Dimanche 5 mars
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15:28
Le mercredi 1er mars :
Mardi matin, Maître Michael ordonnait que je doive exécuter les propositions de Master Phénix. J’aurai aimé maudire celles-ci
mais je savais que j’aurai des complications dans ce cas. Mardi soir, avant de partir du bureau, je prenais le marqueur dans mon tiroir. Mercredi matin, Maître Michael me rappelait les
instructions de la veille. J’espérais qu’il n’y pensait plus. Malheureusement ce n’était pas le cas ! Non seulement il renouvelait son injonction mais le surenchérissait avec une punition en
prime si les propositions n’étaient pas réalisées. C’est donc, à contre-cœur, après la toilette, je m’assaillais sur le coin du lit avec le maudit marqueur à la main. Sur ma cuisse gauche,
j’inscrivais la date du jour soit le "mercredi 1er mars" avec mépris pour cette nouvelle résolution. Contraint et forcé, je prenais mon téléphone pour exécuter le premier cliché de l’humiliante
série. Je m’habillais pour partir au travail. J’allais devoir porter toute la journée cette maudite marque. C’est d’autant plus humiliant et dégradant de savoir que cette inscription est sur mon
corps. J’enfilais ma veste, mon bonnet et je fermais la porte de mon domicile à clef.
Sur le chemin du bureau, le plug continuait de s’amuser avec ma petite
rondelle et mon anneau intérieur. La cage poursuivait d’empaler mon pauvre gland et d’interdire toutes érections de ma malheureuse queue. C’est un stalag, un goulag pour mon infortuné appendice
éprouvé. La frustration devenait chaque jour un peu plus intense. J’arrivais enfin sur mon lieu de travail, frustré, atrophié. Je saluais les personnes déjà présentes et je gagnais mon
poste.
Sur le dossier de mon fauteuil, je posais machinalement ma veste et mon
bonnet. J’avais en permanence, devant mes yeux, ma cuisse spolié. Je me mettais au travail en espérant que cette image cesse. Je faisais attention aux allés et venus des collaborateurs dans le
couloir. Lorsque ma vessie sera pleine, une nouvelle fois je devrais me rendre aux toilettes pour réaliser la corvée hebdomadaire. De toute la matinée, je n’arrivais pas à ôter l’image de la tête
de ma jambe atrophiée. Je sentais doucement une envie monter en moi. Je buvais régulièrement un peu d’eau pour remplir ma réserve. Ma bouteille est en permanence sur le coin de mon bureau. Tous
les matins, en arrivant, je la remplis pour alimenter mon réservoir. À force de boire régulièrement, ma petite citerne se remplissait inexorablement.
En deuxième partie de matinée, l’envie devenait de plus en plus intense. Je me décidais enfin à me rendre aux toilettes. Je
vérifiais machinalement que mon téléphone était bien dans la poche frontale de ma sous-veste. Au moment où je me levais pour m’y rendre, un collègue arrivait dans le couloir pour prendre ma
place. Je devais attendre et je reprenais place dans mon siège. Je jetais régulièrement et discrètement un œil vars la porte du local qui distribue les toilettes. Après quelles que minutes, il
ressortit et repartit vers son bureau. J’attendais encore quels instants et je me décidais à me lever.
Je refermais la porte à clef dès que je rentrais dans les toilettes. Je
posais, comme d’accoutumé, mon portable sur le rebord du lave-mains. Aujourd’hui, pas besoin du marqueur comme le message était inscrit sur ma cuisse
depuis le
matin. Je me déshabillais et je posais mes vêtements pliés sur le bord du lavabo. En me déchaussant, je sentis le froid du carrelage sous mes pieds malgré mes chaussettes que j’avais depuis lundi
matin. Je voulais en changer ce matin mais Maître Michael avait bien insisté pour que je respecte tous les
points réclamés
par les visiteurs. Je terminais par les ôter et j’en posais une en attente avec mes affaires et l’autre, je la passais dans un anneau du harnais pour la tenir. Comme avait précisé Master Phénix,
je plaçais la plante des pieds contre mon torse. Je trouvais cela d’autant plus humiliant qu’elle était humide de transpiration. Une petite odeur de pieds monta à mes narines. L’ayant porté
contre moi, cette odeur risquerait de me suivre un moment. Je prenais sur moi pour ne pas maudire qui que ce soit. Ce supplice inhumain et dégradant risquait d’être renouvelé avec une crainte que
ça devienne le quotidien. Je prenais le téléphone en main et je refaisais un cliché de l’inscription qui est sur ma cuisse.
Je relevais la lunette des toilettes et je m’assaillais sur la faïence glacée. Je sentais la froidure remonter dans mes petites
fesses et se diffuser dans tout le corps. Un frisson me secouait de la tête aux pieds. Je bougonnais en moi-même pour éviter toutes pensées désobligeantes. Je vidais ma réserve tout en
photographiant cette nouvelle vidange avec le graffiti sur la cuisse. Je faisais mon possible pour évacuer jusqu’à la dernière goutte afin d’éviter toute fuite. Je me relevais en séchant le bout
de la cage avec du papier toilette. J’immortalisais l’invité dans mon petit cul avec sa ceinture de sécurité. Je continuais avec la maudite prison qui enchâsse ma pauvre petite queue. À
contre-cœur, je roulais la seconde chaussette sur elle-même ; la plante des pieds humide de
transpiration à
l’extérieur comme l’avait précisé le Master dans son commentaire. Je l’enfournais dans ma petite gueule. Je respirais l’odeur de transpiration en permanence. Devoir se faire un bâillon avec une
chaussette est déjà humiliant, mais le réaliser avec une socquette vieille de trois jours est d’autant plus dégradant et avilissant. Une
rage et une
colère intérieure montaient en moi que je ne pouvais extérioriser sous peine de graves sanctions. Je continuais malgré moi, le reportage photo avec cette muselière odorante. Je terminais avec des
photos de pieds, de la cage et du tag.
Quand je pensais que tout était dans la boite, je me rhabillais en
commençant par les chaussettes. En retirant le bâillon, un goût âpre persistait en bouche. Je tentais, sans succès, de boire un peu d’eau pour l’atténuer. Je continuais à
me rhabiller quand une personne essaya d’ouvrir la porte. Je lui demandais encore deux minutes, j’avais presque terminé…. Je finissais de me revêtir et je rangeais, une nouvelle fois, le
téléphone dans une des poches frontales de ma sous-veste. Je tirais la chasse d’eau et je me rinçais rapidement les mains. Je me les séchais encore plus vite et tout en jetant un dernier coup
d’œil aux lieux, j’ouvrais la porte. Je me retrouvais devant mon directeur. Je le saluais et je le laissais passer pour prendre la place toute chaude.
En retournant à mon poste de travail, j’essayais d’imaginer ce qui se passerait si par malheur, un jour, j’oubliais ou je
fermais mal la porte des toilettes. Plus grave, qu’un collègue, le directeur ou un administrateur entrait sur ces entre-faits. Juste à cette idée plus qu’humiliante, dégradante et avilissante,
mon palpitant se mit à battre la chamade. J’entrais dans mon bureau lorsque je sentis, une nouvelle fois, une goutte d’urine couler le long de la jambe. J’avais pourtant bien fait attention de
vider complètement ma vessie et de bien sécher la maudite prison. Il y avait encore, une nouvelle fois, une fuite désobligeante. Je maudissais ces pertes inopportunes. Je reprenais place dans mon
fauteuil de bureau. Je frottais une jambe contre l’autre pour assécher
cette nouvelle
fuite. La matinée se terminait devant mon poste de travail. À la question de pouvoir effacer cette maudite marque, j’attendrai le soir pour trouver une nouvelle méthode et une solution moins
invasive.
Je remercie mes Masters, Master Éric et Maître Michael pour me faire évoluer
dans la soumission et l’obéissance. Pour leurs disponibilités, leurs dévouements et leurs magnanimités, je les gratifie de toute ma reconnaissance et ma docilité. De mêmes aux visiteurs qui me
suivent depuis plusieurs mois, je les congratule pour leur fidélité et les messages qu’ils daignent me faire parvenir et qui donnent de nouvelles idées à mes Maîtres.
Bonjour Master Éric et Maître Michael,
- J’espère que votre bâtard va reprendre ses rapports pour son travail hebdomadaire.
- Je valide TOUTES les propositions de Master Seb à réaliser le plus rapidement possible.
- Votre bâtard ayant du s’absenter plusieurs semaines il va falloir qu’il se trouve des pantalons ou shorts clairs et fins dont un blanc en lin ainsi que des chemises ou t-shirts transparents. Pour rattraper le temps perdu, je vous propose que dès mercredi prochain il inscrive au marqueur avant de partir de chez lui :
Cuisse gauche : Mercredi 00 07 (00 date du jour)
00 Juillet 2017
Cuisse droite : Slave N° : 411 103 335
Son torse en démarrant à la hauteur des seins (©) et terminant entre le nombril (o) :
S©LAVE D©E
MASTER ERIC
ET
MAÎTRE o MICHAEL
Ainsi il aura tous les renseignements sur lui qu’il devra garder du matin au soir avec des vêtements fin qu’il devra prouver en les photographiant.
Master Phénix.
Je trouve très seyant votre bâtard avec son plug et sa cage de chasteté.
Comme cette larve à l'ai rde se plaindre des gouttes qui coulent le long de sa cuisse, je propose qu'il ne mette que des pantalon fin et d'une couleur qui fait bieen ressortir la moindre tache ! Il devra apprendre à se contrôler ! et le vendredi, pantalon en lin blanc assez fin avec la date du jour écrite au marqueur noir sur la jambe en bien gros ! De plus je propose qu'il s'hydrate bien en buvant 1litre d'eau le matin et un litre d'eau l'après-midi. Il n'aura le droit d'uriner qu'à 11h40 et 15h15 quand il est au travail. Pour uriner il devra être entierement nu et inscrire l'heure au marqueur sur son ventre. Reportage photo obligatoire et publication le jour meme sur ce blog ! Ceci durera aussi longtemps que vous le déciderez ! jusqu'à votre entière satisfaction et un peu la mienne aussi ! si les ordres ne sont pas respectés, il devra aller aux toilettes avec une bouteille vide de 50cl qu'il devra remplir de sa pisse et la boire dans la journée