Samedi 1 octobre
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13:32
Sortie au lac.
J’informais mes Masters que j’avais déposé un congé pour ce jeudi
car la météo annonçait les dernières grosses chaleurs. Mon directeur avait accepté à condition que j’assure la garde du soir à partir de 17h00. Mes Maîtres avaient décidé que j’irai au lac avec
le short blanc, le polo jaune sans fermer les boutons, le plug qui tient seul et le reste des attributs. Je reviendrai dans cette tenue et je me changerai seulement en arrivant au bureau. Je ne
devais pas repasser chez moi. Ils avaient ordonné que je fasse tous les clichés nécessaires à chaque étape. Je pourrai partir seulement après avoir publié le rapport de la visite médicale de
mercredi.
N’ayant pu démarrer le rapport la veille, je me levais de bonne
heure pour le rédiger afin de partir pas trop tard. Quand tout fut en ligne, je me préparais en posant le plug en place et la ceinture et en introduisant le plug N° 03 dans mon malheureux
trou.
N’étant pas en avance car le rapport m’avait pris plus de temps
que prévu, je me dépêchais à m’habiller après avoir fait ma toilette. J’enfilais une paire de chaussettes, le short blanc, le polo jaune en laissant à contre cœur les boutons ouverts et mes
baskets. Je m’apercevais, dès que je marchais, le short remontait légèrement et la cage apparaissait avec mes malheureux testicules. Je devrai le redescendre régulièrement ! Toujours suivant les
instructions, je prenais les clichés comme preuve de ma tenue.
Je préparais mon sac avec une serviette, un livre, une bouteille
d’eau et un jeans que je laisserai dans le coffre de la voiture. Quand tout était prêt, j’enfilais une petite veste sans manche et je prenais mon sac. Je fermais mon appartement et j’appelais
l’ascenseur. En sortant de l’immeuble, je croisais la fille d’un voisin, une adolescente. Lorsqu’elle me vit, elle me salua et elle jetait un œil au short car je venais de tirer dessus pour
cacher la cage. Alors, elle ne quitta plus le collier de vue avec la médaille. Je lui rendais son bonjour. J’avais oublié que les boutons étaient ouverts. Je maudissais les instructions des
Masters d’avoir commandés de ne pas les fermer. Elle allait sûrement en toucher un mot à ses parents et lorsque je les croiserai, je serai très mal à l’aise car je ne savais pas ce qu’elle avait
vu, étant de ma taille. Je haïssais une nouvelles fois les directives humiliantes. Je m’empressais à poser le sac dans le coffre de la voiture et je montais dans le véhicule. En démarrant, je
m’apercevais que la cage sortait du short. Je partais de chez moi à 11h15. il me faut 45 mn pour me rendre à la plage naturiste. J’avais pris du retard avec le rapport du matin comme j’avais
ordre de le publier avant de partir. Étant fin septembre et en semaine, j’espérais qu’il y aurait peu de monde au lac. En cours de route je me garais pour prendre un cliché de la cage car mes
Masters l’avaient commandé.
J’arrivais en même temps qu’une personne en scooter. Je
déchargeais le transat et le sac en sortant le jeans et en le laissant dans le coffre. Je méprisais de nouveau les commandements dégradants de mes Maîtres. Je garais la voiture après avoir pris
le pantalon en photo. Avant de me charger, je prenais de nouveaux clichés de ma tenue déshonorante. Mes craintes se confirmaient. Plusieurs véhicules étaient déjà garés. Je ne pensais pas qu’il y
aurait autant de monde ce jour.
Je prenais mon barda en espérant qu’il y aurait mon petit coin
discret de libre. En longeant la voie ferrée, je voyais que plusieurs couples ou des personnes seules étaient déjà allongés. Je craignais que mon coin soit pris. Un peu avant, sur le dernier bout
de plage, je déposais mes affaires comme il n’y avait personne. Discrètement j’allais voir mon petit endroit mais j’aperçus qu’un homme était déjà en place. Discrètement, je rebroussais chemin et
je m’installais sur la plage où j’étais la dernière fois. J’allais pour prendre en photo la cage qui sortait du short lorsqu’un homme approcha en longeant le chemin de fer. Il était 12h20. Je
prenais alors des vues panoramiques du lac.
Un couple était sur le bout de plage à coté de moi. J’évitais de
les photographier. Lorsque le visiteur fut enfin parti, je prenais la cage et je me déshabillais. À cause des commentaires laissés sur les articles, mes Maîtres avaient demandé des photos du
slave nu. Je maudissais tous les visiteurs et surtout les commentaires humiliant et désobligeant qu’ils avaient laissés et mes Masters de les suivre !
Je m’allongeais sur le transat et j’allais prendre de nouveaux
clichés lorsque j’entendis des pas vers moi. C’était le voisin qui venait me rendre visite. Un très bel homme de plus 1m80, tout bronzé, des tablettes de chocolat, des cheveux blond assez long et
un pénis…, s’approchait. Mon cœur se mit à battre de plus en plus fort. Que me voulait-il ? Je craignais le pire. Il entama la conversation :
-
- Bonjour Monsieur.
-
- Bonjour.
-
- Je vous ai vu prendre des photos. En avez-vous prises de mon épouse et de moi ?
Fébrilement, le cœur jouant la chamade, je répondais en lui tendant mon portable :
-
- Non, j’ai fait attention de ne pas vous prendre si vous désirez vérifier ?
-
- Je vous fais confiance Monsieur. Bonne journée.
-
- Bonne journée à vous aussi.
J’étais vraiment très mal à l’aise et content qu’il
n’avait pas pris mon appareil. Il ne se serait pas vu mais moi dans des positions humiliantes et avilissantes. Je m’empressais de me photographier allongé ainsi que l’intrus dans mon trou
lorsque j’entendis de nouveaux pas dans l’eau.
Un homme plus âgé, nu, s’approchait. Avec
précipitation, j’enfilais mes lunettes de soleil et une casquette sur la tête. Je descendais la visière au maximum sur les yeux. Je m’allongeais sur le dos en espérant que le plug se voit le
moins possible. Je faisais semblant de m’assoupir. Il s’arrêta devant moi. Je regardais furtivement. Il ne voulait pas bouger ! Mon palpitant battait de plus en plus fort. Il scrutait tous les
attributs. Je voulais me lever et m’enfuir ! Ne pouvait-il pas continuer son chemin ? J’étais certain qu’il voyait, non seulement la cage et le collier mais aussi le plug ! Il
ne bougeait toujours pas, mo
i non plus ! Enfin après
m’avoir ausculté de la tête aux pieds il continua son chemin en passant à coté de moi pour monter le talus. Il allait sûrement voir le voisin qui avait pris mon coin discret. Mes voisins jetaient
régulièrement un œil de mon coté. La situation devenait de plus en plus frustrante, humiliante et dégradante. De nouveaux pas derrière moi se firent entendre. Une nouvelle personne arrivait le
long de la voie. À ma hauteur, je l’entendis s’arrêter et d’autres pas s’approcher. J’en déduisais que ce devait être le premier visiteur qui rebroussait chemin. Je les entendis se saluer et
discuter sans pouvoir entendre leur discussion. Je n’osais pas bouger tellement j’étais mal à l’aise. Il restèrent derrière moi une bonne dizaine de minutes qui me paraissaient des heures. Enfin
ils se séparèrent et ils continuèrent leurs chemins. Je restais allongé sans oser bouger. Il fallait que je me calme. C’est à cet instant que j’entendais un couple s’approcher le long de la voie
de chemin de fer qui discutait assez fort sans pouvoir comprendre ce qu’ils disaient. Les voix devenaient de plus en plus fort. Je comprenais qu’ils descendaient le talus. Ils passaient à coté de
moi en m’inspectant et allaient voir mes voisins. Je tournais légèrement la tête pour espionner. Je constatais qu’ils se connaissaient. Après s’être salué, le nouveau couple se mit en tenue
d’Adam et d’Eve. Ils s’installèrent près de leurs amis. Je m’aperçus que mon palpitant jouait de plus en plus la chamade. Je priais pour être enfin en paix. Malheureusement personne n’entendit
mes prières. Un nouvel homme grisonnant s’approchait le long du lac avec un mini slip de bain. Une crampe me pris dans la jambe droite. N’en pouvant plus, je la bougeais et la repliais de peur de
me lever. La douleur s’estompait lentement mais je craignais que le plug se voit plus. Effectivement, ce nouveau visiteur comme le premier s’arrêta à mes pieds. Je maudissais l’idée que j’avais
eu de venir une nouvelle fois au lac. Jamais auparavant, je n’avais été scruté de la sorte. J’étais toujours allongé sur le dos. Je n’avais pas pu bouger ni prendre mon livre. Il resta devant moi
scruter tout ce que je portais plusieurs minutes. Je l’entendis enfin partir mais il revint sur ses pas et resta encore un long moment. Je ne savais pas ce qui l’intéressait de la sorte et je ne
voulais pas le savoir. Il se décida enfin à partir mais n’alla pas loin car, du coin de l’œil, je le vis s’asseoir sur un rocher non loin de moi. Jamais au paravent je ne m’étais senti autant
frustré, humilié et déshonoré. Je maudissais tous les visiteurs du blog et mes Masters de me faire venir sur la plage avec tous ces attributs. J’entendis de nouveaux pas. Un homme s’approchait
encore le long de la plage. Il s’arrêta un instant devant moi pour scruter tout mon corps et alla s’asseoir près du précédent voyeur. Ils discutaient à voix basse. Je ne pouvais pas entendre ce
qui augmenta ma frustration, mon humiliation. Quand de nouveaux pas se firent entendre le long du chemin de fer, mes visiteurs se levèrent et montèrent le talus pour rejoindre ce nouveau
visiteur. Je ne pouvais plus les voir mais des brides de conversation me parvenait. J’entendais, humilié, superbe cage…, belles couilles…, étonnant petit cul…, collier…, vrai pute…, une bonne
salope…. Je me sentais de plus en plus mal et déshonoré. Je voulais me lever et m’enfuir de cette plage. Jamais auparavant je ne m’étais senti autant rabaissé et frustré d’être là ! Je me
maudissais d’avoir eu l’idée de revenir sur cette plage. Jamais je n’avais pensé qu’il y aurait autant de monde à cette période. Après une éternité, ils se décidèrent enfin à s’éloigner. Mon cœur
battait à tout rompre et s’il avait pu, se serait enfuit à pas de course. Encore deux autres personnes vinrent me "rendre visite" et me scrutèrent de la tête aux pieds. Enfin j’étais seul.
J’allais prendre mon livre quand j’eus l’idée de regarder l’heure. Il était déjà 15h58. Trop content, je me levais et je m’habillais rapidement. Je rangeais mes affaires dans le sac en tirant
régulièrement sur le short qui remontait et découvrait la cage. J’abominais cet achat ! Cette visite au lac était la plus humiliante, frustrante et dégradante que je n’avais jamais vécu. Je
prenais mon barda et montais le talus pour longer la voie ferrée. Je devais en permanence tirer sur mon short car je croisais encore quatre hommes en maillots de bain. J’en déduisais qu’ils
s’étaient tous donnés le mot et que j’étais devenu l’attraction de la plage. Je chargeai ma voiture et je démarrais à 16h10. tout le long de la route je repassais en mémoire tous mes visiteurs.
Plus je repensais à eux et plus je maudissais mes Masters, les visiteurs du blog et leurs commentaires et plus je me sentais frustré, humilié et avili. J’arrivais à destination quand je repensais
qu’il fallait que je me change. J’allais me garer au parking derrière le bâtiment. Le plus loin possible. Malheureusement une rue à grande circulation le surplombe et un immeuble de 18 étages. Je
me garais donc à reculons et j’ouvrais le coffre. Je m’assaillais sur le bord pour être à l’abris des regards indiscrets des locataires. Je vérifiais que personne ne marchait sur le trottoir
au-dessus de moi. Seul des personnes attendaient le bus dans un abri un peu plus loin à droite. Je m’empressais à ôter le short et à enfiler le jeans. Je remettais mes baskets. Je fermais le
véhicule et je gagnais mon travail. Je repensais une dernière fois à cette journée humiliante, frustrante et dégradante que je venais de passer et qu’il faudrait publier.
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