais pour me faire un café pensant que cela calmerait mon pénis. Malheureusement, à chaque pas, les pics continuaient leurs supplices sur le pauvre gland 12 - Corvée. - D - -.-qui, émoustillé, maintenait une érection torpillée. Je maudissais cette prison m’empêchant de me masturber normalement et de jouir avec satisfaction.Après encore plusieurs minutes de souffrance, le gland se calmait et le sexe débandait avec déception. Après avoir salué mes Masters, je passais à la salle de bain.13 - Corvée. - D - -.- La toilette terminée, à regret, je prenais le marqueur du jour et je commençais les graffitis. Comme chaque jour, j'inscrivais sur la cuisse gauche la date et sur la droite le numéro d'enregistrement du slave. Je continuais par le 14 - Corvée. - D - -.-torse et mon appartenance. Je terminais par la date de mise en cage avec nostalgie des jours heureux. Je prenais le premier cliché de pieds dans la salle de bain. Je déposais au sol mes vêtements. Je prenais une paire de chaussettes propres comme mes Maîtres m'avaient autorisé précédemment. Je l'enfournais dans ma petite gueule. Tout était en place pour démarrer le reportage photo. Malheureusement, pendant la préparation, les picots de la cage s'étaient remis à titiller mon gland. Une érection avortée s'en suivi. Mais ce trio pervers ne cessait le martyre. Plus la queue était gonflée, plus le gland en faisait autant et plus les15 - Corvée. - D - -.- picots rentraient et maltraitaient celui-ci, qui excité, commandait un gonflement prolongé ! Ce supplice était de plus en plus frustrant et dégradant d'autant que je ne maîtrisais plus personne ! Je débutais le reportage avec un 16 - Corvée. - D - -.-cliché de la cuisse gauche et de la date du jour. Je continuais avec la droite et le numéro d'enregistrement du slave. Un cliché des chaussettes dans la gueule pour continuer avec l'appartenance sur le torse. Je17 - Corvée. - D - -.- terminais cette série par la date de mise sous cage de mon malheureux sexe. Une nouvelle photo de pieds avec les chaussettes dans la bouche et je m'assaillais sur les toilettes. Le couvercle et la lunette étaient restés levés. Je posais mes petites fesses sur la faïence et je lâchais les vannes. Lorsque la vessie fut vide, je séchais la cage 18 - Corvée. - D - -.-avec du papier toilette et je tirais la chasse d'eau. Je passais à la salle de bain, me laver les mains.

 

        Bonne journée à mes Masters et aux lecteurs.

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Lundi 1 octobre 1 01 /10 /Oct 13:00

Corvée du lundi 1er octobre 2018 :

 

01 - Corvée. - D - -.-         Je me levais et je me faisais un café le temps que mon ordinateur se mette en marche. Je saluais mes Masters. Après quelques échanges, je passais à la salle de bain. La veille, le dimanche, j'avais rafraîchi le rasage du corps. Ce matin je me retrouvais donc lisse comme un nouveau-né. Je faisais ma toilette et je prenais une douche pour me réveiller complètement. Avant de m'habiller, je prenais le marqueur noir, couleur du lundi, et je commençais à inscrire toutes les références sur le corps. Devoir chaque journée renouveler ces graffitis, devenait chaque jour un peu plus humiliant et dégradant ! Je débutais par la cuisse gauche, assis sur le rebord de la baignoire, j'inscrivais la date du jour, soit le lundi 1er octobre 2018. Je continuais par la cuisse droite qui recevait le numéro d'enregistrement du slave : 411-103-335. Je me levais face au miroir pour la suite des références. Sur le torse, je notais l'appartenance de la sous-merde et je terminais par le bas-ventre et le pubis qui recevaient la date de mise sous chasteté. Date de plus en plus dégradante et humiliante au fur et à mesure02 - Corvée. - D - -.- que les jours, les semaines et les mois passent. Quand le corps du slave avait sur lui toutes ses marques et ses références, je prenais le portable pour le premier cliché de pieds dans la salle de bain. Je m'habillais avec un jean, une paire de baskets blanche, un pull col roulé mi-saison et mon gilet sans manches qui me sert à ranger certaines affaires dont le portable dans une des poches frontales. Je me mis à sentir les picots empaler mon pauvre gland ! Une érection avortée 03 - Corvée. - D - -.-s'ensuivait. Plus je tentais de calmer mon pénis et plus mon gland s'excitait sur ses geôliers ! Je prenais ma veste, une écharpe et un bonnet car une pluie ininterrompue tombait depuis la veille. En sortant, le froid humide calmait ma trique. J'arrivais sur mon lieu de travail et je saluais la secrétaire déjà présente. Je montais à l'étage et je me rendais à mon bureau. Au passage, je saluais la secrétaire comptable qui m'avait devancée de quelques minutes. Je me mis à sentir04 - Corvée. - D - -.- de nouveau une érection qui s'empalait à nouveau sur les pics de la cage. Plus je m'interdisais de bander et plus les geôliers excitaient mon malheureux gland ! Je m'empressais de rejoindre mon poste de travail pour ne pas alerter ma collègue. Mon palpitant en profita pour s'emballer. Je posais ma veste, mon écharpe et mon bonnet sur le dossier de mon fauteuil. Je lançais mon ordinateur et je prenais place dans le siège. Je commençais à travailler lorsque le 05 - Corvée. - D - -.-directeur arriva. Il me saluait et nous échangions des politesses. J'essayais de me concentrer sur mes dossiers, mais mon gland continuait à jouer avec les picots. Je tentais de contrôler ma respiration en évitant des gémissements trop fort. J'avais de plus en plus de mal à canaliser mes esprits. Mon souffle devenait de plus en plus saccadé et rapide. Ne maîtrisant plus personne et sentant ma vessie de plus en plus remplie, je me résolvais à exécuter la séance photo aux toilettes. Je me levais sans avoir, auparavant, espionner le couloir. Un groupe de stagiaires montaient les escaliers et nous nous croisions dans le couloir. Mon cœur se remit à battre la chamade synchronisée avec les hallebardes qui tombaient à l'extérieur et se fracassaient sur les baies vitrées. Je fermais la porte derrière moi et je posais sur un coin du lavabo mon téléphone. Mon moteur était toujours emballé. Je posais sur mes chaussures mon pantalon, puis mon gilet et mon pull. Je sentais toujours les tortionnaires torturer leur prisonnier. Cette souffrance ne calmait pas mon palpitant qui continuait ses06 - Corvée. - D - -.- frasques. À contre cœur, je me déchaussais et j'enfournais dans ma gueule de slave, la plante des pieds des chaussettes. Ma plante des pieds nus sentit le froid du carrelage qui allait réfrigérer progressivement, non seulement mes pieds, mais aussi remonter dans mes mollets. Je prenais le portable et je débutais la séance photo. J'entendais dans le couloir, des voix qui allaient et venaient ce qui m’angoissait encore plus. Je photographiais mes vêtements au sol. Je 07 - Corvée. - D - -.-continuais par la date du jour et le numéro d'enregistrement du slave. Pour la première fois, je sollicitais ma malheureuse gueule gobant la plante des pieds de mes chaussettes. Je poursuivais par le torse où était transcrite l'appartenance de la sous-merde. Ensuite, la date de mise en cage de mon malheureux sexe était dans la boîte. Je prenais un dernier cliché du slave en entier. Le couvercle08 - Corvée. - D - -.- et la lunette des toilettes étaient restés ouverts. Je m’asseyais sur la faïence glacée qui refroidissait aussitôt mes petites fesses roses. Je poussais pour faire sortir les premières goûtes d'urine malgré l'érection avortée. De lâcher ainsi les vannes, me fit débander progressivement. J'en profitais pour prendre le dernier cliché de la journée assis sur le trône. Lorsque ma vessie fut vidangée, je secouais la cage de chasteté pour évacuer l'urine qui pouvait stagner. Je prenais un peu de papier toilette et je terminais de la sécher. Je me relevais frustré et humilié par cette nouvelle séance. Je tirais la chasse d'eau et je commençais à me rhabiller. J'enfilais mon pull, mon gilet, avec grand plaisir mes chaussettes que j'enlevais de leurs lieux de rangement et que je remettais à leur place initiale et mes chaussures. Je me lavais les mains, me les rinçais et je me les séchais. Mon cœur s'était régulièrement calmé 09 - Corvée. - D - -.-ainsi que mon pénis. Je rangeais mon téléphone dans une des poches frontales de mon gilet. Je vérifiais autour de moi et n'ayant rien oublié, j'ouvrais la porte. Je sortais dans le vestibule puis dans le couloir qui était devenu désert à ma grande satisfaction. Je regagnais mon bureau et je reprenais mon travail en cours.

 

        Bonne journée à mes Masters et merci pour cette "aventure".

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Dimanche 30 septembre 7 30 /09 /Sep 08:00

Corvée du vendredi 28 septembre :

 

36 - Bureau. - D - -.-        Je saluais mes masters, dès que je me levais, comme à l'accoutumé. Suite à ma gaffe d'exploration du nouveau serveur où Maître Michael avait créé une nouvelle adresse e-mail et malgré mes excuses immédiates, il ordonnait une punition. Je faisais le cliché demandé dans mes toilettes avant de passer à la salle de bain pour réaliser les références journalière sur mon corps. Avant de réaliser ces écrits, je faisais ma toilette journalière et je terminais par une douche bienfaitrice. Sur le tapis de bain, debout, je me séchais le mieux possible. J'allais chercher le marqueur vert, couleur choisi par les Maîtres, pour le vendredi. Je débutais, assis sur le bord de la baignoire, par inscrire la date du jour sur la cuisse gauche. Je continuais par la droite en notant le numéro d'enregistrement du slave. Debout devant mon miroir, je transcrivais sur mon torse, l'appartenance de la sous-merde. Je terminais par le bas du ventre et le pubis en rappelant la date de mise sous cage de mon malheureux pénis en abstinence depuis plus d'un an ! Suivant les instructions, je prenais le premier cliché de37 - Bureau. - D - -.- pieds dans ma salle de bain avant de m'habiller pour me rendre au bureau. J'enfilais mes chaussettes, mon pantalon, un polo et mon gilet sans manche où je rangeais dans une des poches mon portable pour réaliser le reportage photo journalier à mon grand désespoir. Je buvais un dernier café après avoir avalé mes traitements. J'enfilais un gilet en laine et une petite écharpe que je garderai tout le temps où je travaillerait afin de dissimuler le collier et principalement la 38 - Bureau. - D - -.-médaille humiliante. Malgré la connaissance de cette parure dégradante par mes collègues, j'avais toujours, et encore plus chaque jours, de plus en plus honte de la porter en public. Malgré tous mes subterfuges pour la camoufler le mieux possible, principalement la médaille, je me sentais toujours autant frustré et humilié de la porter en permanence sur moi sauf de rares exceptions que je remercie mes Masters d'accepter ces dérogations. Je fermais ma porte39 - Bureau. - D - -.- à clef avec toutes ses pensées qui s'entrechoquaient dans ma petite tête. Arrivée sur mon lieux de travail, je saluais les collègues présents et quelles que mères de familles qui attendaient pour des inscriptions. Je montais à l'étage et je retrouvais mon poste de travail. Je posais sur le dossier de mon fauteuil, mon gilet. Je prenais place en attendant que mon ordinateur se mette en marche. Ma voisine et collègue arriva sur ses entre faits. Nous 40 - Bureau. - D - -.-échangions un instant sur nos projet de week-end. J’omettais délibérément quelles que détailles dégradants des desseins de mes Masters. Je me plongeais dans mes dossiers. En milieu de matinée, ma collaboratrice, proposait un pose café-cigarette. Cette coupure tombait à pic car une envie de plus en plus pressente me tiraillais le ventre. Je l'invitais à me servir un café en attendant que je me soulage d'une grosse commission. Excuse pour justifier mon absence prolongé dans les toilettes. Mon palpitant se mit à battre de plus en plus fort. Je refermais la porte à clef derrière moi. Je commençais à me déshabiller en posant mes vêtements sur mes chaussures. Le jeans en premier, puis l'écharpe, le gilet sans manche où je retirais le portable que je posais en attente sur le lavabo, le polo que je pliais et mes chaussettes. J'en laissais une avec mon tas d'habit au sol. La seconde, je la roulais sur elle même et je l'enfournais dans ma petite gueule de bâtard. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes. Tout était en place pour démarrer la chronique photo. Je prenais le portable et j’actionnais41 - Bureau. - D - -.- l'appareil photographique. Je débutais le reportage journalier, humiliant et frustrant, par mes affaires sur le carrelage. Je continuais par ma cuisse gauche avec la date du jour, la cuisse droite suivait avec le numéro d'enregistrement du slave. Je continuais par la chaussette roulée dans ma petite gueule, suivait l'appartenance de la sous-merde. Je poursuivais par la date dégradante de la mise en abstinence de ma malheureuse queue et je terminais cette première 42 - Bureau. - D - -.-série par un cliché de pieds. Mon cœur battait toujours aussi fort et je tendais l'oreille afin de vérifier que personne ne pouvait m'entendre. Je m'asseyais sur la faïence toujours aussi froide qui glaçait mes petites fesses. J'écartais un peu les cuisses pour apercevoir suffisamment la prison de mon pénis. Ayant la vessie pleine, je lâchais les vannes et un flot continue d'urine se dévidait dans les toilettes. Lorsqu'elle se retrouvait vide, je secouais un peu le carcan pour43 - Bureau. - D - -.- évacuer les goûtes qui pouvaient rester et je prenais du papier toilette afin de le sécher complètement. Je déposais l'appareil téléphonique sur le rebord du lave main et je commençais à m'habiller une nouvelle fois. Je débutais par les chaussettes afin d'ôter celle qui asséchait ma bouche. Je continuais par le jeans et le polo. Je terminais par le gilet sans manche et l'écharpe légère. Je tirais la chasse d'eau, j'abaissais la lunette et le couvercle des toilettes et je me rinçais les mains. Je me les séchais en jetant un dernier coups d’œil autour de moi. Mon palpitant n'avait cessé de battre la chamade. J'ouvrais délicatement la porte et je me retrouvais dans le vestibule. Au lieu de sortir par la porte qui donne directement dans le couloir, je passais par celle de côté. En regagnant le couloir principale, je croisais ma collègue qui se demandait ce que je pouvais faire et qui revenait de vérifier si j'étais encore aux toilettes. Je prétextais être passé dans la bibliothèque, qui justement, est dans cette partie excentrée des bureaux. Nous retournions dans la salle de pose boire notre café et grillé une tige de dix. Mon instinct avait eu raison de me faire sortir par la petite porte. 44 - Bureau. - D - -.-Ma tension était montée d'un cran et le moteur s'emballait encore plus. Ce repos écourté mais bienfaiteur me permettait de reprendre mes esprits et de calmer la mécanique. Nous retournions à nos postes de travail et reprenions nos dossiers.

 

        Merci à mes Masters, Master Eric et Maître Michael de faire progresser le slave que je suis.

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Vendredi 28 septembre 5 28 /09 /Sep 07:00

Corvée du jeudi 27 septembre :

28 - Bureau. - D - -.-

          Ne travaillant pas ce jour, je me levais comme d'habitude pour saluer mes Maîtres avant qu'ils ne partent vaquer à leurs occupations. Après plusieurs échanges, Maître Michael me congédiait en me commandant de terminer ma grâce matinée nu sur le sol de ma chambre. Je m’exécutais en éteignant mon ordinateur. Je m'allongeais sur le sol dur et froid ! D'habitude, j'avais un tapis pour adoucir la dureté de la dalle et comme isolation contre la fraîcheur de celle-ci. Malheureusement, sur suggestion et recommandation de certains commentaires, Master Michael m'avait ordonner de supprimer tous les tapis dans ma chambre et les toilettes. Étant nu en permanence chez moi lorsque je suis seul,29 - Bureau. - D - -.- seule tenue autorisée par mes Masters, mes plantes de pieds ressentaient de plus en plus la froideur du sol. Me retrouver complètement nu, allongé sur cette dalle, le refroidissement gagnait progressivement tout mon corps. La dureté du planché ne facilitait pas le ré-endormissement ! 30 - Bureau. - D - -.- Àforce de me tourner dans tous les sens pour trouver une position la moins inconfortable possible, à regret, je n'avais plus envie de dormir. Dépité et désespéré de pouvoir faire une grâce matinée, je me résignais à me lever et je buvais un café pour dissiper les brumes matinales de mon cerveaux. Je passais31 - Bureau. - D - -.- ensuite à la salle de bain pour la toilette et pour, malheureusement, refaire tous les tags journaliers sur le corps. En prenant le feutre rouge, couleur du jeudi, je décidais pour une meilleur lecture, que les rapport serait de la 32 - Bureau. - D - -.-même couleur à l'exception du lundi. Le fond étant déjà noir, le texte sera donc blanc pour le contraste. Assis sur le bord de la baignoire, je débutais les graffitis sur ma cuisse gauche avec la date du jour, celle de droite le numéro d'enregistrement du slave. Je continuais, à contrecœur, par l'appartenance du slave. Je terminais, malgré moi, par la situation dégradante et humiliante de mon malheureux pénis, martyrisé en permanence par les picots et de mes testicules gonflées un maximum, débordantes de semence depuis plus d'un an d'abstinence et de frustration. Avant de sortir33 - Bureau. - D - -.- de la salle de bain, je prenais le premier cliché. Je passais dans ma chambre pour la séance photos. Avant de la débuter, je pliais mes vêtements en les déposant au sol. Je roulais une chaussette que j'enfournais dans ma malheureuse petite bouche. 34 - Bureau. - D - -.-La session pouvait alors démarrer. Je photographiais mes habits rangés suivant les directives. Je continuais par la date du jour sur la cuisse gauche. Celle de droite suivait en portant le35 - Bureau. - D - -.- numéro du slave. Je poursuivais par la chaussette dans ma déplorable bouche asséchée. La séance se prolongeais avec le torse qui porte l'appartenance du slave. La session continuait avec la situation déplorable de mon malchanceux pénis brimé dans son carcan. Enfin, se terminait cette séance par une prise de vue de pieds du bâtard. Je remballais tout mon matériel et je me rendais à mon ordinateur pour enregistrer ces cliché humiliants et dégradants. Sur ces entre-faits, le téléphone sonna. Je stoppais tout pour répondre et faire une petite pose.

 

          Merci à mes Maîtres pour cette journée de repos.

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Mercredi 26 septembre 3 26 /09 /Sep 18:30

Corvée du mardi 25 septembre :

 

21 - Bureau. - D - -.-

          Je me levais un peut plus tard que d'habitude pour saluer mes Masters avant qu'ils ne partent au travail. Maître Michael m'informait qu'il allait créer une nouvelle adresse e-mail pour le slave. Je ne disais rien mais j'avais des craintes sur le nom de cette nouvelle coordonnée et ce que j'allais trouver22 - Bureau. - D - -.- sans mon consentement. Maître Michael prenait congé et de mon coté je refermais mon ordinateur. Je terminais ma grâce matinée. Je me m'éveillais en sur saut car j'avais la trique. Contrarié par la cage et malmené par les picots mon malheureux 23 - Bureau. - D - -.-gland souffrant me réveilla en me rappelant à l'ordre…. Après avoir bu un bon café expresso pour reprendre mes esprits, je passais à la salle de bain pour ma toilette. Terminé, je prenais le marqueur bleu pour refaire les notations sur le corps. Le bleu étant attribué pour le mardi. 24 - Bureau. - D - -.-Je commençais par la cuisse gauche avec la date du jour. Je continuais avec la droite et le numéro du slave. Sur le torse j'inscrivais l'appartenance et je terminais par le pubis et son nouveau graffiti. La maudite cage continuait à martyriser le malheureux gland dans son carcan. Je passais dans la chambre et je posais au sol mes vêtements qui se trouvaient sur le lit. Je roulais mes chaussettes que j'enfournais, tant bien que mal, dans ma gueule. Je débutais par un cliché de la cuisse gauche, puis celle de droite, les chaussettes dans ma bouche, 25 - Bureau. - D - -.-le torse et le pubis. Je terminais ce travail quand le téléphone sonna. Un ami m'appelait et nous restions 40 minutes à échanger. Lorsque je raccrochais, je passais de nouveau à la salle de bain pour effacer tous ces graffitis ignobles. Je déteste ces marqueurs indélébile car seul le26 - Bureau. - D - -.- white spirit arrive à détruire ces tatouages. J'avais bien tenter, au début, un marqueur effaçable mais ce n'est possible que si on photographie de suite le marquage. Comme je dois maintenant le faire dans ma salle de bain en avance, ayant de 27 - Bureau. - D - -.-plus en plus de références, les vêtements estompaient les écris. Je m'étais donc résigner à en trouver sans odeur qui ne pouvaient être qu’indélébiles. Malheureusement, il a fallut que je prenne un lot complet des 4 couleurs de base car, ceux au détaille, avaient tous une odeur plus ou moins forte et très repérable. Lorsque tout le marquage avait disparu, je reprenais une douche en savonnant bien les parties du corps qui avait été en contact avec ce produit corrosif. Je me séchais après m'être bien rincé. Comme je devais sortir faire des courses, je m'habillais avec mes vêtements au sol.

          Merci à mes Masters pour les progressions du slave.

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Lundi 24 septembre 1 24 /09 /Sep 18:30

Corvée du lundi 24 septembre :

 

12 - Bureau. - D - -.-

        Maître Michael donnait ce matin les instructions pour le changement du temps de travail. Les lundis et vendredis le travail aux toilettes continuera comme d'habitude. Un changement tout de même suite aux commentaires, je dois poser mes vêtements pliés au sol et mes chaussettes dans ma bouche. Pour les mardis et jeudis, ce travail se fera à mon domicile dans la chambre. Pour les différentes couleurs il a été décidé que le lundi le marqueur noire sera utilisé, le mardi sera le bleu, le jeudi le rouge et le vendredi, ce sera le vert. Ainsi chaque jour aura sa propre couleur. Les Masters rappelaient aussi les changements validés pour les inscriptions sur le torse et le pubis.

        Je passais à la salle de bain pour ma toilette. Terminé, je prenais le marqueur noir et, assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais la date du jour sur ma cuisse gauche et le numéro du slave sur celle de droite. Devant le miroir j'inscrivais à l'envers13 - Bureau. - D - -.- sur mon torse : "Sous-merde de Master Eric et de Maître Michael" suite à la validation du commentaire réclamant cette modification. En ce qui concerne mon pubis, j'écrivais pour la première fois, à contre-cœur, "Nouille en cage depuis le 16-07-17." Les inscriptions ne sont pas toujours lisible pour une première fois. Elles ne 14 - Bureau. - D - -.-pourront que s’améliorer. Cela fait plus d'un an que je n'ai pu me masturber et jouir !!! Lors de mes différentes hospitalisations, n'ayant pas pû avoir d'instructions, je m'étais obligé et contraint à ne pas jouir, me toucher le moins possible, ayant dû ôter la cage. C'était d'autant plus humiliant et frustrant cette astreinte que je15 - Bureau. - D - -.- m'imposais. Parfois, les traitements lourd aidaient à cette abstinence. Après avoir réalisé tous ses écris sur le corps, je photographiais ces références suivant les nouvelles directives et je m'habillais pour partir au travail. En arrivant, je saluais les personnes présentes qui me demandaient de mes nouvelles. Après les avoir 16 - Bureau. - D - -.-informé de mon mi-temps, je me rendais à mon bureau. Je posais mon gilet sur le dossier du fauteuil et je me mettais au travail. Dans la matinée, une envie d'uriner se faisais de plus en plus pressente. Je vérifiais que personne ne me voyais et je me rendais aux toilettes. Les picots de la cage ne cessaient de martyriser mon pauvre gland et mon palpitant se mit à battre la chamade. Je refermais rapidement la porte derrière moi. Je commençais à me déshabiller et à plier mes vêtements suivant les dernières instructions. Je les posais au sol, les uns sur les autres. Mes chaussettes, je les roulais en boule et je les enfournais dans ma malheureuse bouche. Elle devint sèche très rapidement sans pouvoir la ré-humidifier. Mon cœur continuait à battre de plus en plus fort et rapidement ! Je prenais les premiers clichés de mes vêtements au sol, de la date inscrite sur ma cuisse gauche, le17 - Bureau. - D - -.- numéro de slave sur celle de droite, les chaussettes dans la gueule, l'appartenance de la sous-merde sur le torse et, pour terminer, la nouvelle inscription sur le bas du ventre et le pubis. J'avais l'impression de devenir un homme sandwich avec toutes ces références qualifiant le slave que je suis. Je terminais par une photo de 18 - Bureau. - D - -.-pieds. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes à contre cœur. Je m'asseyais sur la faïence glacée qui refroidissait mes pauvres petites fesses. J'écartais les cuisses et je lâchais les vannes. Je prenais une nouvelle photo. Terminé, je séchais le bout de la cage où quelles que goûtes stagnaient.19 - Bureau. - D - -.- J'enlevais les chaussettes pour pouvoir ré-humidifier mon malheureux palais. Je posais un instant le téléphone sur le bord du lavabo. Je me rhabillais en me hâtant. Le palpitant allait exploser et sortir de ma cage thoracique. Mon pauvre gland ne cessait d'être supplicié. Je tirais la chasse d'eau. Je rabattais la lunette et le couvercle. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je repositionnais le téléphone dans la poche frontale de mon gilet sans manche. Je jetais un dernier coups d’œil autour de moi pour vérifier que je n'avais rien oublié. Entendant des voix dans le couloir, j'ouvrais la porte délicatement. Je sortais des toilettes dans un vestibule et je regardais discrètement d'où venait ces voix. Elle sortaient du bureau du directeur qui se trouve juste en face de la porte de ce local. Heureusement pour le slave, sa porte était au trois quart fermée. Je regagnais avec 20 - Bureau. - D - -.-soulagement mon poste de travail tout en étant frustré et humilié de porter tous ses écris sur moi et encore plus, d'avoir du faire tout ce reportage photo qui sera publié sur le blog. Je n'avais plus qu'une hâte, de rentrer chez moi ce midi afin d'effacer tous ces slogans humiliants et dégradants.

         Je remercie mes Masters et les visiteurs de ce blog pour leurs compréhensions lors de mon absence de la semaine dernière.

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Jeudi 20 septembre 4 20 /09 /Sep 07:30

Nouvelle corvée.

 

06 - Bureau. - D - -.-        Maître Michael me faisait part de la demande de Monsieur Alain qui désirait voir l'état de ma rondelle. Quand je passais à la salle de bain pour ma toilette et mettre à jour les inscriptions journalières, j'en profitais pour satisfaire la réclamation de ce Maître. Je m'habillais et je me préparais à partir au bureau affublé, non seulement des attribut du slave mais07 - Bureau. - D - Copie aussi de toutes ses références sur son corps ! J'arrivais dans les premiers et après avoir salué les personnes présentes je regagnais mon poste de travail. Dans la matinée une grosse commission se préparait. Je vérifiais que personne n'était dans les parages et honteux des tatouages que je 08 - Bureau. - D - -.-devais porter, je me rendais aux toilettes. Je me déshabillais en accrochant mes vêtements aux patères sur la porte. Je déposais le portable sur le bord du lavabo. Quand je me retrouvais dans la tenue d'un nouveau né, je préparais l'appareil photo. Je prenais un premier cliché de la date du jour. Je continuais avec le numéro du slave et je09 - Bureau. - D - -.- poursuivais par son appartenance. Pour terminer, je photographiais le bâtard de pieds. La grosse commande devenait de plus en plus pressente. Je relevais le couvercle et la lunette à contre cœur. Je m’asseyais sur le bord de la faïence de la cuvette. Le froid de celle-ci glaçait mes petites fesses. J'écartais un peu les cuisses suivant les 10 - Bureau. - D - -.-instructions. Je lâchais les vannes. Je sentais le flot remonter dans l’urètre et sortir en flot continu. J'en profitais pour immortaliser le jet. Avec soulagement, je ressentais ma vessie se vider. Lorsqu'elle avait presque terminé sa vidange, c'est la côlon qui se mettait à pousser ! Un gros bronze en sorti. Je me retrouvais soulager d'une grosse commission. Je nettoyais ma rondelle et je séchais le bout de la cage où des gouttes d'urine perlaient. Les picots recommençaient à maltraiter mon malheureux gland. Je me rhabillais rapidement et je rangeais la téléphone dans sa poche. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je tirais la chasse d'eau et je remettais la lunette et le couvercle des toilettes11 - Bureau. - D - -.- en place. Je vérifiais sur moi et autour de moi si je n'avais rien oublié et j'ouvrais la porte. Mon palpitant jouait la chamade. J'avais l'impression qu'il allait défoncer ma poitrine. Je jetais un coups d’œil et je regagnais mon poste de travail.

        Merci à mes Masters.

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Lundi 17 septembre 1 17 /09 /Sep 20:00

Nouvelle corvée.

 

01 - Bureau. - D - -.-        Le mercredi j'avais la corvée hebdomadaire avec les inscriptions sur mon corps. Le marqueur ordinaire que j'utilisais avait une odeur forte et très repérable. En fin d'année, je me rendais dans une papeterie pour en trouver un sans odeur. La vendeuse me conseillait une boite de 4 marqueurs, sans odeurs, les 4 couleurs de bases : noir, rouge, bleu et vert. Elle n'avait pas de couleur noir en individuel n'ayant aucune odeur. Je me résignais à acheter ce lot ne sachant pas ce que je ferai des couleurs que je n'aurai pas besoin.

        Mon planning ayant évolué je me retrouve dans l'incapacité d'honorer mes Masters réalisant cette maudite corvée ce jour là. Je les en informais. Après concertation, ils décidèrent que ce travail de soumission deviendrai, cette année, à mon grand désespoir, journalier ! Chaque jour où je serai au bureau, soit le02 - Bureau. - D - -.- lundi, mardi, jeudi et vendredi. Je devrai noter sur une cuisse la date du jour, sur l'autre mon numéro de slave et sur le torse mon appartenance. À ma grande déception, ce matin, Maître Michael m'ordonnait de débuter cette routine dégradante dès aujourd'hui. Allant partir, je me résignais à passer avant à la salle de bain pour réaliser tous les écrits. Sur la cuisse droite je notais la date du jour : Lundi 17 septembre 2018, sur la gauche mon numéro : Slave N° 411-103-335. Je terminais par le torse en écrivant mon appartenance : Slave de Master Éric et de Maître Michael. Je me rhabillais précipitamment. J'arrivais un peu en retard prétextant que la reprise était difficile, ce qui n'est pas tout à fait faux. Heureusement seul l'hôtesse d'accueil et le directeur étaient présent à l'ouverture. En fin de matinée, une 03 - Bureau. - D - -.-envie d'uriner se faisait de plus en plus pressente. Contraint et résigné, je me rendais aux toilettes les plus proches. Je sortais le portable de la poche frontale de mon gilet sans manche et je le posais sur le rebord du lavabo. Je continuais à me dévêtir. Je me retrouvais nu comme un vers. Je préparais l'appareil photo du téléphone en activant le retardateur car Maître Michael, suite aux commentaires désobligeants des Maîtres qui me suivent, avait réclamé que je refasse la photo à genoux mains sur la tête, en plus les cuisses bien écartées ! Je me résignais à réaliser sa demande. Je lançais le retardateur et positionnais le téléphone contre une de mes basket pour qu'il soit en bonne position. Je me mettais à genoux écartant mes cuisses et je positionnais mes mains sur ma tête. J'attendais quelles que04 - Bureau. - D - -.- secondes le déclenchement de l'appareil. Je me relevais et je prenais un cliché de la date, du numéro de slave et je terminais par le torse et son inscription d'appartenance. J'avais de plus en plus envie d'uriner. Je relevais la lunette de je m’asseyais sur la faïence glacée des toilettes les cuisses bien écartées suivant les injonctions de mes Masters. Une position humiliante, dégradante et frustrante ! Je lâchais les vannes et j'asséchais ma vessie. J’immortalisais, à contre cœur, cette vidange. Terminé, j'essuyais le bout de la cage avec du papier toilette où des goûtes d'urines perlaient encore. Les picots intérieurs ne cessaient de martyriser mon malheureux gland. Je tirais la chasse d'eau et je remettais en place la lunette. Je m'empressais à me rhabiller et je camouflais mon portable dans la poche du gilet. Je sortais et je regagnais mon 05 - Bureau. - D - -.-poste. Heureusement ce matin, je me retrouvais seul avec le directeur qui avait son bureau en face de la porte du vestibule des toilettes. S'étant rendu à l'accueil, j'en avais profité pour m'éclipser à l'anglaise. Il n'était toujours par revenu quand je regagnais mon bureau pour mon grand soulagement. Je devrai recommencer cette corvée humiliante et dégradante demain !

        Merci à mes Maîtres pour la confiance qu'ils ont mis dans ma personne de slave.

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Dimanche 24 septembre 7 24 /09 /Sep 12:08

Mercredi 20 septembre :

        Après la dernière corvée du 13 septembre, je faisais part à mes Masters des difficultés et du temps très long que je passais à devoir inscrire toutes les références sur mon corps. Suite à leurs consultations Maître Michael faisait part de leur décision. Avant de me rendre au bureau, je devais réaliser les écris chez moi. J'allais devoir porter toute la journée sur moi toutes mes références au marqueur. Cette situation risquait d'être frustrante et dégradante….

35 - Corvée - D - -.-        Arrivé chez moi après avoir remis tous les attributs, je me déshabillais une nouvelle fois. La veille au soir en partant du travail, j'avais emprunté le marqueur que je glissais dans une poche. Je passais à la salle de bain avec ce feutre indélébile. Assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais sur ma cuisse gauche la date du jour : "Mercredi 20 Septembre 2017", sur ma cuisse droite mon numéro37 - Corvée - D - -.- d'enregistrement dans le registre des slaves : "Slave N° 411.103.335" et sur mon torse, mon appartenance : "Slave de Master Éric et de Maître Michael". Pour cette dernière inscription, je la réalisais devant mon miroir et j'écrivais mon texte en le regardant. Trop tard, je m'apercevais que mes lettres était sur mon 36 - Corvée - D - -.-corps, plus grosses que je ne pensais. Je me maudissais pour cette gaffe. La prochaine fois, je devrai faire plus attention pour que le texte prenne le moins de place possible sur mon torse. Cette constatation eu une réaction inattendu ! Je sentis les pics empaler mon malheureux gland et38 - Corvée - D - -.- provoquer une érection avortée par la prison de ma pauvre queue. Je déteste ces maudits picots et cette cage qui martyrisent ma malheureuse bite. Je n'avais pas le temps d'effacer ces trop grosses inscriptions et de les refaire. L'odeur du marqueur atteignait mes narines. Il faudra impérativement, après mon hospitalisation, que je 39 - Corvée - D - -.-trouve un marqueur qui ne laisse pas d'effluves trop fortes. Tout mon corps empestait l'odeur de ce maudit marqueur ordinaire. Je retournais dans ma chambre pour me rhabiller en laissant, à mon grand désespoir, ma braguette et les boutons du jeans ouverts. Je m'empressais pour enfiler la veste de treillis et je partais rejoindre mon40 - Corvée - D - -.- travail. Chaque nouveaux pas étaient une torture permanente. La geôle, plaquée contre ma cuisse, suivait tous les mouvements de la jambe. Les pics empalaient un peu plus, à chaque mouvement, mon malheureux gland qui, excité, provoquait une érection avortée par la prison innommable de ma 41 - Corvée - D - -.-pauvre queue. De plus, je sentais la fraîcheur humide s'infiltrer par la porte ouverte béante du pantalon. Mon côlon n'était pas non plus à la fête ! Son invité, à chaque mouvements, excitait un peu plus l'anneau intérieur qui tentait en vain de gober cette boule indésirable. J'avais ma pauvre rondelle qui, régulièrement, tentait des42 - Corvée - D - -.- poussées. Bien que je faisait mon maximum pour retenir tous gémissements intempestifs, de temps en temps un râle involontaire s'échappait de mes poumons. Heureusement le bureau était en vue et discrètement je fermais boutique au maximum. Je montais les quelles que marches et je me trouvais sur le perron. En entrant, au fur et à mesure que 43 - Corvée - D - -.-je croisais des collègues, des parents ou des enfants, je les saluaient et nous échangions quelles que mots. Je montais à l'étage pour regagner mon poste de travail. Chaque nouvelles marches étaient un calvaire ! Les pics empalaient toujours un peu plus mon pauvre gland ! Cette excitation provoquait une érection torpillée. 44 - Corvée - D - -.- Ma petite fleur n'était pas non plus de la fête ! Son convive excitait, à chaque nouveaux mouvements, encore plus son hôte. Je devais tenter de retenir des poussées intempestifs de ma rondelle. Arrivé à l'étage, je croisais mon directeur qui m'invitait à rentrer dans son bureau. En premier lieu, il me demandait mon état de santé et mes sentiments par à port à ma prochaine hospitalisation. Je le rassurais et lui répondais que j'étais tranquillisé avec tous les examens préalables réalisés. Ensuite il me demandait si mon collier était bien nécessaire au travail. Qu'il posait beaucoup de questions à certains parents et qu'il serait bien que je pense à le laisser chez moi. Ne pouvant lui dire la vérité, ne sachant pas ses opinions, je lui répondais que j'en 45 - Corvée - D - -.-parlerai à mon amie car c'était elle qui en avait la clef. Il continuait en demandant à quoi ce "M" faisait référence ? Honteux et désappointé, je répondais que cette amie n'avait pas trouvé la lettre de l'initial de mon prénom et quelle avait achetée celui de mon nom de famille. Heureusement j'avais déjà utilisé cette ruse pour expliquer sans commentaire l'explication de ce collier. Bien sûr, je passais sous silence la médaille que je cachais sous le col de la chemise et du maillot de corps. J'allais partir lorsqu'il remarqua l'odeur du marqueur et me questionna sur l'origine de ces effluves. Ne pouvant répondre correctement, je prétextais que je rechercherai l'origine de ces émanations. Nous nous souhaitions une bonne46 - Corvée - D - -.- journée et je regagnais, soulagé, mon poste de travail. Je posais ma veste sur le dossier de mon fauteuil et je lançais mon ordinateur. Le temps qu'il s'allume, je prenais ma bouteille vide sur le coin de mon bureau et j'allais la remplir dans notre salle de détente. Revenu, je lui redonnais sa place. L'aller retour avait été un enfer. Chacun des attributs sexuels que je portais en avaient profité pour martyriser un peu plus leurs prisonniers ou leur hôte. Avec grandes difficultés je retenais au mieux tout gémissement incontrôlable. Je prenais place sur mon fauteuil. Je rangeais le marqueur que j'avais emprunté dans son tiroir en attendant que je m'en procure un inodore, et 47 - Corvée - D - -.-effaçable à l'eau. En m'assaillant, le plug pénétrait un peu plus et excita l'anneau. Mon trou se mit à pousser. Pour retenir tous sons inopportuns, je bloquais ma respiration et je faisais des apnées pour retenir tous chuintements inconvenants. Je me mettais au travail et je me concentrais dessus pour ne pas penser à mes invités. De temps en temps, je buvais une gorgée d'eau. Mon collègue travaillait lui aussi à son bureau à coté du miens. De temps à outres nous échangions quelles que réflexions. En milieu de matinée, ma vessie se remplissait inexorablement. Ne tenant plus, je me décidais enfin à me rendre aux toilettes. Mon collègue s'était48 - Corvée - D - -.- absenté et je jetais un œil dans le couloir vérifier que personne était en approche. Je vérifiais que mon 49 - Corvée - D - -.-portable était bien dans la poche frontale de mon gilet sans manche et je me dirigeais vers les toilettes. Je refermais à clef la porte et je me déshabillais une nouvelle fois. Au fur et à mesure que j'ôtais un vêtement, je l'accrochais à un patère de la porte. Quand j'enlevais mes chaussettes et que je posais les pieds sur le carrelage, je sentis le froid de celui-ci glacer mes plantes de pieds et remonter dans mes mollets. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes et je m'assoyais sur la faïence gelée. Mes petites fesses reçurent, comme une gifle, la froidure de ce trône.50 - Corvée - D - -.- J'avais pris aussi mon portable et je réalisais les premiers clichés. Je lâchais les vannes et ma vessie se vidait au fur et à mesure. Quand elle fut complètement vidangée, je séchais, avec du papier toilette, le bout de la cage et mon méat urétral. Je posais sur le sol le téléphone et je m'accroupissais. Progressivement, je sortais l'invité de son garage et je prenais des clichés. J'immortalisais ma petite fleur ouverte avant de repositionner ce convive turbulent. Je faisais de même avec la prison de ma queue et des différentes inscriptions sur mon corps malmené. Comme le désire mes Masters, je roulais mes chaussettes propre du jour sur elle-même en 51 - Corvée - D - -.-commençant par le haut et en terminant par la plante des pieds. Je les fourrais dans ma petite bouche comme un bâillon. Je terminais avec une photographie de mes vêtements accrochés aux patères de la porte. Pensant que j'avais pris toutes les preuves en photo, je commençais à me rhabiller pour la cinquième fois de la matinée !!! Avant de fermer boutique, je prenais de nouveaux clichés avec celle-ci ouverte puis fermé. Je rangeais le portable dans une des poches frontales de mon gilet. Je tirais la chasse d'eau. Je refermais la lunette et le couvercle des toilettes. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je jetais un dernier coup d’œil et je sortais de ces lieux. J'allais en salle de repos où je retrouvais des52 - Corvée - D - -.- collègues. Nous buvions un café ou un thé en fumant, pour la plus part, une cigarette. Différents collaborateurs faisaient la remarque qu'il y avait une odeur de marqueur. Hypocritement, je faisais la même réflexion en omettant d'avouer que ces effluves venaient de moi. Très prochainement, je devrai en changer et surtout, trouver un feutre effaçable à l'eau et sans odeurs. C'est de plus en plus humiliant, frustrant et dégradant de porter ce parfum qui entraîne des questionnements de mes collègues de bureau. Je regagnais mon poste. Si aux toilettes mes geôliers s'étaient calmés un temps, dès que je ressortais ce petit monde recommençait à maltraiter ma queue et mon gland ainsi que ma rondelle et son anneau intérieur. Avec soulagement je retrouvais mon siège et je reprenais mon labeur. En me concentrant sur mon travail, j'arrivais la plus part du temps à ne pas faire attention aux tortures de mes attributs sexuels.

 

        Impérativement, je dois demander l'autorisation à mes Masters de changer de marqueur ! Il faudrait que j'en trouve un qui soit sans odeur et qui puisse s'effacer avec de l'eau. Un feutre indélébile et odorant est avilissant et dégradant. J'espère que mes Maîtres accepterons ma demande pour que les références du slave soient un peu moins humiliantes et frustrantes à porter. Je remercie mes Masters pour cette nouvelle étape franchie dans la soumission et l'obéissance. Je souhaite qu'ils acceptent ma futur demande car ce serait encore plus déshonorant si je devais continuer avec cette marque de marqueur qui est, non seulement indélébile, odorant mais aussi avec une pointe très large. Un nouveau Merci à mes Masters pour me faire évoluer dans les limbes de l'assujettissement, de la soumission et la servilité.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires

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