Le blog de Bâstard à KC Sous Merde n°411-103-335

  Bienvenue sur le blog de Bâtard a KC : Sous Merde N° 411-103-335, sous le contrôle de Master Éric et Maître Michael. Il doit faire ce qui lui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous nos ordres.

  Il fait aussi ce que les visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel.

  Sous cage de chasteté, nous seuls, ses Maîtres, décidons de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.

  N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre sous merde ou nous même. Cela l'humiliera  d'autant  plus.  Son  adresse  est  dorénavant  la  suivante  :        slave.411103335@gmail.com

   Nous la contrôlons entièrement. Nous nous chargerons de vous répondre ou notre slave vous transmettra nos commentaires.

  Notre Sous-Merde est à dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser en Cam ou en Réel avec prises de photos et rapports publiés ensuite sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et il leur doit respect, soumission et obéissance.

Lundi 20 juin 1 20 /06 /Juin 20:01

Nuit menottée

        Un nouveau maître a pris contacte avec le slave que je suis. Il m’a donné des consignes à faire dans la semaine et pour cette nuit, Maître Dédé a commandé que je dorme comme d’habitude nu avec les entraves habituelles et en plus je dois mettre aux chevilles des menottes métal et en cuir aux poignets. Je dois les prendre en photo ce soir et demain matin. Après avoir ôté les menottes, prendre en photo les chevilles pour voir les marques. Enfin, il a exigé : "Extinction des feux à 22h00". Maître Michael a ordonné que je publie un mot ce soir pour informer de ces nouvelles instructions et un autre demain avec les photos, ici, sur le blog et face book.

        Bonne nuit aux Masters et aux autres.

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Lundi 20 juin 1 20 /06 /Juin 08:23

Changement de plug

        Maître Michael un matin me demandait quel plug bouchait le trou du slave. Je l’informais que c’était le plug qui tient seul.

01---Plug-Seul---CC----.-.jpg

        Il me commandait de changer de plug car mon petit trou s’était habitué à celui-ci. J’allais devoir changer d’astreinte et m’habituer à cette nouvelle contrainte.

02---Plug-2-Boules---CC----.-.jpg

        Je m’exécutais donc ! J’allais chercher le plug à deux boules et la ceinture pour éviter trop de problème et pouvoir mieux le contenir. Accroupi, j’expulsais le plug qui tient seul. Je prenais une photo de la petite fleur qui se présentait au nouveau plug.

01---La-Fleur-du-Slave---B----.-.jpg

        Après avoir légèrement graissé le plug à deux boules, je le présentais à mon trou. Doucement mais sûrement, il s’ouvrait et avalait cette nouvelle contrainte. Je le tenais un instant pour calmer le trou qui se mettait à pousser. Enfin ! Quand il acceptait ce nouvel appendice, je mettais en place la ceinture pour le bloquer.

 01---Pose-Plugs---B----.-.jpg  03---Pose-Plugs---B----.-.jpg

 05---Pose-Plugs---B----.-.jpg  06---Pose-Plugs---B----.-.jpg

        Les jours à venir vont être épuisants et compliquer à contenir le trou. Ce sera très humiliant, dégradant et frustrant de travailler avec toutes ces contraintes car en plus du plug qui bouche mon pauvre trou de slave, je ne peux plus mettre de sous-vêtement ce qui augmente l’humiliation. Je suis aussi de plus en plus excité car je suis sous cage depuis plus de deux mois et demi ce qui accentue encore plus les frustrations. J'ai aussi un ballestrecher qui étire mes malheureux testicules. Enfin, je dois porter en permanence le collier de slave avec sa médaille qui me vaut parfois des questionnements qui accroît les réflexions dégradantes.

07 - Pose Plugs - B - -.-        Je remercie tout de même mes Masters car ils savent ce qui est bon ou non pour le slave que je suis.

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Mardi 7 juin 2 07 /06 /Juin 07:27

bonjour à tous

 

comme vous le savez, le batard a le droit de porter un seul sous vetement autorisé pour ses visites médicales et dois l'enlever ensuite car il n'a pas le droit d'avoir des sous vetement sur lui en dehors. il s'agit de son boxer blanc.

il est temps maintenant de lui autoriser un autre sous vetement pour ses visites médicales. Le choix définitif se fera parmi le choix des visiteurs sur le blog qui auront laisser dans leur commentaire sur cet article leur choix.

pour cela il suffit d'aller dans l'album des sous vetements du batard pour voir les photos.

 

 le choix est simple

- string

-jock strap

-slip tanga

 

possibiilté de faire autre choix si en dehors de cette liste. si c'est le cas le batard en fera l'acquisition obligatoirement.

 

interdit dans le choix :

 

- ses bodyes

- ses shorts

- ses boxer de bains

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Mardi 7 juin 2 07 /06 /Juin 06:57

Prochaines visites médicales

        Maître Michael vient de me donner ses nouvelles instructions pour les prochaines visites médicales.
-    Pour la prise de sang : je dois y aller avec tous les attributs que je porte normalement. Ça va être humiliant et difficile de cacher le collier !
-    Pour la visite chez mon généraliste je dois tout enlever à 8h00 juste avant d’aller à mon rendez-vous et enfiler mon boxer. Suite à la consultation, je dois me rendre dans des toilettes publiques pour enlever le boxer et remettre tous les atouts du slave soit la cage de chasteté, le ballestrecher, le plug anal, la ceinture bloc-plug et le collier avec sa médaille. Je dois prendre des photos de toutes les étapes, faire un rapport et le publier sur le blog et un mot sur face book.
-    Pour mon spécialiste, je dois me changer juste avant le rendez-vous pour mettre le boxer. Heureusement que les Masters ont choisi ce sous-vêtement si-non, certains, seraient vraiment très humiliant et dégradant à porter chez le médecin. Suite à la consultation, je dois aller dans un parking et me changer dans la voiture. Je vais devoir en trouver un où je peux être à l’écart. J’irai sûrement sur le parking d’une galerie marchande car il est assez vaste et je pourrai peut être trouver une place à l’écart. C’est le plus vaste que je connaisse pas trop loin. Je vais être mal à l’aise et me sentir vraiment humilié de me trouver nu dans la voiture en extérieur et de devoir me changer dedans. Ce sera encore plus humiliant et dégradant pour le slave que je suis car je dois prendre des photos de chaque étape pour le rapport que je dois faire ensuite.
        Merci Maîtres pour les nouvelles instructions humiliantes, dégradantes et avilissantes !

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Vendredi 27 mai 5 27 /05 /Mai 07:22

Bonjour à tous

 

le slave est toujours sous notre contrôle. Il est toujours sous cage et n'a pas gicler son jus pourri depuis la dernière séance de vidange sous electro qu'il a du faire. D'ailleurs il a posté un article sur cette vidange.

Depuis qu'il nous appartient, il n'a pas le droit de porter le moindre sous-vêtement sous ses pantalons. Il est donc a poil dessous avec uniquement la cage et le ballstrecher.

Le seul sous-vêtement qu'il peut prendre est un boxer blanc dont voici la photo. Il le met quand il doit aller en visite médicale. A ce moment là il peut aussi enlever son collier, la cage et le ballstrecher. Une fois la visite médicale, il a ordre de tout remettre et d'enlever son boxer.

a la moindre désobéissance, des sanctions et des punitions tombent.

il est à votre entière disposition

 

04 - Boxer - Blanc - 01 - .

 

Ses masters

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Mot des Masters - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 21 mai 6 21 /05 /Mai 07:38

Un Hôte humilié.

        Le vendredi 29 avril, je recevais un couple d’amis de longue date. Suivant les instructions de Maître Michael, j’étais vêtu du pantalon cuir qui fait apparaître la cage et d’un pull col roulé pour cacher le collier et la médaille. Malheureusement mes amis les ont aperçus ou deviné qu’il y avait des renflements. Je trouvais l’excuse que la poche du pantalon était petite et j’avais un gros mouchoir dedans. Pour le collier, que c’était une amie qui me l’avait offerte en souvenir…. Je me suis senti vraiment très humilié par leur réflexion et ma voix était hésitante. Heureusement, ils n’ont pas vu la médaille avec son inscription. J’étais suffisamment humilié comme ça !!! Lorsque je pouvais, je me connectais le matin et je saluais le Maître. Tous les jours, je devais accepter de nouvelles demandes d’amis sur ma page Face Book. Malgré mes réticences, le master me commandait de les accepter toutes. Progressivement, plus j’ai de demandes et plus je me sens humilié et avili par ces sollicitations grandissantes. Un matin, un master demandait si je pouvais le recevoir. Je transmettais la demande à Maître Michael qui commandait d’accepter sa requête. Il m’informait aussi que je devrai le recevoir nu chez moi. De lui mettre à disposition mon matériel et de lui obéir à toutes ses suppliques. Étant sous cage, je ne pourrai pas jouir et si je sens le jus monter, je devrai stopper un instant si non, une punition suivra. Enfin, il pourra prendre toutes les photos qu’il voudra. Suite à son séjour, je devrai faire un rapport et les mettre sur ce blog. Il me confirmera plus tard sa venue. J’espère vivement qu’il ne pourra pas venir car ce sera très dégradant et humiliant.
        Un matin, Maître Michael ordonna d’ouvrir la braguette du cuir. Mes amis s’en aperçurent et me firent la remarque. Je la refermais honteux. Heureusement qu’ils n’avaient pas aperçu la cage. Les picots pénétraient de plus en plus souvent dans le gland et la verge ce qui me faisait bander de plus en plus souvent. Malheureusement, l’érection était contrariée par la cage mais n’empêchait pas que je mouille encore plus…. La situation devenait de plus en plus humiliante et dégradante avec mes amis proche de moi. Je n’avais qu’une hâte, qu’ils partent. Au travail c’était le même problème, la cage s’apercevait dans le cuir et me valait parfois des questionnements qui me provoquaient des sentiments d’humiliation et de frustration. Je maudissais encore plus le maître.
        Un jour j’ai du enlever le plug car le côlon était plein. Ne pouvant pas faire de lavement je le rangeais provisoirement et j’en informais le maître. Un matin il commanda que je me rende dans la salle de bain et que je frictionne les couilles avec de l’alcool car j’avais fait un malheureux commentaire. Je m’exécutais. Lorsque le liquide se mit à chauffer, j’essayer d’étouffer un gémissement. Mes amis frappaient à la porte en demandant si j’avais un problème. Le souffle coupé, j’essayais de leur répondre. Je haïssais, une fois de plus, Maître Michael et ses instructions….
        Le Maître demandait un jour de me rendre dans des toilettes publiques, de me prendre en photo, nu, de faire de même en pleine nature lorsque mes amis seront partis. Il me commandait aussi de garder la braguette ouverte. Je trouvais l’excuse qu’elle était défectueuse et qu’elle s’ouvrait régulièrement quand mes amis ou les collègues me faisaient la remarque. Je la fermais et un moment plus tard, je la réouvrais. La situation devient, avec le temps, de plus en plus humiliante et embarrassante.
        Un matin, parce que j’avais fait un commentaire, le Maître ordonna que je change de cage et que je prenne la plus petite avec le grand plug urétral. J’allais les chercher à la cave et je la posais dans la salle de bain. Lorsque j’enlevais la cage avec picots, je me mettais à bander. Je n’avais qu’une envie, de me masturber et jouir. Je me forçais à contre cœur de ne pas le faire car je serai puni !!! Après avoir mal mené et compressé mon pauvre pénis et avec une très grande difficulté, j’arrivais enfin à mettre en place cette minuscule cage. Je positionnais ensuite le plug dans mon malheureux urètre. Un feu s’y propageait de suite et un incendie irradiait le méat urétral.

   03---Petite-Cage---Balle---B----.-.jpg  04---Petite-Cage---Balle---B----.-.jpg  05---Petite-Cage-Posee-le-11-Mai---B----.-.jpg

        Le soir j’informais Maître Michael que j’avais du enlever le plug en fin d’après-midi car, en le posant, j’avais du érafler l’urètre et j’avais uriné un peu de sang. Il ordonna alors de poser une autre cage en métal, celle sans plug. Discrètement, j’allais la chercher à la cave. Je la posais, à l’abri des regards, toujours dans la salle de bain. Dès que ma verge était libre, elle se gonfla de suite. Je bandais et j’avais qu’une envie, de me branler en cachette et de jouir enfin. Avec frustration et humiliation, je me forçais à ne pas toucher ma queue. Je posais avec grande peine et en m’aidant d’un coton tige la nouvelle cage. Mon malheureux pénis était à nouveau enchâssé dans les anneaux de la cage. Je continuais avec grande complexité à mettre en place le ballestrecher car avec cette nouvelle cage, il tire encore plus sur mes infortunés testicules. Je remontais le pantalon cuir et le fermais. Je m’apercevais qu’ils faisaient, la cage et le balle, un plus gros renflement dans le cuir. J’étais certain que cela me vaudrait de nouveaux commentaires dégradants qui me vaudra encore plus d’humiliation, de frustration et de vexation.

   06---Grande-Cage---Balle---B----.-.jpg  07---Grande-Cage---Balle---B----.-.jpg  09---Cuir---Cage---Balle---B----.-.jpg

08 - Cuir - Cage + Balle - B - -.-

        Il y a bientôt trois mois que je n’ai pas pu me vider les couilles car je suis sous cage. La nuit, j’en fait des cauchemars : Je me masturbe et je sens le jus monter de plus en plus mais impossible de jouir. Plus je m’énerve sur mon pénis et moins le sperme veut monter et sortir…. Par contre, je mouille car j’ai taché les draps et du les changer. Je mets jour et nuit un morceau de papier absorbant au bout de la cage pour éviter les salissures.  C’est vraiment humiliant, frustrant et dégradant. J’ai tellement envie de me branler et jouir que ça devient une obsession et la journée, je ne pense qu’à ça !!! Cela me pose parfois des quiproquos dans mon travail qui ne font qu’augmenter mon humiliation, ma frustration et mon avilissement. Je maudis de plus en plus les Masters qui m’ont mis sous cage.
        Je sais aussi, si Master Éric et Maître Michael font cela c’est qu’ils savent que c’est pour le bien du slave car les Masters connaissent ce qu’il faut ou non pour le slave que je suis.
        Merci Maîtres.

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Mercredi 27 avril 3 27 /04 /Avr 08:00

Une alcôve avilissante.

        Ce lundi matin Maître Michael, après quelques échanges, me donnait une nouvelle directive à faire avant la fin de semaine car des amis viennent me rendre visite pour 2 semaines. Il commandait de me rendre dans une cabine d’essayage et de prendre en photo les contraintes. À la sortie du bureau, je me rendais donc dans un magasin et prenais des pantalons. Je me rendais dans la cabine pour, soit disant les essayer….
        La nouvelle cage pose plusieurs gros problèmes humiliants et dégradants. Avec les picots qu’il y a dedans, lorsque je bouge et dès que mon pauvre gland en touche un, mon pénis essaye de gonfler. Mon érection est perturbée non seulement par la cage mais je sens chaque picot pénétrer plus profondément chaque fois. Cette cage est encore plus humiliante et avilissante que les autres. Je maudis régulièrement Maître Michael d’avoir demandé d’en changer. Celle-ci me pause encore plus de problèmes et d’humiliations. Lorsque je suis au bureau assis, parfois j’essaye d’avoir une érection involontaire car elle me pose de gros embarras. Je dois me contrôler pour ne pas faire voir que je sens mon gland s’enfoncer sur les pics. Lorsque cela arrive, plus j’essaye de débander, plus le gland pénètre sur les picots et plus ma verge essaye de gonfler. J’en ai souvent le souffle coupé ! Plus j’essaye de débander, plus le gland est piqué, plus le pénis se gorge et plus je sens chaque pic pénétrer dans le gland et la queue. Une situation très humiliante, avilissante et dégradante surtout lorsque j’ai du monde autour de moi. Je maudis à chaque instant le Master qui m’a demandé de poser cette cage. De plus, avec le pantalon cuir que je dois porter quotidiennement, le balle et la cage s’entrevoient ! Surtout la dernière se devine bien sous le cuir c’est une situation qui est très humiliante et embarrassante aussi !!!

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        Je me retrouvais donc dans la cabine et je me déshabillais. J’entendais les autres personnes dans les cabines autour de moi. J’espérais que le vendeur ne me dérange pas. Je prenais en photo le slave dans la cabine et la cage en gros plan.

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        Je me rhabillais rapidement. J’étais en train d’enfiler le pantalon lorsque le vendeur venait me demander si j’avais besoin de conseil. Je le remerciais et m’empressais à terminer de m’habiller. Je sortais de la cabine avec le cœur qui jouait la chamade. Je rendais les pantalons au commerçant et discutais un instant. Je me sentais très mal. J’avais l’impression que ses yeux s’attardaient sur le cuir car il me faisait la remarque que c’était un beau cuir. J’acquiesçais en sentant le sang monter à la tête. J’avais le cœur qui jouait la chamade. Je me sentais encore plus humilié et avili. Je le remerciais et lui rendais ses biens. Je partais précipitamment prétextant un rendez-vous oublié. Honteux, confus, je regagnais ma voiture. Cette directive était très humiliante, avilissante et dégradante ! Je rentrais enfin chez moi espérant que des situations identiques ne se reproduisent pas trop souvent.

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Lundi 18 avril 1 18 /04 /Avr 10:13

Une nouvelle cage

        Pour des raisons familiales, mon rendez-vous a été déplacé. Suivant les instructions de Maître Michael, vendredi matin, je me changeais aux toilettes de mon travail. Après avoir pris une photo du slave nu avant d’ôter toutes les contraintes, je libérais enfin ma malheureuse verge et mes testicules. Je me rhabillais en enfilant le boxer blanc. Je rangeais les contraintes dans une pochette.

02---Cage-Metal-Plug---B----.-.jpg        Je me hâtais à déposer chez moi tout ce matériel et je prenais mes papiers en gardant le collier dans la pochette. Je me rendais à ma consultation. Le médecin avait pris du retard et j’attendais mon tour. Après avoir mis à jour mon dossier, je me rhabillais pendant qu’elle remplissait mon ordonnance. Je la saluais ainsi que le secrétariat et je retournais à ma voiture. Je posais de suite le collier que j’avais pris avec moi. Je retournais à la maison. Je posais la nouvelle cage à contre cœur. J’avais une envie grandissante de me toucher, me caresser et me branler. Je savais que je n’avais pas le droit ! Un sentiment de frustration et d’avilissement s’insinuaient dans toutes mes entrailles. Je m’empressais donc à poser la cage avant que je ne puisse plus contrôler mes mains. J’étais pressé car je devais me rendre à l’hôpital pour faire une visite avant de reprendre le travail à 14h00.

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        Comme je ne pouvais pas faire le rapport immédiatement, samedi matin, Maître Michael ordonnait de poser une pince sur chaque sein jusqu’à publication de ce rapport. Je m’exécutais.

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Lundi 11 avril 1 11 /04 /Avr 12:33

Massage des couilles du slave à l’alcool :

        Ce lundi matin, après avoir salué Maître Michael, je lui faisais un résumé de mon week-end chez des amis. Je lui faisais part des réflexions humiliantes et parfois avilissantes que j’avais eues,  entre–autre pour la braguette ouverte en permanence, suivant ses instructions. Je donnais l’excuse qu’elle était cassée…. En réalité, lorsque l’on me faisait la remarque, je la refermais mais je devais la rouvrir discrètement un moment plus tard.
        Il me demandait de lui redonner mes codes d’accès à la page Face Book. Je les lui transmettais et je lui faisais part de mes craintes. Pour ce commentaire, le Maître infligeait une punition au slave ! Il me commanda de frictionner et masser mes malheureux testicules avec de l’alcool. Je m’exécutais à contre-cœur et dès que le liquide fut en contacte avec les bourses, un incendie irradiait dans les couilles. Je soufflais rapidement et maudissais le Maître pour cette punition. J’avais les valseuses en feu et je déambulais dans mon appartement. Je débutais bien-mal la semaine avec ce châtiment. Enfin, le brasier s’atténuait progressivement et je passais à la salle de bain. Je maudissais le Maître et me promettais de faire plus attention à ne pas faire de commentaires.
        Maître Michael me donnait aussi ses instructions pour ma prochaine visite médicale de mercredi. Tout enlever avant de partir et de remettre le collier à la sortie et ôter le boxer dès la fin de la consultation. Chez moi, je devrais poser la cage silicone avec les pics intérieurs et le gros balle. Je dois aussi porter un pantalon cuir toute la semaine. Je dois aussi poster ce rapport avant lundi soir si-non, demain mardi, j’ai le droit à une autre punition. N’en voulant pas, je me hâtais à le débuter avant de partir au bureau et le terminais à 12h30 lorsque je rentrais pour déjeuner et je le postais.

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Dimanche 3 avril 7 03 /04 /Avr 14:37

Braguette ouverte :

        Maître Michael, samedi matin me donnait comme instruction pour le week-end, lorsque je devrai sortir, je dois porter un pantalon de treillis braguette ouverte. Ce que je faisais samedi pour faire mes courses. Je trouvais cela très humiliant et dégradant ! J’avais l’impression que tout le monde regardait le treillis et surtout la bosse que formaient la cage et le ball-stretcher. Dimanche matin il renouvelait sa demande et j’allais me promener dans un parc comme il faisait assez beau le matin. Les personnes que je croisais me regardaient avec insistance et surtout le treillis. Je me sentais très mal à l’aise et je maudissais le master et ses ordres ! Je trouvais avilissant et frustrant de devoir sortir en public la braguette ouverte ! D’autant plus que la cage et le ball-stretcher faisaient un renflement dans la jambe du treillis. Je sentais aussi la fraîcheur entrer dans le pantalon ce qui me faisait bander par moments. Malheureusement à cause de la cage, mon malheureux pénis était encastré dans les anneaux ! Il me semblait que les personnes que je croisais ne regardaient que cela ! Je rentrais en début d’après-midi lorsque la fraîcheur arriva et que le soleil se voila. Suivant ses directives je prenais une photo du treillis braguette ouverte. Pour cela, je remontais légèrement le pull que je portais. Je me mettais à mon bureau et je tapais ce rapport.

   01---Treillis-Ouvert---Pull---B----.-.jpg   01 - Treillis Ouvert - B - -.-

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Samedi 2 avril 6 02 /04 /Avr 11:13

01---Slave-Nu----.-.jpgÀ l’hôpital

        Ma dernière visite se passait à l’hôpital. J’avais eu l’autorisation de porter le boxer blanc. J’y allais donc et pour les examens prévus, je me mettais torse nu. Je me sentais mal à l’aise car le week-end précédent Maître Mike avait donné l’instruction de me raser complètement, jambes et bras compris. Je prenais l’excuse que je faisais du vélo et, en cas d’accident, ça faciliterait les soins.

02---Cage---Plug---A----.-.jpgLorsque ce fut terminé, j’allais me changer aux toilettes suivant les instructions que Maître Michael m’avait données.

        Je me déshabillais et, suivant ses instructions, je prenais une photo du slave nu. Je trouvais cela très humiliant et dégradant. Ce n’était pas la première fois que je dois me changer ainsi dans les toilettes mais je n’arrive pas à m’y habituer….

 

        Je commençais par poser le collier avec sa médaille. Je continuais par la cage et j’emprisonnais à contre-cœur mon malheureux pénis. Je continuais en introduisant le plug urétral. Il fit gonfler un peu plus ma verge qui se trouva encastré dans les anneaux de la cage.

 

        Je continuais en prenant le plug qui tient seul et je le graissais légèrement. J’avais pris un peu de gel pour l’occasion.  Ce qui compliquait l’introduction, le Maître avait donné l’ordre de prendre en cliché la mise en place de cette entrave. Je trouvais la situation encore plus avilissant et déshonorant. Je poursuivais en posant le ball-stretcher que je prenais aussi en photo.

03 - Pose Plug Anal - 1 - A - -.-  04 - Pose Plug Anal - 2 - A - -.-

05 - Pose Plug Anal - 3 - A - -.-  06 - Plug + Balle - A - -.-

       Le temps que je me déshabille et que je prenne les photos précédemment, une personne vint frapper à la porte demandée si j’allais bien. Je répondais oui et que tout allait bien. Malheureusement non, je me sentais encore plus humilié et trouvais déplaisant que l’on vienne taper ainsi à la porte. Je me hâtais à prendre les dernières photos. C’est à dire la cage avec le balle et le slave nu avec tous ces "atouts"….

07---Cage---Balle---B----.-.jpg  08---Le-Slave-Nu---Contraintes---A----.-.jpg

        Je me rhabillais enfin honteux de la situation et que l’on s’est aperçu que je durais aux toilettes. Je prenais mes papiers et je retournais à la voiture.

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Vendredi 25 mars 5 25 /03 /Mars 09:01

Plus gros, plus grand, plus long….

 

       Jeudi matin, je saluais Maître Michael sur skype. Après un échange de renseignements, il commandait au slave de changer de plug annal à midi lorsqu’il rentrera chez lui ainsi que pour son urètre. Il choisissait celui qui fait 10,5 cm de long sans les embouts. Heureusement pour moi, il penchait pour le rond, le plus court, qui fait allonger tout de même le plug urétral, avec les deux embouts, à 12,5 cm de long !!! Celui en métal que je portais, qui ne fait que 7 cm, est dissocié du pas de vis, ce qui permet, lorsqu’on le place, de rester stable et ne pas bouger. Malheureusement, les autres sont d’un bloc avec le pas de vis…. J’enlevais donc avec regret le plug métal. Je prenais le second et je commençais à le mettre en place. Je sentais l’embout entrer dans mon urètre et remonter de plus en plus. Lorsque j’arrivais au pas de vis, je commençais à tourner mais tout le plug tournais, en même temps, dans l’urètre et le mettait en feu !!!! Quand il arrivait au butoir, un incendie irradiait mon méat urétral !!! J’en faisais part au Maître. Il s’en moquait, s’en foutait !!! Que ce n’était pas son problème et que le slave n’avait qu’à gérer !!!
       Lorsqu’il fut l’heure, je partais au travail. Toute la matinée je sentais le plug dans mon urètre et mon méat en feu. Je maudissais Maître Michael d’avoir ordonner de changer de plug !!! Mon ouverture était irradiée par un incendie incessant ! Le plug, qui rentrait plus profondément, faisait aussi grossir la verge et le pénis du slave était encastré dans les anneaux de la cage. J’avais une envie grandissante de me masturber, ce qui augmentait l’érection contrariée par la prison métallique !!! Un autre gros problème avec ce plug, quand je vais uriner, je ne sens plus mon urine sortir !!! Ce qui fait que je ne sais plus si ça coule ou non !!! Et, comme je dois le faire assis, avec la geôle métallique, je dois regarder si j’ai terminé ou non, les jambes écartées comme une pute, une salope !!!
       La situation devenait de plus en plus humiliante, dégradante et avilissante !!! Je maudissais toute la journée le Maître !!! Encore plus l’après-midi assis au bureau, car le midi, j’avais changé de plug anal. J’avais enlevé le plug qui tient seul pour poser le plug deux boules avec la ceinture !
       C’est normal, car comme le dit mes Masters, je ne suis qu'un slave, un bâtard, une sous-merde et que je ne suis plus un homme, un male. Mes Masters sont là pour me contrôler et je ne peux jouir que lorsque mes Maîtres le décident, le veulent bien et de la manière qu'ils désirent car je ne suis qu’une salope. Je n’ai rien à dire sur leurs méthodes pour me faire jouir que je trouve de plus en plus contrariante et frustrante et de moins en moins fréquente !!!!!

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Dimanche 20 mars 7 20 /03 /Mars 20:42

Une vidange électrique.

 

      Samedi matin, Maître Michael me prévenait qu’une vidange sera programmée le soir avec Master Eric. Lorsque je rentrais chez moi, après avoir fait mes courses, je me connectais. Je rédigeais le rapport que Maître Michael m’avait demandé de faire au supermarché (conféré rapport précédent).
      Je me dépêchais à dîner pour être prêt lorsque mes Masters appelleraient. Malheureusement, je n’avais pas lu le dernier message de Maître Michael qu’il m’avait envoyé sur skype. Il me disait d’enlever la cage et de mettre le jock-strap.
      Master Éric m’appelait et j’appelais Maître Michael en triple appel. Après avoir pris connaissance du message, j’enlevais rapidement la cage et j’enfilais le jock-strap. J’avais toujours, sous ce dernier, mon trou bouché par le plug à deux boules et la ceinture cuir pour le tenir. Maître Michael m’intima de donner 10 coups de poings dans les couilles pour lui et 10 autres pour Master Éric. Je m’exécutais et une douleur irradia mes malheureuses testicules. Sans pouvoir prendre de poppers, je continuais la série du Master. Le supplice grandissait avec les heurts répétés. J’avais enfin terminé et je sentais le feu ravager mes testicules éprouvés. Ils m’ordonnèrent de poser 10 pinces à linges sur chaque couille. Je prenais en mains, les bourses mal-menées et tout en les pinçant, je posais une à une les pinces, en les comptant, sur une ligne comme pour faire une couronne. À la demande de Master Eric, je dus faire de même avec ma queue. J’accrochais donc sept nouvelles pinces à mon pénis en érection. Quand j’eus terminé, je dus remonter le jock en place ! La douleur se propageait dans tout mon bas-ventre comme un éclair zébrant la nuit noire. Un incendie de douleur se répandait dans mon hypogastre. Maître Michael m’intima de m’allonger et de ramper au sol. La douleur aux couilles ne fit qu’augmenter. Après avoir fait un bon mètre en avant en rampant, je dus faire le retour toujours à plat ventre. La douleur ne faisait qu’augmenter. J’avais mal aux burnes comme si un train était passé dessus. Les Maîtres demandèrent que je prenne en photo le jock après m’être relevé. J’en prenais une seconde après avoir enlever le sous-vêtement qui étreignait les pinces et qui augmentait la souffrance.

  01 - Pinces + Jock - A - -.-  02 - Pinces Debout - A - -.-

      Maître Michael, commanda que j’enlève la ceinture et que j’expulse le plug deux boules. Je m’exécutais et je poussais un bon coup pour faire sortir le bouchon qui obstruait mon orifice anal. Il demanda que je prenne le premier gode. Je le saisissais et après l’avoir légèrement graissé, je m’empalais dessus. Comme il rentra facilement, il commanda de prendre le deuxième. Je faisais de même et l’introduisais dans mon côlon. Pour l’introduire, comme il buttait contre l’anneau, je fus autorisé à prendre du popper03 - Pinces - A - -.-s. Maître Michael exigea que je m’assoye dessus et que j’allonge les jambes, Je me posais sur le gode et je m’installais par terre. Ils exigèrent de prendre le suivant. Ce fut donc le tour du troisième. Après autorisation, je sniffais un peu de poppers pour le rentrer. Je m’empalais donc sur ce dernier pieu. Lorsque je fus assis dessus, mon cul se mit à pousser. Je sentais l’anneau monter et descendre sur ce phallus. Je dus faire un mauvais mouvement car une douleur foudroyante explosa dans mes testicules qui me fit débander. La douleur était tellement intense et insupportable que je dus enlever précipitamment les pinces. Je m’empalais et je remettais les pinces aux couilles assis sur ce lingam. Les Masters me demandèrent de prendre une photo et de la leur envoyer. Je m’exécutais et j’envoyais le cliché.

 

      Après l’avoir reçu, les Masters me demandèrent de me relever. Je tenais le gode pour ne pas qu’il sorte de mon trou. Je n’arrivais pas à rebander tellement la douleur était intense. J’essayais de me masturber, malgré cela, je n’arrivais pas à avoir d’érection. Je me sentais vraiment humilié et avi04---Electro.---A----.-.jpgli de ne plus pouvoir raidir mon membre. Je n’arrivais pas à faire baisser la douleur qui tenaillait et irradiait mon bas ventre. Mes Maîtres m’autorisèrent à ôter enfin les pinces qui me prodiguait un supplice, un tourment insupportable et qui m’empêchait de bander, ce qui m’affligeait et m’insupportait ! Les Maîtres commandèrent que j’installe sur le lit tout l’électro et que je m’y installe allongé. J’avais toujours le godemiché en moi. Maître Michael demanda que je mette une électrode sur les couilles et une sur la queue avec une capote par-dessus. J’avais du mal à avoir une érection car la douleur était toujours présente. J’installais tout de même, comme je pouvais, le matériel. Ils me demandèrent de prendre en photo l’équipement.

 

      Sur leurs prérogatives, je démarrais l’électricité. Je sentis d’un coup, comme des aiguilles qui pénétraient, dans mes couilles et ma queue. Ils commandèrent que j’augmente l’intensité. Plus l’intensité augmentait et plus je sentais une montée de jus. Doucement mais sûrement, le sperme prenait le chemin de la sortie. C’était vraiment dégradant et froissant de sentir cette montée involontaire. Cette sensation était horrible, humiliante mais plaisante. Les Masters m’autorisaient à prendre un peu de poppers pour ralentir le montée et augmenter les sensations. Bien que je n’aie pas une érection normale à cause de la douleur qui continuait dans les bourses, la semence montait inexorablement. Un premier petit jet arriva dans la capote. Les Masters m’ordonnèrent de continuer l’électro. Je continuais à avoir comme des aiguilles dans les testicules et la verge. Je sentis une seconde et plus grosse montée de sperme qui explosa dans le récipient. Lorsque je me fut bien vidé involontairement, ce qui était frustrant et régressant, ils me demandèrent de mesurer dans la seringue, le volume de jus. Elle fut remplie et il y a resta dans la capote. Je prenais une photographie que j’avoyais aux Maîtres. Ils imposèrent que je vide la capote dans la crème dessert ainsi que la seringue et de leur envoyer le résultat. Je prenais un nouveau cliché que je leur faisais parvenir.

   05 - Capote Sperme - A - -.-  06 - Seringue - A - -.-

     Je saluais les Masters et je dégustais cette crème dessert parfumé spécialement. J’allais prendre une douche bienfaitrice. Je nettoyais le matériel. Suivant les instructions que j’avais eus en fin de séance, je remettais mon pénis en prison dans sa cage en acier à 21h20 et j’introduisais le plug urétral. Je bouchais aussi, avec un plug, mon trou pour ne pas qu’il se referme.

   07 - Crème Sperme - A - -.-  08 - Cage Posée - A - -.-

      Merci à mes Master, Master Éric et Maître Michael d’avoir permis cette vidange hygiénique et bienfaitrice.

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Samedi 19 mars 6 19 /03 /Mars 18:22

Au Supermarché :

 

        Après avoir salué Maître Michael ce matin, je l’informais sur mon programme de la journée en attendant l’appel de mes Masters ce soir. Il m’a ordonné, quand, je serai au supermarché, d’aller aux toilettes et de prendre le slave nu ainsi que sa queue. À midi, j’allais donc faire mes courses et je passais aux WC. Je me déshabillais et je prenais le slave en photo. Le sol était glacial ce qui m’évitait de trop bander. Ma malheureuse queue était tout de même à l’étroit dans sa cage et les anneaux encastraient le pénis du slave. Je trouvais cela très humiliant et avilissant de devoir se déshabiller ainsi et encore plus de devoir se prendre en photo. Je prenais aussi un cliché de ma pauvre queue enchaînée. Je me rhabillais et je retournais à mes occupations en attendant de rentrer, de faire mon rapport et de le publier. Ce que je trouve encore plus dégradant et frustrant de devoir s’exhiber ainsi. Mais les désirs des Masters sont des ordres pour le slave que je suis et eux seuls savent ce qu’il faut ou non pour le bâtard.

01---Nu-au-Supermarche----.-.jpg  01---Queue-du-Slave-au-Supermarche----.-.jpg

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Mercredi 16 mars 3 16 /03 /Mars 19:00

Le mercredi 16 mars

      Mercredi matin, je recevais les dernières consignes de Maître Michael avant de partir à ma consultation mensuelle. Avant de faire ma toilette et prendre ma douche, il me demandait de prendre en photo ma queue dans la cage en silicone lisse puis mon pénis avant le grand nettoyage. Je lui faisais part que je trouvais cela très humiliant ! Il me répondait qu’il s’en moquait…. J’en profitais pour aller uriner. J’allais le faire debout comme normalement. Lorsque je sentis la première goutte arriver, je me rappelais ses instructions. Je dû me retenir un instant et m’asseoir sur le trône pour me soulager. Je me sentais encore plus diminué et frustré de ne plus pouvoir le faire debout, comme normalement.

                 01 - Douche avec Cage - -.-             02 - Douche sans Cage - -.-

       Étant le premier rendez-vous, j’arrivais en même temps que mon médecin. Elle me faisait entrer ap03---Ches-Medecin-avec-Boxer----.-.jpgrès avoir saluer la secrétaire. Je me déshabillais en espérant quelle ne s’aperçoive pas que je n’avais pas de chaussettes. Je passais sur la balance et je m’allongeais sur la table. Elle commençait son auscultation lorsqu’elle me demanda pourquoi j’avais ôté mes socquettes ? Je lui répondais que je m’étais dépêché et que j’avais tout enlevé (ou presque…) Elle me fit asseoir sur le bord pour écouter ma respiration. Je sentit d’un coup le plug pénétrer encore plus profondément en moi !!! Je maudissais al04---Ches-Medecin-Nu----.-.jpgors mes Masters qui m’avaient commandé de boucher mon trou avec le plug. Le premier anneau voulu s’amuser dessus en essayant de monter et descendre. Je faisais mon possible pour rien faire voir mais la situation était dégradante et déshonorante pour le slave que je suis. Enfin, la consultation se terminait et le médecin allait mettre à jour mon dossier et rédiger l’ordonnance. Je me rhabillais, je prenais mes papiers et je la saluais. En sortant de son cabinet, je prétextais une urgence à la secrétaire et j’allais aux toilettes. En ouvrant la porte, un air glacial m’enveloppait. La femme de ménage avait laissé la petite fenêtre entre-ouverte ! En me rhabillant, je m’étais mis à bander mais le froid coupa net mon érection ! Je fermais la fenêtre. Je prenais une photo avec le boxer puis une après l’avoir enlevé.

 

      J’installais la cage mais une érection était revenue. Avec difficulté j’essayais d’introduire mon pénis dedans. Je regrettais de ne pas avoir pris de coton tige avec moi. Je m’aidais du plug pour faire pénétrer mon gland, anneau après anneau. Ma verge était emprisonnée dans la cage ! Je posais le cadenas avec regret et le fermais avec encore plus d’angoisse !!! Quand est ce que je pourrais libérer ma pauvre queue pour enfin me vider les couilles bien que Maître Michael m’ait fait comprendre que mon jus était pourri ! J’introduisais précautionneusement le plug dans mon misérable urètre. Je le vissais sur la cage et je sentis mon méat urinaire empalé dessus et ne pouvant plus bouger du tout ce qui augmenta mon érection ! Ma pitoyable queue était enchâssée dans les anneaux métalliques de la cage. Je posais enfin le collier avec son anneau d’appartenance aux Master Éric et à Maître Michael et avec le numéro du slave. Suivant les consignes, je prenais une photo du bâtard pieds nus et de la queue emprisonnée en gros plan !

      05---Ches-Medecin-avec-Cage---Collier----.-.jpg        06---Ches-Medecin---Cage-Gros-Plan----.-.jpg

      Je me rhabillais pour la troisième fois en moins d’une heure, frustrée et humiliée de ne pas avoir pu vidanger les bourses du slave. Je sortais des toilettes. Je saluais la secrétaire et lui souhaitais une bonne journée. Je retournais à ma voiture pour une nouvelle journée de travail.

      Mais quand aurai-je le droit de me branler ??? Avec cette cage c’est encore plus dégradant et avilissant car mon pénis est encastré dans les anneaux sans pouvoir avoir une érection convenable et satisfaisante. Heureusement que le plug, bien qu’il soit métallique, est une des plus petit.

      Un grand MERCI à mes MASTERS, Master Éric et Maître Michael, de suivre le bâtard et de bien vouloir parfaire l’éducation du slave N° 411 103 335.

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  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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