Jeudi 1 novembre
4
01
/11
/Nov
06:00
Récidive de l'aller-retour à la
cave.
Dans la nuit du lundi 29 au mardi 30 octobre, je réalisais la
nouvelle descente à la
cave. Vers trois heures du matin, je me levais et je commençais par regarder,
au judas, le couloir. Il était plongé dans le noir absolu. Je déverrouillais délicatement la serrure en prévision de ma sortie nocturne et pour être le plus discret possible. Mon cœur se mettait
à battre de plus en plus vite, la peur d'être surpris dans la tenue d'Adam. J'attrapais mon short blanc, un t-shirt et le marqueur noir. Je passais à la salle de bain. Devant le miroir,
j'inscrivais la date du Mardi 30 octobre, jour
de la réalisation de la punition. Les tortionnaires qui c'était un temps calmé,
redoublaient de vigueur ! Ils empalaient, de nouveau, mon malheureux gland. Tout excité, il gonflait ma nouille qui se retrouvait en érection avortée par son carcan. Des gémissements de douleur
s'échappaient de mes poumons. Mon palpitant accélérait le rythme. Une angoisse grandissante s'emparait de moi. J'enfilais le short et le t-shirt pour sortir. J'étais terrifié à la pensée de
croiser un voisin. Je prenais mon portable dans une main. Je jetais un dernier regard au judas et j'ouvrais la porte délicatement. Je sortais dans le couloir et je refermais la porte sans faire
de bruit. J'étais enveloppé de la nuit noire du couloir. À tâtons, je me dirigeais vers l'ascenseur. À l'aveuglette, je cherchais le bouton. Je le trouvais enfin dans cette noirceur. J'entendais
la machine se mettre en marche. Mon palpitant battait encore plus fort. Je sentais les battements dans les veines du coup. Les bourreaux ne cessaient de supplicier le locataire de la prison.
J'avais de plus en plus de mal à retenir les râles de douleur qui montaient. Enfin, l'ascenseur arrivait et les portes s'ouvraient en diffusant un halo de lumière dans ce
gouffre noir.
Rapidement, je montais dans la cabine et j'appuyais sur le bouton du sous-sol. L'appareil se remettait en marche et je sentais la cabine descendre régulièrement. Je me hâtais d'enlever le t-shirt
et le short que je laissais tomber sur le sol. Je prenais mon portable que j'avais entreposé sur le sol. Je programmais le retardateur et je le plaçais contre la paroi la plus éloignée. Je
me mettais à genoux contre les portes, les mains sur la tête, j'attendais le flash qui indiquerait que la photo a été bien prise. Juste après, les portes s'ouvraient.
J'attendais qu'elles
se referment pour prendre un second cliché. Dès que l'éclair scintillait dans cet habitacle, je m'empressais d'ouvrir les portes afin que personne ne puisse l'appeler et me trouver nu dans la
cabine avec un collier au coup et une cage de chasteté. Mon cœur battait si fort que j'avais l'impression qu'il allait exploser. Je pliais mes deux vêtements que je posais au sol devant
l'ascenseur. Je les photographiais pour les visiteurs. En tenue d'Adam, pieds-nus, je me rendais dans les caves. Le sol rugueux et froid râpait et glaçait la plante de mes pieds.
Plusieurs frissons secouaient mon corps dénudé. Mon palpitant ne cessait de s'affoler et les geôliers s'en donnaient à cœur-joie. Ma pauvre nouille était torturée en permanence. Je préparais
l'appareil photo et le retarder. Je le déposais contre un mur et je m'éloignais de deux pas. Je me mettais en position, à genoux, cuisses écartées, mains sur la tête. Mon cœur battait si fort que
je sentais chaque pulsation dans mes veines. Mon pauvre gland empalé était en enfer. Enfin le flash sans bouger. Je me relevais de crainte de croiser une personne et je retournais à
l'ascenseur. J'appuyais sur le bouton pour que les portes
s'ouvrent et j'attrapais mes vêtements au sol. Je préparais une dernière
fois l'appareil et je le déposais contre la paroi opposée aux portes, j'appuyais sur mon étage et je me remettais en position à genoux, main sur la tête. Le flash tardait à venir alors que
la cabine ne cessait de monter. Dès qu'il explosait, j'attrapais mes vêtements et mon portable alors que les portes s'ouvraient. Mon palpitant n'en pouvait plus et ma pauvre nouille non
plus d'être torturé en permanence. Mes vêtements, d'une main, devant la prison de ma nouille, le portable de l'autre, je m'empressais de retourner chez moi, de crainte qu'un voisin
insomniaque regarde dans son judas. D'autant plus que les portes restaient ouvertes et diffusaient une clarté dans le couloir. Je rentrais précipitamment chez moi et je refermais de
suite la serrure à double tour. Je restais plusieurs minutes contre la porte afin de calmer mon petit monde et de me remettre de cet aller-retour dégradant.
J'espère que ce nouvel aller-retour satisfera mes Masters, Master
Éric et Maître Michael et les visiteurs du blog qui suivent la sous-merde.
Par Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
-
Publié dans : Punitions
1
Bonjour Master Éric et Maître Michael,
Lorsque vous changerez la cage de votre sous-merde, vous pourriez le faire chaque mois en allant de la plus grande à la plus petite.
Pour les sondes dans son urètre, faire de même, mais en allant de la plus petite à le plus grande.
Ainsi, à son terme, votre sous-merde aura la plus petite cage avec la plus grande sonde.
Master Phénix.