Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Samedi 23 septembre 6 23 /09 /Sep 11:40

Mercredi 20 septembre :

02 - Médecin - D - -.-        Je me levais après une nuit tourmentée comme d'habitude. La nuit s'était entrecoupée de cauchemars et de réveils en sursaut. Maître Michael avait recommandé que le rasage soit impeccable. Je buvais un bon expresso et je passais à la salle de bain pour parfaire, à contrecœur, le rasage complet du slave. Pour compléter cet ouvrage, je réalisais une épilation de mon trou et de mes fesses ne pouvant pas, sans accident, les raser. Je prenais une bonne douche à la suite et j'en profitais pour réaliser un assainissement total de la cage et de son prisonnier. J'appréciais une dernière fois la douceur et la chaleur de l'eau qui ruisselait sur ma peau. Je me séchais et je remettais en place le collier et sa médaille après avoir fait un décrassage complet. J'installais le plug N° 03, celui qui tient seul, dans mon petit trou. Je m'habillais avec le boxer blanc, une paire de chaussettes, un jeans en laissant la braguette et les boutons ouverts, un maillot de corps, une chemise et un gilet sans manche. Après avoir constaté qu'il pleuvait des hallebardes, j'en faisais part à Maître Michael. Il changea les directives pour 01 - Médecin - D - -.-enlever le boxer et remettre le collier car je devais garder pour ma consultation, non seulement la cage mais aussi l'ami qui stationnait dans mon côlon. Au lieu de le faire en extérieure comme prévu, au vu de la météo, il recommandait de le réaliser dans la cave comme je devrai ensuite passer chez moi pour inscrire sur le corps les références du slave. Dans ma sacoche, je préparais mes papiers d'assuré et la clef pour le collier. J'attrapais une veste de treillis car elle était assez longue pour dissimuler la braguette ouverte.

03 - Médecin - D - -.-        Les tortures continuaient à chaque nouveau pas. Les pics empalaient mon malheureux gland ce qui provoquait une érection avortée parla cage. Le copain de ma rondelle continuait à jouer avec l'anneau qui tentait en vain de le gober. Je devais à tout moment retenir des gémissements incontrôlables. J'ouvrais ma voiture et en m'assaillant sur le siège, le plug excita un peu 04 - Médecin - D - -.-plus la petite fleur. J'arrivais avec soulagement sur le parking de mon médecin. Avant de sortir du véhicule, j'enlevais le collier et sa médaille que je rangeais dans ma sacoche. La pluie continuait de tomber en trombe. Je courais jusqu'à la porte du bâtiment. Je sonnais à la porte et j'entrais dans 05 - Médecin - D - -.-le cabinet médical. Le secrétaire était derrière son poste. Nous nous saluions et échangions quelles que mots sur les grandes eaux qui tombaient des cieux. Ma doctoresse m'invita à entrer dans son bureau. Après s'être salué je lui donnais ma carte d'assuré social. Elle m'invitait à me mettre 06 - Médecin - D - -.-en tenue soit avec seulement mon sous-vêtement. Je me déshabillais tout en retenant de nouveaux gémissements. Les picots continuaient à martyriser mon pauvre gland et la cage avortait toute tentative d'érection de ma bite. Le plug n'était pas non plus sans ressources. Il continuait à titiller son ami dans le côlon. Je me retrouvais avec seulement le boxer blanc qui n'a plus de doublure. La cage et surtout le cadenas se devinaient facilement par transparence. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je devais faire un effort surhumain pour contrôler ma respiration et ne pas laisser sortir des gémissements intempestifs. Après avoir fait les mesures mensuelles, elle m'invitait à m'allonger sur la table d'auscultation. 07 - Médecin - D - -.-En m'assoyant, le plug en profita pour exciter un peu plus mon côlon. Avec grande difficulté je retenais les plaintes qui montaient en moi. Allongé, il continuait à s’amuser avec son hôte et la prison de ma queue était mise en évidence avec sa serrure. Une nouvelle fois, je me sentais 08 - Médecin - D - -.-frustré et humilié avec ces artifices en évidences. Elle dû s'en apercevoir car elle me fit remarquer que j'avais toujours mon jouet dans mon sous-vêtement. Honteux et humilié de nouveau, j’acquiesçais avec colère et infamie. Elle aperçue et me questionnait sur les raisons pourquoi je retenais ma respiration. Mon palpitant s’emballait et le sang me montait à la tête. Elle remarqua mes rougeurs et me fit part de ses constatations. Frustré et avilis, je tentais de balbutier une réponse inaudible. Cela la fit sourire ce qui m'humilia encore plus. J'avais envie de fuir cette auscultation tellement j'étais humilié, gêné et désappointé. Constatant mon désenchantement, elle changeait de sujet et me questionnait sur mon travail et mes journées. Elle 09 - Médecin - D - -.-terminait enfin son auscultation et m'invitait avec soulagement à me rhabiller. Je m'exécutais sans demander mon reste. Elle s'installait à son bureau pour remplir mon dossier et rédiger mon renouvellement d’ordonnance. Le martyre de mes attributs sexuels continuait sans relâche. Je tentais en vain de calmer les geôliers et leurs prisonniers. Mon palpitant continuait à s’emballer. En me rhabillant, le médecin fit remarquer que ma braguette était ouverte. Je la fermais momentanément en la remerciant et en la priant de m'excuser. Elle me tendait mes différents documents que je m'empressais à ranger dans ma sacoche. Nous continuions à discuter de la pluie et du beau temps quelles que minutes. À mon grand soulagement, elle se leva et 10 - Médecin - D - -.-m'invitait à en faire autant. Je sortais de son bureau en nous saluant. Le patient suivant était là et elle le fit entrer à son tour. Je vérifiais avec le secrétaire les dates et les horaires de mes prochains rendez-vous. Nous nous serrions la mains. Avec plaisir et soulagement je m'enfuyais de ce lieu d'humiliations et de frustrations. Dans le couloir j'ouvrais à nouveau ma braguette suivant les nouvelles instructions de mes Masters. Les pics, la cage et le plug continuaient sans cesse à torturer ma malheureuse queue et mon infortunée rondelle. Je courrais à mon véhicule et je m'empressais à m’asseoir sur mon siège. Je ressentais la fraîcheur humide pénétrer par l'ouverture inopinée de mon jeans. Je déposais mon ordonnance à la pharmacie et je revenais contrarié et humilié à mon domicile. Je stationnait 11 - Médecin - D - -.-ma voiture et je rentrais dans mon immeuble. Au lieu de monter dans mon appartement, je descendais, contraint et forcé, à la cave. Par sécurité, j'ouvrais la porte de ma cave au cas où un voisin arriverait inopportunément. Je déposais sur le sol en béton brute, ma sacoche et ma veste que je repliais. Je 12 - Médecin - D - -.-prenais mon téléphone pour immortaliser mon désarrois. Je continuais à me dévêtir et à déposer sur le sol mes vêtements pliés. Quand il me restait plus que le boxer, je le prenait à contrecœur en photo. Je faisais de même pour mes vêtements pliés par terre. Pieds nus, je sentais la fraîcheur et la rudesse du béton brut. Un frisson parcourut mon corps de la tête aux pieds. À contrecœur, je déposais le sous-vêtement et j'immortalisais le prison de ma queue et sa serrure inviolable. Je me retrouvais nu comme un vers. Tous mes sens étaient en alertes et je scrutais le moindre bruit pour me replier en urgence dans ma cave. Je prenais un cliché des geôliers de ma queue. Mon palpitant battait toujours 13 - Médecin - D - -.-la chamade. Mon angoisse était grandissante plus je devais rester dans la tenue d'un nouveau-né dans ce maudit couloir. La minuterie arrivait à son maximum et la lumière du couloir s'éteignit. À tâtons, j'atteignais le bouton et je relançais la minuterie. Que la lumière soit et la lumière fut ! Je continuais avec empressement les commandements de mes Masters. J'attrapais mon collier et sa clef. Je l'ouvrais et je le positionnais avec sa médaille autour de mon cou. Après avoir prit un nouveau cliché, je commençais à me rhabiller. J'enfilais mon maillot de corps puis ma chemise et je prenais une photo de celle-ci avec le médaillon du collier. Je le 14 - Médecin - D - -.-positionnais ensuite dans mon dos et je faisais de même avec la marque du slave qui se trouvait à la place de l'insigne précédemment, soit le "M" de …. Je continuais avec mes chaussettes que j'avais rangé momentanément dans mes baskets. La lumière s’éteignit à nouveau. Toujours à tâtons, je retrouvais le bouton et je relançais la minuterie. La lumière revint immédiatement. Je poursuivais avec mon jeans en laissant à contrecœur, la braguette et les boutons ouverts. Heureusement il était tenu par la ceinture mais la chemise arrivait à sortir par cette ouverture fortuite. Avant de ranger le boxer dans la sacoche, je prenais un nouveau cliché. Enfin, 15 - Médecin - D - -.-j'enfilais ma veste de treillis pour camoufler cette embrasure occasionnelle. Je fermais à clef ma cave et je rangeais le trousseau dans une des poches du blouson militaire. Je regagnais l'ascenseur pour atteindre mon appartement pour réaliser l'étape suivante des commandements de mes Maîtres. De nouveau, à chaque pas, les tortionnaires reprenaient de la vigueur. Les pics empalaient de nouveau mon malheureux gland qui provoquait une érection contrariée par la cage qui emprisonne ma pauvre queue. De même, le plug recommençait à exciter l'anneau du colon et occasionnait des poussées intempestifs de ma rondelle. Je faisais de mon mieux pour retenir tous gémissements malencontreux bien que personne ne soit à l'horizon.

 

         Enfin une nouvelle consultation de terminé mais quelles frustrations et humiliations avec le visiteur de ma petite fleur. Je remercies tout de même mes Maîtres pour cette nouvelle étape honteuse et dégradante. La suite chez mon médecin sera de plus en plus compliquée si les consignes sont toujours aussi humiliante et avilissante. Je gratifie mes Masters pour me faire évoluer dans la soumission, l'obéissance et l'acceptation des frustrations et des humiliations. Je les salue aussi pour la patience qu'ils ont pour parfaire l'éducation et la soumission de leur slave.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Chez le Médecin - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
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  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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