Mercredi 22 février
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13:18
Consultation de février.
Je partais de chez moi de très bonne heure pour ma visite médicale
mensuelle. Au préalable, j’avais mis le boxer et le plug N°03 qui tient seul. Dès que je sortais et malgré les froidures ambiantes, le plug jouait toujours avec mon petit trou et mon malheureux
gland était empalé par les picots de la cage. Ces derniers arrivaient à l’exciter et provoquaient une érection continue et perturbée par cette maudite prison. Je démarrais la voiture en mettant
le chauffage au maximum et le dégivrage du haillon arrière. Je prenais une raclette et je grattais le givre sur le pare-brise et les vitres des portières. En m’assaillant dans le véhicule, le
plug redoubla de vigueur en jouant avec ma petite fleur et l’anneau intérieur. Les picots de la cage en faisaient tout autant avec mon malheureux gland et mon sexe avec cette érection continue et
contrariée. Cette nouvelle visite allait être très humiliante !
J’arrivais rapidement à destination et je stationnais, un instant, dans un coin tranquille. J’ôtais les attributs du slave que
je rangeais au fur et à mesure dans la sacoche, le harnais et le collier. Je me garais près de l’immeuble de ma destination finale. Je sonnais et j’entrais dans le cabinet médical. Comme
d’habitude, le secrétaire était à sa place et nous nous serrions la main en se saluant. Le médecin me faisait entrer immédiatement étant son premier rendez-vous. Après les formalités de
politesses, je lui donnais mes documents d’assuré et elle m’invitait à me mettre en sous-vêtement. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et fort. Je sentais ses pulsations dans tout mon
corps jusqu’à l’intérieur de mes oreilles. Au fur et à mesure que je me déshabillais et que je déposais mes vêtements pliés sur une chaise, une angoisse montait en moi. J’avais les mains qui
tremblaient légèrement. Je me retrouvais avec seulement le boxer blanc sans doublure qui laissait apparaître le cadenas plastique
avec son numéro et la cage de chasteté qu’il condamnait. Je me sentais de plus en plus mal à l’aise et je positionnais mes deux mains devant cette frustration pour
dissimuler cette humiliation le temps que je pourrai. Je passais à la pesée et après les premières constatations, elle m’invitait à m’asseoir sur le bord de la table.
Je m’exécutais lentement pour ne pas perturber l’invité qui
s’était, un instant, calmé. Malheureusement, il se réveilla et se mit à jouer de plus belle. J’essayais de retenir mon souffle lorsque mon trou tentait en vain de pousser et l’anneau faire du
toboggan avec le plug. Une nouvelle fois, je maudissais les instructions et l’humiliation de devoir porter un plug pour la consultation ! le médecin aperçut le cadenas et à mon grand désespoir,
elle me demandait :
-
- "Tu as une nouveauté avec ta boite ?
-
- Effectivement, c’est une nouveauté, c’est un cadenas en plastique.
-
- Il me semble qu’il y a une inscription ?
Je me sentais de plus en plus mal à l’aise et mon palpitant s’affolait ! J’avais le
souffle de plus en plus court et la voix tremblante.
-
- Vous avez bien vu, il est numéroté !
-
- Pourquoi l’a-tu changé ?
-
- C’est à cause des examens à passer. Je ne pouvais pas avoir de métal sur moi alors
Marina a apporté des cadenas plastiques numérotés.
-
- Tu peux donc le changer quand tu veux ?
-
- Malheureusement non car ils ont tous un numéro différent et elle a noté celui-ci
!
-
- Tu ne peux donc pas te masturber quand tu le désire ?
-
- Elle ne veut pas que je le fasse en semaine….
Mon cœur battait à tout rompre et je sentais le sang affluer au visage. Je me
sentais de plus en plus mal à l’aise, humilié et frustré ! J’avais envie de prendre mes jambes à mon coup et m’enfuir de ce cabinet !
-
- Tu dois être heureux en fin de semaine quand elle arrive ?
-
- Oh oui ! Encore plus quand elle enlève la cage !
-
- Il faut que tu me la présente à tout prix ! Viens avec elle un samedi ou mieux, je vous
invite, un dimanche, à déjeuner à la maison. Tu me diras quand elle sera libre et disposée à accepter mon invitation.
-
- Je vous remercie, je transmettrais votre proposition…."
Je n’en pouvais plus ! Je m’enfonçais de plus en plus dans le
mensonge. Je n’avais aucune idée comment je pourrai m’en sortir. Je haïssais de plus en plus cette damnée cage ! Les humiliations et les avilissements devenaient intenables et difficilement
gérables avec mes mystifications. Les frustrations n’étaient pas terminées ! Le médecin, tout en faisant son travail, poursuivit en me demandant toujours :
-
- "Tu entretiens constamment ton rasage ? Tu fais encore du vélo ? Tu devrais en
parler avec le secrétaire, il en fait aussi régulièrement. Généralement il est seul et apprécierait certainement de la compagnie.
-
- Je vous remercie docteur, je vais y réfléchir et en parler à Marina.
Un soupir m’échappa quand l’invité, à force de jouer et d’exciter mon petit trou et
mon anneau intérieur, tentait de sortir de son logement. Une nouvelle fois, je le haïssais et je
maudissais les différents plugs qui ne font que jouer, stimuler ma petite fleur et mon côlon. Les pics de la cage en faisaient tout autant avec mon pauvre
gland….
-
- Tu as un problème ? Ça ne va pas ?
-
- Rien de grave docteur ! Seulement un petit problème de digestion, j’ai fait un trop
gros petit-déjeuné ce matin et j’ai mangé trop rapidement, je pensais être en retard.
-
- Fais attention, ce n’est pas bon de déjeuner trop rapidement… !"
Je n’avais qu’une envie, épiloguer ! J’avais de plus en plus de
mal avec mes mystifications. Le médecin dû le comprendre car elle continua son auscultation sans mots dire. Je m’embourbais de plus en plus dans le mensonge et je ne voyais aucune solution pour
en sortir ! Je maudissais cette cage, ce cadenas et les sous-vêtements transparents ou mini
car ils sont tout autant dégradants et humiliants ! Enfin ! Elle me proposait de me lever et de m’habiller ! Sans demander mon reste, je m’exécutais voulant fuir ce
cabinet médical. Je me rhabillais le temps qu’elle termine de remplir mon dossier et rédige le renouvellement de mon ordonnance que je rangeais dans une pochette. Je la saluais quand elle me
raccompagna à la porte de son bureau. Par la seconde porte, elle appelait le patient suivant.
J’enregistrais mon prochain rendez-vous avec le secrétaire et nous nous souhaitions une bonne journée. Je regagnais ma voiture
dans un froid encore glacial. En montant dans la voiture, je regardais la température extérieure au tableau de bord. Il faisait encore –4,5 °C. La sacoche avec les attributs du slave était à côté
de moi sur le siège passager. je démarrais et je me rendais à la galerie marchande la plus proche. Je garais mon véhicule et je prenais sur l’épaule, ma sacoche. Je me rendais
aux toilettes du centre commercial. La porte de secours avait été fermée peu de temps au paravent. Il faisait toujours aussi froid ! Le ménage venait d’être terminé car
il y avait encore des carreaux humides. J’entrais dans les premières toilettes, la seule avec une cuvette. Je sortais les attributs du slave que je rangeais sur le sol et sur le distributeur de
papier toilette. Je déposais aussi le téléphone portable sur ce dernier. Je me
déshabillais et je déposais mes vêtements pliés sur la barre pour s’aider à se relever. Quand j’enlevais mes chaussures et que je posais les pieds au sol, malgré les
chaussettes, je ressentais le froid glacial monter dans mes jambes et un frison me parcouru de la tête aux pieds. De plus, le carrelage était très humide voir, par endroits, mouillé. Je ne savais
pas si c’était à cause du lavage ou pour toutes autres raisons….
Pour la corvée hebdomadaire, je devais, à tout prix, changer de chaussettes à midi. Je ne la réaliserai que dans l’après-midi,
ne sachant pas la propreté de ce lieu. Dans cet état, je ne me voyais pas devoir fourrer une chaussette dans ma bouche. Quand il ne me restait plus que le boxer, je prenais les premiers clichés.
Je le déposais pour le reste de la journée avec mes vêtements et je photographiais la cage avec son cadenas qui continuait à empaler
mon pauvre gland. Cette torture l’excitait et provoquait une érection incontrôlée et avortée par cette maudite geôle ! je posais le portable au sol, accroupi, j’expulsais
le plug en place tout en prenant des photos. J’immortalisais ma petite fleur et je lubrifiais le plug N° 04. Je le présentais à mon petit trou qui s’ouvrit au fur et à mesure que je
l’introduisais. Il butta alors contre le premier anneau. Après une nouvelle pression celui-ci
gobait la première boule et ma petite fleur en faisait autant avec ce nouveau convive. Je serrais les fesses un instant pour qu’il ne s’échappe pas et à la hâte,
j’enfilais le harnais. Je l’immobilisais avec le bloc-plug et je fermais cet équipement avec l’anneau en caoutchouc. Je mettais en place le collier du slave et je prenais les derniers clichés
avec toutes ses caractéristiques.
Lorsque je pensais que tout était dans la boîte, je me rhabillais
très rapidement car je grelottais de froid. Au fur et à mesure que j’enfilais mes vêtements, j’avais du mal à me réchauffer ! Il me faudrait plusieurs minutes pour retrouver ma température. Je
sentais l’humidité de mes chaussettes dans mes chaussures. Soit, au mieux, la femme de ménage avait mal épongé le sol, soit, au pire, les précédents visiteurs n’avaient pas visé la cuvette ! Dans
ce cas, je devais impérativement changer de chaussettes pour la corvée hebdomadaire ! Je rangeais dans la sacoche, le boxer, le lubrifiant et la clé du collier. Dans la poche frontale de ma
sous-veste, je déposais le téléphone. Je tirais la chasse d’eau. Je me lavais les mains
et je me les séchais. Une dernière fois, je vérifiais les lieux pour ne rien oublier et je m’enfuyais de cet enfer glacial ! Je regagnais ma voiture. En me rendant au bureau, je déposais au
passage, mon ordonnance à la pharmacie.
Une nouvelle consultation et de nouvelles humiliations, frustrations et dégradations subis ! J’essayais de ne pas trop maudire mes Masters et les visiteurs. Je fais mon possible pour les
remercier pour avoir passé une nouvelle étape et un nouvel échelon dans la soumission malgré mes sentiments.
Je constate que il nous manque le rapport mensuel du mois de Mars