Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Labeurs Journaliers

Dimanche 17 septembre 7 17 /09 /Sep 07:58

Le Mercredi 13 septembre 2017:

        Après une nuit difficile alternée de cauchemars, de torture du gland, de la queue et des réveils en sursaut, je me levais de bonne heure. Après un café serré, je passais à la salle de bain parfaire le rasage, prendre une bonne douche et un nettoyage complet de la cage qui emprisonne depuis plus d’un an ma pauvre queue. Les picots continuaient un peu plus l’empalement du gland à chaque nouveau mouvement. Je repositionnais le plug N° 04 tenu par la ceinture et mon collier après un bon décrassage de celui-ci. Je m’habillais avec un maillot de corps, une chemise, un jeans avec la braguette ouverte, une paire de socquette propre, mes baskets et mon gilet sans manche. Je saluais Maître Michael et après un échange je lui souhaitais de passer une bonne journée.

  16 - Corvée - D - -.-           Je prenais une veste assez longue pour cacher la braguette béante. Chaque nouveau pas était un calvaire de plus. L’anneau du côlon jouait entre les deux boules du plug et les pics empalaient un peu plus mon pauvre gland à chaque mouvement de la jambe ce qui excitait ma malheureuse queue qui tentait17 - Corvée - D - -.- une érection avortée. Je sentais la fraîcheur ambiante s'introduire dans la braguette ouverte. Les températures chutes chaque jour un peu plus le matin. Les supplices accéléraient mon cœur qui battait de plus en plus fort. Je faisais mon possible pour retenir des râles de souffrances et d'excitations. À 18 - Corvée - D - -.-l'approche du bureau, discrètement je tentais de fermer au mieux la braguette. Malheureusement, comme je ne peux plus boutonner le pantalon, il m'est très difficile de remonter au maximum la fermeture éclaire. La braguette reste entre-ouverte à mon grand désespoir. Je saluais les collègues déjà présents et les parents qui déposaient leurs enfants pour la matinée. Je montais à mon poste de travail et je déposais sur le dossier de mon fauteuil ma veste. Je vérifiais le téléphone dans une des poches frontales de ma sous-veste et je prenais dans un tiroir le marqueur que je cachais dans la seconde poche. Les pics ne cessaient d'empaler mon malheureux gland. La fraîcheur extérieure avait calmé pour un moment l'anneau du côlon qui stationnait entre les deux boules du plug. Malheureusement en m'assoyant, il reprit de 19 - Corvée - D - -.-l'énergie et recommençait à titiller l'anneau. Je sentais mon trou pousser ! J'avais de plus en plus de mal à retenir des gémissements de douleurs et d'excitations. Je commençais mon travail sur mon ordinateur. J'étais plongé dans un dossier et des soupires involontaires s’échappaient de mes poumons. Je n'entendis pas un de mes collègues arriver. En me saluant, il m'interrogeait sur les 20 - Corvée - D - -.-bruits que je faisais. Je sursautais et mon cœur se mit à battre la chamade. Je balbutiais que j'avais mal digéré la veille. J'ai pris un dîner trop lourd pour le soir.... Je le priais de m'excuser pour ces râles. Il allait s’asseoir à son poste à coté du miens. J'allais avoir un voisin pour une partie de la matinée ce qui allait  sûrement compliquer ma corvée hebdomadaire aux toilettes. 21 - Corvée - D - -.-D'autant plus que pour la première fois j'allais devoir inscrire au marqueur la date complète sur une cuisse, sur l'autre mon numéro de slave et sur mon torse mon appartenance. Il me faudrait beaucoup plus de temps pour réaliser ces écriture surtout que je dois inscrire à l'envers pour que, sur les photos témoins, les inscriptions se trouvent à l'endroit afin que mes Masters soient satisfait. 22 - Corvée - D - -.-N'étant plus seul, je retenais le plus possible les sons intempestifs qui s'échappaient de mes poumons. Je sentais mon anneau jouer entre les deux boules du plug ce qui excitait ma queue qui se faisait empaler de plus en plus par les picots de la cage. S'était un cercle vicieux ! À tout moment les uns titillaient les autres et les persécutaient.... La journée allait être très longue, difficile 23 - Corvée - D - -.-à gérer et surtout humiliante et frustrante. Pour calmer ma petite fleur, je m'assaillais sur le bord du fauteuil pour un moment. Malheureusement cette position stimulait les pics qui en profitaient pour empaler un peu plus mon pauvre gland. Ce qui exacerbait ma petite queue qui tentait des érections avortées par sa prison. Je ne savais plus quelle position prendre pour éviter des tortures inutiles et excitantes. Plus je tentais de bander et plus mon gland était empalé 24 - Corvée - D - -.-par les pics et plus ma bite tentait des érections torpillées. Doucement mais sûrement je sentais ma vessie se remplir. J'accélérais le processus en buvant régulièrement des gorgées d'eau. En milieu de matinée l'envie devenait de plus en plus pressante. Mon collègue se leva en m'informant qu'il reviendrait dans un moment car il devait évaluer deux nouveaux stagiaires. Quand 25 - Corvée - D - -.-il fut hors de ma vue, je regardais dans le couloir. Ne voyant personne en approche, je me décidais à aller aux toilettes réaliser la corvée du jour. Machinalement, je vérifiais que le portable et le marqueur étaient dans les poches frontales du gilet. Je refermais rapidement la porte à clef derrière moi. Je commençais à me déshabiller et j'accrochais au fur et à mesure mes vêtements aux 26 - Corvée - D - -.-patères de la porte comme j'étais aux toilettes de mon étage. En enlevant les baskets Je sentis le froid du carrelage en posant les pieds dessus. J'enlevais ensuite mes chaussettes et la froidure devint plus intense et remontait dans les mollets. Je prenais dans une poche le marqueur et je m'assaillais sur le bord des toilettes après avoir relevé le couvercle et la lunette. Le 27 - Corvée - D - -.-froid de la faïence agressa mes petites fesses. Je commençais par noter la date du jour sur ma cuisse gauche : "Mercredi 13 septembre 2017". Sur la droite, j'écrivais mon numéro de slave suivant les nouvelles consignes : "Slave N° 411,103,335". Pour terminer, j'inscrivais sur mon torse mon appartenance pour satisfaire les nouvelles directives : "Slave de Master Éric et Maître 28 - Corvée - D - -.-Michael". Pour cette dernière inscription, je me mettais debout face au miroir du lavabo afin de voir ce que je notais. J'avais toutes mes références sur les différentes parties de mon corps. Je sentais l'odeur du marqueur monter au nez. J'espérais en vain qu'elle n'attirerai pas l'attention de mes collègues. Je le rangeais dans une des poches frontales du gilet. Dans l'autre, je prenais mon portable et je commençais à immortaliser ces graffitis. Je m'assaillais sur le trône et la fraîcheur de la faïence agressa une nouvelle fois mes fesses. J'ouvrais les vannes et je vidais ma vessie avec soulagement. J’entendais des pas dans le couloir. Je faisais attention pour faire le moins de bruit possible afin d’alerter personne. Je continuais ma besogne en posant le téléphone au sol pour présenter l'indésirable qui squattait mon côlon. Le sortir et le remettre en place accentuait mon excitation et les picots en profitaient 29 - Corvée - D - -.-pour embrocher un peu plus mon pauvre gland. Je continuais à entendre des vas et viens dans le couloir. Je craignais qu'une personne n'ai besoin de se rendre aussi aux toilettes. Mon palpitant battait toujours aussi fort et rapidement. Je me relevais et continuais mon labeur en prenant un cliché de la prison de ma queue et de mon pauvre gland martyrisé. Je vérifiais que la médaille du collier se trouvait bien sur mon torse. Après avoir roulé mes chaussettes, la plante des pieds à l'extérieur comme l'avaient préconisés mes Masters en début d'année, je les fourrais dans ma gueule de bâtard. Une nouvelle photo d'archive. Je faisais, une nouvelle fois, de même pour le torse et pour les jambes et leurs écriteaux. Je terminais ce reportage avec mes vêtements aux patères. Je me rhabillais en hâte. J'avais en permanence 30 - Corvée - D - -.-l'odeur du marqueur qui chatouillait mes narines. J'enfilais rapidement mes chaussettes, mon maillot de corps, ma chemise et mon jeans. Je tentais de fermer au mieux la braguette mais ne l'ayant pas boutonné comme il y avait la ceinture, j'avais du mal à monter la fermeture. Plus je la fermais et plus la bosse contre ma jambe s'accentuait. J'avais en permanence cette grosseurs dégradante contre ma cuisse. À tout moment, je tentais de me représenter ce que mes 31 - Corvée - D - -.-voisins pouvaient penser et s'imaginer sur cette grosseur le long de ma cuisse. À cette idée, mon palpitant se mit à battre la chamade et les picots à torturer un peu plus ma queue. J'enfilais rapidement mon gilet et mes baskets. Je prenais un denier cliché de la braguette entre-ouverte, ne pouvant mieux la fermer, et de la grosseur de la geôle le long de ma jambe. Je rangeais 32 - Corvée - D - -.-l'appareil dans une des poches frontales. Je tirais la chasse d'eau et je me rinçais les mains. Après les avoir sécher, je vérifiais que je n'oubliais rien et je tendais l'oreille. N'entendant aucun bruit, j'ouvrai la porte. Je me rendais à la salle de repos me faire un café comme si je débutais ma pause bien que cela faisait un petit quart d'heure que je squattais les toilettes. Je faisais comme de rien et je discutais avec les personnes présentes qui prenaient quelles que minutes de repos. Ma voisine fit la remarque qu'il y avait une drôle d'odeur.... Qu'elle avait l'impression que ça sentais le marqueur bien qu'il n'y ait pas de tableau dans cette pièce. Je faisais 33 - Corvée - D - -.-comme si je n'avais rien entendu et je me tournais vers une autre personne. Mon palpitant s'accélérait et ma queue se faisait embrochée un peu plus par ses geôliers. Je fumais avec eux une cigarette et je retournais à mon poste. Chaque nouveau pas était une nouvelle torture. Le plug s'était remis à jouer avec les boules et les pics empalaient à chaque pas un peu plus le gland. J'arrivais enfin à destination tout en étouffant des gémissements. Mon collègue était déjà à son bureau. Il me demandait où j'étais car il ne m'avait pas vu en salle de repos. Je lui répondais mal à l'aise, que nous avions dû nous croiser car j'en avais profiter pour me rendre aux toilettes. Je lui demandais comment s'était déroulé l'évaluation pour changer de sujet. Il me répondit 34 - Corvée - D - -.-qu'il n'avait pas pu réaliser son travail car une animatrice était en arrêt maladie et que les animateurs étaient en sous-nombre. Qu'il réalisera ce travail plus tard. Je prenais place dans mon fauteuil en m'assaillant délicatement pour n'exciter personne. Je rangeais discrètement le marqueur dans son tiroir.

 

 Je remercie mes Masters pour cette nouvelle étape humiliante qui fait progresser leur slave. Les nouvelles instructions sont toujours plus frustrantes et dégradantes. Malgré cela, je fais mon possible pour suivre les directives pour le plaisir et la satisfaction de mes Maîtres. Chaque nouvelle étape emmène le slave que je suis dans les bas-fonds de l'obéissance et de la soumission. Un grand Merci à Master Éric et Maître Michael, mes chers Masters, de faire progresser leur bâtard..

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Vendredi 8 septembre 5 08 /09 /Sep 07:03

Le Mercredi 6 septembre 2017 :

01 - Corvée - D - -.-        Je reprenais le travail, après quinze jours de congés, avec la corvée hebdomadaire à réaliser dans la journée. Le matin, je me réveillais en sueur, le cœur battant la chamade avec une trique contrariée par la maudite cage. Mon malheureux gland était empalé sur les pics de celle-ci. Au début, la douleur était excitante et accentuait l’érection dans mon rêve. La souffrance augmentant, le rêve devenait cauchemar. Ne supportant plus ce tourment, je me réveillais en sursaut. Je maudissais une fois de plus cette damnée cage ! Je me levais et après un bon café serré, je passais à la salle de bain où je finalisais le rasage de la veille. Je m’habillais avec02 - Corvée - D - -.- un jeans, un maillot de corps, une chemise, une paire de chaussettes et des baskets. les attributs du slave étaient aussi en place avec le collier et sa médaille, la cage, le plug N°04 et la ceinture pour le tenir en place. En enfilant le pantalon, je le boutonnais tout en laissant la braguette ouverte et je serrais la ceinture. Suivant les nouvelles instructions de Maître Michael, je ne peux plus fermer la braguette sauf au bureau. Pour la cacher un minimum, je laissais la chemise tomber sur le jeans. Je sentais l’anneau du côlon jouer entre les deux boules de l’intrus et les pics de la cage empalaient le malheureux gland tout en l’excitant ce qui provoquait une érection contrariée. J’enfilais mon gilet sans manche et je sortais pour me rendre au travail.

03 - Corvée - D - -.-        À chaque nouveau pas, la cage plaquée contre la cuisse gauche, suivait le mouvement. Les pics en profitaient pour martyriser un peu plus le pauvre gland. Le jouet, dans mon malheureux trou, s’amusait lui aussi avec l’anneau intérieur en suivant le mouvement des pas. Je sentais la fraîcheur extérieure pénétrer par la04 - Corvée - D - -.- braguette ouverte. Un long filet se collait sur la cuisse. Je devais encore mouiller de la queue ! Cette situation était dégradante et humiliante toutes ces fuites inopinées. Un peu avant d’arriver au bureau, discrètement, je fermais ma braguette ouverte. Je montais les quelles que 05 - Corvée - D - -.-marches. En arrivant dans le hall, le directeur discutait avec une maman. Je les saluais et mon chef m’expliquait qu’une secrétaire était en arrêt maladie et l’autre en congé. Il me demandait de bien vouloir tenir l’accueil cette semaine et de prendre les inscriptions des enfants. Il m’expliquait les formalités à remplir et il06 - Corvée - D - -.- me souhaitait une bonne journée. J’allais chercher le marqueur dans le tiroir de mon bureau à l’étage. Je regagnais mon poste au rez-de-chaussée et je faisais entrer la personne qui attendait. En m’assaillant, je dus retenir un râle en sentant le plug pénétrer plus profondément et le gland se faire torturer et martyriser par les pics. Entre 07 - Corvée - D - -.-deux inscriptions, je prenais connaissance des dossiers en ma possession. Dans la matinée, à intervalle régulier, je sentais les pics empaler un peu plus ma pauvre queue. L’envie d’uriner devenait aussi de plus en plus pressente. Je fermais pour quelles que minutes l’accueil et je me dirigeais vers les toilettes de l’entrée. Je refermais la porte derrière moi. À mon 08 - Corvée - D - -.-grand regret, je m’apercevais que ces toilettes n’avaient pas de patères accrochées à la porte. Je déposais mon portable et le marqueur sur la tablette. Je me déshabillais et je rangeais mes habits sur le coin du lavabo. Lorsque j’enlevais mes chaussettes que je déposais sur le rebord du lave-mains. En posant les 09 - Corvée - D - -.-pieds nus sur le carrelage, je sentais la fraîcheur monter dans mes mollets. Je prenais le feutre et inscrivais la date du jour : "Mercredi 6 Septembre". Je devais l’inscrire sur deux lignes ne pouvant pas tout écrire à la suite. Les dates de fin d’année étant longues, j’allais devoir renouveler cette inscription sur deux lignes jusqu’au nouvel an…. 10 - Corvée - D - -.-Je photographiais la date. Je m’assaillais sur le trône après avoir relevé la lunette. Je sentis de suite la froidure de la faïence glacer mes petites fesses. J’ouvrais les vannes et je vidais ma vessie. Je séchais avec du papier toilette le bout de la cage. Je m’accroupissais et je prenais des clichés de l’intrus qui squattait mon pauvre côlon en le sortant et en le remettant en place. En me relevant, je m’apercevais que cette action m’avait fait mouiller et deux belles traces de ces fuites jonchaient le sol. Ma malheureuse queue tentait des sorties par les moindres 11 - Corvée - D - -.-interstices. Je prenais une photo de pieds et je m’apercevais que la médaille était restée en arrière. Je la passais devant et reprenais un nouveau cliché. Je terminais par un gros plan de la médaille. Quand toutes les prises de vues étaient dans la boite, je posais le téléphone et je me rhabillais en fermant la braguette. En enfilant le jeans, je sentis une nouvelle fuite se coller sur ma cuisse. Le faite d’avoir sorti le plug de son orifice avait excité le côlon et je sentais l’anneau faire des vas et viens entre les deux boules. Je positionnais la médaille dans le dos et j’enfilais le maillot puis la chemise. Je continuais par les chaussettes et les baskets. Je terminais en enfilant le gilet sans manche où je12 - Corvée - D - -.- rangeais le marqueur et le téléphone. Je tirais la chasse d’eau et fermais le couvercle des toilettes. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je vérifiais que je n’oubliais rien et j’ouvrais la porte pour reprendre ma place à l’accueil où une maman attendait pour inscrire ses enfants. Je la saluais et je la faisais entrer. Je m’essayais délicatement pour 13 - Corvée - D - -.-ne pas trop exciter l’intrus dans mon trou. Malheureusement ce ne fut pas le cas pour ma queue qui tentait une nouvelle érection contrariée ce qui empalait un peu plus mon pauvre gland sur les pics de la cage. Je sentais une nouvelle perte couler le long de la cuisse. Le midi en sortant du centre après être descendu les marches du14 - Corvée - D - -.- perron, discrètement je rouvrais la satanée braguette. Je rentrais chez moi pour déjeuner tandis que les pics continuaient de martyriser mon malheureux gland et l’anneau du côlon jouait avec les deux boules du plug. Les supplices et les tourments continuaient tout 15 - Corvée - D - -.-au long de la journée ! Je ne cessais de maudire cette damnée cage et l’intrus dans mon trou qui excitaient tout mon petit monde et provoquaient des fuites impromptues.

 

        Je dois tout de même remercier mes Masters pour les nouvelles directives instaurées par Maître Michael. Je vais devoir apprendre à les gérer en public. Heureusement, la chemise est là pour camoufler un tant soit peu cet inconvénient. Je remercie aussi mes Maîtres pour continuer l’éducation de leur soumis.

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Vendredi 18 août 5 18 /08 /Août 06:51

Mercredi 16 août 2017.

25 - Corvée - D - -.-        Corvée hebdomadaire : Je partais au travail avec le collier et sa médaille, le plug N°4 tenue par la ceinture et la cage qui maltraitait ma pauvre queue. Je portais une chemisette, une veste sans manche, un pantacourt, des socquettes et une paire de basket aux pieds. Chaque pas que je faisais pour gagner mon bureau était un calvaire ! Le plug jouait avec ma rondelle. Son anneau montait et redescendait entre les deux boules. Je devais mouiller car je sentais mon trou pousser de plus en plus. Comme la cage était plaquée contre la cuisse à cause du bermuda qui était serré, chaque fois que je bougeais la jambe gauche, la prison suivait le mouvement. Les pics en profitaient pour empaler un peu plus mon malheureux gland. Plus il était martyrisé et maltraité, plus cela le faisait bander. Malencontreusement l’érection était contrariée et déjouée par la geôle qui emprisonnait ma pauvre26 - Corvée - D - -.- bite. J’arrivais à destination avec soulagement !

        Je saluais les collègues, les parents et les enfants présents. Je montais à mon bureau mais chaque nouvelle marche était une persécution de plus. Mon malheureux anneau continuait ses vas et viens. Mon pauvre gland était tellement excité qu’il devait, comme d’habitude, emplir sa cavité et de plus en plus empalé par les picots. C’était un cercle vicieux et j’avais hâte d’arriver à mon poste de travail. de plus, régulièrement, je sentais des filaments se coller sur la cuisse. Ma plus grande crainte en ce début de journée c’est qu’une perte, au lieu de se contenter de ma cuisse sorte par mon bermuda. C’est pourquoi, régulièrement je vérifiais qu’il n’y avait pas de fuites désobligeantes. Plus cette abstinence forcée dure et plus elle 27 - Corvée - D - -.-est humiliante, dégradante et frustrante ! Je déposais ma veste sur le dossier du fauteuil. Je prenais ma bouteille que j’allais remplir d’eau pour la journée comme la chaleur était revenue.28 - Corvée - D - -.- Je tentais de faire des pas les plus légers possibles pour ne pas trop exciter mes encombrants convives. En m’assoyant, je sentis le plug pénétrer plus profondément dans le côlon et son premier anneau jouer avec les deux boules. Je prenais le marqueur dans son tiroir et je le plaçais dans une des poches frontales de ma veste avec le téléphone. Pour pouvoir me concentrer sur mon travail je devais 29 - Corvée - D - -.-calmer tout ce petit monde en révolte. Mon collègue arriva sur ces entres faits et me saluait en allant prendre sa place dans la même pièce que moi. J’avais une nouvelle contrainte, de faire attention de ne pas alerter mon voisin. Je me concentrais sur mon labeur en étouffant tout gémissement. De temps en temps, je buvais une gorgée d’eau. Au fur et à mesure de mes absorptions, ma vessie se remplissait inexorablement. En milieu de matinée, mon collègue m’informait qu’il prenait une pause et m’invitait à griller une cigarette. J’acceptais car ma vessie atteignait son remplissage maximum. Je lui répondais que je terminais la phrase que je tapais et que je passerai aux toilettes avant de le rejoindre. Dès que je ne le voyais plus, je prenais ma veste et après avoir30 - Corvée - D - -.- vérifier qu’aucun collaborateur était en approche, je me dirigeais vers les toilettes. Dès que je reprenais la marche et du mouvement, mes infortunés invités reprenaient du service. Ils agressaient ma pauvre queue et jouaient avec mon côlon. Je refermais la porte immédiatement derrière moi. Je 31 - Corvée - AD - -.-déposais sur la tablette du lavabo le marqueur et le téléphone que j’allais utiliser. Je commençais à me déshabiller et j’accrochais, au fur et à mesure, mes vêtements aux patères mises en place récemment. Je faisais attention de faire le moindre bruit possible et d’éviter tout gémissement. Je déposais mes socquettes sur le bord du lavabo après avoir ôté mes baskets. Je sentis le froid du carrelage32 - Corvée - D - -.- dès que je posais les pieds nus dessus mais sans résultat pour les geôliers qui continuaient leurs tortures. Les pics continuaient inlassablement à empaler ma pauvre queue et le plug jouait infatigablement avec son anneau. Je m’assaillais sur le bord de la cuvette après avoir relevé la lunette des toilettes. 33 - Corvée - D - -.-Mes malheureuses fesses furent saisies par le froid qui en émanait sans résultat positif et calmant non plus. Je notais sur ma cuisse gauche la date du jour soit le : "Mercredi 16 août". J’attrapais, ensuite, le portable et je prenais les premiers clichés de mes vêtements suspendus et de la date fraîchement inscrite. Je m’assaillais sur le34 - Corvée - D - -.- trône qui glaçait mes pauvres fesses. J’ouvrais les vannes tout en prenant des clichés. J’espérais en vain que le fait d’uriner allait stopper pour un moment cette érection ignoble, dégradante, involontairement continue et constamment contrariée par la maudite cage. Non seulement ma malheureuse queue emplissait toute sa geôle mais tentait aussi des sorties par les moindres trous. La situation devenait de plus en plus frustrante, humiliante et dégradante ! 35 - Corvée - D - -.-Je me baissais en posant le téléphone sur le carrelage et je prenais le plug en photo. Je le sortais de son habitacle. Je m’apercevais que j’avais tâché une fesse tellement j’avais dû mouiller. Je ne préférais pas regarder le 36 - Corvée - D - -.-pantancourt dans l’état où il pouvait être. Avec des feuilles de papier toilette humide je nettoyais la salissure et les pertes sur ma cuisse. Je repositionnais l’invité devant ma petite fleur et je le remettais en place en bouchant cet orifice. L’anneau goba de suite la première boule et stationna entre les deux. Je continuais avec le collier que je tournais pour placer la médaille sur le torse. Je sentis alors une coulure sur le long de ma cuisse. Je regardais mon pauvre gland qui continuait à avoir des fuites. Mouiller ainsi de la queue et du cul devient de plus en plus frustrant, humiliant et avilissant ! Je nettoyais les salissures sur le carrelage. Je photographiais une 37 - Corvée - D - -.-dernière fois les attributs du slave en terminant par une prise de pieds du bâtard que je suis.

38 - Corvée - D - -.-        Mon collègue s’inquiétait de ne pas me voir, venait frapper à la porte me demander si tout se passait bien. Honteux et confus je lui répondais par l’affirmatif et que j’arriverai dans un instant. Je m’empressais à me rhabiller et à ranger le matériel dans les poches frontales de ma veste sans manche. Je tirais la chasse d’eau en remettant en place la lunette. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je vérifiais une dernière fois les lieux et j’ouvrais 39 - Corvée - D - -.-la porte pour rejoindre mon collègue au coin fumeur. Au passage, je me servais un bon café bien fort. Malheureusement les tortures continuaient. Les pics persévéraient à empaler mon pauvre gland et l’anneau du côlon continuait ses vas et viens entre les deux boules ! Je devais me retenir pour éviter tous gémissements. Aux questionnements de mon collègue sur la durée de mon séjour aux toilettes je répondais que j’avais des problèmes intestinaux ce qui coupait court à tout commentaire désobligeant. Après avoir bu nos cafés et grillés une tige de huit, nous regagnons respectivement nos postes de travail pour la fin de matinée.

 

        Je remercie de nouveau mes Masters pour cette nouvelle étape dans l’éducation du bâtard que je suis. De continuer et de parfaire l’éducation de leur slave dévoué. De lancer le compte à rebours pour la prochaine vidange car la situation du slave devient de plus en plus humiliante, dégradante et avilissante.

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Vendredi 11 août 5 11 /08 /Août 07:15

Mercredi 9 août.

11 - Corvée - D - -.-        Je passais une nuit blanche. Chaque fois que j’essayais de m’endormir, les pics de la cage empalaient mon malheureux gland. Plus je tentais de me détendre et plus la cage martyrisait ma pauvre queue ! À mon grand désespoir, elle avait des fuites et drainait des secrétions séminales qui mouillait ma cuisse. Sur le matin, je me décidais à me lever. Après un bon café pour démarrer la journée, je passais à la salle de bain. Je faisais un nettoiement complet de la geôle et de son prisonnier espérant que cela le calmerait ! Après la douche, je mettais en place pour la journée, le plug N° 04 et sa ceinture pour le maintenir en place. Cette mise en place provoquait la reprise du problème ! Je me remettais à mouiller de la queue. Je séchais cette fuite incongrue. N’ayant pas l’anneau adéquat pour la ceinture, j’utilisais le cockring en12 - Corvée - D - -.- place pour fermer cette dernière. Le problème est que son diamètre est plus petit que l’anneau d’origine ce qui augmente la compression de la base de la bite du slave. Cela cause aussi, avec le temps des 13 - Corvée - D - -.-sensations de brûlures au pubis et au périnée. La journée serait longue et humiliante !

        Je me rendais au travail sous une pluie battante. Chaque nouveau pas était devenu un calvaire ! Le plug jouait avec le côlon et la cage empalait ma malheureuse queue. Je sentais se coller sur la cuisse des fuites inopinées. Heureusement, j’avais un pantalon et donc aucun risque de14 - Corvée - D - -.- mauvaise surprise qui dépasserait d’un short. J’arrivais à destination et je saluais les collègues, les parents et les enfants présents. Je montais à l’étage. Chaque nouvelle marche était, elles aussi, dégradantes pour les mêmes raisons. Je mouillais de la queue de plus en plus ! Je ressentais ces fuites indécentes se coller sur la cuisse gauche. En prenant place à mon poste de travail, je sentis l’intrus pénétrer un peu plus profondément dans mon côlon. Le premier anneau en profitait pour gober la boule supérieure et se stabiliser entre les deux. J’ouvrais le tiroir du bureau pour prendre le marqueur et je l’installais dans la poche frontale de la chemise. Je me mettais au travail. Sans bouger, mon petit monde se calmait progressivement et je pouvais me concentrer sur mon labeur. 15 - Corvée - D - -.-Depuis la canicule, j’ai une bouteille d’eau sur le coin de mon plan de travail et régulièrement, j’en bois une gorgée. Tout ce qui entre par un bout doit ressortir par son extrémité…. Un peu avant 11 heures du matin, ma vessie atteignait le seuil critique. L’envie devenait de plus en plus pressente. Je me décidais à prendre une pause pour me rendre aux toilettes. Je vérifiais que personne était en vue dans le couloir. Dès que je me levais et que je me mettais en route, mon petit monde se réveillait.16 - Corvée - D - -.- L’anneau faisait des vas et viens entre les boules. Les pics de la cage empalaient le pauvre gland excité. Je pressais le pas et je fermais derrière moi, la porte des toilettes. J’installais sur la tablette le téléphone et le marqueur. À la demande de plusieurs utilisateur, l’homme d’entretien venait d’installer des patères sur les portes intérieures.  J’ôtais ma chemise, mon jeans que j’accrochais. Mes baskets et mes socquettes patientaient sur le carrelage. Pieds nus, je sentais le froid de celui-ci monter dans mes jambes. Je relevais, à contre-cœur, la lunette des toilettes. Une nouvelle fois en tenue d’Adam, assis sur le bord de la cuvette, je notais sur ma cuisse gauche la date du jour : "Mercredi 9 août". J’attrapais le téléphone et je la photographiais. Je m’asseyais 17 - Corvée - D - -.-sur la faïence glacée, les fesses gelées, les jambes écartées comme le demandent mes Masters. Je prenais les clichés suivant tout en soulageant ma vessie. C’est vraiment trop humiliant et dégradant de devoir prendre ces photos intimes. En me relevant, je prenais une photographie du collier.   18 - Corvée - D - -.-   19 - Corvée - D - -.-

 20 - Corvée - D - -.-   21 - Corvée - D - -.-

22 - Corvée - D - -.- M’apercevant que la médaille était restée dans le dos, je la plaçais sur le torse. Les pics n’avaient pas arrêté d’empaler le gland qui, excité, provoquaient une érection contrariée par la cage. Ma malheureuse queue est tellement à l’étroit dans celle-ci qu’elle tente une sortie par les trous d’aération. Mon pauvre gland est, lui aussi, tellement enserré que la collerette tente un échappement par une autre alvéole. Il est de plus en plus empalé par son geôlier. Je ne cesse de la maudire ! Mon trou poussait toujours. Je me baissais et déplaçais le bloc-plug. Je retenais en vain l’intrus qui sorti instantanément. Un gémissement s’échappa ! Mon 23 - Corvée - D - -.-palpitant se mit à battre la chamade. Je faisais silence et vérifiais que personne ne m’avait entendu. Ma petite fleur mouillait comme une vraie s…. Je le remettais en place et je l’immobilisais avec la ceinture. En me relevant, humiliation ultime ! Le faite d’avoir aéré l’invitée, je mouillais aussi de la bite. Je savais, à contre-cœur, que mes Masters seraient heureux de voir cela. En regardant dans le miroir, je vis que la médaille n’était pas dans le bon sens. Je lui faisais faire un demi-tour pour que le N° du slave apparaisse. Je prenais un dernier24 - Corvée - D - -.- cliché de pieds. Tous les témoins dans la boite, je déposais le téléphone sur le bord du lavabo. J’enfilais mes chaussettes et je me rhabillais avec soulagement. Je rangeais l’appareil photo et le marqueur dans la poche frontale de ma chemise. Je tirais la chasse d’eau et je me rinçais les mains. Après les avoir séchés, je faisais un instant silence. N’entendant aucun bruit, je me décidais à sortir. Je passais à la salle de repos pour boire un jus de fruit. De nouveau, à chaque pas le convive jouait avec le côlon et la cage empalait ma malheureuse queue à l’étroit. Lorsque j’étais bien rafraîchi, je regagnais mon poste de travail. Avec soulagement, je reprenais place sur mon fauteuil. Je rangeais dans son tiroir le marqueur et le téléphone dans ma veste. Je reprenais mon labeur.

 

        Je remercie mes Maîtres pour cette nouvelle journée. De continuer mon éducation et de la faire évoluer dans les sphères de la soumission.

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Dimanche 6 août 7 06 /08 /Août 07:04

Mercredi 2 août

        J’arrivais au bureau et je garais ma voiture. Sur le trajet, les pics n’avaient pas cessé de martyriser mon pauvre gland et le côlon n’arrêtait pas de se distraire avec son jouet. Avec soulagement, je sortais du véhicule. Je me rendais au bureau mais à chaque nouveau pas les tortures continuaient de plus belle. Pour cette journée spéciale, elle allait être très longue….

01 - Corvée - D - -.-        J’arrivais à destination et en entrant, je saluais les collègues déjà présents, les parents qui amenaient leurs enfants et ces derniers. Je gagnais mon poste de travail à l’étage. Chaque nouvelle marche gravit, aggravait le martyre de ma malheureuse queue et de mon pauvre petit trou. Enfin arrivé à mon bureau, je préparais le marqueur que je rangeais02 - Corvée - D - -.- dans une des poches frontales de ma veste sans manche. Je m’assaillais délicatement sur mon fauteuil en lançant mon ordinateur. Je sentais progressivement le plug N°4 pénétrer plus profondément. L’anneau intérieur en profitait pour jouer avec celui-ci en montant et descendant entre les boules. La cage exploitait cette 03 - Corvée - D - -.-excitation et spéculait avec ses picots. Je me concentrais sur le dossier que je devais rendre pour calmer ce petit monde en effervescence. Pour éviter tout gémissement incongru, je retenais ma respiration. Je soufflais et je reprenais ma respiration doucement et04 - Corvée - D - -.- régulièrement en évitant tout geignement. Je maintenais ainsi mes garnements dans un calme approximatif. En me concentrant sur mon travail, j’arrivais avec difficulté à canaliser mes chenapans de contraintes. Avec la canicule, j’avais pris une bouteille d’eau que je gardais près de moi. Régulièrement, j’en buvais quelles que gorgées. Tout liquide qui pénètre doit ressortir…. Doucement mais sûrement, ma vessie se remplissait. En milieu de matinée, l’envie de me rendre aux 05 - Corvée - D - -.-toilettes devenait de plus en plus urgente. Je vérifiais une dernière fois le couloir. Ne voyant pas âmes à l’horizon, je prenais mon courage à deux mains et je me levais. En maîtrisant ma respiration et en se concentrant sur le dossier, j’étais arrivé à contrôler, à peu près, mes excentriques convives. Mais dès que je commençais à marcher,  tout ce petit monde reprirent leurs œuvres dissidentes. J’arrivais aux toilettes et je fermais à clef la porte derrière moi. Je devais contenir une mutinerie tout en me déshabillant. Je déposais06 - Corvée - D - -.- mes vêtements sur le bord du lavabo. En ôtant mes socquettes, je ressentis le froid du carrelage qui calma un temps mes garnements. Je prenais le marqueur que j’avais déposé sur la tablette. Assis sur le coin de la cuvette, je notais la date du jour : "Mercredi 2 août". J’attrapais ensuite le portable et je photographiais ce graffiti. Je relevais la lunette et je lâchais les vannes. La vidange terminée, je séchais le bout de la cage et mon méat afin d’éviter des pertes inopinées. Je prenais de nouveaux clichés de la jambe taguée, de la geôle de ma malheureuse queue et de la ceinture en cuir. Accroupi, j’immortalisais l’intrus dans ma rondelle en le sortant à moitié et son bloc-plug ce qui raviva ses débordements. En me relevant, 07 - Corvée - D - -.-je positionnais la médaille du collier de slave sur le devant. Je la remettais en place avant de me rhabiller. J’entendis 08 - Corvée - D - -.-dans le couloir deux personnes qui s’approchaient. J’évitais tout bruit et je retenais ma respiration. Mon palpitant se mit à battre de plus en plus fort et rapidement. Heureusement ils continuèrent leur chemin. Je terminais de me rhabiller pour la troisième fois de la matinée. Je tirais la chasse d’eau et je me lavais les mains. Je rangeais le matériel dans les poches frontales de mon gilet sans manche. Avant d’ouvrir la porte je tendais l’oreille.09 - Corvée - D - -.- N’entendant plus de bruit, je me décidais à sortir et regagner mon poste.10 - Corvée - D - -.- Le temps que j’arrive à mon bureau, les convives avaient repris leurs excentricités. Je m’assaillais et je reprenais ma respiration et ma concentration pour faire patienter les clandestins jusqu’à la pause de midi. Ces extravagances perpétuelles sont toujours aussi humiliantes, dégradantes et avilissantes. Je replaçais le marqueur à sa place dans son tiroir jusqu’à la prochaine fois. Je reprenais la rédaction de mon dossier.

 

        Merci mes Masters pour cette nouvelle épreuve, pour continuer à faire évoluer   votre slave dans la soumission et sur les chemins que vous désirez.

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Samedi 29 juillet 6 29 /07 /Juil 14:44

Mercredi 26 juillet.

        La nuit a été longue et douloureuse avec un trou aux enfers, qui ne cessait de mouiller, de jouer avec son invité, le plug N°3. Soit des cauchemars avec des réveilles en sursaut, soit des stages aux toilettes pour calmer ce petit monde composait la nuit du slave. Ma pauvre queue n’était pas, elle non plus au paradis. Les pics martyrisaient le malheureux gland qui, plus il se gonflait, plus il s’empalait sur les pieux et plus cela l’excitait….

01 - Corvée - D - -.-        L’heure du réveil sonnait enfin ! Je me levais, après avoir déjeuné et fait ma toilette, je me préparais à partir au bureau. J’avais mis un jeans, une chemisette, un gilet sans manche et une paire de socquette. Maître Michael avait commandé, à mon grand regret, que je reprenne la corvée hebdomadaire tous les mercredis. Au préalable, j’avais installé le plug N°4 après avoir calmé l’anneau intérieur avec un suppositoire et bloqué le tout grâce à la ceinture. J’en prenais en réserve dans une poche pour le travail.

        Le premier anneau avait gobé la boule supérieure du plug avant de partir. Je me rendais à mon travail. À chaque pas, je le sentais tenter de faire de même, sans succès, avec la seconde boule. Il montait et redescendait malgré le suppositoire que j’avais posé. De même pour la cage, les picots empalaient mon malheureux gland. Plus ils pénétraient et plus02 - Corvée - D - -.- cela excitait ma pauvre queue. J’arrivais enfin à destination. Je saluais les collègues et je prenais place à mon bureau. La veille, j’avais préparé le marqueur dans le tiroir supérieur. Je le rangeais dans la poche de la chemisette. En m’asseyant, je sentis le plug 03 - Corvée - D - -.-pénétrer un peu plus profondément dans le côlon. Quand mon trou redoublait de vigueur, je bloquais ma respiration pour éviter tout gémissement. J’essayais difficilement de me concentrer sur mon travail. En milieu de matinée, je me décidais à me rendre aux toilettes pour réaliser la corvée hebdomadaire. Je pourrai renouveler le suppositoire afin de tenir jusqu’à la04 - Corvée - D - -.- pause de midi car l’invité était en train, de plus en plus, exciter mon malheureux trou. Je jetais un œil au couloir et ne voyant personne à l’horizon, je me décidais à me lever. Chaque pas que je devais faire pour atteindre les toilettes, augmentait le calvaire de ma queue et de mon cul ! Je refermais la porte derrière moi. Je posais le marqueur et le portable sur la tablette. Je me déshabillais et posais mes affaires sur le bord du lavabo. Je prenais le marqueur à contre-cœur et je notais la date du jour : 05 - Corvée - D - -.- "Mercredi 26 juillet 2017." Après avoir pris un cliché, je relevais la lunette des toilettes et je vidais ma vessie.

06 - Corvée - D - -.-        Heureusement la ceinture maintenait le plug car l’anneau ne cessait de jouer avec. Avant de m’en occuper, je prenais des photos de la médaille que j’avais mise sur le devant et de la prison de ma queue. Je posais le portable à terre et je m’accroupissais. Je déplaçais légèrement le bloc-plug pour libérer celui-ci. Mon trou poussait tellement que je devais le tenir pour ne pas l’expulser d’un coup. Je prenais un suppositoire dans la poche de la veste que je présentais à ma petite fleur. Je le faisais pénétrer pour qu’il atteigne l’anneau. Je reprenais le plug et le présentais à mon petit trou qui se mis à pousser. La première boule pénétrait. Je sentis ma pauvre queue se gonfler encore plus et les pics empaler mon malheureux gland. Ces différentes piqûres avaient pour conséquence de l’exciter et d’augmenter07 - Corvée - D - -.- l’envie d’une érection contrariée par sa prison. Je poussais pour faire pénétrer le convive et qu’il reprenne sa place. Je ressentais de plus en plus les picots martyriser mon pauvre appendice. Je repositionnais la ceinture pour tenir ce petit monde.

 08 - Corvée - D - -.-  09 - Corvée - D - -.-

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16 - Corvée - D - -.-        Je me relevais et je prenais un nouveau cliché de pieds du slave. La cage suppliciait de plus en plus ma queue. Je n’arrivais pas à la calmer. Chaque pic qui pénétrait dans le gland, l’excitait un peu plus. Elle était tellement compressée, qu’elle tentait de sortir par les petits trous de coté. Le gland emplissait le bout de celle-ci où les pics se situent. Plus ils l’empalaient et plus j’essayais en vain de bander. J’avais de plus en plus envie de pouvoir me masturber et enfin jouir. C’est devenu une telle obsession que la nuit j’en fais des cauchemars. Plusieurs fois le matin, je me réveillais avec une tache au drap. Je maudissais de ne pas avoir pu plus en profiter car ce n’était qu’un vague souvenir. Parfois, le jus coulait encore sur la cuisse ce qui augmentait ma frustration et mon humiliation d’être contraint à l’abstinence depuis si longtemps. Lorsque j’avais toutes les preuves dans mon téléphone, je me rhabillais avec17 - Corvée - D - -.- ces pensées en tête. Chaque jour j’espère  que mes Masters me convoque pour enfin pouvoir vidanger mes couilles débordantes. Je replaçais le marqueur et le téléphone dans les poches frontales. Discrètement, j’ouvrais la porte et n’entendant pas de bruit, je retournais à mon poste. Mon trou se calmait progressivement mais mon gland maltraité maintenait une érection contrariée.


        Je dois remercier mes Maîtres pour faire reculer mes limites et pour continuer à suivre le slave que je suis. Eux seuls savent ce qui est bon ou non pour un bâtard comme moi. C’est pourquoi ils ont toujours raison !

 

Merci à mes Masters !

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Dimanche 5 mars 7 05 /03 /Mars 15:28

Le mercredi 1er mars :

01 - Bureau - D - -.-        Mardi matin, Maître Michael ordonnait que je doive exécuter les propositions de Master Phénix. J’aurai aimé maudire celles-ci mais je savais que j’aurai des complications dans ce cas. Mardi soir, avant de partir du bureau, je prenais le marqueur dans mon tiroir. Mercredi matin, Maître Michael me rappelait les instructions de la veille. J’espérais qu’il n’y pensait plus. Malheureusement ce n’était pas le cas ! Non seulement il renouvelait son injonction mais le surenchérissait avec une punition en prime si les propositions n’étaient pas réalisées. C’est donc, à contre-cœur, après la toilette, je m’assaillais sur le coin du lit avec le maudit marqueur à la main. Sur ma cuisse gauche, j’inscrivais la date du jour soit le "mercredi 1er mars" avec mépris pour cette nouvelle résolution. Contraint et forcé, je prenais mon téléphone pour exécuter le premier cliché de l’humiliante série. Je m’habillais pour partir au travail. J’allais devoir porter toute la journée cette maudite marque. C’est d’autant plus humiliant et dégradant de savoir que cette inscription est sur mon corps. J’enfilais ma veste, mon bonnet et je fermais la porte de mon domicile à clef.

        Sur le chemin du bureau, le plug continuait de s’amuser avec ma petite rondelle et mon anneau intérieur. La cage poursuivait d’empaler mon pauvre gland et d’interdire toutes érections de ma malheureuse queue. C’est un stalag, un goulag pour mon infortuné appendice éprouvé. La frustration devenait chaque jour un peu plus intense. J’arrivais enfin sur mon lieu de travail, frustré, atrophié. Je saluais les personnes déjà présentes et je gagnais mon poste.

        Sur le dossier de mon fauteuil, je posais machinalement ma veste et mon bonnet. J’avais en permanence, devant mes yeux, ma cuisse spolié. Je me mettais au travail en espérant que cette image cesse. Je faisais attention aux allés et venus des collaborateurs dans le couloir. Lorsque ma vessie sera pleine, une nouvelle fois je devrais me rendre aux toilettes pour réaliser la corvée hebdomadaire. De toute la matinée, je n’arrivais pas à ôter l’image de la tête de ma jambe atrophiée. Je sentais doucement une envie monter en moi. Je buvais régulièrement un peu d’eau pour remplir ma réserve. Ma bouteille est en permanence sur le coin de mon bureau. Tous les matins, en arrivant, je la remplis pour alimenter mon réservoir. À force de boire régulièrement, ma petite citerne se remplissait inexorablement.

02 - Bureau - D - -.-        En deuxième partie de matinée, l’envie devenait de plus en plus intense. Je me décidais enfin à me rendre aux toilettes. Je vérifiais machinalement que mon téléphone était bien dans la poche frontale de ma sous-veste. Au moment où je me levais pour m’y rendre, un collègue arrivait dans le couloir pour prendre ma place. Je devais attendre et je reprenais place dans mon siège. Je jetais régulièrement et discrètement un œil vars la porte du local qui distribue les toilettes. Après quelles que minutes, il ressortit et repartit vers son bureau. J’attendais encore quels instants et je me décidais à me lever.

        Je refermais la porte à clef dès que je rentrais dans les toilettes. Je posais, comme d’accoutumé, mon portable sur le rebord du lave-mains. Aujourd’hui, pas besoin du marqueur comme le message était inscrit sur ma cuisse 03 - Bureau - D - -.-depuis le matin. Je me déshabillais et je posais mes vêtements pliés sur le bord du lavabo. En me déchaussant, je sentis le froid du carrelage sous mes pieds malgré mes chaussettes que j’avais depuis lundi matin. Je voulais en changer ce matin mais Maître Michael avait bien insisté pour que je respecte tous les 04 - Bureau - D - -.-points réclamés par les visiteurs. Je terminais par les ôter et j’en posais une en attente avec mes affaires et l’autre, je la passais dans un anneau du harnais pour la tenir. Comme avait précisé Master Phénix, je plaçais la plante des pieds contre mon torse. Je trouvais cela d’autant plus humiliant qu’elle était humide de transpiration. Une petite odeur de pieds monta à mes narines. L’ayant porté contre moi, cette odeur risquerait de me suivre un moment. Je prenais sur moi pour ne pas maudire qui que ce soit. Ce supplice inhumain et dégradant risquait d’être renouvelé avec une crainte que ça devienne le quotidien. Je prenais le téléphone en main et je refaisais un cliché de l’inscription qui est sur ma cuisse.

05 - Bureau - D - -.-        Je relevais la lunette des toilettes et je m’assaillais sur la faïence glacée. Je sentais la froidure remonter dans mes petites fesses et se diffuser dans tout le corps. Un frisson me secouait de la tête aux pieds. Je bougonnais en moi-même pour éviter toutes pensées désobligeantes. Je vidais ma réserve tout en photographiant cette nouvelle vidange avec le graffiti sur la cuisse. Je faisais mon possible pour évacuer jusqu’à la dernière goutte afin d’éviter toute fuite. Je me relevais en séchant le bout de la cage avec du papier toilette. J’immortalisais l’invité dans mon petit cul avec sa ceinture de sécurité. Je continuais avec la maudite prison qui enchâsse ma pauvre petite queue. À contre-cœur, je roulais la seconde chaussette sur elle-même ; la plante des pieds humide de 06 - Bureau - D - -.-transpiration à l’extérieur comme l’avait précisé le Master dans son commentaire. Je l’enfournais dans ma petite gueule. Je respirais l’odeur de transpiration en permanence. Devoir se faire un bâillon avec une chaussette est déjà humiliant, mais le réaliser avec une socquette vieille de trois jours est d’autant plus dégradant et avilissant. Une 07 - Bureau - D - -.-rage et une colère intérieure montaient en moi que je ne pouvais extérioriser sous peine de graves sanctions. Je continuais malgré moi, le reportage photo avec cette muselière odorante. Je terminais avec des photos de pieds, de la cage et du tag.

        Quand je pensais que tout était dans la boite, je me rhabillais en 08 - Bureau - D - -.-commençant par les chaussettes. En retirant le bâillon, un goût âpre persistait en bouche. Je tentais, sans succès, de boire un peu d’eau pour l’atténuer. Je continuais à me rhabiller quand une personne essaya d’ouvrir la porte. Je lui demandais encore deux minutes, j’avais presque terminé…. Je finissais de me revêtir et je rangeais, une nouvelle fois, le téléphone dans une des poches frontales de ma sous-veste. Je tirais la chasse d’eau et je me rinçais rapidement les mains. Je me les séchais encore plus vite et tout en jetant un dernier coup d’œil aux lieux, j’ouvrais la porte. Je me retrouvais devant mon directeur. Je le saluais et je le laissais passer pour prendre la place toute chaude.

09 - Bureau - D - -.-        En retournant à mon poste de travail, j’essayais d’imaginer ce qui se passerait si par malheur, un jour, j’oubliais ou je fermais mal la porte des toilettes. Plus grave, qu’un collègue, le directeur ou un administrateur entrait sur ces entre-faits. Juste à cette idée plus qu’humiliante, dégradante et avilissante, mon palpitant se mit à battre la chamade. J’entrais dans mon bureau lorsque je sentis, une nouvelle fois, une goutte d’urine couler le long de la jambe. J’avais pourtant bien fait attention de vider complètement ma vessie et de bien sécher la maudite prison. Il y avait encore, une nouvelle fois, une fuite désobligeante. Je maudissais ces pertes inopportunes. Je reprenais place dans mon fauteuil de bureau. Je frottais une jambe contre l’autre pour assécher 10 - Bureau - D - -.-cette nouvelle fuite. La matinée se terminait devant mon poste de travail. À la question de pouvoir effacer cette maudite marque, j’attendrai le soir pour trouver une nouvelle méthode et une solution moins invasive.

 

        Je remercie mes Masters, Master Éric et Maître Michael pour me faire évoluer dans la soumission et l’obéissance. Pour leurs disponibilités, leurs dévouements et leurs magnanimités, je les gratifie de toute ma reconnaissance et ma docilité. De mêmes aux visiteurs qui me suivent depuis plusieurs mois, je les congratule pour leur fidélité et les messages qu’ils daignent me faire parvenir et qui donnent de nouvelles idées à mes Maîtres.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Mardi 28 février 2 28 /02 /Fév 13:02

Le mercredi 22 février :06 - Plug N° 06 - Affiché - -

 

Notification :

        Suite à plusieurs commentaires postés sur le blog, les Masters ont décidé que certains vocabulaire seront proscrit pour le slave. Il ne pourra plus utiliser pénis, verge, testicules, anus… mais queue, nouilles, couilles, cul….

 

 

30 - Bureau - D - -.-        Pour plaire à mes Masters, je décidais de changer de plug pour la journée. La veille au soir ayant dû faire un lavement, j’avais mis pour la nuit le N°03. Je choisissais le N° 06 pour cette journée de corvée hebdomadaire bien qu’avec celui-ci, mon pauvre cul allait être explosé ! Après avoir pris ma douche et fait ma toilette je changeais d’invité. À mon grand désespoir, je prenais mon téléphone pour débuter le 31 - Bureau - D - -.-complément visuel du rapport. Je le posais sur le sol et je commençais à sortir le plug en place. Je sentais mon petit cul s’ouvrir au fur et à mesure que cet intrus était expulsé. Dès qu’il fut évacué et avant que ma petite fleur se referme, je la prenais en photo. Elle était ouverte dans toute sa splendeur avec son petit cœur humide….

        Je graissais le nouveau convive et je le présentais à mon trou. Au fur et à mesure que le cône pénétrait, mon cul s’ouvrait jusqu’au moment 32 - Bureau - D - -.-où il butait contre le premier anneau du côlon. Suite à une nouvelle poussée, celui-ci s’entrouvrait aussi et laissait pénétrer ce nouveau venu. Quant à mon cul, il accueillait la base du cône. Il se trouvait alors défoncé et toute la journée il aura la sensation d’être explosé et en feu ! Je lui installais sa ceinture de sécurité ainsi il ne pourrait plus bouger. Dès sa mise en place, l’anneau intérieur se mettait à faire du toboggan sur ce nouveau venu. La cage 33 - Bureau - D - -.-ne cessait pas de martyriser ma malheureuse queue. La journée allait être longue, très longue… ! Lorsque tout ce petit monde se calma un peu, j’en profitais pour m’habiller.

        Après avoir pris mon petit-déjeuné, j’enfilais ma veste et mon bonnet pour partir au travail. Tout le long du trajet, malgré le froid ambiant persistant, je sentais les pics empaler mon pauvre gland qui provoquait une érection contrariée par la cage. Mon pauvre trou était 34 - Bureau - D - -.-explosé ! J’avais le cul qui ne cessait de pousser ce qui stimulait l’anneau intérieur qui montait et descendait sur son nouveau jouet…. Chaque nouveau pas était un supplice qui me poussait à gémir. Je faisais mon possible pour les atténuer ou carrément les retenir. Je craignais que les personnes que je croisais ne s’aperçoivent de mon "mal être". J’essayais de rester le plus naturel possible. Je m’en voulais et je me maudissais d’avoir pris l’initiative de changer le plug. Je 35 - Bureau - D - -.-n’avais pas pensé au trajet à faire dans la rue….

        Après plus de dix minutes de torture intérieure, j’arrivais aux portes du bureau. Je saluais les collègues déjà présents en gagnant mon poste de travail. je posais ma veste et mon bonnet sur le dossier de mon fauteuil. Je cherchais dans mon dernier tiroir, sous mes dossiers, le marqueur pour la réalisation de la corvée hebdomadaire. Je le rangeais dans une des poches frontales de ma sous-veste et je 36 - Bureau - D - -.-vérifiais la présence du téléphone dans l’autre. Je me mettais au travail. Heureusement que j’étais assis car mon pauvre cul ne cessait de pousser à cause de son invité. Le premier anneau du côlon n’arrêtait pas de faire du toboggan sur ce nouveau jouet. Il s’amusait bien ! Il ne faisait que monter et redescendre de ce nouvel agrès. Mon malheureux gland continuait inlassablement 37 - Bureau - D - -.-à se faire empaler par les pics de sa geôle et ma pauvre queue était encastrée dans sa cage siliconée qui l’emprisonnait en lui empêchant toute érection. Je faisais mon possible pour retenir les gémissements que tout ce petit monde provoquait.

        Sur ces entre faits, mon voisin et collègue s’installa à son poste après m’avoir salué. Il se mettait, lui aussi au travail. Cette présence allait compliquer ma corvée hebdomadaire. Je devrais 38 - Bureau - D - -.-être le plus rapide possible afin qu’il ne se doute de rien. Un premier gémissement m’échappa et il s'alarma immédiatement. Je le rassurais en lui mentant et en lui avouant que j’avais des problèmes de digestions depuis la veille au soir. Il s’inquiétait alors sur mon état de santé. Pendant un cours instant nous échangions et j’essayais de le rassurer comme je pouvais. Malheureusement, je crains qu’il n’ait pas crû tout ce que je lui avais raconté. Je faisais mon possible pour me concentrer sur mon travail tout en retenant et en étouffant de nouveaux gémissements qui montaient du plus profond de mon être. J’avais hâte que ma vessie se remplisse pour être libérer de la prestation du jour tout en angoissant qu’un collaborateur ne s’aperçoive de la durée de mes séjours aux toilettes.

39 - Bureau - D - -.-        En milieu de matinée, une collègue était venue nous inviter à faire une pause cigarette. La plus part des présents acquiesçaient tout en la remerciant pour cette bonne idée. Nous laissions un instant notre travail en suspend le temps de se griller une tige. Au moment de descendre dans l’espace fumeur, je m’excusais et je m’éclipsais un instant 40 - Bureau - D - -.-en prétextant une urgence…. Discrètement je vérifiais avec la main, la présence du feutre et du portable dans les poches frontales. Je fermais la porte des toilettes à clef derrière moi.

        Je déposais sur le bord du lave-mains le téléphone et le marqueur. Je me déshabillais en déposant mes vêtements pliés à cheval sur le lavabo. Quand je retirais mes pieds des chaussures et que je les posais sur le carrelage glacé, le froid engourdissait mes pieds. Je terminais en ôtant mes chaussettes et la froidure glaciale amplifiée du sol remonta dans mes mollets. Une nouvelle fois, un frisson me secoua de la tête aux pieds. Je faisais attention de ne plus maudire qui que ce soit à part moi. J’accrochais une chaussette au harnais. Je prenais le marqueur et j’inscrivais, le moins gros possible, la date du jour sur ma cuisse gauche, soit "Le 22 . 2". Je 41 - Bureau - D - -.-relevais la lunette des toilettes. À mon grand désespoir, je prenais, d’une main, le téléphone.

        En m’assaillant, je sentis la froidure de la faïence me glacer les fesses. Un nouveau frisson parcouru tout mon corps nu. J’ouvrais les vannes et, avec soulagement, je vidais ma vessie. Pendant ce temps, j’en profitais pour continuer les clichés pour illustrer le rapport hebdomadaire suivant 42 - Bureau - D - -.-les directives. Bien que ce soit régulier, je n’arrive pas à m’habituer à être ainsi exhibé et humilié en publique. Après que la dernière goutte soit évacuée, je secouais légèrement la cage et je la séchais avec du papier toilette en espérant qu’il n’y aurait pas de fuite pour une fois. Je me relevais. Je prenais le plug et sa ceinture de sécurité en photo. Mon pauvre cul continuait, inlassablement, à être dilaté par la base de ce dernier. Je faisais de même avec la cage de chasteté qui emprisonne depuis plus de 7 mois ma malheureuse queue et que ses picots martyrisent mon pauvre gland en l’empalant et en l’excitant. Je roulais la seconde chaussette, que je portais depuis la veille au matin, sur elle-même et je la fourrai dans ma petite gueule de slave. Dès que je l’approchais pour la mettre en place, je sentais une légère odeur de pieds…. Je devais faire tous mes efforts afin de 43 - Bureau - D - -.-ne pas maudire une nouvelle fois qui que ce soit. Je prenais de nouveaux clichés avec cette dernière et le slave de pieds.

        Quand je pensais avoir tout en boite, je reposais rapidement le téléphone. Je commençais à me rhabiller en débutant par les chaussettes et le jeans afin de remettre, au plus vite, les 44 - Bureau - D - -.-chaussures aux pieds pour ne plus être glacé. Je continuais par le maillot, les pulls et la sous-veste où je rangeais, une nouvelle fois, dans les poches frontales, le téléphone et le marqueur. C’est à ce moment que j’entendis des pas dans le couloir. Je tirais rapidement la chasse d’eau et je remettais en place la lunette. Je terminais par baisser le couvercle, me laver les mains et je me les séchais. J’ouvrais la porte tout en vérifiant que je n’oubliais rien. Je me retrouvais nez à nez avec mon voisin et collègue qui s’inquiétait de ne pas me voir au coin fumeur.

        Je le rassurais et nous redescendions ensemble pour se fumer une tige de 7. Dans l’escalier, mes craintes se confirmèrent lorsque je sentis une nouvelle grosse goutte d’urine couler le long de la jambe. Une nouvelle fois, je haïssais ces maudites fuites intempestives. Discrètement, je frottais une jambe contre l’autre pour absorber cette 45 - Bureau - D - -.-détestable et ignominieuse perte. Je retrouvais la plus part de mes collègues avec une cigarette entre les doigts. En arrivant mon voisin fit un petit signe de la tête et tout le monde lui sourit. Je me sentais interdit, humilié et frustré car ils avaient dû faire des suppositions, des hypothèses pour concevoir des théories sur mes séjours prolongés aux toilettes. Pour étayer leurs présomptions, ils avaient certainement fait des paris sur chacun des pressentiments qu’ils avaient émis. Mon cœur se mit à battre de plus belle ! Le plug en profitait pour stimuler mon trou qui ne cessait de pousser. Les picots d’empaler mon malheureux gland qui stimulait ma pauvre queue qui tentait d’avoir une érection contrariée dans sa prison siliconée. Je faisais mon possible pour retenir mes gémissements devant tout ce monde. À force de bloquer ma respiration pour retenir mes plaintes, je devenais tout rouge ! Une collègue s’inquiéta de me 46 - Bureau - D - -.-voir ainsi en apnée et de la couleur d’une tomate bien mûre. Je la rassurais ainsi que ses voisins.

        J’abrégeais ma pause pour fuir ces curieux médisants et leurs commentaires tout aussi désobligeants. La remonté à mon poste fut une souffrance intérieure ! À chaque nouvelle marche que je gravissais, le convive dans mon côlon tentait de s’enfuir alors que sa ceinture de sécurité lui empêchait tout mouvement. J’avais le cul de plus en plus en feu. Les picots redoublaient, eux aussi, de vigueur ! Ils empalaient de plus en plus le bout de ma bite qui se trouvait stimulé et tentait une érection désespérée et contrariée par la maudite cage de chasteté ! J’arrivais enfin à destination !

        Je retrouvais mon poste comme je l’avais abandonné et je reprenais mon travail. De ma place, j’entendais des chuchotements de collègues. Je craignais qu’ils fassent de nouvelles prédications. Je rangeais le maudit marqueur dans son tiroir sous les dossiers et 47 - Bureau - D - -.-je me concentrais sur mon labeur pour ne plus entendre les chuchotements. La journée se déroulait ainsi avec des alternances de travail et des interludes de jeux humiliants, frustrants et dégradants avec le convive dans mon cul et ma malheureuse queue empalée  et emprisonnée dans sa prion siliconée ! Pour comble de toutes déchéances, je devais retenir tous gémissements intempestifs et fuir les médisants et avilissants commérages.


 

Je dois, avant tout, remercier mes Masters pour leur magnanimité et leur altruisme envers leur slave dévoué. Je gratifie aussi les visiteurs pour le suivi du bâtard que je suis et leurs commentaires qui me font progresser dans la soumission avec l’aval et sous le contrôle de mes Maîtres.

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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 07:12

Le mercredi 15 février :

        Lorsque je rentrais à midi chez moi, je changeais de suite ma paire de chaussettes vues l’état du carrelage des toilettes publiques que j’avais du utiliser le matin après la visite médicale. Comme je dois mettre une chaussette dans ma bouche, je me voyais mal, devoir utiliser celles de la matinée. Je pourrai faire la corvée hebdomadaire cet après-midi ayant une paire propre. Après avoir déjeuné et écouté les informations à la télévision, je me préparais à retourner au bureau. Comme je devais faire quelles que courses après le bureau, je gardais le plug N°04 à deux boules que j’avais introduit dans mon petit trou après la visite médicale mensuelle. Malgré le froid glacial qui persistait, l’invité continuait à s’amuser avec ma petite fleur et le premier anneau du côlon faisait du toboggan entre les deux boules.

        En marchant sur le trottoir, je sentais une coulure s’accrocher à ma jambe. Je devais mouiller car mon malheureux gland était empalé et martyrisé par les pics de la cage ce qui le stimulait. Mon pauvre pénis essayait en vain de se gonfler pour une érection qui, à cause de celle-ci, les contrariait. À force d’avoir en permanence des excitations contrecarrées, je mouillais de désespoir. Cette situation était devenue encore plus frustrante, dégradante et humiliante. Psychologiquement parlant, cette abstinence forcée depuis plusieurs mois devenait de plus en plus difficile et avilissante. Non seulement je faisais des cauchemars la nuit mais ça devenait aussi une obsession la journée. J’avais de plus en plus de mal à me concentrer sur mon travail et mes dossiers. En temps normal, j’aurai maudit mes Masters et les commentaires des visiteurs mais j’avais eu suffisamment de remontrances et de punitions pour garder en moi mes états d’âme.

        J’arrivais au travail sur ces réflexions. À l’avenir je vais devoir faire plus attention sinon, je vais encore avoir des problèmes.

     {- D’autant plus que Maître Michael a pris le contrôle de ma boîte aux lettres hier, le 24 février, et suite à des commentaires que j’ai dû lui transmettre, je n’ai plus le droit à certains vocabulaires !!! Sur proposition de Mr Alain44 et Master Phénix, une partie du dictionnaire que j’utilisais à mon encontre, m’est dors et n’avant interdit !!! Ce qui va être d’autant plus frustrant et humiliant de devoir utiliser certains termes familiers, voir dégradants, me concernant, suite à cette prise de contrôle ! -}

     Je gagnais mon bureau à l’étage et je me mettais au travail après avoir posé sur le dossier du fauteuil, ma veste, mon bonnet et mon écharpe. Je vérifiais le téléphone dans une des poches frontales de ma sous-veste. Je cherchais le marqueur au fond de mon dernier tiroir sous mes dossiers que je rangeais dans la seconde poche frontale. Quand ma vessie serait pleine, je pourrais ainsi aller aux toilettes ayant le matériel nécessaire pour la corvée hebdomadaire. Je jetais de temps en temps un œil sur les allers et venus des collègues dans le couloir. En m’asseyant sur le siège, le plug avait redoublé de vigueur après s’être réchauffé. Je devais retenir des gémissements lorsque mon trou essayait en vain de trop pousser et que l’anneau du côlon faisait du gymkhana avec l’invité du jour. Mon pauvre gland n’était pas non plus à la fête et était martyrisé pas les pics de la maudite cage qui l’empalait. Mon malheureux sexe, ayant été stimulé, tentait en vain d’avoir une érection contrariée par la prison qui l’enchâssait. Un petit gémissement arrivait à m’échapper et je relevais la tête en vérifiant qu’aucune personne était dans les parages et ne m’avait entendu. Un de ces jours, un collègue va m’entendre et j’aurai alors des questions désobligeantes que je ne pourrai pas répondre.

        Je finalisais l’organisation des animations proposées pour les vacances scolaires qui débuteraient en fin de semaine. J’e faisais mon possible pour me concentrer sur mon ouvrage et ne pas tenir compte des perturbateurs qui me côtoyaient. Doucement mais sûrement je sentais ma vessie se remplir jusqu’au moment où je ne teindrai plus et qu’il faudra que je me rende aux toilettes. Le directeur passa me saluer avant de se rendre dans son bureau mitoyen. Je faisais mon possible pour ne pas trop penser aux convives qui faisaient la fêtes jusqu’au moment où ma vessie se retrouvait pleine. Je ne pouvais plus attendre. Je devais aller me soulager rapidement et réaliser la corvée du jour. (J’ai failli dire la maudite corvée !)

20 - Bureau - D - -.-        J’écoutais attentivement et n’entendant aucun bruit, je me décidais à me lever. Machinalement, avec la main, je vérifiais dans les poches frontales, les accessoires. Je regardais furtivement la porte du bureau du directeur car elle est en face du local où il y a les toilettes. Heureusement, sa porte était poussé. Il voulait certainement ne pas être dérangé. Cela m’arrangeait grandement, ainsi il ne pouvait pas voir le temps que je resterai aux toilettes. Je repoussais la porte du local et je rentrais dans les toilettes hommes. Je refermais la porte à clef. Je posais sur le rebord du lave-mains, le téléphone et (le mau…t) marqueur. Je commençais à me déshabiller et je déposais mes vêtements pliés sur le bord du lavabo. Quand j’ôtais mes chaussures je sentis le froid du carrelage 21 - Bureau - D - -.-sous la plante des pieds malgré les chaussettes ! Je terminais de me dévêtir. Je finissais par les socquettes. J’en déposais une en attente avec le reste des habits et la seconde, je l’accrochais au harnais.

22 - Bureau - D - -.-        Je prenais le feutre et j’inscrivais la date du jour soit "Le 15 - 02" en faisant attention d’inscrire le moins gros possible et le moins de mots inutiles. Je le reposais et je prenais le téléphone. Je photographiais cette maudite date que je devrai difficilement effacer. C’est pourquoi je me débrouillais pour qu’il y ait le moins de chiffres, le moins de lettres et le moins gros possible ! La semaine précédente, j’avais eu des difficultés à faire disparaître l’inscription du jour…. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes, à contre-cœur. Je m’assaillais sur la faïence glaciale qui refroidissait mes malheureuses fesses. Le plug se mit à pousser 23 - Bureau - D - -.-mais bloquer par le harnais et son complément anal. Je me soulageais et j’en profitais pour prendre les clichés suivants. Terminé, je secouais la cage et les dernières gouttes. Je séchais, avec du papier toilette, la prison et son intérieur le mieux possible.

24 - Bureau - D - -.-        Je me relevais et je prenais une photo du convive et de sa ceinture de sécurité. Je faisais de même de la geôle qui emprisonne ma malheureuse queue et des picots martyrisant mon pauvre gland. Je cadrais avec le nouveau cadenas et son numéro inchangé à mon grand désespoir. Je roulais la seconde chaussette que je fourrais dans ma gueule de soumis. Je photographiais cette nouvelle humiliation. Je prenais les derniers clichés de pieds et de la cage siliconée. J’entendais de plus en plus de bruit dans le couloir avec des voix d’enfants. Un groupe devait venir utiliser notre salle de réunion pour une animation à cause du froid et du mauvais temps extérieur. En début d’après-midi, il s’était mis à pleuvoir un petit crachat fin.

25 - Bureau - D - -.-        Quand je pensais que tout était dans la boîte, je me rhabillais le plus rapidement possible. Je débutais par les chaussettes pour me réchauffer le plus hâtivement. Je me précipitais sur mon pantalon et mon maillot de corps. Je continuais par les pulls. Je terminais en enfilant ma sous-veste où j26 - Bureau - D - -.-e rangeais dans les poches frontales, mon téléphone et le maudit marqueur. Je baissais la lunette des toilettes et le couvercle. Je tirais la chasse d’eau. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je vérifiais autour de moi si je n’oubliais rien.

        J’ouvrais la porte et je  sursautais en me retrouvant devant un collègue qui arrivait pour se soulager. Je le laissais passer et prendre la place toute chaude. En me retrouvant ainsi nez à nez, mon cœur ne fit qu’un tour et il se mit à battre la chamade. Je sentais chaque pulsation dans tout mon corps jusque dans les 27 - Bureau - D - -.-oreilles. En retournant à mon poste je sentis une grosse goutte couler le long de la jambe. Je maudissais une nouvelle fois toutes ses fuites intempestives. À chaque passage aux toilettes, après quelles que minutes, il y a continuellement une perte ! Bien que je fasse mon possible pour bien vider la vessie et sécher au mieux la cage et mon malheureux gland il y a inlassablement une goutte en attente. N’ayant plus le droit d’utiliser de papier absorbant, ces écoulements perpétuels sont de plus en plus humiliants, dégradants et frustrants ! Je la sentais couler le long de la jambe. La fuite devait être plus grosse que d’habitude !

28 - Bureau - D - -.-        le plug avait repris de la vigueur et jouait avec mon trou tout en étant bloqué par le harnais. Mon pauvre sexe continuait à avoir des érections contrariées par la maudite cage et ses picots qui empalaient et excitaient mon malheureux gland. Enfin j’arrivais à destination et je m’assaillais à mon poste de travail. Discrètement je frottais une jambe contre l’autre pour éponger et sécher la coulure inopinée. Je rangeais le marqueur sous mes dossiers dans mon dernier tiroir. Une corvée de plus de réalisée !

 

        Merci à mes Masters pour cette nouvelle étape et l’évolution de votre slave dans la soumission et l’obéissance.

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Vendredi 17 février 5 17 /02 /Fév 06:52

Le mercredi 08 février :

        L’hôpital avait téléphoné la veille pour demander la possibilité de repousser de 24 heures l’IRM programmé ce jour. J’avais répondu qu’il n’y avait pas de problème pour moi. C’est ainsi que je partais au bureau, soulagé de ne pas avoir à effacer rapidement l’inscription du jour. Par contre les invités, malgré le froid, n’avait que ralenti leurs amusements…. Le plug N°04 continuait à jouer avec le premier anneau du côlon en montant et redescendant entre les deux boules. Mon trou en faisait tout autant en poussant et je sentais ma petite fleur s’ouvrir partiellement jusqu'à ce que le bloc-plug joue son rôle. À chaque pas, mon malheureux gland se faisait empaler par les pics de la cage ce qui l’excitait et provoquait une érection involontairement continue et contrariée par cette dernière. Si seulement il n’y avait que la journée où tout ce petit monde faisait les 400 coups…. Les nuits étaient, elles aussi, devenues un enfer où je me réveillais régulièrement en sur-saut au beau milieu de cauchemars. Mon gland surexcité par ses empalements et ma petite fleur en feu à force de pousser en vain en s’amusant avec son convive. Mes nuits étaient, en alternance, contrariées par ces réveils intempestifs à cause des festivités et des périodes d’insomnies où je n’arrivais plus à trouver le sommeil avec mes hôtes qui ne cessaient pas, un instant, leurs tortures. Je me réveillais généralement en avance et continuellement avec un sentiment de fatigue générale. Il faisait toujours aussi froid la nuit et l’aube était gratifiés de gelées matinales. Une mince épaisseur de givre recouvrait la nature et les véhicules qui devaient être grattés et dégivrés.

        J’arrivais au bureau sur ces réflexions. Je saluais les collègues présents et je gagnais mon poste. Je posais, sur le dossier de mon fauteuil, ma veste, mon bonnet et mon écharpe. Je cherchais dans le dernier tiroir du bureau, sous mes dossiers, le marqueur méprisable. Je le rangeais avec mon portable dans les poches frontales de ma sous-veste. Tous les outils étaient prêts pour la corvée hebdomadaire dévalorisante et dégradante. J’essayais de ne pas trop y penser et je me mettais au travail. Malheureusement les invités, avec la chaleur ambiante, redoublaient de vigueur ! Le plug excitait mon malheureux trou qui ne cessait de pousser. L’anneau du côlon n’en finissait pas de monter et descendre des boules ! Mon pauvre petit gland continuait à être empalé sur les pics, ce qui l’excitait et provoquait une érection incessante, contrariée par cette maudite cage ! Je faisais mon possible pour ne pas trop y penser en retenant des gémissements et en tentant de ne pas trop maudire mes Masters et les commentaires des visiteurs. Régulièrement, je regardais les vas et viens des collègues dans le couloir. J’attendais le moment ou j’aurai la vessie pleine et envie d’uriner.

09 - Bureau - D - -.-        En milieu de matinée, je sentais le désir monter. Je me décidais donc à réaliser la besogne imposée. Je scrutais plus attentivement le couloir. Ne voyant personne à l’horizon, je me décidais à me lever et me rendre aux toilettes. Je refermais rapidement la porte derrière moi et je la verrouillais. Je posais sur le bord du lave-mains le téléphone et le marqueur. Je commençais à me déshabiller une nouvelle fois à contre-cœur. Lorsque je quittais mes chaussures, je sentais le froid glacial du carrelage monter dans les mollets malgré les chaussettes. Une nouvelle fois, je maudissais le commentaire qui avait réclamé que je ne porte plus ces dernières pour ce labeur ignoble. Je déposais mes vêtements pliés sur le bord du lavabo. Maître Michael avait ordonné que j’exécute les commentaires réclamant que je fourre complètement au moins une chaussette dans ma malheureuse bouche 10 - Bureau - D - -.-et la seconde, que je l’accroche sur moi. Je terminais donc par les ôter et j’en mettais une en attente sur le lavabo avec le reste de mes affaires et la seconde, je l’enfilais dans le harnais en exposition.

        Je relevais, à contre-cœur, le couvercle et la lunette des toilettes. Je prenais l’ignoble 11 - Bureau - D - -.-marqueur et je m’assaillais sur le bord de la cuvette pour inscrire la date du jour sur ma cuisse gauche. Je commençais à écrire le "L" lorsqu’une personne essaya d’ouvrir brusquement la porte des toilettes et jeta un juron quand elle ne s’ouvrit pas. Je l’entendis entrer et refermer rapidement la porte voisine. Le bruit sourd de la poignée et de la porte qui résistait m’avait fait sursauter, mon cœur se mit à battre la chamade et ma main, avec le maudit feutre indélébile, avaient dérapé. Pour rattraper la rature, j’allais devoir écrire en très gros sur mon infortunée cuisse. Je rectifiais donc le "L" pour que la rature se voie le moins possible et je continuais, à mon grand désespoir, d’inscrire la date du jour dans les mêmes dimensions. J’étais 12 - Bureau - D - -.-tellement perturbé par tout le branle bas que le voisin avait fait que je ne contrôlais plus vraiment ma main et elle inscrivit la date du jour beaucoup plus gros que je ne l’aurai souhaité : "Le 08 - 2". J’allais avoir des difficultés à la 13 - Bureau - D - -.-faire disparaître. Heureusement que le rendez-vous de l’IRM avait été reporté, j’allais avoir 24 heures pour supprimer toutes traces sur ma jambe. Mon palpitant battait toujours aussi fort et rapidement. Je prenais un premier cliché de cette maudite date et je m’assaillais sur la faïence glaciale de la cuvette, n’ayant plus le droit à la lunette. Avec le temps, c’est de plus en plus dégradant, humiliant et frustrant. Quand est ce que cette corvée se terminera-t-elle ?

        Je vidangeais ma vessie et je prenais des photos pour le rapport. Terminé, je séchais le bout de la cage et du gland en espérant qu’il n’y aura pas trop de fuites ignominieuses. 14 - Bureau - D - -.-J’immortalisais, ensuite, le convive dans ma petite fleur et sa ceinture de sécurité. Je continuais par des gros plan de cette maudite cage avec mon malheureux pénis enchâssé dans cette boîte siliconée et mon malencontreux gland empalé sur les pics. À reculons, je prenais la chaussette en attente. Je la roulais comme demandé et j’ouvrais grand ma bouche pour prendre, à regret, ce bâillon odorant. Je réalisais les derniers clichés de pieds, du harnais, des chaussettes et de la prison de mon pénis. J’’entendis, dans la pièce voisine, l’eau du lavabo couler, puis la chasse d’eau et la porte s’ouvrir. Mon voisin partait et je n’avais aucun moyen de savoir qui s’était soulagé en urgence. Je m’en 15 - Bureau - D - -.-fichais mais je craignais qu’il guette ma sortie et me fasse une réflexion. Je devais accélérer le mouvement car je prenais de plus en plus de temps pour réaliser cette maudite corvée dégradante.

        Quand toutes les photos étaient dans la boite pour illustrer et confirmer la réalisation de ce labeur, je me rhabillais en hâte. Mon pauvre trou et mon malheureux pénis étaient toujours martyrisés par les convives présents. Je baissais la lunette, le couvercle et je tirais la chasse d’eau. Je me rinçais les mains rapidement et je me les séchais. Je rangeais dans les poches frontales de ma sous-veste le téléphone et le marqueur délictueux. 16 - Bureau - D - -.-Après une vérification rapide des lieux, je sortais avec empressement, heureux de fuir cette pièce de débauche en maudissant en silence mes Masters et les commentaires des visiteurs qui en rajoutent quotidiennement.

        En me rendant à mon poste, je sentis sur ma cuisse une coulure qui descendait le long de ma jambe. Encore une nouvelle fuite d’urine ! Elles deviennent de plus en plus fréquentes, frustrantes, dégradantes et humiliantes, d’autant plus que je n’ai plus le droit de porter de papier absorbant pour les retenir. J’abominais et je haïssais de plus en plus toutes ces interdictions qui ne font qu’augmenter mon avilissement, mon désarrois et ma frustration. Je 17 - Bureau - D - -.-retrouvais mon poste et je reprenais place. Je frottais les jambes l’une contre l’autre pour éponger le restant de cette fuite involontaire et honteuse.

        Après quelles que minutes sur mon travail, un collègue vint me demander si j’avais des problèmes et si j’avais déjà eu des résultats des médecins. Ce devait être lui qui était entré en trombe dans les toilettes voisines. Je lui répondais qu’il n’y avait rien de grave mais avec les examens que j’étais en train de réaliser, j’en saurai plus au bilan. Hypocritement, je le remerciais pour sa courtoisie. Il acquiesçait et me proposait généreusement de me confier à lui si 18 - Bureau - D - -.-j’en avais besoin. Bien sûr je lui fais confiance mais comment pourrai-je lui révéler la raison réelle de mes séjours de plus en plus long aux toilettes ? J’espère qu’il ne pense que ce n’est qu’à cause des mes nouveaux examens. Si par malheur ils apprenaient ce que je faisais réellement dans ces lieux, ils seraient 19 - Bureau - D - -.-très surpris et/ou pourraient certainement ne pas comprendre….


 

        C’est pourquoi, des sentiments mitigés me tiraillaient. Je remerciais mes Masters de me faire évoluer dans le sens qu’ils désirent tout en maudissant et méprisant certaines évolutions et certaines résolutions prises suite aux commentaires des visiteurs.

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Mardi 14 février 2 14 /02 /Fév 08:19

Le mercredi 1er février.

        En me rendant au bureau, je repensais aux instructions de la journée. Comme j’avais rendez-vous pour un scanner l’après-midi, je devais réaliser, impérativement, la corvée hebdomadaire le matin même pour pouvoir effacer ce midi la date du jour sur la cuisse. En marchant, je ressentais les pics de la cage empaler mon malheureux gland ! Cela l’excitait et provoquait une érection contrariée par cette maudite cage. Je rageais après mes Masters qui m’avaient, la veille, fait changer de cadenas. Maître Michael avait demandé que je me masturbe mais quand je commençais à sentir mon jus monter, il avait ordonné de stopper !!! J’avais eu vraiment du mal à obéir et à ne pas continuer tellement j’étais excité ! Depuis la veille, je ne pouvais enlever de mon esprit ces sentiments de frustrations, d’humiliation et d’avilissement d’avoir du ainsi arrêter. Je m’étais remis à maudire mes Masters de  faire durer cette abstinence inhumaine ! Devoir ainsi stopper en cours de masturbation, après plus de 6 mois d’abstinence, est d’une barbarie ignoble.

        J’en étais sur ces réflexions en arrivant devant la porte du bureau. Heureusement le froid ambiant avait calmé un temps l’invité dans ma petite fleur. Mon pauvre trou avait eu un petit temps de répit. Je saluais les collègues déjà présents et je gagnais mon poste de travail. Je posais, sur le dossier de mon siège, ma veste, mon écharpe et mon bonnet. Je prenais place dans mon fauteuil et je vérifiais le téléphone portable dans la poche frontale de ma sous veste. Je recherchais dans un tiroir, sous mes dossiers, le marqueur sélectionné pour inscrire la date du jour. Je le maudissais car il est vraiment indélébile et difficile à enlever sur la peau. Je réprouvais la demande de Master Phénix de devoir utiliser ce marqueur et encore plus ces commentaires et ses demandes futures. Je me commençais mon travail en attendant d’avoir envie d’uriner. En m’assaillant sur le siège, j’avais réveillé mon petit trou. Le plug N°04 qui le bouchait, jouait avec le premier anneau du côlon qui montait et redescendait entre les deux boules de l’invité. Ma petite fleur essayait de pousser en vain. Étant assis, mon petit trou ne pouvait expulser son intrus. Debout, il n’aurait, non plus, pu faire autrement avec le bloc plug ajouté au harnais.

01 - Bureau - D - -.-        J’essayais de me concentrer sur mon labeur afin d’oublier un peu tout ce petit monde qui ne pense qu’à jouer ! En milieu de matinée, l’envie d’uriner se faisait de plus en plus intense. Je vérifiais, depuis un certain temps, les aller et venus des collègues. Je regardais une dernière fois avant de me décider à me lever. Ma main vérifiait le portable et le marqueur en place dans les poches thoraciques de ma sous veste. Avant d’entrer aux toilettes, je jetais un dernier coup d’œil au couloir et je refermais, derrière moi, la porte à clef. Je posais, sur le bord du lave-mains, le téléphone et le feutre. Je commençais à me déshabiller et je rangeais mes vêtements pliés sur le lavabo. Lorsque j’enlevais mes chaussures, je ressentais le froid pénétrer dans mes pieds malgré les chaussettes. Lorsque je dus les ôter, la froidure fut encore plus intense et remontait dans mes jambes. Je détestais cet ordre de ne plus rien 02 - Bureau - D - -.-porter aux toilettes du bureau ! Je les mettais en attente avec mes vêtements. Je relevais, à contre-cœur, le la lunette des toilettes. Le couvercle étant déjà relevé. Je prenais le marqueur et j’inscrivais sur ma cuisse gauche la date du jour : "Le 1 – 2". Je faisais attention d’écrire un peu plus gros qu’à l’habitude mais pas trop car le midi, je devais 03 - Bureau - D - -.-effacer cette inscription.

        Je reposais le feutre et je prenais d’une main le téléphone pour les étapes suivantes. J’immortalisais en premier ce graffiti sur ma cuisse. Je continuais en m’assaillant sur le trône et je commençais à vider ma vessie. Tout en me soulageant, je prenais les clichés suivants. Lorsque tout était évacué, je me relevais et je roulais mes chaussettes que je fourrais dans ma bouche. Devoir les porter ainsi augmente d’autant plus les humiliations, les frustrations et les avilissements que je ressentais. Je maudissais, une fois de plus, le commentaire qui avait proposé cette instruction ! Comme preuve et à la demande des messages sur le blog, je photographiais ces chaussettes, le harnais et la cage. Je réalisais différents clichés de pieds et en plus gros plan comme preuve de la 04 - Bureau - D - -.-réalisation de la corvée du jour. Quand tout était dans la boite, je reposais l’appareil et je me rhabillais avec soulagement.

        J’étais en train de remettre mon pantalon lorsqu’une personne essaya d’ouvrir la porte. Une nouvelle fois je maudissais cette prestation qui me prenait de plus en plus de temps ! Je lui demandais encore deux minutes. J’avais presque terminé. Personne ne répondit. Comme je n’entendais plus de bruit, j’en déduisais qu’elle attendait. Je me pressais à terminer de m’habiller et je rangeais dans les poches frontales de ma sous veste, le marqueur et le téléphone. Je tirais la chasse d’eau et je refermais la lunette et le couvercle. Je me rinçais les mains et je me les séchais. Avant de sortir, je vérifiais une dernière fois que je n’oubliais rien et j’ouvrais la porte. Je me retrouvais nez à nez avec un collègue. Je 05 - Bureau - D - -.-lui laissais la place toute chaude. J’espérais qu’il n’avait rien entendu de suspect. Je regagnais mon poste. En marchant le plug s’était remis à jouer ainsi que les pics de la cage qui empalaient mon pauvre gland. Ce midi je devrai me dépêcher à effacer l’inscription sur la cuisse. J’avais fait attention de ne pas trop écrire pour moins de difficultés.


 

        Je dois tout de même remercier mes Masters pour m’avoir fait passer une nouvelle étape.


 

 

 

06 - Bureau - D - -.-  07 - Bureau - D - -.-  08 - Bureau - D - -.-

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 29 janvier 7 29 /01 /Jan 07:40

Le mercredi 25 janvier :

38---Bureau---D----.-.jpg        Une nouvelle fois, je passais une nuit d’enfer et de torture ! Le plug N°04 avait joué avec son hôte et le premier anneau ! La cage de chasteté avait torturé mon pauvre pénis et ses pics s’étaient amusé à empaler mon malheureux gland ! Depuis un certain temps, j’étais éveillé en cherchant le sommeil que je ne retrouvais pas à cause des supplices que je subissais…. N’en pouvant plus, je me décidais à me lever. Je buvais un bon expresso pour me réveiller et je passais à la salle de bain. Je faisais ma toilette. Je me rasais de près et je prenais une bonne douche en réalisant un grand nettoyage de la cage et de son prisonnier. Je remettais les attributs du slave, le harnais, le collier et le plug N°04 car j’avais pris mon après-midi pour me rendre à la sépulture d’une amie intime décédée samedi soir. La cérémonie se faisant dans son village à plus de 100 kilomètres de mon domicile. Comme je devais prendre ma voiture, c’est pourquoi je choisissais cet invité contraint et forcé.

        Il fallait, en conséquence, que je réalise la corvée hebdomadaire impérativement dans la matinée. Je m’habillais avec un jeans sombre, un maillot de corps, un sous-pull, un pull à col roulé, une paire de chaussette propre et je me39---Bureau---D----.-.jpg chaussais avec des baskets. Je me connectais un instant pour saluer mes Maîtres et leur rappeler mon absence. Je saluais Maître Michael qui était en ligne et je lui souhaitais une excellente journée. J’enfilais mon bonnet, mon écharpe, une veste sombre et des gants. En ouvrant les volets j’avais regardé la température extérieure. Il faisait – 8°C vers 08h00 du matin. Comme je devais me rendre en montagne pour l’enterrement, je craignais que les températures soient encore plus sibériennes. J’emportais en plus, dans un sac, un pull supplémentaire au cas….

        Je fermais mon domicile et je descendais par l’ascenseur. Lorsque les portes s’ouvrirent au rez-de-chaussée, une vague de froid s’abattait sur moi. Il allait me préparer au froid glacial qui me gifla quand je sortis. Il y avait un petit blizzard. De petites billes de glace cinglaient mon visage comme autant d'aiguilles qui venaient perforer les parties du corps non protégé par un vêtement. Je me pressais pour me rendre à ma voiture qui était blanche de givre. Je démarrais le moteur et j’allumais le chauffage au maximum. Je branchais le dégivrage arrière et je prenais un racloir. Je refermais la 40---Bureau---D----.-.jpgportière et je grattais le pare-brise, les vitres des portières et le haillon arrière. Ce froid polaire avait, pour un temps, calmé tout le petit monde en moi ! Terminé, je grimpais dans ma voiture, content de fuir les froidures cinglantes ! Je me rendais au bureau comme cela j’aurai mon véhicule à midi pour partir rapidement. Je m’étais aussi préparé un petit casse-croûte pour me restaurer avant de prendre la route.

        Je me garais et je saluais les premiers collègues présents. Je déposais ma collation dans le réfrigérateur de la salle commune. Je gagnais mon poste de travail toujours congelé car mon véhicule n’avait pas eu le temps de se41---Bureau---D----.-.jpg réchauffer comme le bureau est près de mon domicile. Le temps que mon PC se mette en marche, comme les cancres à l’école, je m’appuyais contre le radiateur bien chaud. Doucement, une chaleur bienfaitrice envahissait mon être. Cette douceur eu comme conséquence, de réveiller mon invité qui se remettait progressivement à jouer avec ma petite fleur et l’anneau à faire ses exercices de gymnastique sur la première boule ! Les pics de la cage en faisaient autant ! Ils empalaient mon malheureux gland ce qui l’excitait et provoquait une érection contrariée de mon pauvre pénis.

42---Bureau---D----.-.jpg        Je me décidais à poser ma veste, mon bonnet et mon écharpe sur le dossier de mon siège. Mes gants, je le déposais sur le radiateur. Quand je les prendrai pour partir, j’apprécierai la chaleur qui régnera en enfilant mes mains. En m’assaillant sur mon fauteuil, je sentis le plug exciter un peu plus ma petite fleur et son anneau. Mon trou ne cessait de pousser ! Je faisais mon possible pour ne pas gémir et ne pas alerter les collègues ! Je vérifiais le téléphone portable dans la poche frontale de ma sous-veste que je boutonnais pour cacher les boucles et les sangles du harnais. Je recherchais le marqueur au fond de mon dernier tiroir et je le mettais en attente dans la seconde poche frontale. J’avais sur moi les ustensiles nécessaires à la corvée hebdomadaire. J’attendais d’avoir envie d’uriner pour me rendre aux toilettes et que mon petit monde accepte de se calmer un tant soit peu.

        En milieu de matinée, n’ayant toujours pas envie d’uriner mais voyant les aiguilles de l’horloge tournées et ne voyant personne à l’horizon, je me décidais à me rendre aux toilettes hommes pour exécuter mon labeur hebdomadaire. Je maudissais de devoir réaliser toutes les semaines,43 - Bureau - D - -.- cette besogne de plus en plus dégradante qui donne des commentaires tout autant rabaissant et déshonorant. Je vérifiais une dernière fois les alentours et ne voyant personne à l’horizon, je me décidais à me lever.

        Je refermais la porte à clef derrière moi. Je posais sur le bord du lave-mains le feutre indélébile et le téléphone. Je commençais à me déshabiller à contre cœur et je déposais les vêtements pliés sur le rebord du lavabo. Lorsque j’enlevais mes chaussures, en posant les pieds sur le carrelage, je sentis le froid traverser mes chaussettes et glacer la plante des pieds. J’achevais de me dévêtir en déposant mes 44 - Bureau - D - -.-affaires. Je terminais par mes chaussettes que je mettais en attente avec le reste de mes habits. En posant les pieds nus sur le carrelage gelé, je sentis mes pieds, mes mollets et mes jambes se frigorifier. Un frisson glacé secoua tout mon corps.

        Je prenais le marqueur et assis sur le bord des toilettes, après avoir relevé le couvercle et la lunette, j’inscrivais la date du jour soit : "Le 25 - 1". J’écrivais un peu moins petit que la semaine précédente en espérant que cela conviendrait à mes Masters et Maître Phénix. Plus je dois noter gros avec ce feutre et plus il m’est difficile d’effacer l’inscription ! Devoir réaliser cette prestation chaque semaine est déjà humiliant, frustrant et dégradant mais ce feutre augmente d’autant plus cette humiliation et ce déshonneur ! À L’idée que je dois aussi réaliser un reportage photo, un frisson de honte et d’avilissement parcourut de la tête aux pieds. Je devais accélérer le mouvement pour éviter tout quiproquo avec mes collaborateurs. J’aurai tout le temps ensuite, lorsque je serai assis derrière mon bureau ou dans ma voiture, pour maudire et être frustré de ce labeur. Je prenais le téléphone et je photographiais la date du jour.45 - Bureau - D - -.-

        Je sentais les pics continuer à empaler mon pauvre gland. Je pensais qu’en vidant ma vessie, je calmerai ce petit monde. Je m’assaillais sur la cuvette en faïence. Je ressentis de suite le froid glacer mes petites fesses ce qui excita un peu plus l’hôte de ma rondelle. Mon trou se mit à pousser et l’anneau monter sur la seconde boule. Étant arrivé presque à la moitié, il redescendait entre les deux en attendant de recommencer ce petit mouvement d’éducation physique dégradant ! J’en profitais pour ouvrir le robinet et vidanger le plus vite possible la réserve tout en continuant le reportage photos. La vessie vidée, je séchais le bout de la cage pour éviter au maximum toute fuite. Les picots ne s’étaient pas calmer pour autant ! Après avoir immortaliser le convive bloqué par le harnais, je faisais de même pour la prison et son misérable locataire qui débordait par les quelques trous de sa cellule.

46 - Bureau - D - -.-        Je priais en moi-même pour que mes Masters acceptent et décident de vidanger mes malheureux testicules. Je roulais mes chaussettes comme demandé par les commentaires. J’ouvrais ma gueule et j’enfournais un peu ce bâillon. Je serrais un peu les dents pour les tenir. Je terminais les derniers clichés de pieds avec le harnais, les chaussettes, de face et avec la cage. Quand j’estimais avoir tous les clichés nécessaires pour illustrer mon miséreux labeur hebdomadaire ! Je me rhabillais en débutant par mes chaussettes. Je continuais par mon maillot de corps et mon sous-pull. J’enfilais mon pantalon pour enfiler mes chaussures et je terminais par le pull à col roulé. Je prenais ma sous-veste et après l’avoir boutonné, je rangeais dans les poches frontales, le téléphone et le maudit marqueur. J’espérais qu’en ayant écris un peu plus gros, mes Masters et les visiteurs seraient satisfait et que cela leur suffirait. Je baissais la lunette et le couvercle des toilettes. Je tirais la chasse d’eau. Je me rinçais les mains et je me les séchais. Je vérifiais que je n’oubliais rien et j’ouvrais la porte.47 - Bureau - D - -.-

        Je sortais discrètement et après avoir jeté un coup d’œil, je regagnais mon poste de travail. En marchant, je sentais de nouveau le gland s'empaler sur ces maudits pics. Il était tellement excité par ces pervers qu’il provoquait une érection contrariée par cette prison. J’avais tellement envie de retourner aux toilettes me masturber mais cette geôle me l’interdisait ! Par contre, pour comble d’humiliation, je sentis une goutte couler le long de ma jambe. Certainement un restant d’urine qui daignait sortir un peu tard ! Le plug se remettait, lui aussi, à jouer avec ma petite fleur. Je ressentais mon trou pousser et l’anneau monter sur ce convive extravagant qui était bloqué par le harnais et ses bretelles. Contrairement à la ceinture, il ne pouvait pas prendre du jeu avec ce harnais. Cette camisole a cet avantage qu’il ne bouge pas et ne prend pas de mou, ce qui évite d’exciter encore plus le convive en place et ses hôtes.

        Je retrouvais mon bureau et je reprenais place dans mon fauteuil. En m’assaillant, j’immobilisais un peu plus l’intrus mais cela ne l’empêchait pas de 48---Bureau---F----.-.jpgse divertir avec les boules de plug. Je craignais de regretter le choix de ce convive pour la cérémonie de l’après-midi. Mon malheureux gland continuait aussi à être martyrisé et à être empalé par les pics qui ne faisaient que l’exciter un peu plus…. Je devais me concentrer sur mon labeur et oublier un temps soit peu tout ce petit monde qui ne demandent qu’à se divertir…. J’ouvrais le dernier tiroir pour cacher, sous mes dossiers, le marqueur malfaisant ! Je terminais le dossier en cours avant de me restaurer et de prendre la route.

 

        J’espère que mes Masters et les visiteurs seront satisfait que j’ai écrit la date un peu plus grand et que cette grosseur de lettres et chiffres leur conviennent. Je remercie aussi mes Maîtres qui me font évoluer dans la soumission et l’obéissance.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

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