Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Jeudi 1 novembre 4 01 /11 /Nov 12:30

Corvée du mardi 30 octobre 2018 :

138 - Corvée. - D - -.-

         Une nouvelle fois, j'étais descendu dans les entrailles des enfers. La nuit devient un sacerdoce barbare et impitoyable de cruautés. Pas un instant de répit ! Les geôliers étaient inflexibles et cruels. Mon malheureux gland était embroché en permanence et continuellement torturé. Cette douleur intolérable provoquait un gonflement instantané de ma nouille entravée dans un carcan ignoble. Cette maltraitance infligeait une érection brimée et avortée. Lorsque j'arrivais enfin à trouver le sommeil, les tortionnaires en profitaient pour reprendre de plus belle les supplices. Les minutes s'égrainaient au compte-gouttes. J'attendais, exténué, pointer les premières lueurs du jour. Lorsque le réveil sonna, j'étais endormi profondément. Je sursautais dans le lit et je maudissais ce satané appareil. Juste au moment où je trouvais un repos réparateur après une nuit d'insomnie ! Il fallait que je me lève, car j'avais plusieurs rendez-vous dans la matinée. Une nouvelle fois, je haïssais cette maudite prison qui ne cessait de supplicier ma malheureuse nouille. Comme chaque matin, je me levais 139 - Corvée. - D - -.-crevé par une nuit blanche de tourment, l'esprit embrumé. Machinalement, je me faisais un double expresso pour dissiper, le plus rapidement possible, la brouillasse qui assombrissait mon cerveau. Je me connectais pour saluer mes Masters. Je les informais de mes prochaines têtes à têtes programmées pour la matinée. Maître Michael ordonnait, comme je n'avais pas à me déshabiller, donc, pas besoin de sous-vêtements, de conserver les attributs de la sous-140 - Corvée. - D - -.-merde, la méprisable cage, le collier et sa médaille. Il ajoutait, pour plus d'humiliation, de réaliser de suite, tous les graffitis journaliers et de les porter toute la journée. Je faisais ma toilette, puis, j'attrapais le marqueur bleu. Comme d'accoutumer, assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais la date du jour sur la cuisse gauche et le numéro d'enregistrement de la sous-merde, sur la droite. Debout sur le mini-tapis, devant le miroir, je notais l'appartenance 141 - Corvée. - D - -.-de la sous-merde sur le torse et la date de la pose de la cage de chasteté sur le pubis. J'en profitais pour réaliser immédiatement la série de photographies quotidienne. Je débutais par une prise de pieds sur le nouveau paillasson de bain. Je poursuivais, dans les toilettes, un cliché de la date et un autre du numéro d'enregistrement sur chacune des cuisses. Je poursuivais par la paire de chaussettes, que je porterai toute la journée, dans ma gueule. Pour suivre, j'immortalisais l'appartenance de la sous-merde à ses Masters sur le torse, puis la date de mise sous chasteté sur le pubis. Pour terminer cette série, avant de vidanger ma vessie, je prenais une photo de pieds avec mes chaussettes dans ma trombine. Comme le couvercle et la lunette des toilettes sont en permanence relevés quand je suis seul chez moi, je posais mon postérieur sur le réceptacle hygiénique. Lorsque mon cul rencontrait la faïenceglacée, un frisson parcourait mon corps de la tête aux pieds. J'ouvrais les vannes et je vidangeais ma vessie. Suivant les commandements, j'immortalisais cet exercice, 142 - Corvée. - D - -.-dégradant et frustrant de publier cet agissement. Terminé, je secouais le mitard et son pensionnaire pour évacuer l'urine qui pouvait résider. Avec du papier-toilette, je les séchais. Je retournais en cuisine pour faire un nouveau café. Je préparais mes différents traitements. Depuis lundi, la veille, le médecin de l'hôpital, en avait ordonnancé un nouveau remède en prévision de l'hospitalisation. Lors de mes derniers examens, la coloscopie n'avait pas pu être 143 - Corvée. - D - -.-réalisée, car les intestins n'étaient pas nickel. Le goût était exécrable. Je le mélangeais avec un autre légèrement aromatisé. J'avalais les comprimés avec ce breuvage imbuvable. Je l'absorbais, à la suite, mon café allait faire passer la mauvaise saveur de cette décoction médicamenteuse. Je m'habillais pour me rendre à mon premier entretient avec l’anesthésiste de l'hôpital. Je commençais par mes chaussettes. Je continuais par un maillot de corps et mon 144 - Corvée. - D - -.-pantalon. Je terminais en enfilant un pull à col roulé en laine et mon gilet sans manches. Je préparais les différents documents que je devais lui transmettre. Pendant tout ce temps, les tortionnaires ne cessaient d'empaler mon gland. Cette torture provoquait une érection de ma nouille avortée par le carcan qui l'enchâssait. Ce cercle vicieux ne prenait jamais fin, jamais de répit ! Parfois, étant seul, je laissais échapper un gémissement ou un râle de souffrance. J'attrapais ma veste, je verrouillais mon appartement et je partais pour une nouvelle journée en enfer. Les problèmes commençaient dès la voiture. En prenant place dans le siège conducteur, le mitard se retrouvait coincé entre la cuisse et le tissu du pantalon. Pour plus d'aise, j'avais remonté légèrement les jeans, ce qui permit aux geôliers d'empaler un peu plus mon pauvre gland souffrant mille supplices. Ma nouille en érection permanente, avortée et encastrée dans le carcan, était aussi dans une 145 - Corvée. - D - -.-mauvaise galère. La journée se déroulait ainsi, tout en tentant, à tout moment, de retenir ou de masquer le moins mal possible les gémissements de douleur qui montaient en moi.

 

        Je remercie tout de même mes Masters pour les différentes étapes de soumissions qu'ils imposent à la sous-merde que je suis.

Par Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

  • : Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • : gay Gay
  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Album photos

Voir tous les albums

Derniers Commentaires

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés