Le mercredi 22 février :
Notification :
Suite à plusieurs commentaires postés sur le blog, les Masters ont
décidé que certains vocabulaire seront proscrit pour le slave. Il ne pourra plus utiliser pénis, verge, testicules, anus… mais queue, nouilles, couilles, cul….
Pour plaire à mes Masters, je décidais de changer de plug pour la journée. La veille au soir ayant dû faire un lavement, j’avais
mis pour la nuit le N°03. Je choisissais le N° 06 pour cette journée de corvée hebdomadaire bien qu’avec celui-ci, mon pauvre cul allait être explosé ! Après avoir pris ma douche et fait ma
toilette je changeais d’invité. À mon grand désespoir, je prenais mon téléphone pour débuter le
complément
visuel du rapport. Je le posais sur le sol et je commençais à sortir le plug en place. Je sentais mon petit cul s’ouvrir au fur et à mesure que cet intrus était expulsé. Dès qu’il fut évacué et
avant que ma petite fleur se referme, je la prenais en photo. Elle était ouverte dans toute sa splendeur avec son petit cœur humide….
Je graissais le nouveau convive et je le présentais à mon trou. Au
fur et à mesure que le cône pénétrait, mon cul s’ouvrait jusqu’au moment
où il butait
contre le premier anneau du côlon. Suite à une nouvelle poussée, celui-ci s’entrouvrait aussi et laissait pénétrer ce nouveau venu. Quant à mon cul, il accueillait la base du cône. Il se trouvait
alors défoncé et toute la journée il aura la sensation d’être explosé et en feu ! Je lui installais sa ceinture de sécurité ainsi il ne pourrait plus bouger. Dès sa mise en place, l’anneau
intérieur se mettait à faire du toboggan sur ce nouveau venu. La cage
ne cessait
pas de martyriser ma malheureuse queue. La journée allait être longue, très longue… ! Lorsque tout ce petit monde se calma un peu, j’en profitais pour m’habiller.
Après avoir pris mon petit-déjeuné, j’enfilais ma veste et mon
bonnet pour partir au travail. Tout le long du trajet, malgré le froid ambiant persistant, je sentais les pics empaler mon pauvre gland qui provoquait une érection contrariée par la cage. Mon
pauvre trou était
explosé ! J’avais le cul qui ne cessait de pousser ce qui stimulait l’anneau intérieur qui montait et descendait sur son nouveau jouet…. Chaque nouveau pas
était un supplice qui me poussait à gémir. Je faisais mon possible pour les atténuer ou carrément les retenir. Je craignais que les personnes que je croisais ne s’aperçoivent de mon "mal être".
J’essayais de rester le plus naturel possible. Je m’en voulais et je me maudissais d’avoir pris l’initiative de changer le plug. Je
n’avais pas
pensé au trajet à faire dans la rue….
Après plus de dix minutes de torture intérieure, j’arrivais aux
portes du bureau. Je saluais les collègues déjà présents en gagnant mon poste de travail. je posais ma veste et mon bonnet sur le dossier de mon fauteuil. Je cherchais dans mon dernier tiroir,
sous mes dossiers, le marqueur pour la réalisation de la corvée hebdomadaire. Je le rangeais dans une des poches frontales de ma sous-veste et je
vérifiais la
présence du téléphone dans l’autre. Je me mettais au travail. Heureusement que j’étais assis car mon pauvre cul ne cessait de pousser à cause de son invité. Le premier anneau du côlon n’arrêtait
pas de faire du toboggan sur ce nouveau jouet. Il s’amusait bien ! Il ne faisait que monter et redescendre de ce nouvel agrès. Mon malheureux gland continuait inlassablement
à se faire empaler par les pics de sa geôle et ma pauvre queue était encastrée dans sa cage siliconée qui l’emprisonnait en lui empêchant toute érection. Je faisais mon
possible pour retenir les gémissements que tout ce petit monde provoquait.
Sur ces entre faits, mon voisin et collègue s’installa à son poste
après m’avoir salué. Il se mettait, lui aussi au travail. Cette présence allait compliquer ma corvée hebdomadaire. Je devrais
être le plus
rapide possible afin qu’il ne se doute de rien. Un premier gémissement m’échappa et il s'alarma immédiatement. Je le rassurais en lui mentant et en lui avouant que j’avais des problèmes de
digestions depuis la veille au soir. Il s’inquiétait alors sur mon état de santé. Pendant un cours instant nous échangions et j’essayais de le rassurer comme je pouvais. Malheureusement, je
crains qu’il n’ait pas crû tout ce que je lui avais raconté. Je faisais mon possible pour me concentrer sur mon travail tout en retenant et en étouffant de nouveaux gémissements qui montaient du
plus profond de mon être. J’avais hâte que ma vessie se remplisse pour être libérer de la prestation du jour tout en angoissant qu’un collaborateur ne s’aperçoive de la durée de mes séjours aux
toilettes.
En milieu de matinée, une collègue était venue nous inviter à faire une pause cigarette. La plus part des présents acquiesçaient
tout en la remerciant pour cette bonne idée. Nous laissions un instant notre travail en suspend le temps de se griller une tige. Au moment de descendre dans l’espace fumeur, je m’excusais et je
m’éclipsais un instant
en prétextant une urgence…. Discrètement je vérifiais avec
la main, la présence du feutre et du portable dans les poches frontales. Je fermais la porte des toilettes à clef derrière moi.
Je déposais sur le bord du lave-mains le téléphone et le marqueur.
Je me déshabillais en déposant mes vêtements pliés à cheval sur le lavabo. Quand je retirais mes pieds des chaussures et que je les posais sur le carrelage glacé, le froid engourdissait mes
pieds. Je terminais en ôtant mes chaussettes et la froidure glaciale amplifiée du sol remonta dans mes mollets. Une nouvelle fois, un frisson me secoua de la tête aux pieds. Je faisais attention
de ne plus maudire qui que ce soit à part moi. J’accrochais une chaussette au harnais. Je prenais le marqueur et j’inscrivais, le moins gros possible, la date du jour sur ma cuisse gauche, soit
"Le 22 . 2". Je
relevais la lunette des toilettes. À mon grand désespoir, je prenais, d’une main, le téléphone.
En m’assaillant, je sentis la froidure de la faïence me glacer les
fesses. Un nouveau frisson parcouru tout mon corps nu. J’ouvrais les vannes et, avec soulagement, je vidais ma vessie. Pendant ce temps, j’en profitais pour continuer les clichés pour illustrer
le rapport hebdomadaire suivant
les directives. Bien que ce soit régulier, je n’arrive pas
à m’habituer à être ainsi exhibé et humilié en publique. Après que la dernière goutte soit évacuée, je secouais légèrement la cage et je la séchais avec du papier toilette en espérant qu’il n’y
aurait pas de fuite pour une fois. Je me relevais. Je prenais le plug et sa ceinture de sécurité en photo. Mon pauvre cul continuait, inlassablement, à être dilaté par la base de ce dernier. Je
faisais de même avec la cage de chasteté qui emprisonne depuis plus de 7 mois ma malheureuse queue et que ses picots martyrisent mon pauvre gland en l’empalant et en l’excitant. Je roulais la
seconde chaussette, que je portais depuis la veille au matin, sur elle-même et je la fourrai dans ma petite gueule de slave. Dès que je l’approchais pour la mettre en place, je sentais une légère
odeur de pieds…. Je devais faire tous mes efforts afin de
ne pas maudire une nouvelle fois qui que ce soit. Je
prenais de nouveaux clichés avec cette dernière et le slave de pieds.
Quand je pensais avoir tout en boite, je reposais rapidement le
téléphone. Je commençais à me rhabiller en débutant par les chaussettes et le jeans afin de remettre, au plus vite, les
chaussures aux pieds pour ne plus être glacé. Je
continuais par le maillot, les pulls et la sous-veste où je rangeais, une nouvelle fois, dans les poches frontales, le téléphone et le marqueur. C’est à ce moment que j’entendis des pas dans le
couloir. Je tirais rapidement la chasse d’eau et je remettais en place la lunette. Je terminais par baisser le couvercle, me laver les mains et je me les séchais. J’ouvrais la porte tout en
vérifiant que je n’oubliais rien. Je me retrouvais nez à nez avec mon voisin et collègue qui s’inquiétait de ne pas me voir au coin fumeur.
Je le rassurais et nous redescendions ensemble pour se fumer une
tige de 7. Dans l’escalier, mes craintes se confirmèrent lorsque je sentis une nouvelle grosse goutte d’urine couler le long de la jambe. Une nouvelle fois, je haïssais ces maudites fuites
intempestives. Discrètement, je frottais une jambe contre l’autre pour absorber cette
détestable et ignominieuse perte. Je retrouvais la plus
part de mes collègues avec une cigarette entre les doigts. En arrivant mon voisin fit un petit signe de la tête et tout le monde lui sourit. Je me sentais interdit, humilié et frustré car ils
avaient dû faire des suppositions, des hypothèses pour concevoir des théories sur mes séjours prolongés aux toilettes. Pour étayer leurs présomptions, ils avaient certainement fait des paris sur
chacun des pressentiments qu’ils avaient émis. Mon cœur se mit à battre de plus belle ! Le plug en profitait pour stimuler mon trou qui ne cessait de pousser. Les picots d’empaler mon malheureux
gland qui stimulait ma pauvre queue qui tentait d’avoir une érection contrariée dans sa prison siliconée. Je faisais mon possible pour retenir mes gémissements devant tout ce monde. À force de
bloquer ma respiration pour retenir mes plaintes, je devenais tout rouge ! Une collègue s’inquiéta de me
voir ainsi en apnée et de la couleur d’une tomate bien
mûre. Je la rassurais ainsi que ses voisins.
J’abrégeais ma pause pour fuir ces curieux médisants et leurs
commentaires tout aussi désobligeants. La remonté à mon poste fut une souffrance intérieure ! À chaque nouvelle marche que je gravissais, le convive dans mon côlon tentait de s’enfuir alors que
sa ceinture de sécurité lui empêchait tout mouvement. J’avais le cul de plus en plus en feu. Les picots redoublaient, eux aussi, de vigueur ! Ils empalaient de plus en plus le bout de ma bite qui
se trouvait stimulé et tentait une érection désespérée et contrariée par la maudite cage de chasteté ! J’arrivais enfin à destination !
Je retrouvais mon poste comme je l’avais abandonné et je reprenais
mon travail. De ma place, j’entendais des chuchotements de collègues. Je craignais qu’ils fassent de nouvelles prédications. Je rangeais le maudit marqueur dans son tiroir sous les dossiers et
je me concentrais sur mon labeur pour ne plus entendre les
chuchotements. La journée se déroulait ainsi avec des alternances de travail et des interludes de jeux humiliants, frustrants et dégradants avec le convive dans mon cul et ma malheureuse queue
empalée et emprisonnée dans sa prion siliconée ! Pour comble de toutes déchéances, je devais retenir tous gémissements intempestifs et fuir les médisants et avilissants commérages.
Je dois, avant tout, remercier mes Masters pour leur magnanimité et leur altruisme envers leur slave dévoué.
Je gratifie aussi les visiteurs pour le suivi du bâtard que je suis et leurs commentaires qui me font progresser dans la soumission avec l’aval et sous le contrôle de mes Maîtres.
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