Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
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Samedi 30 septembre 6 30 /09 /Sep 20:00

Une hospitalisation dégradante.

        Je recevais les instructions pour ma prochaine hospitalisation de Maître Michael qui me commandait de les publier. Le dimanche après-midi, je préparais ma valise et j'ajoutais le marqueur, le short blanc, la futur cage, un plug urétral, un cadenas avec ses clefs. Les pics continuaient inlassablement à empaler mon malheureux gland qui provoquait des érections avortées. Le plug N° 03 était en place et jouait avec ma rondelle. Hormis le temps de l'intervention, il resterait en place dans ma petite fleur. De temps à autre mon trou tentait des poussées intempestives et, comble de l'humiliation, mouillait de ses grandes eaux. Étant chez moi, je laissais échapper des gémissements de frustrations et de plaisirs honteux.

01 - Hospital. - D - -.-        Je prenais ma veste de treillis qui, étant assez longue, cachant partiellement la braguette ouverte. Je fermais ma porte à double tour et je rangeais la valise dans le coffre de ma voiture. Chaque nouveau pas étaient un calvaire de plus. Les picots martyrisaient mon gland qui, excité, provoquait des érections avortée par une cage de plus en plus insupportable. En m'assaillant, le plug redoublait de vigueur et s'amusait avec mon anneau intérieur. Je prenais la direction de l'hôpital. Chaque nouveau gendarme couché était un supplice supplémentaire pour ma rondelle. J'arrivais enfin à destination. Je me garais et avant de sortir du véhicule, j'enlevais le collier de slave que je rangeais dans ma sacoche. Je prenais ma valise et je me dirigeais vers l'entrée de l'hôpital. Je m'acheminais, par les ascenseurs C, dans le service de chirurgie vasculaire où j'étais attendu. Une infirmière me reçu et m'accompagnait dans ma chambre. Avec soulagement, je02 - Hospital. - D - -.- constatais que j'avais une chambre individuelle. Elle me donnait les premières consignes et je m'installais dans ma nouvelle demeure éphémère. Une autre infirmière venait pour compléter mon dossier. Je répondais à toutes ses questions. Une autre soignante venait faire une prise de sang et remplissait plusieurs tubes pour les derniers examens post-opératoire. Une aide soignante m'apportait des serviettes, des gants de toilettes et un flacon de betadine. Je devais prendre une douche avec ce soir et une seconde le lendemain matin avant d'être emmené au bloc. Je terminais de m'installer et je descendais à l'accueil pour la mise en marche de la télévision et de la wi-fi. Le martyre de ma bite ne cessait ! À chaque nouveau déplacement de mes jambes occasionnaient des érections contrariées, provoquée par l'empalement de mon pauvre gland. Le plug ne restait pas non plus 03 - Hospital. - D - -.-sans jouer avec l'anneau qui tentait de monter dessus et de le gober. À mon retour, deux aides-soignantes servaient le repas du soir. Je dînais, un repas un peu fade par manque d'assaisonnement mais compensé par des aromates, copieux et donc, pas mauvais pour ce genre d'établissement. Je terminais de me restaurer et j'allais boire un dernier café avant la douche. Cet aller-retour rapide avait de nouveau réveillé les garnements qui en profitaient pour martyriser ma bite et ma rondelle. À mon retour en chambre, une infirmière me donnait les instructions pour la douche nocturne. Je passais à la salle de bain où j'allais libérer, avec plaisir, ma queue emprisonné depuis plus d'un an. Je photographiais une dernière fois cette maudite prison et je cassais le cadenas avec enthousiasme ! Je prenais une bonne douche suivant les recommandations du service soignant. Quand j'arrivais aux04 - Hospital. - D - -.- parties génitales, une envie incontrôlable me pressait pour que je me masturbe. Je bandais comme une bête ! Je faisais un effort surhumain pour retirer ma main de mon pénis. J'avais le cœur qui s'était emballé. Je me masturbais légèrement tout de même. À contrecœur, après un titanesque effort et avec grandes difficultés, je retirais, avec un regret insupportable, ma mains insoumise. Des sentiments de frustrations, d'humiliations et d'avilissement se bousculaient dans ma petite tête. Je me séchais et à ma grande tristesse, pour la première nuit à l'hôpital, j'inscrivais au marqueur sur ma queue : "LOPE" ! Je repositionnais, aussi, le plug dans ma petite rondelle. Je me mettais en short pour regarder les informations. En prenant les photos, je m’apercevais honteux que mon gland dépassait d'une jambe du short. Le journal télévisé terminé, j'enfilais une chemise d'hôpital qui m'avait été apporté avec les affaires de toilettes. L'infirmière en chef avait 05 - Hospital. - D - -.-recommandé que je dorme sans sous-vêtement, seulement cette chemise qui met les fesses des patients à l'air. Je m'enfilais entre les draps et je regardais la télévision. Quand je sentis le sommeil poindre son nez, j’éteignais le téléviseur et je tombais rapidement dans les bras de Morphée. Pour la première fois depuis des mois, je ne faisais pas de cauchemars et je ne me réveillais pas avec06 - Hospital. - D - -.- mon malheureux gland martyrisé. Une aide soignante me réveillait en m'apportant de nouvelles affaires de toilettes et une nouvelle chemise. Je passais à la salle de bain lorsqu'un infirmier venait me donner les instructions de la matinée. Je renfilais à la hâte, le chemise et j'ouvrais la porte. Il me remettait les instructions pour la douche. Il 07 - Hospital. - D - -.-continuait en m'informant que je devais porter la nouvelle chemise. Lorsque la douche serait terminé, je devais me remettre au lit pour attendre qu'un brancardier vienne me chercher. Il terminait en m'annonçant que je devais impérativement rester à jeun. Il s'était renseigné sur mon passage au bloc et m'indiquait que je serai le deuxième à être opéré. Une personne viendrait me chercher vers les 09h00 pour me descendre au bloc. Il me souhaitait une bonne journée et je lui rendais ses salutations. Je retournais à la salle de bain et je fermais à clef la porte afin d'éviter toutes rencontres malencontreuses. Je débutais le décrassage par l'inscription dégradante sur ma queue. Je continuais la douche par la tête et je lavais chaque membre en descendant vers les pieds. Quand j'arrivais à mon pénis, je me rendais compte que j'avais une nouvelle trique. Avec délicatesse, je08 - Hospital. - D - -.- continuais ma douche mais en lavant mon sexe je sentis mon jus qui montait. Après un effort surhumain, je retirais mes mains et j'attendais frustré et dégradé que mon jus retourne à sa source. Mon palpitant battait la chamade d'indignation, de mécontentement et de révolte. Quand je sentais qu'il était retourné dans son garage, je terminais le décrassage de mon pénis contrarié et écœuré de ne pouvoir parfaire ma masturbation. Je rinçais chaque partie à la grande eau puis je me séchais frustré et humilié. J'enfilais la nouvelle chemise que je boutonnais derrière le coup. Je retournais dans mon lit et, en regardant les émissions du matin, j'attendais la venue de mon chauffeur. Vers les 09h00, une personne entra dans ma chambre et elle m'informait qu'elle était brancardière. Elle plaçait à mon poignet un bracelet avec mon nom et ma date de naissance. Elle installait un appareil électrique à mon 09 - Hospital. - D - -.-lit, un petit moteur se mit en marche et mon lit se mit en mouvement. Nous descendions au dernier sous-sol et elle garait le lit à coté d'un brancard. Des infirmières, des aides-soignantes et des chirurgiens allaient et venaient. Deux infirmiers me transféraient dans le brancard. L'anesthésiste arriva et me questionnait pour vérifier mon identité. Il m'indiquait que je passerait prochainement sur le billard. Ma doctoresse et chirurgienne venait à son tour me voir. Décidément il y a une majorité de femme médecin qui s'occupe de ma petite personne. À force, cela devient de plus en plus frustrant et humiliant ! Elle m'informait que je passerais très bientôt et, une nouvelle fois, m’informait qu'elle poserait 4 stents aux artères iliaques. Une infirmière installait un cathéter sur le dos de la mains et branchait une première poche au compte-goutte. Une nouvelle personne10 - Hospital. - D - -.- conduisait ma civière au bloc. L'anesthésiste m'accueillait et il installait une lunette aux narines pour l’oxygène. Il m'annonçait que j'allais être endormi. Effectivement, très rapidement je retournais dans les limbes de la nuit.

        Je me réveillais, l'anesthésiste à mes coté. Il m'informait que l'intervention s'était très bien déroulé. Comme je reprenais conscience, un brancardier me raccompagnerait très prochainement dans ma chambre. Je sentais un gros pansement sur chacune de mes cuisses et de mes fessiers avec de gros strips larges ainsi qu'au tour de la taille. Un nouveau venu me remontait en chambre. Nous arrivions à 15h30. L'intervention avait durée 03h00 environ. L'infirmière en chef me fit une petite visite pour m'accueillir. Elle m'informait que je devrais resté alité 24h00 sans me lever. Une aide soignante apporta un pistolet pour uriner. Ne pouvant me 11 - Hospital. - D - -.-lever. Toujours sous le coup de l'anesthésie, je dormais toute l'après-midi. Mes seuls temps d'éveils étaient pour vider ma vessie et me réhydrater. Un peu avant le repas, ma doctoresse passait faire une visite et regarder ses pansements. Étant nu sous la chemise, elle déplaçait mon pénis pour vérifier et je sentis une12 - Hospital. - D - -.- érection se produire. Je me sentais très mal à l'aise et honteux. En plaisantant, elle répondit à cet événement incontrôlable, "Malgré l'anesthésie, vous réagissez rapidement, preuve que vous allez bien et que tout fonctionne à la perfection…". Honteux, frustré, je me réfugiais dans le silence ne sachant quoi répondre. Je devais être tout rouge car je sentais mon visage chauffer de plus en plus. Constatant que tout allait bien, elle renouvelait ses recommandations, ne pas me lever, rester allongé sur le dos le plus possible, en cas de douleur, appeler une infirmière qui me donnerait ce qu'il faut, ne pas porter de sous-vêtements afin d'éviter toutes septicémie. Je la remerciais et je lui souhaitais une bonne soirée. Elle en fit autant et me donnait rendez-vous le lendemain matin. Une aides-soignante m'apportait mon plateau repas. Avec plaisir, je me mettais à table n'ayant rien dans le ventre depuis 24 heures. Après avoir dîné, je me 13 - Hospital. - D - -.-rallongeais et je tombais rapidement dans les bras de Morphée, une nouvelle fois. Dans la nuit je me mit à trembler de froid. J'appelais et un infirmier arriva rapidement. Après avoir constaté mon problème, il me rapportait une autre couverture, me rassurant qu'il viendrait me voir régulièrement. Je n'arrivais pas à me14 - Hospital. - D - -.- réchauffer et à sa visite suivante, il retourna chercher une troisième couverture. Je lui signalais que j'avais aussi une migraine. Il me donnait deux comprimés de paracétamol. Il me visitait régulièrement et prenait la tension et ma température. Je passais la nuit à tenter de me réchauffer et me reposer un maximum. L'aube pointait, avec soulagement, son nez. Une infirmière venait à nouveau prendre mes constantes et me recommandait de ne pas me lever tant que le médecin n'était pas venu. Une aides-soignante apporta avec plaisir mon petit déjeuner. Je me restaurais avec appétit et empressement. Je vidais une nouvelle fois ma vessie dans l'urinal. Je me rallongeais pour tenter de me réchauffer ayant grelotté toute la nuit. Je téléphonais à un cousin pour qu'il vienne chercher ma voiture. En milieu de matinée, ma doctoresse passa et vérifiait son travail. Elle décidait d'enlever les strips pour vérifier s'il n'y avait pas d'infection. 15 - Hospital. - D - -.-Elle me fit remarquer que j'étais totalement rasé ! Honteux et frustré, ne pouvant lui révéler la vérité, je lui répondais que je l'avais fait exprès pensant qu'il y aurait de gros pansements. Je ne pense pas qu'elle m'a cru mais elle reconnu que c'était une bonne idée et que tout allait bien ! Elle me recommandait de bien rester au16 - Hospital. - D - -.- maximum au lit et de ne pas me lever. Elle renouvelait aussi sa recommandation de ne porter aucun vêtements dans le lit. Je frissonnais tellement que je n'avais qu'une envie, me réchauffer enfin ! Ma migraine n'ayant toujours pas passé, régulièrement les infirmières m'apportaient des comprimés. Les soignants venaient continuellement prendre mes constantes et s'informer de mon état. Quand l'aide-soignante apporta mon déjeuner, je commençais à me réchauffer. Je déjeunais sans appétit. Une infirmière vint une nouvelle fois s'informer sur mon état de santé. À son tour, elle vérifiait les cicatrisations. En levant les couvertures, je sentis immédiatement une nouvelle érection humiliante. Elle plaisanta en rétorquant avec un grand sourire qu'elle me faisait de l'effet…. Je ne pouvais pas la contrarié, mais ce n'était pas elle qui me faisait de l'effet mais d'être en permanence exhibé devant le personnel médical. Elle m'autorisa à 17 - Hospital. - D - -.-me lever et emporta le pistolet. Cette annonce voulait être bienfaitrice mais pour moi les humiliations reprenaient du service. Je savais que c'était le signal pour réaliser les commandements de mes Masters. Je prenais mon marqueur, le short blanc et je passais à la salle de bain. Je notais humilié et frustré, l'inscription sur ma queue. Je remettais en place le plug dans ma18 - Hospital. - D - -.- rondelle et j'enfilais, pour un moment, le short blanc en faisant attention que mon gland n'apparaisse pas. Pour cela je descendais la taille au maximum. Je prenais mon champ de bataille qui me sert de lit. Je m'installais dans le fauteuil avec un livre en mains. Je faisais attention que ma queue n'apparaisse pas. Après plusieurs pages, je sentais mes paupières de plus en plus lourdes. Je rangeais 19 - Hospital. - D - -.-ma lecture et le short dans le placard. Je retapais grossièrement mon champs de bataille. Dès que je me retrouvais en position horizontal, le sommeil me gagnait. Rapidement, je me retrouvais une nouvelle fois dans les bras de Morphée. En milieu d'après-midi on frappa à la porte et j'autorisais son entrée. C'était mon cousin qui venait chercher les clefs de la voiture pour l'emmener chez lui. Comme20 - Hospital. - D - -.- j'étais fatigué, il ne resta pas longtemps en promettant qu'il prendrai de mes nouvelles par téléphone en attendant de me rapporter mon bien. Je le remerciais et je tirais les draps sur moi. Je retrouvais rapidement le sommeil. C'est l'aide-soignante, en apportant le plateau repas qui me réveillait. Je dînais devant la télévision. Je me rallongeais sous mes couches car je recommençais 21 - Hospital. - D - -.-à frissonner. Dans la position du fétus, je retrouvais le sommeil. Que la nuit était douce et bénéfique sans les geôliers qui empalaient mon malheureux gland et provoquaient des érections avortées. Quand l'infirmière ouvrit la porte pour prendre mes constantes du matin, je me réveillais en sursautant. Elle s'excusa mais je la rassurais que22 - Hospital. - D - -.- ce n'était pas de sa faute. Le temps qu'elle prenne les différentes données, nous discutions de son travail. Heureusement pour ma pomme, elle ne regarda pas comment était les cicatrises. À son départ, je me rallongeais pour attendre le petit déjeuné. Je m'assoupissais. L'aide-soignante, me réveillant, me demandait ce que je désirais et elle m'apportait mon plateau. Je m'assaillais sur le bord du lit pour déjeuner. Lorsque s'était terminé, je m'empressais à passer dans la salle de bain pour annihiler le graffitis sur ma pauvre queue. En me douchant et en lavant mon sexe, j'avais beau faire attention mais ce travail provoquait une nouvelle érection. J'avais une envie grandissante de me masturber, jouir et enfin vider mes bourses qui débordent de tous les cotés. Quand je sentis mon jus qui allait monter, je me battais contre mes mains rebelles et réfractaires aux 23 - Hospital. - D - -.-commandements qui m'empêcherait de jouir. Résigné et asservi, je stoppais les massages que mes doigts prodiguaient à mon pénis. Je vérifiais l'invité dans sa résidence et je terminais en enfilant le short blanc. Je regardais la télévision du fauteuil et tentant au mieux de dissimuler mes attributs sexuels qui tentaient des sorties intempestifs. Je commençais, une nouvelle fois à avoir les paupières lourdes. Je rangeais le short dans le placard et je reprenais place dans mon lit. En m'allongeant, je m’aperçus que j'avais de petits frissons. Je me cachais sous les couvertures. La chaleur aidante, le sommeil envahissait tout mon être. J'entendais la porte s'ouvrir et je regardais les nouveaux venus. C'était ma doctoresse et un interne. Je priais pour que mon instrument reste au repos d'autant plus qu'il y avait un visiteur. Malheureusement à cette pensée, je sentais l'érection faire son œuvre. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite. Elle levait le drap et voyant24 - Hospital. - D - -.- l'étendard dressé, me fit un grand sourie avec un petit clin d’œil. Elle auscultait son travail et expliquait à son visiteur ce qu'elle avait réalisé. Je sentis le compagnon de ma petite fleur commencer à s'activer sur l'anneau. Je faisais un travail surhumain sur moi même pour éviter tout râles ou gémissements. Je devais serrer les fesses pour éviter que le convive quitte son emplacement 25 - Hospital. - D - -.-douillet. Je vis se dessiner un petit sourire aux lèvres de l'interne. En reposant le drap en place, elle m’annonçait que la sortie pourrait se faire le lendemain en début d'après midi. Elle m'informait que j'aurai un traitement à prendre et qu'elle ferait un arrêt de travail pour un mois. Je la remerciais et nous nous souhaitions une excellente journée. En sortant, elle se retournait et26 - Hospital. - D - -.- m'invitait à soulager mon petit baigneur. J’acquiesçais sans pouvoir lui avouer que je ne pourrais pas réaliser cette félicité. J'attendais un moment avant de retourner aux toilettes. J'avais avec moi le marqueur et le short blanc qui commence à changer de couleur. J'immortalisais ces jouets ainsi que le convive dans son antre douillet. Je passais la 27 - Hospital. - D - -.-matinée dans le fauteuil à bouquiner. À midi, on m'apportait mon plateau repas. Je déjeuner assis sur la chaise, mon plateau sur une tablette. Le visiteur se retrouvait compressé et jouait avec l'anneau. Par moment, j'avais ma rondelle qui poussait ! Je devais mouiller pour être aussi excité ! Je ne pouvais retenir tous les gémissements qui montaient de mes entrailles. Je me pressais à terminer mon repas. Je me levais et déposais le short sous mon oreiller au cas où j'aurai à dissimuler en urgence le tag sur mon poupon. Je m'allongeais et au bout de quelles que minutes je trouvais de nouveau le sommeil. L'anesthésie me travaillait encore car je dormais toute l'après-midi. C'est l'aide-soignante, en apportant le plateau repas du soir, qui me réveillait. Je m'assoyais dans le lit et j'attaquais mon dîner. Lorsque j'eus terminé de me restaurer, une envie de café m’envahit. Je désirais en boire un mais je devais descendre au rez-de-chaussé. Je prenais mon courage à28 - Hospital. - D - -.- deux mains et j'enfilais le short blanc avec un t-shirt. Malheureusement ce dernier n'était pas assez long pour cacher le vêtement blanc. Je descendais la taille au maximum pour éviter le plus possible tout incident indésirable. Je prenais de la monnaie et je me dirigeais vers les ascenseurs. Au passage, je signalais aux infirmières mon escapade nocturne. Heureusement le distributeur 29 - Hospital. - D - -.-de café était proche des ascenseurs C. Je saluais les trois patients qui avaient déjà leurs boissons en mains. Je lançais la distribution de mon expresso en ayant introduit une pièce. Je prenais mon breuvage chaud. N'ayant que trois sièges à coté de la machine, un jeune se lavait pour me laisser sa place. Je ne voulais surtout pas la prendre car j'étais certain que mon gland apparaîtrait et le30 - Hospital. - D - -.- début de ma queue avec son graffiti. Mon palpitant se mit à s’emballer et mon trou à pousser à cause de son compagnon intrusif. Je retenais tant bien que mal mes gémissements intempestifs. Je déclinais chaleureusement son invitation en prétextant que les sièges étaient trop dur…. Je me calais dans un recoin, ce qui me permettais de voir tout le couloir 31 - Hospital. - D - -.-sans être surpris. Nous discutions un moment. Au fur et à mesure que nous terminions notre nectar bas de gamme, nous nous retirions et d'autres personnes prenaient notre place. Je remontais à mon étage et dans l'ascenseur, je vérifiais devant le miroir si des intrus étaient apparut. J’apercevais, à mon grand désespoir, le méat urétral. Je devrai faire de tout petit pas afin d'éviter que mon gland apparaisse sous ce maudit vêtement ! Pendant mon retour en chambre, je ne croisais personne à mon grand soulagement. J'avais le palpitant qui jouait encore et toujours la chamade. Je déposais le t-shirt et je passais à la salle de bain pour vérifier les dégâts. Effectivement la plus grande partie du gland faisait son apparition. Je maudissais tous les shorts qui avaient étés sélectionnés car, au moindre mouvement, le bout de mon sexe est exhibé quand je n'ai pas de mitard ! Je le32 - Hospital. - D - -.- posais dans le placard et je me couchais avec plaisir. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que Morphée me prenne dans ses bras. La dernière nuit à l'hôpital fut mouvementé ! Je cauchemardais avec ma prochaine prison que je devrai poser le lendemain matin. Régulièrement, je regardais les heures s'égrainer. Enfin l'aide-soignante apportait le petit déjeuner que j'engloutissais rapidement pour me rendre à la douche. Une nouvelle fois, en tentant de neutraliser l'inscription sur ma queue, je sentis, à mon grand désappointement, une montée de jus spontanée. J'avais de plus en plus de mal à contrôler mes mouvements et à maîtriser mes mains irréductibles. Après d'âpre négociations, mes pirates de mousquetaires acceptèrent une trêve. Ma semence fut stoppé net dans sa monté inéluctable. Frustré et humilié, je sentais, à mon grand regret, mon jus redescendre et 33 - Hospital. - D - -.-reprendre place dans les couilles. J'avais de plus en plus de mal à faire respecter la cessation des hostilités par mes forbans indisciplinés. Je me rinçais pour me sécher le plus rapidement possible. Je renfilais la chemise de l'hôpital et je retournais au lit en attendant le passage du médecin. Je regardais les émissions du matin avec les informations. En milieu de matinée, la chirurgienne arrivait avec l'infirmière en chef. Je priais pour que mon appendice reste endormi et ne fasse pas des siennes. Mes prières furent vaines ! Dès que je les voyais pénétrer dans ma chambre, mon soldat se mit au garde-à-vous ! Mon cœur se remit à s'affoler et mon sang à affluer au visage. Quand la chirurgienne leva les couvertures pour une dernière auscultation, un nouveau sourire illuminait son visage. C'est vrai qu'elle est jeune avec beaucoup d’atouts, ce qu'il faut où il faut avec un petit accent étranger. Elle était satisfaite de son travail et m'expliquait que l'infirmière ici34 - Hospital. - D - -.- présente apporterai dans un moment les papiers de sortie. Je lui demandais de commander aussi un VSL pour mon retour à mon domicile. Elle me faisait ses dernières recommandations en insistant de ne surtout pas forcer pendant, au moins, 15 jours. Nous échangions des salutations et elle me souhaitait un prompte rétablissement. L'infirmière m'autorisait à commencer à faire mes bagages car l'heure du repas approchait rapidement. J’acquiesçais mais pas pour les mêmes raisons. Il fallait que je remette en place tous les attributs du slave, hormis le locataire de mon côlon qui n'avait pas bougé depuis la fin de l'intervention chirurgicale. J'enfilais, une nouvelle fois, le short blanc. Je passais à la salle de bain avec le maudit marqueur. Pour une ultime fois, je reproduisais de nouveau le graffiti sur mon malheureux pénis ! J’installais l'anneau métallique de la ceinture block-plug et le cock-ring en caoutchouc. J'attachais le cordon du short le plus bas possible sur ma taille 35 - Hospital. - D - -.-pour dissimuler au mieux mes attributs et surtout le graff qui l'accompagne. Je retournais dans la chambre et je commençais à ranger mes affaires. Je débutais avec mon appareil PPC que je disposais dans sa sacoche. Je posais la valise sur le lit et, au fur et à mesure, je disposais mes vêtements sale dedans. L'infirmière revint à ce moment là. Quand la porte s'ouvrit, machinalement je plaçais une mains devant mes attributs sexuels. Elle revenait me donner les papiers. Elle m'expliquait l’ordonnance pour trois mois et ses drogues, la prochaine consultation avec la doctoresse, le mardi 24 octobre à 10h30 et un arrêt de travail d'un mois, jusqu'au dimanche 29 octobre 2017. Elle terminait en me fournissant le document pour le VSL. Elle me demandait si j'avais des questions ou de nouveaux renseignements. Elle termina en m'apportant des compresses imbibées d'un produit volatile pour faire disparaître les traces de sparadrap. Je la remerciais pour ces documents, ces36 - Hospital. - D - -.- lingettes ainsi que pour le professionnalisme du personnel de ce service. Elle exprima sa gratitude et me souhaitait une excellente continuation. Je posais ses documents sur la tablette. Je prenais avec moi mon téléphone, les attributs du slave, mes vêtements pour sortir, les gazes et je passais à la salle de bain sachant que je n'aurais plus de visite inopportune avant le repas. Je fermais tout de même à clefs la porte. Je me déshabillais de nouveau en prenant toutes les photos nécessaires comme l'avaient recommandées mes Masters. Ayant envie d'uriner et pour bien vider ma vessie, je soulageais momentanément ma petite fleur. La lunette étant resté levé toute mon hospitalisation, je m'assaillais sur la faïence. C'est toujours autant humiliant et dégradant de ne plus pouvoir utiliser cette protection et d'être contraint d'uriner assis sur la faïence, les jambes écartées bien que je n'avais pas mon pénis emprisonné. Je vidais ma vessie avec soulagement. Avec les compresses, je 37 - Hospital. - D - -.-faisais disparaître le plus possible les traces des straps. Je prenais un dernier cliché du taquage de ma pauvre queue. En m'appuyant contre le lavabo, j'effaçais une dernière fois cet ignoble graffiti. Dès que je touchais ma queue, je me mettais à bander une nouvelle fois ! Sentant mon jus monter de nouveau, je dus m'y reprendre en plusieurs fois pour faire disparaître toutes traces dégradantes et inopportunes. Ma frustration et mon humiliation étaient grandissantes. Je me maudissais de ne pas pouvoir me masturber complètement et vider enfin entièrement mon jus ! Je reprenais le plug que je repositionnais dans mon côlon. Il était à peine en place qu'il reprit ses divertissements avec l'anneau. Un râle de douleur et de plaisir s'échappait de mes poumons ce qui augmenta ma honte et mon déshonneur. Je repositionnais le collier et sa médaille autour de mon cou avec le numéro du slave bien en vu. Le plus dur, le plus avilissant et le plus dévalorisant allait débuter ! Je devais placer sur ma pauvre queue qui était encore gonfler, la plus petite38 - Hospital. - D - -.- cage métallique en ma possession ainsi qu'un plug urétral. J'avais emmené le second en partant des plus petits et avec les embouts, celui-ci était allongé de deux centimètres ce qui faisait une longueur totale de sept centimètres. Je préparais le cock-ring et j'introduisais avec grande difficulté mon pénis dans cette nouvelle minuscule prison ! Il n'y avait de la place que pour le gland, le reste de 39 - Hospital. - D - -.-ma queue était compressée sur elle même ! Je devais encore positionner le plug urétral. Après l'avoir présenter à son futur convive et ses geôliers, je le lubrifiais légèrement. Par le bout de la cage je trouvais le méat urinaire. Je relâchais la pression du cachot sur son détenu pour introduire dans l'urètre ce nouveau jouet innommable. Quand il pris place, je vissais à fond ce tube sur le bout de la cage, ce qui augmente encore sa longueur d'un centimètre. Je fermais la porte et je posais le cadenas. J'hésitais un long moment avant de le refermer définitivement car je savais que ma malheureuse bite allait séjourné un certains temps dans ce cachot. Je tournais le collier pour positionner la médaille dans le dos et je prenais une dernière photographie de pieds, nu avec la cage. J'enfilais mon jeans que je ne boutonnais pas et qui était maintenu seulement par la ceinture. Je passais un maillot de corps et un pull à col roulé pour dissimuler un maximum le collier d'esclave. Je prenais de nouveaux clichés de la braguette, de la40 - Hospital. - D - -.- médaille que je repassais un instant devant puis du collier dans sa position définitive. Je remontais le col correctement quand j'entendis frapper de nouveau à ma porte. C'était l'aide-soignante qui apportait le plateau repas. Je sortais de la salle de bain et je la remerciais en lui souhaitant une bonne continuation. Elle me rendit la politesse en espérant un rapide rétablissement. Je déjeunais 41 - Hospital. - D - -.-assis sur le bord du lit. Lorsque je m'était restauré, je terminais ma valise. Je rangeais tous les documents dans ma sacoche et j'enfilais ma veste de treillis. Avant que l'on vienne me chercher, je retournais devant le miroir pour immortaliser les derniers souvenirs de ce séjour. Je rangeais mon portable dans une des poches du pardessus. De nouveau, on frappait à la porte. Ne voyant personne entrer j'allais ouvrir. Une personne devant moi me demandait si j'étais bien la personne qu'il venait chercher ? J’acquiesçais et nous nous présentions. Il se nommait Philippe et c'était mon ambulancier. Je lui donnait les documents pour le transport qu'il rangea dans une pochette. Il pris ma valise et posa dessus l'emballage de mon appareil PPC. Je prenais ma sacoche et nous quittions la chambre. Au passage, je saluais les infirmières et les aides-soignantes que je croisais. Devant l'hôpital sa voiture nous attendait. Il rangeait les bagages dans42 - Hospital. - D - -.- le coffre et nous nous assaillions. Il me conduisait jusqu'à mon domicile et m'aidait à porter mon paquetage dans mon appartement. Le premier travail que j'effectuais dès que je me retrouvais seul et pour terminer les instructions de mes Masters. Je prenais un gobelet, je déposais les trois clefs du cadenas au fond et je remplissais cette timbale d'eau. Je la mettais au congélateur, toujours suivant les commandements que j'avais reçu. Ainsi les clefs sont dans un bloc de glace avec impossibilité de les utiliser.

 

         Malgré des moments difficiles où je me suis sentis honteux, humilié,           frustré et avilis, je remercie mes Masters pour leurs soutiens tout le long de cette semaine. Ils ont été un réconfort quand je pouvais me connecter et les saluer. Je les gratifie pour leur patience et pour la continuation de l'éducation de leur esclave soumis et dévoué.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Humiliations - Ecrire un commentaire - Voir les 9 commentaires
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