Mercredi 31 octobre
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Corvée du lundi29 octobre 2018 :
Dimanche soir, je rentrais très tard
des derniers événements familiaux. Je posais ma valise et je prenais la tenue imposée chez moi, soit à poil…. Je me couchais immédiatement, car le voyage avait été un cauchemar ! Les
tortionnaires n'avaient pas cessé de martyriser ma pauvre nouille et son gland. De nouveau, dès que je trouvais le sommeil, les pics empalaient mon malheureux gland. Tout excité, il faisait
gonfler ma nouille et provoquait une érection
avortée par la cage. Je me réveillais en sursaut. Une nouvelle fois, la nuit serait un calvaire. J'attendais avec impatience le levé du jour. Enfin, après maints
supplices et des souffrances permanentes, l'aube daignait poindre son nez. Je me levais autant fatigué, si ce n'est plus, que la veille lorsque je me couchais. Je me préparais un double expresso
bien tassé pour dissiper les brumes de mon cerveau. Comme les tortures incessantes des bourreaux, le brouillard tardait
à se disperser. Je me connectais et je saluais mes Maîtres en ligne. Je leur expliquais les déboires de la famille et la tenue que j'avais, seul dans la chambre pour
dormir affublé des attributs. Les pics s'en étaient donné à cœur-joie, jour et nuit, ce qui m'avait posé des complications troubles et confuses. Au fur et à mesure que le jour se levait, les
brumes de mon ciboulot se dissipaient inexorablement. Maître Michael m'avertissait qu'a la suite de ma prochaine hospitalisation, il y
aura un changement de cage avec, en prime, la pose d'une sonde urétrale. Les problèmes de fuites ne sont pas prêts de stopper avec les sondes…. Pour terminer, le Master
imposait, pour ce lundi, le port du harnais en cuir toute la journée. Je les saluais et je m'empressais de boire un nouvel expresso, puis, j'allais faire ma toilette, car j'avais pris du retard.
Dans la salle de bain, sur le maudit tapis, je regardais l'heure. Normalement, je devrais partir. J'étais vraiment à la bourre ! Rapidement, j'attrapais le marqueur
noir.Comme d'ordinaire, assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais sur la cuisse gauche la
date du jour. Plus tard, je m’apercevais l'oubli de l'année dans la date. Je continuais par la droite en notant le numéro d'enregistrement au
répertoire des slaves. Debout, devant le miroir, j'écrivais l'appartenance de la sous-merde à Master Éric et Maître
Michael. Pour terminer cette séance d'écriture, je marquais la date de mise en cage de ma nouille. J'enfilais promptement le harnais comme les Maîtres l'avaient
imposé. À l'extérieur, comme il pleuvait des hallebardes
et la température avait considérablement chuté, j'enfilais un maillot de corps, une paire de chaussettes, un pantalon, un gros pull à col roulé et mon gilet sans manches
que je fermais, contrairement aux autres jours, pour dissimuler, le mieux possible, le harnais en cuir. Dans une poche frontale, j’installais mon
portable. Je passais une veste, un bonnet et une écharpe. J'attrapais mon parapluie pour me rendre au travail. En cours de route, les
tortionnaires s'en donnaient à cœur joie ! Plus ils empalaient mon pauvre gland, plus cela l'excitait et plus ma
malheureuse nouille tentait une érection avortée à l'avance à cause de ce maudit mitard ! À chaque pas, des râles ou des gémissements de douleur et de plaisirs
s'échappaient de mes poumons…. Dans la rue, ce n'était pas un gros problème, mais au bureau, ce serait un danger de plus. J'étais accueilli par
les collègues et quelques parents. Ils s'enquéraient
du deuil qui s'était abattu sur la famille. Je les remerciais rapidement, car j'avais hâte d'être seul au
bureau. Les bourreaux ne cessaient de maltraiter ma pauvre nouille et j'avais de plus en plus de mal à contenir les gémissements de souffrance. Je déposais ma veste,
mon bonnet et l'écharpe sur le dossier du fauteuil. Je m'installais pour une journée de douleur interdite. Je buvais régulièrement
une ou deux gorgées d'eau. Au bout d'un certain temps, ma vessie était pleine et l'envie d'uriner devenait de plus en plus
pressente. Je vérifiais que personne n'était dans le couloir. Je refermais la porte derrière moi. Je relevais le
couvercle et la lunette des toilettes. Je me déshabillais. Je mettais en attente, mon portable, sur le bord du
lavabo. Lorsque je me retrouvais les pieds-nus, le carrelage glacé gelait la plante des pieds et un frisson secouait mon corps dénudé. J'avais déposé mes
vêtements pliés sur le sol. J'enfilais, dans ma gueule de salope, la plante des pieds de mes chaussettes. Je prenais le téléphone
et je débutais la série de photographies imposée par mes habits à terre. Je continuais par la
date du jour sur la cuisse gauche et le numéro de slave sur la droite. Je faisais la même chose avec l'appartenance de la sous-merde sur le torse
et la date de mise en chasteté sur le pubis. Je poursuivais avec une prise de vues de pieds. Je posais mon postérieur sur la froide faïence qui, immédiatement,
transissait mon cul. Un nouveau frissonnement parcourait de mes entrailles à mes extrémités. J'écartais au maximum
mes cuisses comme le désirent mes
Masters sur la demande des visiteurs. Je me retrouvais comme une pute offrant sa chatte…. J'ouvrais les vannes et
je soulageais ma vessie. Je profitais pour prendre un dernier cliché en train de pisser. Bien vidangé, je
secouais la cage et son pensionnaire que je terminais de sécher avec du papier-toilette. Je me rhabillais en débutant par mes
chaussettes. Je me rinçais les mains et je tirais la chasse d'eau. Avant de sortir, je regardais autour de moi, une dernière fois, pour
vérifier que je n'oubliais rien. Je retrouvais mon poste de travail sans avoir croisé âme qui vive à mon grand
soulagement. Le soir, dès que je rentrais à mon appartement, je prenais la tenue prescrite par mes Maîtres. Je déposais, avec soulagement, le harnais qui me serrait, un max, la
poitrine. Je prenais le portable pour réaliser le cliché manqué le matin, debout sur le nouveau tapis. Je constatais, à mon grand regret, les traces, sur la peau, du
harnais.
Je remercie vivement mes Masters, Master
Éric et Maître Michael, pour leur soutien pendant l'épreuve de la semaine passée. J'exprime aussi ma gratitude envers les visiteurs qui suivent le blog de
la sous-merde.
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