Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Dimanche 24 septembre 7 24 /09 /Sep 12:08

Mercredi 20 septembre :

        Après la dernière corvée du 13 septembre, je faisais part à mes Masters des difficultés et du temps très long que je passais à devoir inscrire toutes les références sur mon corps. Suite à leurs consultations Maître Michael faisait part de leur décision. Avant de me rendre au bureau, je devais réaliser les écris chez moi. J'allais devoir porter toute la journée sur moi toutes mes références au marqueur. Cette situation risquait d'être frustrante et dégradante….

35 - Corvée - D - -.-        Arrivé chez moi après avoir remis tous les attributs, je me déshabillais une nouvelle fois. La veille au soir en partant du travail, j'avais emprunté le marqueur que je glissais dans une poche. Je passais à la salle de bain avec ce feutre indélébile. Assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais sur ma cuisse gauche la date du jour : "Mercredi 20 Septembre 2017", sur ma cuisse droite mon numéro37 - Corvée - D - -.- d'enregistrement dans le registre des slaves : "Slave N° 411.103.335" et sur mon torse, mon appartenance : "Slave de Master Éric et de Maître Michael". Pour cette dernière inscription, je la réalisais devant mon miroir et j'écrivais mon texte en le regardant. Trop tard, je m'apercevais que mes lettres était sur mon 36 - Corvée - D - -.-corps, plus grosses que je ne pensais. Je me maudissais pour cette gaffe. La prochaine fois, je devrai faire plus attention pour que le texte prenne le moins de place possible sur mon torse. Cette constatation eu une réaction inattendu ! Je sentis les pics empaler mon malheureux gland et38 - Corvée - D - -.- provoquer une érection avortée par la prison de ma pauvre queue. Je déteste ces maudits picots et cette cage qui martyrisent ma malheureuse bite. Je n'avais pas le temps d'effacer ces trop grosses inscriptions et de les refaire. L'odeur du marqueur atteignait mes narines. Il faudra impérativement, après mon hospitalisation, que je 39 - Corvée - D - -.-trouve un marqueur qui ne laisse pas d'effluves trop fortes. Tout mon corps empestait l'odeur de ce maudit marqueur ordinaire. Je retournais dans ma chambre pour me rhabiller en laissant, à mon grand désespoir, ma braguette et les boutons du jeans ouverts. Je m'empressais pour enfiler la veste de treillis et je partais rejoindre mon40 - Corvée - D - -.- travail. Chaque nouveaux pas étaient une torture permanente. La geôle, plaquée contre ma cuisse, suivait tous les mouvements de la jambe. Les pics empalaient un peu plus, à chaque mouvement, mon malheureux gland qui, excité, provoquait une érection avortée par la prison innommable de ma 41 - Corvée - D - -.-pauvre queue. De plus, je sentais la fraîcheur humide s'infiltrer par la porte ouverte béante du pantalon. Mon côlon n'était pas non plus à la fête ! Son invité, à chaque mouvements, excitait un peu plus l'anneau intérieur qui tentait en vain de gober cette boule indésirable. J'avais ma pauvre rondelle qui, régulièrement, tentait des42 - Corvée - D - -.- poussées. Bien que je faisait mon maximum pour retenir tous gémissements intempestifs, de temps en temps un râle involontaire s'échappait de mes poumons. Heureusement le bureau était en vue et discrètement je fermais boutique au maximum. Je montais les quelles que marches et je me trouvais sur le perron. En entrant, au fur et à mesure que 43 - Corvée - D - -.-je croisais des collègues, des parents ou des enfants, je les saluaient et nous échangions quelles que mots. Je montais à l'étage pour regagner mon poste de travail. Chaque nouvelles marches étaient un calvaire ! Les pics empalaient toujours un peu plus mon pauvre gland ! Cette excitation provoquait une érection torpillée. 44 - Corvée - D - -.- Ma petite fleur n'était pas non plus de la fête ! Son convive excitait, à chaque nouveaux mouvements, encore plus son hôte. Je devais tenter de retenir des poussées intempestifs de ma rondelle. Arrivé à l'étage, je croisais mon directeur qui m'invitait à rentrer dans son bureau. En premier lieu, il me demandait mon état de santé et mes sentiments par à port à ma prochaine hospitalisation. Je le rassurais et lui répondais que j'étais tranquillisé avec tous les examens préalables réalisés. Ensuite il me demandait si mon collier était bien nécessaire au travail. Qu'il posait beaucoup de questions à certains parents et qu'il serait bien que je pense à le laisser chez moi. Ne pouvant lui dire la vérité, ne sachant pas ses opinions, je lui répondais que j'en 45 - Corvée - D - -.-parlerai à mon amie car c'était elle qui en avait la clef. Il continuait en demandant à quoi ce "M" faisait référence ? Honteux et désappointé, je répondais que cette amie n'avait pas trouvé la lettre de l'initial de mon prénom et quelle avait achetée celui de mon nom de famille. Heureusement j'avais déjà utilisé cette ruse pour expliquer sans commentaire l'explication de ce collier. Bien sûr, je passais sous silence la médaille que je cachais sous le col de la chemise et du maillot de corps. J'allais partir lorsqu'il remarqua l'odeur du marqueur et me questionna sur l'origine de ces effluves. Ne pouvant répondre correctement, je prétextais que je rechercherai l'origine de ces émanations. Nous nous souhaitions une bonne46 - Corvée - D - -.- journée et je regagnais, soulagé, mon poste de travail. Je posais ma veste sur le dossier de mon fauteuil et je lançais mon ordinateur. Le temps qu'il s'allume, je prenais ma bouteille vide sur le coin de mon bureau et j'allais la remplir dans notre salle de détente. Revenu, je lui redonnais sa place. L'aller retour avait été un enfer. Chacun des attributs sexuels que je portais en avaient profité pour martyriser un peu plus leurs prisonniers ou leur hôte. Avec grandes difficultés je retenais au mieux tout gémissement incontrôlable. Je prenais place sur mon fauteuil. Je rangeais le marqueur que j'avais emprunté dans son tiroir en attendant que je m'en procure un inodore, et 47 - Corvée - D - -.-effaçable à l'eau. En m'assaillant, le plug pénétrait un peu plus et excita l'anneau. Mon trou se mit à pousser. Pour retenir tous sons inopportuns, je bloquais ma respiration et je faisais des apnées pour retenir tous chuintements inconvenants. Je me mettais au travail et je me concentrais dessus pour ne pas penser à mes invités. De temps en temps, je buvais une gorgée d'eau. Mon collègue travaillait lui aussi à son bureau à coté du miens. De temps à outres nous échangions quelles que réflexions. En milieu de matinée, ma vessie se remplissait inexorablement. Ne tenant plus, je me décidais enfin à me rendre aux toilettes. Mon collègue s'était48 - Corvée - D - -.- absenté et je jetais un œil dans le couloir vérifier que personne était en approche. Je vérifiais que mon 49 - Corvée - D - -.-portable était bien dans la poche frontale de mon gilet sans manche et je me dirigeais vers les toilettes. Je refermais à clef la porte et je me déshabillais une nouvelle fois. Au fur et à mesure que j'ôtais un vêtement, je l'accrochais à un patère de la porte. Quand j'enlevais mes chaussettes et que je posais les pieds sur le carrelage, je sentis le froid de celui-ci glacer mes plantes de pieds et remonter dans mes mollets. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes et je m'assoyais sur la faïence gelée. Mes petites fesses reçurent, comme une gifle, la froidure de ce trône.50 - Corvée - D - -.- J'avais pris aussi mon portable et je réalisais les premiers clichés. Je lâchais les vannes et ma vessie se vidait au fur et à mesure. Quand elle fut complètement vidangée, je séchais, avec du papier toilette, le bout de la cage et mon méat urétral. Je posais sur le sol le téléphone et je m'accroupissais. Progressivement, je sortais l'invité de son garage et je prenais des clichés. J'immortalisais ma petite fleur ouverte avant de repositionner ce convive turbulent. Je faisais de même avec la prison de ma queue et des différentes inscriptions sur mon corps malmené. Comme le désire mes Masters, je roulais mes chaussettes propre du jour sur elle-même en 51 - Corvée - D - -.-commençant par le haut et en terminant par la plante des pieds. Je les fourrais dans ma petite bouche comme un bâillon. Je terminais avec une photographie de mes vêtements accrochés aux patères de la porte. Pensant que j'avais pris toutes les preuves en photo, je commençais à me rhabiller pour la cinquième fois de la matinée !!! Avant de fermer boutique, je prenais de nouveaux clichés avec celle-ci ouverte puis fermé. Je rangeais le portable dans une des poches frontales de mon gilet. Je tirais la chasse d'eau. Je refermais la lunette et le couvercle des toilettes. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je jetais un dernier coup d’œil et je sortais de ces lieux. J'allais en salle de repos où je retrouvais des52 - Corvée - D - -.- collègues. Nous buvions un café ou un thé en fumant, pour la plus part, une cigarette. Différents collaborateurs faisaient la remarque qu'il y avait une odeur de marqueur. Hypocritement, je faisais la même réflexion en omettant d'avouer que ces effluves venaient de moi. Très prochainement, je devrai en changer et surtout, trouver un feutre effaçable à l'eau et sans odeurs. C'est de plus en plus humiliant, frustrant et dégradant de porter ce parfum qui entraîne des questionnements de mes collègues de bureau. Je regagnais mon poste. Si aux toilettes mes geôliers s'étaient calmés un temps, dès que je ressortais ce petit monde recommençait à maltraiter ma queue et mon gland ainsi que ma rondelle et son anneau intérieur. Avec soulagement je retrouvais mon siège et je reprenais mon labeur. En me concentrant sur mon travail, j'arrivais la plus part du temps à ne pas faire attention aux tortures de mes attributs sexuels.

 

        Impérativement, je dois demander l'autorisation à mes Masters de changer de marqueur ! Il faudrait que j'en trouve un qui soit sans odeur et qui puisse s'effacer avec de l'eau. Un feutre indélébile et odorant est avilissant et dégradant. J'espère que mes Maîtres accepterons ma demande pour que les références du slave soient un peu moins humiliantes et frustrantes à porter. Je remercie mes Masters pour cette nouvelle étape franchie dans la soumission et l'obéissance. Je souhaite qu'ils acceptent ma futur demande car ce serait encore plus déshonorant si je devais continuer avec cette marque de marqueur qui est, non seulement indélébile, odorant mais aussi avec une pointe très large. Un nouveau Merci à mes Masters pour me faire évoluer dans les limbes de l'assujettissement, de la soumission et la servilité.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
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  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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