Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Labeurs Journaliers

Samedi 21 janvier 6 21 /01 /Jan 15:12

Du mercredi 18 janvier 2017 :

28---Bureau---D----.-.jpg        J’arrivais au bureau frigorifié par l’épreuve des toilettes. Je saluais les collègues déjà présents et je me rendais à mon bureau. Je faisais un détour à la salle commune pour prendre un café bien chaud. Je gagnais mon poste de travail et je lançais mon PC. Pendant qu’il se mettait en marche, je me collais au radiateur. Je buvais mon café en même temps pour arriver à me réchauffer un peu. Au bout d’un certain temps, sentant la chaleur revenir, je commençais à enlever les premières couches d’oignon. Je posais sur le dossier de mon fauteuil, ma veste, mon bonnet, mon écharpe, mes gants et je me mettais au travail.

        Progressivement je sentais la chaleur gagner tout mon corps. Au fur et à mesure que je me réchauffais, mon invité en faisait autant et commençait à jouer avec l’anneau et la petite fleur. Mon pénis en profitait aussi et le gland recommençait à être empalé par les pics de la cage ce qui l’excitait et faisait gonfler mon phallus 29---Bureau---D----.-.jpgcontrarié par cette dernière ! Je bougeais un peu sur mon siège en espérant calmer ce petit monde incontrôlable.

        En pensant à la corvée qu’il me restait à réaliser, je vérifiais que le téléphone était bien dans la poche frontale de ma sous veste. Je cherchais au fond de mon dernier tiroir le marqueur que j’avais caché à contre cœur et je le rangeais dans la seconde poche frontale. Je pourrais me rendre aux toilettes lorsque j’aurai besoin de vidanger ma vessie. En attendant que l’envie ne vienne, je continuais mon labeur. L’attente ne fut que de courte durée ! Le café et le froid aidant, très vite le désir d’uriner arriva ! Je contrôlais une dernière fois que tous les outils étaient en place.

        J’allais me lever lorsqu’un collègue me devança et se rendit aux toilettes. Je continuais mon travail comme je pouvais car plus 30 - Bureau - D - -.-je me réchauffais et plus mes hôtes prenaient leurs aises…. Un moment plus tard, le collaborateur regagnait son bureau. J’attendais encore quelles que minutes avant d’inspecter les alentours, que personne n’était en vue. La voie semblait être libre et je me décidais à me lever. Sans enthousiasme, je me rendais aux toilettes sachant la corvée que je devais réaliser une nouvelle fois ! Je refermais la porte à clef derrière moi et je 31 - Bureau - D - -.-vérifiais le verrouillage. Je posais le téléphone et le marqueur sur le bord du lave-mains. Je commençais à me déshabiller pour la troisième fois en un peu plus de deux heures ! Je rangeais mes vêtements en les pliant sur le bord du lavabo.

        Quand je me déchaussais et que je posais les pieds au sol, je ressentis de suite la froidure 32 - Bureau - D - -.-du carrelage. Je me remémorais avec anxiété le froid sibérien lors de la pose des attributs du slave aux toilettes de la galerie marchande. Un frisson me parcourut de la tête aux pieds juste en me rappelant cette besogne contraignante. À ce moment là, une personne essaya d’ouvrir la porte. Il frappa à la porte pour demander si j’en avais pour longtemps. Mon cœur se mit à battre la chamade et je me sentais vraiment très mal à l’aise. Je maudissais cette corvée hebdomadaire qui me prend du temps à réaliser. Je lui répondais que certainement car j’avais des problèmes de transit…. Je l’entendis entrer et fermer la porte voisine. Je devais essayer de réaliser cet asservissement le plus rapidement possible. J’enlevais en dernier mes chaussettes et je ressentis un peu plus la froideur du revêtement du sol. Je les mettais en attente sur le bord du lavabo avec le reste des habits. Je prenais le marqueur et j’inscrivais sur ma cuisse gauche, le moins gros possible, la date du 33 - Bureau - D - -.-jour soit "Le 18 / 01". Je pensais aux difficultés pour enlever cette inscription et je trouvais que j’avais écris encore trop gros. Avec l’ancien feutre ce n’était pas un problème mais avec celui-ci c’était difficile d’écrire très petit et encore plus de faire disparaître celle-ci. Je maudissais le Master qui avait proposé ce matériel ! Ce, n’est pas lui qui devait effacer ce graffiti ! Même écrit petit, ce n’était pas facile !

        Je prenais le téléphone pour réaliser le premier cliché tout en maudissant les instructions de plus en plus humiliantes, dégradantes et avilissantes. Je tendais l’oreille pour vérifier qu’aucune personne ne m’entendait. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes et je m’assaillais sur la faïence à contrecœur. Mes malheureuses fesses nues ressentirent le froid du matériau qui rappela au corps l’épreuve glaciale précédente. Elle provoqua un 34 - Bureau - D - -.-nouveau frisson qui parcourut tout le corps. J’entendis le verrou de la porte voisine s’ouvrir et le collègue sortir. J’avais l’impression qu’elle essayait d’écouter et de s’imaginer ce que je pouvais faire si longtemps enfermer…. J’espérais qu’elle ne pourrait pas échafauder ce qui se tramait derrière cette porte. Mon cœur jouait toujours la chamade et je sentais chaque pulsation défoncer ma cage thoracique. Je devais continuer et surtout précipiter le mouvement !

        J’ouvrais le robinet et je sentais ma vessie se vider. Je prenais de nouveaux clichés toujours autant humiliant. Terminé, je séchais avec du papier toilette le bout de la geôle de mon pauvre pénis. Je prenais une photo de l’invité de ma petite fleur. En me relevant, je sentis les picots de la cage empaler une nouvelle fois mon malheureux gland qui excita de nouveau mon pauvre pénis. Il essayait en vain une érection contrariée. Sachant que mes Masters 35 - Bureau - D - -.-voudraient une preuve, je photographiais cette prison. J’installais le collier autour du cou et je roulais les chaussettes que je positionnais dans ma pauvre bouche. Je prenais de nouveaux clichés en terminant par le harnais que je porte depuis une semaine.

        Lorsque tout était dans la boite, je posais le portable et je commençais à me rhabiller en débutant par les chaussettes. Quand j’avais remis en place toutes les couches d’oignons, je rangeais dans les poches frontales de ma sous-veste, le portable et le marqueur. Je tirais la chasse d’eau, je rebaissais la lunette et le couvercle des toilettes. Je me rinçais les mains et je me les séchais. Je vérifiais que je n’oubliais rien et je déverrouillais la porte.

        Je l’ouvrais discrètement et j’examinais qu’aucun collègue n’était en vue. Je regagnais mon bureau et, intérieurement, je 36 - Bureau - D - -.-poussais un "Ouf !" de soulagement. Je reprenais place dans mon siège et je cachais le marqueur dans le dernier tiroir sous des dossiers. Je devais faire attention que personne ne me l’emprunte et oublie de me le rapporter. Dans ce dernier cas, je devrais au pied levé, en trouver un nouveau comme les Masters ne veulent plus du feutre pour le moment. Je ne désespère pas qu’un jour je serais autorisé à le prendre de nouveau car ce marqueur est vraiment humiliant, dégradant et avilissant tellement il est compliqué d’effacer ses traces. J’essaye bien d’écrire le plus petit possible mais cela n’enlève pas les difficultés à supprimer toutes les traces….

        Une nouvelle corvée de terminé mais jusqu'à quand je pourrais dissimuler les instructions humiliantes, dégradantes et déshonorantes que je dois réaliser chaque semaine dans ces toilettes. Dans la journée le collègue qui m’avait dérangé et était 37 - Bureau - D - -.-allé dans les toilettes voisine, m’avait interpellé et demandé ce qui m’arrivait. Il avait remarqué avec d’autres compagnons, lorsque je me rendais aux toilettes, je mettais de plus en plus de temps. Ils s’inquiétaient sur mon état de santé et me demandaient si je n’avais pas de problèmes ? D’autant plus qu’ils savaient que j’avais de nouveaux examens à faire. J’avais essayé de le rassurer et promis de lui dire si j’avais des complications. Je ne pouvais lui avouer les raisons réelles de mes visites de plus en plus longues aux toilettes bien que j’essaye d’y aller le moins souvent possible.


        Malgré ces déboires, je remercie mes Masters pour la nouvelle étape réalisée, de bien vouloir me suivre et me diriger.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 15 janvier 7 15 /01 /Jan 11:29

Le mercredi 11 janvier :

        Après une nuit toujours mouvementée où je faisais des cauchemars, je me levais de très bonne heure car je devais faire un nouveau lavement. Je buvais un café et je passais à 10---Bureau---D----.-.jpgla salle de bain. Je remplissais d’eau les boyaux. Je serrais les fesses pour garder le liquide le plus longtemps possible. Bien que je le fais depuis des années, c’est toujours aussi frustrant humiliant et dégradant de réaliser tous ces lavages ! Pendant ce temps, je me connectais et je saluais Maître Michael qui était en ligne. À mon grand regret, il m’annonçait de nouvelles instructions pour la journée sur proposition de Mr Alain. Je devais changer la ceinture contre le harnais, insérer dans la petite fleur un nouvel invité et me raser intégralement, en intégrant le récit dans le rapport du jour. Je lui faisais remarquer en vain que mes poils sur les jambes et les bras se voyaient à peine comme ils étaient châtains très clair presque blond. Malgré mes pour-parler, il ne voulut rien savoir et annonçait des sanctions en cas de non-réalisation de cette humiliation. De temps en temps, je devais m’absenter et je me rendais aux toilettes pour évacuer le liquide. Je retournais à la 17 - Bureau - D - -.-salle de bain, je me rasais la tête, et à contre cœur, je continuais par les jambes et les bras. Je terminais par les aisselles. Tout en réalisant cette instruction et en méditant que je devais incorporer dans le rapport ces directives, je ressentais, de plus en plus, des sentiments d’humiliations, de frustrations et d’avilissement. Ils étaient accrus en pensant qu’il avait commandé de photographier chaque étape de la corvée et de les intégrer dans le récit !

        Après avoir pris une bonne douche en faisant un nettoyage à fond de la cage, j’enfilais le harnais. Je choisissais le plug N°06 d’une longueur totale de près de 17,00 Cm, 15,5 Cm insérable, une base de 4,2 Cm et une largeur maximale de 7,00 Cm. Mon petit trou allait souffrir ! Je passais aux toilettes pour vider la vessie et je 12 - Bureau - D - -.-profitais d’insérer dans le côlon, un suppositoire afin de calmer le premier anneau. Accroupi, je graissais le nouveau venu et je le présentais à ma petite fleur. À son contact, il l’ouvrait de plus en plus et vint buter contre l’anneau. Je forçais la pression. Je le sentis s’entrouvrir et monter sur le cône. Pendant ce 13 - Bureau - D - -.-temps, l’anus s’ouvrait un maximum avant de gober ce monstre. Je le bloquais avec le harnais car mon trou poussait et l’anneau jouait avec son nouvel amusement ! À chaque étape, je prenais des clichés à contre-cœur. Terminé, je me relevais et un dernier cliché avec le harnais bloquant ce 14 - Bureau - D - -.-nouvel invité qui explosait ma rondelle et qui s’amusait avec le premier anneau du côlon. Quand tout le monde avait pris sa place, je m’habillais. J’en profitais pour prendre une paire de chaussette propre car je devrai les rouler pour les mettre dans ma bouche. Je n’avais pas envie d’une paire qui avait 15 - Bureau - D - -.-été portée plusieurs jours. C’était suffisamment humiliant et dégradant comme cela ! J’enfilais le maillot de corps et le jeans. Lorsque le pull était passé, je m’apercevais que la boucle de devant du harnais s’apercevait trop. Je prenais la sous-veste que, pour une fois, je boutonnais. Je pouvais ainsi cacher le bourrelet que produisait celui-ci. 16 - Bureau - D - -.-J’éviterai ainsi des réflexions ou des questions déplaisantes ! J’en profitais pour ranger dans les poches frontales le marqueur et le téléphone. Je terminais à peine de m’habiller qu’une nouvelle fuite d’urine s’écoulait le long de la jambe. Ces fuites et ces sécrétions inopinées deviennent de plus en plus frustrantes, humiliantes et 17 - Bureau - D - -.-dégradantes ! L’heure du départ avait sonné et j’enfilais une veste après avoir mis une écharpe au coup et un bonnet pour les froidures extérieur.

18---Bureau---D----.-.jpg        Je sortais et le froid vint cingler le visage mais ne calma pas l’anneau qui montait et descendait sur le nouveau venu ! Je m’apercevais que je marchais un peu en canard avec l’appendice qui obstruait mon malheureux trou. Je faisais alors plus attention à ma démarche pour éviter des remarques désobligeantes. Le froid n’avait pas non plus calmé la cage et ses picots qui venaient s’empaler sur mon pauvre gland excité qui provoquait des érections contrariées. À chaque pas, je sentais chaque pic sur mon malencontreux gland et l’anneau qui jouait avec le nouveau convive. De plus avec les bretelles du harnais, le nouvel intrus était très bien bloqué et le bloc-plug ne pouvait plus prendre de jeux, ce qui évitait de trop exciter la 19 - Bureau - D - -.-petite fleur. C’était le seul avantage par apport à la ceinture qui arrivait à bouger, à prendre du jeu ce qui augmentait l’excitation du trou et de ses habitants qui, par-là même, était toujours aussi humiliant frustrant et désagréable. Je souhaitais que cet immobilisme atténue les sécrétions fortuites. Je devais juste faire attention à ma démarche comme le plug ne pouvait plus avoir de jeu dans son nouveau harnachement. Je devais juste boutonner la sous-veste pour mieux dissimuler la grosseur sur le ventre et très certainement dans le dos. J’arrivais enfin sur le lieu de travail et je commençais par saluer les quelques collègues déjà présents. Arrivé à mon bureau, je posais ma veste, l’écharpe et le bonnet sur le dossier du fauteuil. En m’assaillant, je sentais un filament humide s’accrocher sur le devant de la cuisse. C’était la première sécrétion de la journée ! Contrairement aux autres jours où elles démarraient dès le saut du lit et ce, grâce au harnais qui empêchait de prendre du jeu. Il permettait au plug en 20---Bureau---D----.-.jpgplace de stimuler encore plus le côlon et à la cage d’exciter mon pauvre pénis emprisonné. Comme il était bien bloqué et n’avait pas de jeu, il bougeait que très peu quand je voulus m’asseoir et me mettre au travail. Si le harnais est un peu plus contraignant, parfois je dois bouger légèrement les bretelles qui endolorissent mes omoplates, il évite à l’invité d’exciter mon anneau. Mon petit trou allait rester plus calme tout au long de la journée. Cela m’évitera des situations ambiguës et déplaisantes.

        Je savais que le matin nous serions peu présent car était programmé pour le soir une réunion et pour suivre, une rencontre avec le tirage des rois. J’allais donc profiter de cette matinée tranquille pour exécuter cette corvée hebdomadaire. J’attendrais d’avoir besoin de vider ma vessie. C’est ce qui arriva en milieu de matinée. Je vérifiais que personne n’était en vu et que tout le 21 - Bureau - D - -.-matériel était en place dans les poches. Je pouvais me rendre aux toilettes. Je refermais la porte à clef derrière moi et je posais sur le lave-mains le mobile et le marqueur. Je me déshabillais et je posais sur le bord du lavabo mes vêtements pliés. Lorsque j’enlevais les chaussures, je sentis le froid du carrelage à 22---Bureau---D----.-.jpgtravers mes chaussettes. J’attendais d’être complètement nu pour me décider à les ôter. Je les posais un instant avec mes affaires. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes, je prenais le marqueur et je m’assaillais sur le bord de la cuvette. Je notais la date du jour sur ma cuisse gauche soit le "Le 11 - 01" en faisant attention de ne pas faire de trop grosses lettres et chiffres. Je me relevais et je prenais le portable. Je photographiais l’écris du jour. Je m’asseyais de nouveau et je commençais à vidanger ma vessie tout en prenant les clichés suivant. Je ressentais le froid de la faïence glacer mes petites fesses ce qui augmentait mes sentiments d’humiliations, de frustrations et d’avilissement de devoir réaliser cette besogne 20---Bureau---D----.--copie-1.jpghebdomadaire ! Terminé, je séchais les dernières gouttes sur la cage.

        En me relevant, je photographiais mon malheureux pénis emprisonné dans son cachot. Je m’accroupissais pour faire de même avec le plug qui dilatait ma pauvre petite fleur. Etant bien bloqué par le harnais, il n’avait pas pris de jeu ce qui évitait qu’il joue avec l’anneau, et ne pouvant exciter son hôte, il évitait des excrétions inopinées. Je prenais mes chaussettes que je roulais suivant les instructions des visiteurs et je les enfilais dans ma bouche. Je les tenais entre mes dents. Heureusement, j’avais pris une paire propre, ce qui était un peu moins humiliant et dégradant. Je continuais à faire des photos du slave avec ses socquettes, son harnais et de pieds. Je prenais un dernier cliché de la cage et des jambes. Je pouvais me rhabiller !

21---Bureau---D----.--copie-1.jpg        J’enfilais en premier mes chaussettes puis mon maillot, le jeans, le pull et la sous-veste. Je disposais dans les poches frontales de ce dernier, le téléphone et le marqueur que je rangerai dans mon bureau jusqu’à la semaine prochaine. Je tirais la chasse d’eau et je baissais la lunette et le couvercle. Je 22---Bureau---D----.--copie-1.jpgme lavais les mains et je me les essuyais. Avant de sortir, je vérifiais que je n’avais rien oublié dans la pièce. Je déverrouillais la porte et je sortais des toilettes. Je regagnais mon poste de travail. À chaque pas, je sentais les pics de la cage empaler mon malheureux gland. Heureusement, le plug ne bougeais pas ce qui évitait d’exciter l’anneau intérieur et, surtout, mon pauvre trou ne poussait plus. Merci au harnais ! Bien qu’il soit un peu plus humiliant et dégradant de le porter car il faut cacher les grosses boucles, il évite au plug de prendre du jeu et de s’amuser avec ses hôtes en provoquant des fuites ou des excrétions fortuites. L’inconvénient était bien minime par apports aux avantages qu’il procurait. Il empêchait les inviter de déranger, de perturber ou d’exciter leur logeur. Dans un tiroir, je cachais le marqueur et je reprenais mon travail.


        Merci à mes Masters pour cette nouvelle étape.

 23---Bureau---D----.-.jpg  24---Bureau---D----.-.jpg

 25---Bureau---D----.-.jpg  26---Bureau---D----.-.jpg  27---Bureau---D----.-.jpg

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 9 janvier 1 09 /01 /Jan 07:13

Le mercredi 4 janvier 2017 :

01 - Bureau - D - -.-         En premier lieu, je prie mes Masters et les visiteurs du blog de bien vouloir m’excuser pour le retard que j’ai pris. Mon poste a eu un bug et je n’arrivais plus ni à rédiger mes rapports ni à télécharger mes photos. J’ai mis plus de 4 jours (depuis mercredi après-midi) pour comprendre et réparer ce bug. Je vous remercie pour votre compréhension.

        Dans la nuit, j’avais du enlever le plug car il y avait du monde à la porte du côlon. Ma petite fleur et son anneau avaient pu se reposer un petit peu, le temps où ils étaient seuls. Par contre, la cage en avait profité pour jouer et s’amuser à empaler mon malheureux gland sur ses picots. Une nouvelle fois j’avais fait des cauchemars me voyant dans l’incapacité d’éjaculer bien que je sente mon jus monter. J’avais fait de petites taches aux draps avec mes excrétions. Je me levais, une nouvelle fois, humilié, avili avec une 02 - Bureau - D - -.-frustration de manque, grandissante de jour en jour.

        Je devais donc passer le turbot car il fallait que je réalise un lavement avant de partir au bureau pour pouvoir remettre en place l’invité de ma petite fleur et de l’anneau. Je me faisais rapidement un café pour me réveiller et je me rendais à la salle de bain pour démarrer le nettoyage du côlon et faire ma toilette. Je gardais un temps l’eau en moi, puis, régulièrement, je me retrouvais aux toilettes pour évacuer les surplus. Devoir réaliser des lavements régulièrement est déjà humiliant et dégradant : mais devoir les réaliser sans pouvoir utiliser la lunette et en étant obligé de s’asseoir sur la faïence face au réservoir d’eau, devient le comble de la frustration et du déshonneur !

03 - Bureau - D - -.-        Terminé, j’en profitais pour réaliser une épilation de mes petites fesses et de mon trou. Je prenais une douche bienfaitrice pour terminer cette toilette du matin. Je repositionnais le plug N° 04 et je le maintenais en place avec la ceinture. Dès qu’il fut dans son logis, l’anneau goba la première boule pour jouer avec ! C’est d’autant plus frustrant et humiliant qu’il soit ainsi ouvert car maintenant, dès qu’un hôte s’invite, il joue avec ! Je choisissais cet invité car l’après-midi j’avais un rendez-vous en extérieur où j’aurai besoin de ma voiture.

        Je me rendais au travail et à chaque pas les boules du plug jouaient avec l’anneau et ma petite fleur. La cage en profitait aussi pour empaler ses pics dans mon malheureux gland ce qui l’excitait et provoquait des érections contrariées par ce même carcan…. J’arrivais enfin à destination. Je saluais les collègues déjà 04 - Bureau - D - -.-présents tout en me gardant de gémir. Je retrouvais mon poste et je me mettais au travail. Mon voisin me saluait en arrivant et pris un dossier car il avait une réunion de concertation avec d’autres collègues. Je m’imaginais que je serai un peu plus libre pour la corvée du jour. Lorsque tous les collègues furent en réunion, 05 - Bureau - D - -.-j’attendais encore une trentaine de minutes avant de me décider à me rendre aux toilettes.

        Je vérifiais que j’avais bien pris le marqueur et mon portable dans la poche frontale de ma sous-veste. Je me remémorais les directives de Maître Michael qui avait rappelé que le feutre n’était plus d’actualité et que ce serait de nouveau le marqueur indélébile comme l’avait proposé master Phénix. Ce sera plus compliqué pour enlever chaque semaine les inscriptions. Je fermais à clef la porte et je posais sur le bord du lave-mains le marqueur et le mobile. Je commençais à me déshabiller et je posais mes vêtements pliés sur le bord du lavabo. Je posais mes chaussures et je sentis le froid à travers mes chaussettes. J’allais devoir les enlever aussi. Pour vérification, je prenais en photo le marqueur 06 - Bureau - D - -.-comme preuve qu’il est bien indélébile. J’enlevais les chaussettes que je repliais suivant les commentaires de master Phénix. J’en faisais une boule que je bourrais dans ma pauvre gueule. Elles faisaient un gros bâillon qui emplissait ma bouche. Plus un mot ne pouvait sortir, seulement de légers gémissements que j’étouffais. Mes pieds se refroidissaient de plus en plus au contact du carrelage. C’est encore plus frustrant, humiliant et dégradant d’être ainsi, pieds nus ! Je relevais la lunette des toilettes et je m’assaillais sur le bord de la cuvette pour écrire la date du jour. Devant utiliser le nouveau marqueur, je faisais très attention pour ne pas faire de trop grosses lettres et chiffres. Je rédigeais donc sur la cuisse : "Le 04 – 01 – 2017" ! Je photographiais cette inscription debout.

07---Bureau---D----.-.jpg        Ma vessie étant presque pleine, je me posais sur le trône en faïence et je commençais à vidanger la réserve. À contre cœur, je continuais le reportage photographique. Une personne essaya d’ouvrir la porte et pesta se voyant interdire l’accès. J’entendis qu’il entrait dans les toilettes voisine tout en continuant de rouspéter ! L’année 08---Bureau---D----.-.jpgdémarrait sur les chapeaux de roues, encore et toujours aussi humiliante dégradante et avilissante. Un jour je me ferai prendre dans les corvées et les réflexions n’en seraient que plus déshonorantes ! Bien que j’urinais, je sentais encore les pics exciter mon pauvre gland. Quand je me levais, l’empalement en fut accentué ! Je prenais un cliché en gros plan de cette geôle et de son prisonnier torturé puis un de pieds avec la date du jour. J’en profitais aussi pour immortaliser l’invité de ma petite fleur. Pour terminer, je faisais de même pour le bâillon dans ma pauvre gueule et je prenais une dernière photographie de pieds du slave.

        Quand tout était dans la boite, je m’empressais d’enlever mon bâillon et je remettais mes chaussettes. Je continuais par me rhabiller. Je rangeais le marqueur et le portable dans une poche 09---Bureau---D----.-.jpgfrontale de la sous-veste. Je baissais la lunette et je tirais la chasse d’eau. Je me lavais et me séchais les mains. Je vérifiais que je n’oubliais rien et j’ouvrais la porte. Je regagnais mon poste de travail et je reprenais mon labeur. En m’assaillant, je sentais le plug pénétrer un peu plus profondément ce qui excita l’anneau qui se mit à faire des vas et viens dessus. Je retenais des gémissements lorsque mon malheureux trou essayait en vain de pousser ! J’espérais en silence que cette corvée cesse rapidement car plus elle dur, plus elle est humiliante, dégradante et avilissante.

        Je remercie une nouvelle fois mes Masters pour leur patience et leur magnanimité. Bonne journée à vous tous et une nouvelle fois, meilleurs vœux 2017 à tous les visiteurs.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 26 décembre 1 26 /12 /Déc 07:17

Le mercredi 21 décembre.

        Comme je poste ce jour le rapport, je souhaite un Joyeux Noël et de bien terminer cette année à mes Masters et à tous les visiteurs de ce blog.


15---Bureau---D----.jpg        Mercredi, en revenant de chez le médecin, dans la voiture, malgré le froid ambiant, le plug jouait toujours avec le côlon et les pics de la cage continuaient à exciter mon malheureux gland en le piquant ce qui prolongeait l’érection contrariée par la cage. Je devais être en train de mouiller car, lorsque je sortais de mon véhicule, je sentis un long filet s’accrocher à ma cuisse. Je maudissais le jour où mes Maîtres avaient validé une proposition d’un visiteur d’enlever tout papier absorbant ! Mouiller ainsi de la queue, du cul au risque de tâcher mes pantalons, devient de plus en plus frustrant, déshonorant et dégradant !

        En regagnant mon poste de travail, je me sentais tout honteux et humilié en saluant mes collègues. Je posais ma veste, mon bonnet, mes gants et mon écharpe. Je vérifiais que le feutre noir et le téléphone portable étaient bien dans mes poches frontales de ma sous-veste. Je commençais ma journée tout en sentant mes geôliers torturer mon malheureux pénis, ma petite fleur et son anneau. Non 16 - Bureau - D - -seulement la nuit je fais des cauchemars en fantasmant sur le jour où je pourrai enfin me masturber et vider mes testicules mais la journée cela devenait aussi une obsession. J’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur mon labeur. Je méditais aussi aux derniers commentaires de face book, validés par Maître Michael au nom de mes deux Masters, au bureau pour la corvée hebdomadaire je devrai enlever mes chaussettes pour être vraiment nu et les mettre dans ma bouche. Pour les toilettes publiques et à l’hôpital, je pouvais toujours les garder. Je remerciais mon Maître car le matin même, les toilettes de la galerie étaient très sale et j’avais dû éponger avec du papier toilette pour nettoyer partiellement le sol. Je maudissais ce commentaire validé en partie.

        Quand ma vessie était pleine, je me décidais à me rendre aux toilettes. Mon anneau jouait toujours avec sa boule, les pics de la cage martyrisaient mon malheureux gland et mon pauvre pénis avait 17 - Bureau - D - -une érection contrariée. À chaque instant, la honte, la frustration et l’humiliation étaient grandissantes. Le collègue du bureau à coté du miens avait dû s’absenter un moment. Je jetais un œil dans le couloir. Personne n’était en vue ! Discrètement, je quittais mon poste et je me rendais aux toilettes. Derrière moi, je refermais la porte à clef pour ne pas être déranger. Sur le bord du lave-mains, 18 - Bureau - D - -je posais le portable et le feutre noir. Je me déshabillais en posant mes vêtements pliés sur le bord du lavabo. Quand j’enlevais mes chaussures pour ôter le jeans, je sentis le froid du carrelage traverser les chaussettes. J’allais devoir les enlever aussi ! Une nouvelle fois je maudissais le commentaire et sa validation. Je le ferai en dernier. Je continuais à me dévêtir en posant le maillot de corps. Je prenais le feutre et je notais la date du jour soit : "Le 21-12". À contre-cœur, je terminais d’enlever les chaussettes. Pour terminer, suivant les commentaires validés par Maître Michael, je les pliais en deux et les mettais dans ma bouche. Je haïssais de plus en plus cette nouvelle directive ! J’étais vraiment complètement nu ! J’avais les pieds glacés et des frissons parcouraient tout mon être, de la tête aux pieds. Malgré ces frissons et ce froid, mon pauvre gland continuait à être torturer par les pics.

19 - Bureau - D - -        Je relevais la lunette des toilettes et je m’assaillais sur la faïence gelée elle aussi. Un nouveau frisson secoua mon corps. Les fesses glacées calmaient un temps ma petite fleur, l’anneau et leur jouet. J’avais pris d’une main le téléphone. J’ouvrais le robinet et ma vessie se vida progressivement. Je prenais les premiers clichés. Bien que cette corvée soit toutes les 20 - Bureau - D - -semaines, je n’arrive pas à m’habituer à cet exhibitionnisme. Quand ma vessie fut vidangée, je me relevais. Je ressentais encore les picots maltraiter mon malheureux gland malgré la froidure ambiante et du sol. Je prenais en gros plan ce bourreau. Pour un temps le côlon s’était calmé. J’en profitais pour photographier le plug N° 04 en place tenu par la ceinture. Je continuais par immortaliser le slave pieds nus avec sa cage. La série continuait avec les chaussettes de la salope dans sa gueule. Pour clôturer cette série, je prenais le bâtard de pieds.

        Les photos en boîte, je m’empressais à remettre mes chaussettes. J’avais les pieds glacés ! J’enfilais le pantalon et rechaussais mes baskets. Mes malheureux pieds allaient pouvoir se réchauffer progressivement. Je continuais à me rhabiller par le maillot de corps et le pull à col roulé pour la quatrième fois de la matinée. Je rangeais le feutre et le mobile dans les poches frontales de ma sous-veste que je portais. Je tirais la chasse d’eau, 21 - Bureau - D - -je baissais la lunette et le couvercle des toilettes. Je me lavais les mains. Je me les séchais et j’ouvrais la porte lorsque mon voisin de bureau voulu entrer. Je me tirais de coté et lui laissais la place toute chaude. Il ne m’avait pas fait de réflexions, ce qui voulait dire qu’il venait seulement de revenir et il ne savait pas depuis combien de temps je m’étais absenté. Je poussais un "Ouf !" de soulagement ! J’avais évité des questions et des réflexions désobligeantes.

        Je regagnais mon poste et reprenais mon travail tant bien que mal…. Une nouvelle corvée venait d’être réalisée. Les photos étaient dans le téléphone. Je repensais alors à une réplique d’un humoriste "… On peut faire des photos, aller sur Internet, l’utiliser en GPS, avoir une torche avec soi, suivre ses comptes, envoyer ou recevoir des SMS et occasionnellement téléphoner avec…." Il ne me restera qu’à redimensionner les prises de vues et rédiger mon rapport.22 - Bureau - D - -

        Une nouvelle corvée humiliante et dégradante venait d’être réalisée et une nouvelle étape dans ma soumission à mes Masters exécutée. Maître Michael, en discutant avec lui, venait de me prévenir que les futurs propositions dans les commentaires seraient très certainement validés. Je maudissais toutes ces nouvelles propositions que je n’aie pas encore eu connaissance. Elles ne peuvent qu’augmenter mes humiliations, mes frustrations et mon avilissement.


        Je remercie mes Masters pour leur magnanimité, leur bienveillance et leur indulgence envers le slave que je suis. Je leur renouvelle mes souhaits de passer un Joyeux Noël et de très bien terminer l’année et ce, à tous les visiteurs aussi.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 19 décembre 1 19 /12 /Déc 07:32

 

Le mercredi 14 décembre.

        Je me levais de bonne heure car je voulais changer de plug. Pour cela, je devais aller à la salle de bain et faire le changement pendant ma toilette pour que ma famille ne s’aperçoive de rien. Je me levais donc, je m’habillais et je me faisais un café. Je préparais 08---Bureau---D----.jpgle petit déjeuner pour mes hôtes. Lorsqu’ils se mettaient à table, j’en profitais pour me rendre à la salle de bain. Je me déshabillais pour prendre une bonne douche. Je prenais le plug N° 06, je le lubrifiais et je le présentais à ma petite fleur. Je le faisais tenir avec la ceinture car, avec sa forme, ma pauvre petite rondelle ne pouvait plus se refermer. Quand il fut en place, je dus retenir des gémissements car le premier anneau jouait déjà avec ce nouveau venu. Il faisait des allers retour sur le cône. Je l’enlevais un instant pour prendre un suppositoire afin de calmer le côlon. Je replaçais le nouveau venu en place. L’anneau recommençait ses jeux. Je continuais ma toilette et progressivement ma petite rondelle se calma. Malgré tout, j’avais le cul en feu et je sentais bien le nouveau jouet. Ma toilette terminée, je saluais la famille et nous nous souhaitions une bonne journée. Je prenais ma veste et je me rendais au bureau.

        À chaque pas, je ressentais de plus en plus le nouveau plug qui explosait ma petite fleur. Le premier anneau reprit de son activité. Il se divertissait avec le nouveau venu. Malheureusement cela provoqua aussi une érection contrariée par la cage. Les picots rentrèrent en action ! Ils stimulaient le gland qui 09---Bureau---D----.jpgessayait de gonfler la verge ! Celle-ci était encastrée dans sa cage. Mon pénis ne pouvait plus avoir d’érections ! Elles étaient contrariées par cette prison. Je m’imaginais en train de me masturber et jouir enfin car ça fait 151 jours que ce carcan est en place ! Je maudissais cette cangue. Je sentis une chose humide s’accrocher à ma cuisse gauche. Comme elle ne coulait pas ce ne pouvait être une fuite urinaire ! Honteux, j’en déduisais que je devais mouiller ! À Force que mon gland soit supplicié, j’étais en train de produire des sécrétions séminales. Honteux, je ressentais s’accrocher sur ma cuisse, un long filament humide. Cette situation en pleine rue devenait de plus en plus frustrante, humiliante et dégradante ! Je rêvais, en début de journée, que je me masturbais et que, enfin, je pouvais jouir à volonté.

        J’arrivais enfin au bureau sur cette chimère. Je saluais les collègues déjà présents et je gagnais mon bureau. J’espérais que cette petite communauté reprendrait son calme assis dans mon fauteuil de bureau. En posant ma veste, je vérifiais que mon téléphone mobile et mon feutre noire étaient bien dans la poche frontale de ma sous-veste. Je sentais de plus en plus le nouveau plug. Heureusement, la ceinture le maintenait en place 10---Bureau---D----.jpget l’empêchait de s’échapper car le premier anneau s’était remis à jouer avec le cône. La matinée se déroulait lentement et j’avais du mal à me concentrer avec ce nouveau jouet qui était l’attraction de mon petit monde. Je ressentais de plus en plus les picots supplicier mon malheureux gland. Les heures s’écoulaient lentement. J’attendais le moment où je serai obligé de soulager ma vessie. Je vérifiais que personne ne pourrait me voir et je me décidais à faire ma besogne hebdomadaire.

        Je refermais derrière moi la porte à clef pour ne pas être déranger. Je posais sur le lavabo, le feutre noir et le téléphone mobile. Je commençais à me déshabiller en pliant mes 11 - Bureau - D - -vêtements et en les rangeant sur le bord du lave-mains. Quand j’enlevais mes chaussures et que je posais le pied au sol, je ressentis le froid du carrelage sous la plante des pieds malgré mes chaussettes. Je prenais le feutre et j’inscrivais la date du jour : "Le 14 - 12" sur ma cuisse gauche et que je photographiais. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes. Je m’assaillais sur la faïence, qui elle aussi, était glacé. Une nouvelle fois un frisson parcouru tout mon corps. Je devais accéléré le mouvement. Suivant les instructions que j’avais reçues, je devais prendre des clichés assis sur ces toilettes. Malgré la périodicité de cette corvée et devoir tout photographier, je ressentais toujours cette frustration, cette humiliation et cet avilissement. En me relevant, je sentais mon gland torturé par les pics de la cage. Je prenais en gros plan mon malheureux pénis emprisonné dans sa geôle. Sur la demande de Mr Alain, je posais le portable et je m’accroupissais. Lorsque je bougeais la ceinture je sentis ma petite fleur s’ouvrir et l’invité s’enfuir. Je le rattrapais et je le remettais en place. Un gémissement m’échappa. Tout en tenant le plug, je stoppais un instant la servitude et je tendais l’oreille. Heureusement, personne ne m’avait entendu. Je serrais les fesses pour 12 - Bureau - D - -maintenir son hôte en place et je prenais de nouveaux clichés. Malgré cela, il ressorti de nouveau. Je le rentrais une nouvelle fois et je repositionnais la ceinture pour le soutenir. Je prenais le portable et je me relevais. Je m’apercevais alors que j’étais en train de mouiller une nouvelle fois. Comme Maître Michael avait commandé, je devais photographier tout nouvel évènement. Je prenais donc un cliché de la fuite séminale. Je me sentais de nouveau frustré, humilié et avili par ce nouvel épisode. Pour terminé le travail du jour, je prenais une dernière photo de pied du slave. Je commençais à me vêtir quand une personne essaya 13 - Bureau - D - -d’entrer et frappa à la porte. Je demandais 2 minutes, j’avais bientôt terminé. Rapidement, je me rhabillais discrètement et précipitamment. Je rangeais dans la poche frontale mon mobile et le feutre. Je tirais la chasse d’eau et je refermais les toilettes. Je me lavais rapidement les mains. Je me les séchais et je sortais.

        Un collègue attendait. Je renouvelais mes excuses et je m’enfuyais sans demander mon reste. Je retournais à mon poste de travail. Je ressentis une nouvelle goutte d’urine couler le long de ma cuisse. Ces fuites deviennent de plus en plus frustrante, humiliante et dégradante ! Entre les fuites urinaires après être allé aux toilettes et les sécrétions séminales, je me sentais de plus en plus mal à l’aise et honteux. En arrivant je saluais mon collègue qui était arrivé en mon absence. Il me saluait à son tour et me demanda :

  • -    "Tu étais en pose ?
  • -    Non, j’étais aux toilettes."

     Je lui répondais embarrassé. Il continua :

  • -    "Tu passes tes journées aux toilettes ces temps !
  • -    Pas spécialement, pourquoi ? J’ai tout simplement des problèmes digestifs !
  • -    On dit ça, mais il me semble que lorsque tu y vas, tu y reste de plus en  plus longtemps.
  • -    Lorsque ça ira mieux, j’y serai moins longtemps !"

     Je me sentais de plus en plus frustré humilié et avilis par ces réflexions.

  • -    "On dit ça….
  • -    L’essentiel c’est que le travail soit fait ! Tu es arrivé il y a longtemps ?
  • -    Il y a une vingtaine de minutes que je suis là.
  • -    Je comprends maintenant, avant d’aller aux toilettes je suis allé boire un coup et j’en ai grillé une sur le balcon ! Avant de reprendre, j’en ai profité pour vidanger.
  • 14 - Bureau - D - --    Je comprends mieux alors !"

     De plus en plus honteux, blessé et dégradé. Je reprenais mon travail malgré le mensonge que je venais de dire.  Pour fumer une cigarette je devrai attendre la pause de midi !
        Je m’assaillais rapidement car j’avais le cul qui se remettait à pousser. Je ne pouvais pas gémir ! Je retenais ma respiration le temps qu’il se calme et je respirais lentement. Au bout d’un certain temps mon trou se calma et les picots cessèrent de martyriser mon gland. Je reprenais mon labeur en souhaitant que mon petit monde reste le plus longtemps au repos. Malheureusement, je savais que ça ne durerait pas !
        Merci à mes Maîtres pour cette nouvelle corvée hebdomadaire.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 17 décembre 6 17 /12 /Déc 07:31

Le mercredi 7 décembre.

01---Bureau---D----.jpg        Après une nouvelle nuit d’insomnie à cause de l’intrus qui joue avec mon côlon et de la cage qui devient de plus en plus petite et de ses pics qui maltraitent de plus en plus souvent mon malheureux gland et mon pénis, je me levais pour préparer le petit déjeuner pour la famille. Je passais à la salle de bain pour ma toilette.

        Après avoir salué mes cousins, je partais au travail. À chaque pas la première boule du plug jouait avec l’anneau qui montait dessus et le re-gobait. Mon pauvre cul ne cessait de pousser ! La cage faisait toujours des siennes. Les picots ne cessaient d’exciter le gland qui essayait de gonfler le pénis encastré avec une érection contrarié. J’avais une envie grandissante de me masturber et me vider enfin les couilles…. Cette abstinence forcée est de plus en plus frustrante, humiliante et dégradante chaque nouveau jour qui passe.

        J’arrivais enfin au bureau. Je saluais les collègues en me rendant à mon poste. Je serrais les dents car je devais retenir des 02 - Bureau - D - -gémissements pour ne pas alerter les collaborateurs. Un collègue dut s’apercevoir de quelle que chose car il me demandait si j’allais bien et si je n’avais pas de problème. Je lui répondais entre les dents que ça passerait c’était seulement des problèmes de digestion…. Il acquiesça sans vraiment avoir été convaincu. Je m’assaillais en espérant que tout ce petit monde se calme rapidement. Je préparais le feutre et le téléphone dans une poche frontale de ma sous-veste ainsi, lorsque j’aurai envie d’uriner et que je serai seul, tout sera en place. Je me mettais au travail. Progressivement l’envie se fit de plus en plus pressente. Par contre, mes hôtes se calmaient graduellement. Je regardais discrètement les allers et venus des collègues en espérant qu’ils prennent une pause cigarette. Je pourrai ainsi aller aux toilettes plus discrètement. Connaissant leurs habitudes, je savais que ça n’allait pas attendre. Effectivement lorsque qu’une collaboratrice fit la proposition elle fut suivie par les fumeurs. Bien que j’eusse aussi 03 - Bureau - D - -envie d’en griller une, je me rendais tout de même aux toilettes en espérant être tranquille.

        Je m’empressais de bien fermer la porte à clef pour éviter tout dérangement contrariant. Je posais le feutre et le téléphone sur le lavabo et je commençais à me déshabiller. Je rangeais mes affaires sur le bord du lave-mains. Quand je posais les pieds nus par terre, je sentis le froid 04 - Bureau - D - -glacé du carrelage à travers mes chaussettes. Je prenais le feutre et j’écrivais la date du jour sur ma cuisse gauche : "Le 7 - 12" que je photographiais. Je relevais la lunette des toilettes à contre cœur et je m’assaillais sur la faïence gelée. La froidure se propagea dans les fesses et un frisson parcouru tout le corps du slave. Je maudissais une nouvelle fois de ne plus pouvoir utiliser les lunettes d’autant plus, je ne 05 - Bureau - D - -peux uriner qu’assis sur le trône à cause de la cage que Maître Michael avait commandée de poser, il y a 144 jours. Je prenais de nouveaux clichés. Installé sur le siège, je réfléchissais que je ne suis jamais resté aussi longtemps en abstinence ! Cela devient, chaque jour qui passe, de plus en plus humiliant, frustrant et avilissant ! J’aimerai bien qu’à l’approche des fêtes, mes Masters m’autorisent à me masturber et à enfin vider mes malheureux testicules qui débordent avec le temps. Quand ma vessie fut vidangée, je séchais le bout de la cage avec du papier toilette. Pour satisfaire la demande de Mr Alain, je posais le portable sur le carrelage. Je déplaçais légèrement la ceinture pour voir la base du plug N° 04. Comme mon côlon s’était calmé, je n’osais le sortir de peur qu’il réveille son petit monde que je ne pourrais pas contrôler. Par contre, les picots de la cage continuaient à maltraiter et exciter le pauvre gland qui essayait en vain de gonfler la verge. Non seulement de devoir supporter une abstinence de presque 5 06 - Bureau - D - -mois la cage contrariait mes érections ! Je ne pouvais plus bander normalement ! Ces érections contrecarrées augmentaient mes sentiments de frustrations, d’humiliations et d’avilissement. Je prenais un cliché de cette prison où mon malheureux pénis prend toute la place et dépasse même des rares trous tellement il est à l’étroit ! Je continuais la séance en photographiant la ceinture et je terminais par prendre le slave de pieds. J’étais tellement plongé dans mes réflexions que je sursautais lorsqu’une personne voulut entrer. Je lui demandais 2 minutes…. Je me rhabillais en hâte. Je rangeais dans la poche le feutre et le portable. Je baissais la lunette, son couvercle, je tirais la chasse d’eau et je me lavais rapidement les mains.  Après les avoir séchées, j’ouvrais la porte et je me retrouvais nez à nez devant notre directeur. Je m’excusais et je lui laissais la place toute chaude. Je ne pense pas qu’il fasse la même chose que moi aux toilettes….

07 - Bureau - D - -        En retournant à mon poste de travail, j’essayais de l’imaginer avec un plug au cul…. Ce qui me fit sourire. Dès que je me suis mis à marcher, les picots de la cage reprenaient de plus belle leurs tortures du malheureux gland. Je faisais aussi attention à mon petit trou pour qu’il ne se réveil pas et qu’il ne reprenne pas la fête. Je sentis alors une nouvelle goutte d’urine couler le long de ma cuisse gauche. De plus en plus souvent, quand je vais aux toilettes, il y a une goutte qui jaillit plusieurs minutes après que je suis sortis. Cela devient aussi de plus en plus frustrant humiliant et dégradant d’avoir ainsi des fuites urinaires ! Heureusement j’étais de retour à mon bureau et je reprenais mon travail.

        Encore Merci à mes Masters pour cette nouvelle étape dans mon éducation.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 14 décembre 3 14 /12 /Déc 07:41

Le mercredi 30 novembre.

21---Bureau---D----.jpg        En premier lieu, je réitère mes excuses auprès de mes Masters et des visiteurs pour le retard pris dans la rédaction de mes rapports. En fin de semaine ils seront tous à jour. C’est pourquoi, je prie mes Maîtres et les visiteurs de bien vouloir m’excuser pour tous ces retards. Heureusement, comme je me doutais que je prendrais du retard, j’avais pris des notes pour la rédaction future de mes rapports.

        Comme l’après-midi j’avais rendez-vous pour rendre la MAPA, je devais donc réaliser la corvée hebdomadaire impérativement le matin car je ne savais si je revenais au bureau l’après-midi. Mon pauvre pénis était encore et toujours torturé par les picots de la cage. Le plus douloureux est lorsque je marche et que les pics excitent mon malheureux gland. Dans la matinée, une envie d’uriner commença à titiller ma vessie. Lorsque l’envie devint intenable, je vérifiais le feutre et le téléphone dans ma poche frontale de ma sous-veste. Je vérifiais que personne ne pouvait me voir et je m’empressais d’aller aux toilettes. Je refermais la porte à clef derrière moi, je posais le feutre et le portable sur le bord du lavabo. À peine je les avais 22 - Bureau - D - -posés qu’une personne essaya d’ouvrir la porte. J’essayais d’écouter mais aucun bruit. Je ne pouvais pas savoir si la personne attendait ou était partie car je n’avais pas entendu la porte voisine se fermer. Je me déshabillais discrètement et je posais mes affaires sur le rebord du lave-mains. Dès que j’enlevais mes baskets, je sentis le froid du carrelage à travers les chaussettes. Je notais la date sur ma cuisse gauche "Le 30-11" et je la prenais en photo. Je relevais la lunette des toilettes comme je n’ai plus le droit de m’asseoir avec. Je sentis le froid de la faïence dès que je m’assaillais sur le trône. Je commençais à vider la vessie tout en prenant de nouveaux clichés. Bien que ce soit toutes les semaines, je trouve cela de plus en plus humiliant, frustrant et dégradant de réaliser cette corvée régulièrement. J’avais toujours la MAPA qui m’avait fait passer une nuit blanche car toutes les 20 minutes le brassard se gonflait pour prendre la tension. Si l’appareil n’avait pas pu la prendre correctement il se regonflait toutes les minutes pour corriger. La nuit fut donc longue et pénible. Quand ma vessie 23 - Bureau - D - -s’était vidangée, je séchais la cage avec du papier. J’allais me lever quand la poignée se baissa de nouveau. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et fort. Un collègue frappa à la porte et demanda si tout allait bien. Je lui répondais que j’avais une grosse commission…. Je me sentais mal à l’aise et il allait très certainement me refaire une réflexion dans la matinée. Je posais le portable sur le carrelage. Je déplaçais légèrement le bloc-plug et je le photographiais comme l’avait demandé Mr Alain dans un de ses commentaires. Comme je devais prendre la voiture pour me rendre à l’hôpital, je portais le plug N° 04 (à 2 boules) car 24 - Bureau - D - -devoir conduire avec tous les ralentisseurs dans la ville, c’était vrai purgatoire à chaque trajet. Je m’empressais à prendre la cage en gros plan avec mon malheureux gland martyrisé. Quand ce fut fait, je me dépêchais à en faire une de plein pied. Je reposais le portable et je commençais à me rhabiller. J’enfilais mon maillot de corps puis mon pantalon. Avec difficulté je bouclais la ceinture au-dessus de l’appareil et du bloc-plug. Heureusement le matin j’avais troqué mon jeans avec un treillis. Je continuais avec mon pull et ma sous-veste où je rangeais le feutre et le 25 - Bureau - D - -téléphone dans une poche frontale. Je me rinçais les mains. Je tirais la chasse d’eau et je rebaissais la lunette et le couvercle des toilettes. J’ouvrais la porte et je tombais nez à nez avec le collègue qui attendait. Lorsque je sortis il me dit :

  • -    "Enfin ! Je pensais que tu faisais une sieste pour terminer ta nuit !
  • -    J’avais tout simplement une grosse commission !
  • -    Elle devait être énorme ! J’espère que tu ne les as pas bouchées !
  • -    Pourquoi, tu es jaloux ?"

        Je lui répondais ironiquement et je m’empressais de m’enfuir. J’avais le cœur qui s’était remis à jouer la chamade. À chaque pas que je faisais pour rejoindre mon poste, les picots maltraitaient de nouveau mon gland qui l’excitait et mon malheureux pénis essayait en vain de se gonfler. Cette corvée hebdomadaire devient de plus en plus humiliante, vexante et dégradante ! Non seulement devoir répéter régulièrement cet exercice au travail et en ayant les testicules pleins sans pouvoir se masturber et se 26 - Bureau - D - -vidanger, devient chaque jour un peu plus déshonorant, frustrant et avilissant. En retournant à mon bureau, nouvelle humiliation et frustration ! Je sentis une goutte d’urine couler le long de ma jambe gauche. J’espérais que ce ne serait qu’un petit accident. Que cette goutte avait été bloquée dans l’urètre comme mon malheureux pénis était compressé et maltraité et non que j’aie une incontinence ! J’arrivais enfin à mon poste. D’où je suis, je peux apercevoir les personnes qui vont aux toilettes. Quand le collègue sorti, il me jeta un regard avec un grand sourire ironique. Je faisais celui qui n’avait rien vu encore trop frustré, humilié et avili. Je pensais alors à l’épreuve qui me restait l’après-midi, devoir rendre l’appareil et qu’elle nouvelles humiliations je devrai de nouveau supporter.

        Quand est ce que cet exercice hebdomadaire prendra enfin fin ? Je me posais cette question le reste de la matinée. Je dois tout de même remercier mes Masters de me faire évoluer dans la soumission et l’obéissance à mes Maîtres.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 7 décembre 3 07 /12 /Déc 07:39

Le mercredi 23 novembre :

16 - Bureau - D - -         En arrivant au bureau j’avais mon malheureux trou tout excité. Il n’arrêtait pas de pousser et j’avais oublié de prendre des suppositoires pour le calmer mais la ceinture empêchait le plug de sortir ! J’avais eu du mal à conduire jusqu’au travail avec mon pauvre trou dans cet état. De plus, cette excitation s’était propagée à mon pauvre pénis en cage. À chaque pas, je sentais les picots exciter mon malheureux gland qui obligeait la verge à se gonfler encore un peu plus. Un vrai cercle vicieux, cette situation frustrante, humiliante et dégradante !17 - Bureau - D - - Je regagnais mon poste de travail tout en saluant mes collègues déjà concentrés sur leurs besognes. J’avais dans la poche de ma sous-veste un feutre noir ordinaire trouvé chez moi. J’avais fait un essai concluant. Pour enlever les marques avec celui-ci, un peu de savon sur un gant de toilette suffisait. Il n’y avait pas besoin de frotter pour enlever le marquage que je devais dorénavant  écrire sur la cuisse. Je le conserverai bien précieusement d’autant plus que ce midi j’aurai qu’un petit laps de temps pour ôter la date car je déjeunerai avec des cousins et l’après-midi j’avais rendez-vous chez le cardiologue. Je devais réaliser la prestation hebdomadaire impérativement ce matin. Une journée bien chargée en contraintes et humiliations de toutes sortes ! La journée allait être très longue, frustrante et dégradante. J’attendais le moment où j’aurai envie d’uriner pour aller aux toilettes et réaliser cette corvée avilissante. En attendant, je me mettais au travail. Je vérifiais les animations et les manifestations de la semaine prochaine. Je passais des appels téléphonique pour vérifier que tout serait prêt le jour et à l’heure prévu. Enfin, une envie commença à titiller ma vessie. Je terminais ce que je 18 - Bureau - D - -faisais pour rien oublier. Je vérifiais le portable et le feutre dans la poche frontale de la sous-veste. J’observais les allers et venus de mes collègues pour attendre un instant où je pourrai m’éclipser discrètement aux toilettes. Après une attente fructueuse, je me retrouvais seul. Je vérifiais qu’aucun collègue n’était en approche. Je me décidais d’en profiter pour me rendre aux toilettes discrètement. Je refermais derrière moi la porte à clef pour éviter tout malentendu ! Je posais le feutre et le téléphone sur le bord du lavabo. Je me déshabillais encore une nouvelle fois en stockant mes affaires sur le bord du lave-mains. Dès que je mis les pieds sur le carrelage, je sentis son froid glacé à travers mes chaussettes. Un petit frisson me secoua de la tête aux pieds et l’envie d’uriner devenait encore plus irrésistible. Avec le feutre, j’écrivais sur la cuisse gauche la date du jour soit le 23-11 pour confirmer que la servitude a bien été réalisée en temps et en heure. Le port du holter aurait pu suffire comme certification. Je m’empressais à lever la lunette des toilettes, à contre-cœur et je m’assaillais sur la faïence de la cuvette car l’envie devenait de plus en plus pressante. Dès19 - Bureau - D - - que je fus assis j’ouvrais le robinet et, avec soulagement, la vessie se vidait progressivement. J’en profitais pour prendre les premiers clichés. Devoir faire cette contrainte toutes les semaines, à date régulière, est de plus en plus frustrante, humiliante et dégradante ! Au fur et à mesure que je me soulageais, mon pauvre trou se mit à pousser. Heureusement la ceinture empêchait le plug de sortir ! Mais quelle humiliation et avilissement de ressentir un soulagement en urinant et en même temps la petite fleur s’exciter sur le plug ! Je n’avais toujours pas de suppositoires pour calmer le côlon. Je faisais mon possible pour l’apaiser sans faire de bruit et de gémissement. Mais quelle frustration de sentir son trou excité et ne pouvoir en profiter et se masturber ! À regret, je calmais tout ce petit monde et je séchais les gouttes d’urine sur le bout de la cage. J’allais me lever lorsqu’une personne essaya d’entrer. Je ne bougeais pas pour ne pas faire de bruit. Je l’entendis utiliser celle des femmes. J’attendais quelles que secondes et je me levais 20 - Bureau - D - -discrètement. Je prenais de nouvelles photos de mon pauvre pénis emprisonné dans sa cage et du slave en pieds. Quand j’avais terminé de photographier, sans faire de bruit, je m’empressais de me rhabiller pour la quatrième fois de la matinée. J’avais l’impression de faire que ça : me déshabiller et me rhabiller ! Quelle frustration et humiliation ! Je tirais la chasse d’eau et je me rinçais les mains. En me séchant les mains, j’entendis la porte voisine s’ouvrir. Je patientais encore un instant que mon voisin s’éloigne. Je pouvais enfin sortir pour rejoindre mon poste. J’inspectais autour de moi avant de le regagner mais, à chaque pas que je faisais, je sentais les picots exciter mon malheureux gland qui devait faire gonfler un peu plus le pauvre pénis qui s’empalait sur les pics. Encore et toujours ce cercle vicieux ! Je me remettais à l’ouvrage en m’assaillant et en espérant que tout mon petit monde se calmerait.

        Je dois tout de même remercier mes Masters de me faire évoluer bien que je maudisse encore parfois certaines directives frustrantes, humiliantes et dégradantes.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 19 novembre 6 19 /11 /Nov 08:01

Le mercredi 16 novembre 2016 :

12 - Bureau - D - -         Mr Alain, dans ses commentaires, avait demandé que le slave note sur sa cuisse gauche la date de la corvée hebdomadaire. Il faisait part à Maître Michael de cette sollicitation qu’il, malheureusement, s’empressa de valider ! J’arrivais donc au bureau un peu en avance pour chercher un feutre pour cette nouvelle contrainte. J’essayais sur la paume de la main les stabilos que j’avais mais le résultat n’était pas concluant. Je cherchais donc un feutre noir ou bleu sur les autres bureaux. Je trouvais un marqueur noir chez le directeur que j’empruntais. Un groupe avait réservé une salle pour une formation. Mon malheureux pénis devait être gorgé car à chaque pas que je faisais, je sentais les picots de la cage pénétrer dans le gland et la verge. Plus ils pénétraient et plus mon pénis se gonflait et plus je les sentais pénétrer et exciter mon pauvre gland ! Cette torture devenait un cercle vicieux et je maudissais cette cage car ce n’était pas la première fois que ça arrivait ! Ce supplice me donnait une envie grandissante de me masturber, de jouir et me vider enfin les couilles…. Je haïssais cette maudite cage de chasteté et cette abstinence forcée !

          J’avais, en avance, rangé dans une des poches frontales de ma sous-veste, mon téléphone portable et dans l’autre, j’introduisais le marqueur. Je m’installais à mon poste et 11 - Bureau - D - -commençais mon travail. Les collègues me saluaient au fur et à mesure qu’ils arrivaient. Le groupe arriva aussi et s’installa dans notre salle de réunion. De mon poste de travail, je voyais un défilé permanent de personnes allant aux toilettes. Je ne comprenais pas pourquoi, certaines y retournaient plusieurs fois. Dans la matinée, une envie d’uriner se fit sentir. Je terminais ce que je faisais. Ne pouvant plus attendre, je me décidais à m’y rendre. Je rentrais dans les toilettes hommes et je compris de suite le problème. Il n’y avait plus de lumière ! L’ampoule avait rendu l’âme…. Étant libre, je passais dans les toilettes des femmes. Il n’y avait plus que celle-ci de disponible ! Elle était prise d’assaut ! J’avais, à 13 - Bureau - D - -peine, fermé la porte à clé que déjà une personne essayait d’entrer. Je l’entendis pénétrer à coté et ressortir aussitôt lorsqu’elle se rendit compte du manque de lumière. J’allais être plusieurs fois dérangées ! Je maudissais la corvée hebdomadaire ! Je posais sur le bord du lave-mains le marqueur et le téléphone. Je m’empressais à me déshabiller et je posais, au fur et à mesure, mes vêtements sur le bord du lavabo. Avec le marqueur, comme l’avais demandé Mr Alain, je notais sur ma cuisse gauche la date du jour soit le 16-11 ! Je relevais la lunette et je m’assaillais avec le portable d’une main. Le robinet ouvert, je vidais ma vessie avec soulagement. J’en profitais pour prendre les premiers clichés. Une nouvelle personne essaya d’ouvrir la porte. Impossible d’uriner tranquillement ce matin !!! Je sentais le froid du carrelage malgré les chaussettes aux pieds. Il fallait que j’accélère le mouvement mais avant, je devais me soulager entièrement. Je continuais en sentir les picots exciter mon malheureux gland ce qui faisait gonfler mon pauvre pénis encore plus martyrisé par ces pics ! Je haïssais de plus en plus cette cage qui, non seulement m’empêche de me masturber mais en plus maltraite ma pauvre petite queue, ce qui augmente encore plus ma frustration, mon humiliation et mon 14 - Bureau - D - -avilissement. Je maudissais aussi mes Masters de m’avoir imposer cette cage ! Ma vessie enfin vidangée, je la séchais avec du papier toilette. Je me relevais et je prenais en photo cette maudite cage de pieds puis en gros plan avec mon malheureux pénis maltraité. Je faisais un dernier cliché de pieds lorsqu’une nouvelle personne essaya d’ouvrir le porte des toilettes femmes. Je devais accélérer le mouvement. Je me dépêchais à me rhabiller et à ranger dans les poches frontales le marqueur et le téléphone. Je tirais la chasse d’eau et je m’empressais à me laver les mains. Une nouvelle personne était déjà à la porte. Je lui demandais encore 30 secondes le temps que je m’essuie les mains. J’ouvrais enfin la porte et je me retrouvais devant une femme. Je la priais de bien vouloir m’excuser d’avoir dû aller dans ces toilettes. Elle me répondit qu’elle comprenait. Je retournais à mon bureau mais à chaque pas je sentais les picots pénétrer et exciter mon malheureux pénis et ma pauvre verge. Encore plus humiliant, dégradant et frustrant. Impossible de ne pas penser à mes Maîtres ! Je sentis alors, une goutte d’urine couler le long de ma cuisse. Mon malheureux pénis, étant maltraité et gonflé un maximum, avait dû bloquer cette dernière réserve d'urée. Je maudissais cette ampoule grillée qui m’avait forcé d’utiliser les toilettes des femmes et qui m’avait obligé de me 15 - Bureau - D - -presser pour la réalisation de la contrainte hebdomadaire. Je reprenais le travail mais les problèmes n’étaient pas terminés ! Le midi, je rentrais chez moi pour déjeuner. Etant seul, j’en profitais pour passer à la salle de bain. Avec du savon, j’essayais d’ôter l’inscription sur la cuisse. Malheureusement le feutre que j’avais emprunté était un marqueur indélébile ! Impossible de faire disparaître cette maudite date avec seulement du savon ! Je prenais un "scotch-britch" et après l’avoir savonné, je frottais pour faire disparaître cette nouvelle contrainte. Ma malheureuse cuisse rougissait et chauffait de plus en plus. Les picots maltraitaient toujours mon pauvre gland et mon pénis éprouvé ! Je pensais, pour la semaine prochaine, je devais trouver un autre feutre car ce marqueur était le point d’orgue de mon humiliation, de ma frustration et de mon avilissement du jour !

          Je dois tout de même remercier mes Masters de me faire évoluer dans ma soumission.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Vendredi 11 novembre 5 11 /11 /Nov 08:41

Le mercredi 9 novembre 2016 :

        L’hiver est arrivé ! En me rendant au bureau, les voitures étaient blanches de givre et 06 - Bureau - D - -la neige commençait à tomber. Heureusement dans la matinée, la température remontait et la neige se transformait en pluie diluvienne. Je m’installais à mon bureau et je me mettais au travail. Les collègues me saluaient au fur et à mesure qu’ils arrivaient et me croisaient. Je pensais, à regret, à la corvée hebdomadaire que je devais réaliser. Je devais attendre un moment07---Bureau---D----.jpg où je serai seul et que personne ne me voit aller aux toilettes. Par bonheur pour une fois, cela ne dura pas longtemps car mon collègue devait recevoir une personne en entretien. Lorsque son rendez-vous arriva, après m’avoir salué, ils allèrent dans la salle de réunion. J’allais être tranquille un moment. J’avais déjà mis mon téléphone portable dans une des poches frontales de ma sous-veste sans manche. Je me levais en jetant un coup d’œil autour de moi. Personne en approche ! Je prenais mon courage à deux mains et je me rendais aux toilettes. J’en avais bien besoin car ma vessie était pleine et commençait à être au maximum. L’envie d’uriner devenais vraiment très pressante. J’avais de plus en plus besoin de vider ma vessie rapidement. Je fermais la porte derrière moi. Je sortais le portable et je le posais sur le bord du lave-mains. Je me déshabillais et je plaçais les vêtements pliés sur le bord du lavabo. 08---Bureau---D----.jpgJ’enlevais les baskets et en posant les pieds sur le carrelage, je sentis le froid monter dans mes jambes malgré les chaussettes que je gardais. Les carreaux glacés me donnaient encore plus envie d’uriner et l’envie devint encore plus irrésistible. À contre cœur, je relevais la lunette des toilettes. Je prenais le mobile dans une main et je m’assaillais sur la faïence des toilettes. Suivant les instructions de mes Masters et des visiteurs, pour bien écarter les jambes, je me positionnais bien en arrière de la cuvette. En position, j’ouvrais le robinet et un jet ininterrompue commença à couler. Que cela faisait du bien ! Je sentais ma vessie se dégonfler enfin ! J’en profitais pour prendre les premiers clichés. Je trouvais toujours autant humiliant, frustrant et dégradant de devoir se photographier en urinant. J’urinais encore09---Bureau---D----.jpg et encore…. Que du bonheur et de soulagement ! Je faisais attention de ne pas faire de bruit comme la semaine précédente. Je m’étais senti vraiment très frustré, humilié et avilis par cette réflexion de mon collègue ! Je faisais très attention de ne pas recommencer cette maladresse. Quand ma vessie se trouva enfin vidée, je prenais du papier toilette pour éponger l’urine au bout de la cage. Mon pauvre pénis était toujours enchâssé dans sa boîte. Je sentais les picots pénétrer dans mon malheureux gland et dans ma  pauvre verge qui essayait de se gonfler de sang. À contre cœur, je prenais un cliché en gros plan du carcan qui compressait mon pénis pour le plaisir de mes Masters et des visiteurs. Cela fait plus de 116 jours que la queue du bâtard que je suis est emprisonnée et que je n’ai plus pu me masturber ! Pour terminer 10 - Bureau - D - -cette corvée hebdomadaire, je photographiais le slave de pieds, en entier. Cette dernière photo terminait cette servitude en amplifiant les sentiments de frustrations, d’humiliations, de dégradations et d’avilissements. Devoir refaire cette séance chaque semaine me fait ressentir la perfidie, la fourberie et la félonie de cet exercice. En me rhabillant, je remerciais pour une foi que personne n’ait entendu le slave et surtout, ne l’ait dérangé. Je me lavais les mains avant de sortir et je rangeais le portable dans sa poche frontale. Je tournais la clé et j’ouvrais très discrètement la porte. Je jetais un œil dehors pour vérifier que personne n’était en approche. Sur la pointe des pieds, je regagnais mon bureau. Pour une fois, tout s’était "bien passé"….

        Je dois tout de même remercier mes Masters, Master Éric et Maître Michael de faire évoluer leur slave que je suis comme ils le désirent et dans la voix qu’ils souhaitent.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Dimanche 6 novembre 7 06 /11 /Nov 06:20

Récit du 2 novembre.

01---Bureau---D----.jpg         Mr Alain ayant fait une demande dans un de ses commentaires, dors et avant, j’intitulerai la date du jour où l’exposé se rapporte pour une meilleure lecture des visiteurs. Ainsi pour toutes les activités revenant régulièrement, une nouvelle catégorie est créée : "Labeurs hebdomadaires". Les rapports hebdomadaires y seront enregistrés. Je prie aussi mes Masters et les visiteurs de bien vouloir me pardonner pour le 02---Bureau---D----.jpgretard pris dans l'édition des rapports depuis 10 jours.

        Mercredi matin ayant une réunion, je ne pouvais me rendre tranquillement aux toilettes pour prendre les clichés commandés. Le midi, je me rendais comme tous les jours, au chevet de la personne hospitalisée et je mangeais mon sandwich en sa compagnie. Je fais la même visite le soir après le travail. Je ne repars que lorsqu’elle a dîné comme elle vient de sortir du coma après y être restée une semaine. L’après-midi, je devais donc trouver un moment tranquille pour y aller. J’avais une envie grandissante d’uriner mais un collègue était en face de moi. Je priais qu’il s’absente un instant pour me soulager et exécuter le labeur hebdomadaire. Me voyant dandiner sur ma chaise il me dit :

  • -    Tu ne vas pas bien ? Tu as un problème ?03 - Bureau - D - -
  • -   Je dois avoir des problèmes digestifs, rien de grave je te remercie.

  Je lui répondais honteux et frustré. Il travaillait toujours sur son dossier. Quand allait-il s’absenter ? Du coin de l’œil, je le voyais enfin rassembler son dossier et se lever avec. J’attendais encore quelques secondes et je me levais en prenant mon portable que j’enfilais dans une des poches de poitrine. Je fermais la porte à clef des toilettes. Je posais le mobile sur le lavabo et je me déshabillais. En enlevant les chaussures, je sentais le froid du carrelage monter dans mes chevilles malgré les chaussettes. Enfin j’allais pouvoir soulager ma vessie. Lorsque je fus nu, je relevais la lunette des toilettes pour m’asseoir sur la faïence. J’avais d’une main mon téléphone et je prenais un premier cliché tout en urinant. J’en profitais pour en prendre un second. Je ne pouvais plus stopper la fontaine ! Que du bonheur de pouvoir enfin vider ma 04 - Bureau - D - -vessie mais quelle humiliation et frustration de devoir photographier le moment ! Je poussais, malgré moi, un "Ouf !" De soulagement. Je dus le lâcher trop fort car le collègue frappa à ce moment là à la porte pour demander :

  • -    Ça va ? Tu ne te sens pas bien ?
  • -    Non, tout va bien merci ! Seulement mon transit qui se débloque….

  Je me sentais encore plus humilié frustré et avili qu’il soit passé à ce moment là devant les toilettes et qu’il m’ait entendu. Je me maudissais de ne pas avoir été plus discret ! Je faisais de même pour les instructions hebdomadaires ! Cela devient de plus en plus humiliant et dégradant de devoir réaliser ce rapport sans se faire prendre par les collègues. Quand ma vessie était enfin vidée, je prenais du papier toilette pour sécher le bout de la cage. Je me05 - Bureau - D - - levais et je prenais mon malheureux pénis enchâssé et maltraité par les picots intérieurs. Je les sens de plus en plus pénétrer dans mon pauvre gland et ma malheureuse verge. Cette cage, non seulement m’empêche de me masturber mais torture aussi mon pauvre pénis éprouvé. Lorsque j’avais les photos commandées par mes Masters et les visiteurs, je me rhabillais. Je me lavais les mains après avoir tiré la chasse d’eau des toilettes. Je sortais et je regagnais mon bureau. Mon collègue leva la tête sans rien dire mais avec un grand sourire qui en disait long. Je baissais la mienne déshonoré et frustré. Je maudissais une fois de plus cette corvée hebdomadaire. Honteux, lésé et avili, je reprenais mon travail quotidien.
        Je dois tout de même remercier mes Masters de me faire évoluer dans la soumission et dans la direction qu’ils désirent.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Présentation

  • : Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • : gay Gay
  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Album photos

Voir tous les albums

Derniers Commentaires

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés