Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Dimanche 17 septembre 7 17 /09 /Sep 07:58

Le Mercredi 13 septembre 2017:

        Après une nuit difficile alternée de cauchemars, de torture du gland, de la queue et des réveils en sursaut, je me levais de bonne heure. Après un café serré, je passais à la salle de bain parfaire le rasage, prendre une bonne douche et un nettoyage complet de la cage qui emprisonne depuis plus d’un an ma pauvre queue. Les picots continuaient un peu plus l’empalement du gland à chaque nouveau mouvement. Je repositionnais le plug N° 04 tenu par la ceinture et mon collier après un bon décrassage de celui-ci. Je m’habillais avec un maillot de corps, une chemise, un jeans avec la braguette ouverte, une paire de socquette propre, mes baskets et mon gilet sans manche. Je saluais Maître Michael et après un échange je lui souhaitais de passer une bonne journée.

  16 - Corvée - D - -.-           Je prenais une veste assez longue pour cacher la braguette béante. Chaque nouveau pas était un calvaire de plus. L’anneau du côlon jouait entre les deux boules du plug et les pics empalaient un peu plus mon pauvre gland à chaque mouvement de la jambe ce qui excitait ma malheureuse queue qui tentait17 - Corvée - D - -.- une érection avortée. Je sentais la fraîcheur ambiante s'introduire dans la braguette ouverte. Les températures chutes chaque jour un peu plus le matin. Les supplices accéléraient mon cœur qui battait de plus en plus fort. Je faisais mon possible pour retenir des râles de souffrances et d'excitations. À 18 - Corvée - D - -.-l'approche du bureau, discrètement je tentais de fermer au mieux la braguette. Malheureusement, comme je ne peux plus boutonner le pantalon, il m'est très difficile de remonter au maximum la fermeture éclaire. La braguette reste entre-ouverte à mon grand désespoir. Je saluais les collègues déjà présents et les parents qui déposaient leurs enfants pour la matinée. Je montais à mon poste de travail et je déposais sur le dossier de mon fauteuil ma veste. Je vérifiais le téléphone dans une des poches frontales de ma sous-veste et je prenais dans un tiroir le marqueur que je cachais dans la seconde poche. Les pics ne cessaient d'empaler mon malheureux gland. La fraîcheur extérieure avait calmé pour un moment l'anneau du côlon qui stationnait entre les deux boules du plug. Malheureusement en m'assoyant, il reprit de 19 - Corvée - D - -.-l'énergie et recommençait à titiller l'anneau. Je sentais mon trou pousser ! J'avais de plus en plus de mal à retenir des gémissements de douleurs et d'excitations. Je commençais mon travail sur mon ordinateur. J'étais plongé dans un dossier et des soupires involontaires s’échappaient de mes poumons. Je n'entendis pas un de mes collègues arriver. En me saluant, il m'interrogeait sur les 20 - Corvée - D - -.-bruits que je faisais. Je sursautais et mon cœur se mit à battre la chamade. Je balbutiais que j'avais mal digéré la veille. J'ai pris un dîner trop lourd pour le soir.... Je le priais de m'excuser pour ces râles. Il allait s’asseoir à son poste à coté du miens. J'allais avoir un voisin pour une partie de la matinée ce qui allait  sûrement compliquer ma corvée hebdomadaire aux toilettes. 21 - Corvée - D - -.-D'autant plus que pour la première fois j'allais devoir inscrire au marqueur la date complète sur une cuisse, sur l'autre mon numéro de slave et sur mon torse mon appartenance. Il me faudrait beaucoup plus de temps pour réaliser ces écriture surtout que je dois inscrire à l'envers pour que, sur les photos témoins, les inscriptions se trouvent à l'endroit afin que mes Masters soient satisfait. 22 - Corvée - D - -.-N'étant plus seul, je retenais le plus possible les sons intempestifs qui s'échappaient de mes poumons. Je sentais mon anneau jouer entre les deux boules du plug ce qui excitait ma queue qui se faisait empaler de plus en plus par les picots de la cage. S'était un cercle vicieux ! À tout moment les uns titillaient les autres et les persécutaient.... La journée allait être très longue, difficile 23 - Corvée - D - -.-à gérer et surtout humiliante et frustrante. Pour calmer ma petite fleur, je m'assaillais sur le bord du fauteuil pour un moment. Malheureusement cette position stimulait les pics qui en profitaient pour empaler un peu plus mon pauvre gland. Ce qui exacerbait ma petite queue qui tentait des érections avortées par sa prison. Je ne savais plus quelle position prendre pour éviter des tortures inutiles et excitantes. Plus je tentais de bander et plus mon gland était empalé 24 - Corvée - D - -.-par les pics et plus ma bite tentait des érections torpillées. Doucement mais sûrement je sentais ma vessie se remplir. J'accélérais le processus en buvant régulièrement des gorgées d'eau. En milieu de matinée l'envie devenait de plus en plus pressante. Mon collègue se leva en m'informant qu'il reviendrait dans un moment car il devait évaluer deux nouveaux stagiaires. Quand 25 - Corvée - D - -.-il fut hors de ma vue, je regardais dans le couloir. Ne voyant personne en approche, je me décidais à aller aux toilettes réaliser la corvée du jour. Machinalement, je vérifiais que le portable et le marqueur étaient dans les poches frontales du gilet. Je refermais rapidement la porte à clef derrière moi. Je commençais à me déshabiller et j'accrochais au fur et à mesure mes vêtements aux 26 - Corvée - D - -.-patères de la porte comme j'étais aux toilettes de mon étage. En enlevant les baskets Je sentis le froid du carrelage en posant les pieds dessus. J'enlevais ensuite mes chaussettes et la froidure devint plus intense et remontait dans les mollets. Je prenais dans une poche le marqueur et je m'assaillais sur le bord des toilettes après avoir relevé le couvercle et la lunette. Le 27 - Corvée - D - -.-froid de la faïence agressa mes petites fesses. Je commençais par noter la date du jour sur ma cuisse gauche : "Mercredi 13 septembre 2017". Sur la droite, j'écrivais mon numéro de slave suivant les nouvelles consignes : "Slave N° 411,103,335". Pour terminer, j'inscrivais sur mon torse mon appartenance pour satisfaire les nouvelles directives : "Slave de Master Éric et Maître 28 - Corvée - D - -.-Michael". Pour cette dernière inscription, je me mettais debout face au miroir du lavabo afin de voir ce que je notais. J'avais toutes mes références sur les différentes parties de mon corps. Je sentais l'odeur du marqueur monter au nez. J'espérais en vain qu'elle n'attirerai pas l'attention de mes collègues. Je le rangeais dans une des poches frontales du gilet. Dans l'autre, je prenais mon portable et je commençais à immortaliser ces graffitis. Je m'assaillais sur le trône et la fraîcheur de la faïence agressa une nouvelle fois mes fesses. J'ouvrais les vannes et je vidais ma vessie avec soulagement. J’entendais des pas dans le couloir. Je faisais attention pour faire le moins de bruit possible afin d’alerter personne. Je continuais ma besogne en posant le téléphone au sol pour présenter l'indésirable qui squattait mon côlon. Le sortir et le remettre en place accentuait mon excitation et les picots en profitaient 29 - Corvée - D - -.-pour embrocher un peu plus mon pauvre gland. Je continuais à entendre des vas et viens dans le couloir. Je craignais qu'une personne n'ai besoin de se rendre aussi aux toilettes. Mon palpitant battait toujours aussi fort et rapidement. Je me relevais et continuais mon labeur en prenant un cliché de la prison de ma queue et de mon pauvre gland martyrisé. Je vérifiais que la médaille du collier se trouvait bien sur mon torse. Après avoir roulé mes chaussettes, la plante des pieds à l'extérieur comme l'avaient préconisés mes Masters en début d'année, je les fourrais dans ma gueule de bâtard. Une nouvelle photo d'archive. Je faisais, une nouvelle fois, de même pour le torse et pour les jambes et leurs écriteaux. Je terminais ce reportage avec mes vêtements aux patères. Je me rhabillais en hâte. J'avais en permanence 30 - Corvée - D - -.-l'odeur du marqueur qui chatouillait mes narines. J'enfilais rapidement mes chaussettes, mon maillot de corps, ma chemise et mon jeans. Je tentais de fermer au mieux la braguette mais ne l'ayant pas boutonné comme il y avait la ceinture, j'avais du mal à monter la fermeture. Plus je la fermais et plus la bosse contre ma jambe s'accentuait. J'avais en permanence cette grosseurs dégradante contre ma cuisse. À tout moment, je tentais de me représenter ce que mes 31 - Corvée - D - -.-voisins pouvaient penser et s'imaginer sur cette grosseur le long de ma cuisse. À cette idée, mon palpitant se mit à battre la chamade et les picots à torturer un peu plus ma queue. J'enfilais rapidement mon gilet et mes baskets. Je prenais un denier cliché de la braguette entre-ouverte, ne pouvant mieux la fermer, et de la grosseur de la geôle le long de ma jambe. Je rangeais 32 - Corvée - D - -.-l'appareil dans une des poches frontales. Je tirais la chasse d'eau et je me rinçais les mains. Après les avoir sécher, je vérifiais que je n'oubliais rien et je tendais l'oreille. N'entendant aucun bruit, j'ouvrai la porte. Je me rendais à la salle de repos me faire un café comme si je débutais ma pause bien que cela faisait un petit quart d'heure que je squattais les toilettes. Je faisais comme de rien et je discutais avec les personnes présentes qui prenaient quelles que minutes de repos. Ma voisine fit la remarque qu'il y avait une drôle d'odeur.... Qu'elle avait l'impression que ça sentais le marqueur bien qu'il n'y ait pas de tableau dans cette pièce. Je faisais 33 - Corvée - D - -.-comme si je n'avais rien entendu et je me tournais vers une autre personne. Mon palpitant s'accélérait et ma queue se faisait embrochée un peu plus par ses geôliers. Je fumais avec eux une cigarette et je retournais à mon poste. Chaque nouveau pas était une nouvelle torture. Le plug s'était remis à jouer avec les boules et les pics empalaient à chaque pas un peu plus le gland. J'arrivais enfin à destination tout en étouffant des gémissements. Mon collègue était déjà à son bureau. Il me demandait où j'étais car il ne m'avait pas vu en salle de repos. Je lui répondais mal à l'aise, que nous avions dû nous croiser car j'en avais profiter pour me rendre aux toilettes. Je lui demandais comment s'était déroulé l'évaluation pour changer de sujet. Il me répondit 34 - Corvée - D - -.-qu'il n'avait pas pu réaliser son travail car une animatrice était en arrêt maladie et que les animateurs étaient en sous-nombre. Qu'il réalisera ce travail plus tard. Je prenais place dans mon fauteuil en m'assaillant délicatement pour n'exciter personne. Je rangeais discrètement le marqueur dans son tiroir.

 

 Je remercie mes Masters pour cette nouvelle étape humiliante qui fait progresser leur slave. Les nouvelles instructions sont toujours plus frustrantes et dégradantes. Malgré cela, je fais mon possible pour suivre les directives pour le plaisir et la satisfaction de mes Maîtres. Chaque nouvelle étape emmène le slave que je suis dans les bas-fonds de l'obéissance et de la soumission. Un grand Merci à Master Éric et Maître Michael, mes chers Masters, de faire progresser leur bâtard..

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
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