Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Mercredi 3 février 3 03 /02 /Fév 12:32

1ère Punition :

          Lundi :

          Le matin je me levais de bonne heure pour prendre ma douche et faire ma toilette. Lorsque je me lavais le sexe, je me forçais à ne pas trop me toucher bien que l’envie de jouir me prenait. Une frustration et une humiliation de ne pas pouvoir faire ce que je voulais m’envahit. Je me dépêchais à reposer les ballstrechers après les avoir lavés. Je m’habillais et partais pour une journée de travail. Dans la journée, plusieurs fois je me touchais sous mon bureau en pensant à la punition. Ça ne fit qu’augmenter ma frustration et l’humiliation de devoir garder tout ce jus en moi. Je rentrai le soir et après avoir dîné, je me couchais.

          Mardi :

          Ayant une grosse journée, je me levais et passais rapidement à la salle de bain pour éviter d’avoir trop envie de jouir. Malheureusement ça n’empêchait pas la trique du matin. Quelle frustration de ne pas pouvoir jouir !!! Je me touchais un peu tout de même en évitant de faire monter le jus. Je sentis une humiliation de plus en plus grande. Je me hâtais pour ne pas faire de bêtises. J’avais une journée de formation et étais une bonne partie de la journée assis. Ça ne m’empêchais, pas de temps en temps, de sentir une érection sous mon pantalon. J’avais envie d’aller aux toilettes me vider mais je me forçais à rester assis. Le soir j’avais un CA et ne pensais qu’à la punition, ce qui m’excitais et me faisais encore plus bander. Je sens l’excitation en moi et une frustration de plus en plus grande. Comme je rentrais tard, je me dépêchais à manger et me coucher afin d’éviter de faire une bêtise.

         Mercredi :

        Je me réveillais avec la trique et un désir grandissant de me branler. Je me touchais tranquillement dans mon lit mais lorsque je sentis l’extase monter en moi, je stoppais net afin d’éviter de vidanger. Une frustration et une humiliation grandissant m’envahie. Je m’obligeais à sortir du lit pour ne pas faire de bêtises. Je buvais mon café et je passais à la salle de bain. Après avoir fait ma toilette, je m’habillais avec toujours mes deux ballstrchers aux couilles qui font une belle grosseur dans la jambe gauche. Malgré l’habitude, j’ai toujours honte et me demande ce que s’imaginent les personnes qui aperçoivent ce renflement. Pendant la journée, plusieurs fois l’envie de me branler m’envahissait. Je touchais ma queue raide dans le pantalon en faisant attention que personne ne passait dans le couloir. Lorsque l’excitation devient trop grande ou que je dois aller aux toilettes, j’en profite pour me caresser et me toucher un peu sans trop faire monter le jus. Malheureusement ça ne fait qu’augmenter la frustration, l’humiliation et la consternation de ne plus pouvoir jouir comme je le désire. Heureusement pour le slave, Master Eric ne lui a pas imposé de porter une cage ! Ça me permet de pouvoir me toucher et me caresser comme je le désire. L’après-midi, je m’occupais d’un groupe d’ados. J’avais l’impression que certains s’attardaient sur la grosseur dans la jambe du pantalon. Ce qui augmentait mon humiliation mais me faisait bander et je ne pouvais pas me caresser devant eux. Enfin la journée se terminait et je rentrais chez moi. Je me mettais en peignoir pour la soirée et me préparais à manger. Après avoir dîner, je regardais la télé dans mon lit ce qui me permit de bichonner ma pauvre queue sans pouvoir vider mes testicules de plus en plus pleines. Je m’endormais avec une frustration grandissante.

          Jeudi :

      Après une nuit mouvementée où j’ai fait des "Cauchemars"…. Où je me branlais régulièrement sans pouvoir jouir ou je sentais le jus monter mais pas d’éjaculation ! Ou encore une envie de jouir sans arriver à me branler, je me réveillais avec une trique du matin et en profitais pour me caresser un peu sans jouir où ma frustration se trouvait au comble. Avec difficulté, je me tirais du lit et j’enfilais mon peignoir pour aller boire mon café et passer à la salle de bain avec toujours mon érection. Malgré la douche, j’ai eu du mal à débander et je m’habillais avec, toujours ma queue raide. Je déjeunais et je partais au travail. La matinée fut longue car je ne pensais qu’à me branler. Sous mon treillis, je caressais mon sexe en faisant attention de ne pas jouir et surtout ne pas le tacher. A midi je rentrais chez moi déjeuner avec une obsession dans la tête, enfin pouvoir jouir !!! Heureusement pour le slave, je ne portais pas de cage de chasteté, ce qui me permettait de pouvoir me caresser un me branler doucement sans pouvoir jouir. Ma frustration ne faisait qu’augmenter ainsi que l’humiliation de ne plus pouvoir jouir tout en cajolant mon sexe et en devant stopper avant. Je retournais au travail avec ses sentiments et en maudissant Master Eric qui m’avait imposé cette punition humiliante. L’après-midi n’en terminait pas car je n’avais que cette obsession en tête : Me branler et éjaculer pour vider enfin mes misérables couilles pleines !!! Je n’arrivais pas à sortir de ma pauvre tête de slave cette obsession, ce qui me provoquait une érection quasi-permanente. Lorsque j’eu terminé mon travail, je partais faire des courses et acheter un nouveau téléphone fixe afin de pouvoir passer les triples appels. Je rentrais chez moi, rangeais mes courses au frigo et mettais le téléphone en charge. Comme tous les soirs, lorsque je rentre chez moi, je me déshabille et je me mets en peignoir, tenue décontracté. Je me faisais à dîner et je passais à table. Après avoir fait la vaisselle avec toujours une trique qui revient régulièrement, je passais au lit pour regarder la télé. Comme je ne débandais pas, j’en profitais pour me caresser doucement sans éjaculer malheureusement. Lorsque je sens le jus qui va arriver, je prends ma queue et je la serre très fort pour ne pas me vider. La frustration, l’humiliation et un sentiment de honte m’envahi de nouveau. J’essaye de ne plus me toucher et de me concentrer sur la télé mais rien à faire. Je n’arrive pas à me défaire de cette obsession. Enfin le sommeil arrive et j’arrive finalement à m’endormir.

          Vendredi :

          Je me réveillais plusieurs fois dans la nuit avec une trique et une envie grandissante de me vider enfin. Malheureusement, je savais qu’il ne fallait pas le faire mais ne plus pouvoir jouir, devient de plus en plus dur à tenir. Comme je n’ai pas envie d’une autre punition, je me forçais à ne pas me toucher et essayais de retrouver le sommeil. Les cauchemars revenaient aussi vite et la nuit fut très longue avec plusieurs épisodes d’insomnie et une envie grandissante d’enfreindre les ordres de Master Eric. Le réveil sonna enfin ! Avant de me lever, je me caressais un moment et je devais stopper rapidement plusieurs fois pour ne pas éjaculer. Je remerciais tout bas Maître Eric de ne pas m’avoir imposé une cage de chasteté, ce qui aurai été encore plus frustrant et humiliant. L’heure tournant, je me décidais à me lever et je préparais mon petit-déjeuner. Je passais à la salle de bain avec toujours la trique et prenais une douche afin de ne plus bander. Elle n’eu pas l’effet escompté et je me séchais en reprenant une érection. Après avoir nettoyé les ballstrechers, je les repositionnais sur mes couilles et je m’habillais. Le renflement dans le pantalon de treillis accentuait l’érection que j’avais. J’espérais que ça ne se voit pas trop. Bien que je trouve très humiliant cette bosse, j’apprécie d’avoir des contraintes. Je sais, c’est paradoxal, mais étant un slave, j’aime ces entraves, cette sensation de frustration et d’humiliation en les portant en public, ne sachant pas si les personnes en face, les remarques. Lorsqu’il fut l’heure, je prenais ma veste et partais au bureau. J’arrivais dans les premiers et je m’empressais de m’asseoir à ma place. Je commençais mon travail et régulièrement, ma main descendait sous le bureau pour caresser ma queue qui était en érection. J’avais trop envie de jouir mais je me forçais à ne pas aller aux toilettes. La matinée se passait ainsi avec deux rendez-vous. A midi je m’empressais de rentrer chez moi et je faisais un essaye d’appel à 3. Quand j’eu terminé et compris comment faire, je me hâtais d’en informer Master Eric. Il me répondit qu’il m’appellera dans la soirée. J’avais hâte qu’il m’autorise à me vider. Après avoir déjeuné et bu un bon expresso je regardais les infos à la télévision. Commençant un peu lus tard cet après-midi, j’en profitais pour faire un lavement. Quand il fut l’heure, je repartais au bureau en informant mon Maître. Animant un groupe d’écriture, j’avais du mal à me caresser. J’allais donc aux toilettes et j’en profitais pour malaxer un peu mon sexe en faisant attention de ne pas jouir, ce qui augmenta ma frustration. Je n’avais plus qu’une obsession, jouir enfin et vider mes pauvres testicules qui débordaient. Enfin, l’atelier se terminait et je rangeais mon bureau pour le week-end. Après avoir tout mis en ordre, je sortais faire une course et je rentrais chez moi. Arrivé, je me mettais en tenue légère et j’enfilais mon peignoir avec une érection qui revint de suite, dès que je fut nu. J’attendais ainsi l’appel de Master Eric.

Par Bâstard à KC - Publié dans : Punitions - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
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