Jeudi 29 septembre
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Une consultation très humiliante !
Toutes les quatre semaines je rends visite à mon médecin pour un
suivi médical et le renouvellement de mon traitement. Suite aux commentaires désobligeants et infâmes, mes Masters décidèrent, malheureusement, de suivre les propositions des visiteurs. Ils
commandèrent au slave que je suis, de mettre le string dans la voiture et d’enlever le plug et le collier. Je devais donc partir un peu plus tôt ayant rendez-vous à 08h00 du matin.
Lorsque je me couchais mardi soir, je repensais aux instructions
et surtout au sous-vêtement que je devrai porter le lendemain. J’avais du mal à trouver le sommeil. Quand je m’endormais enfin, je me mettais à faire des cauchemars et je me réveillais en sursaut
avec le cœur qui jouait la chamade. Avec difficulté, je retrouvais le sommeil. Je passais une nuit d’insomnie et, malheureusement, je m’endormais sur le matin. Quand le réveil sonna, j’eus du mal
à l’entendre. Il me semblait que c’était dans mon cauchemar qu’une sonnerie sonnait. C’est seulement lorsqu’il cessa de carillonner que je réalisais ce que c’était et je m’éveillais en faisant un
bond dans le lit. J’avais très mal dormi ! Je maudissais les instructions de mes Masters et les commentaires déplaisants des visiteurs du blog. Je réalisais que je n’étais pas en avance. Je me
levais d’un saut et je me faisais un bon café pour me réveiller. Étant resté endormi un moment, j’avais pris du retard. Je passais rapidement à la salle de bain faire ma toilette et prendre une
bonne douche. Je préparais dans une sacoche mes papiers, du lubrifiant, des feuilles de sopalin, le string et une clé pour ouvrir le collier. Je changeais de plug. Je déposais la ceinture et je
mettais en place celui qui tient seul. Je terminais de m’habiller et j’enfilais une veste où je rangeais le portable. Je montais dans ma voiture glaciale. Il faisait seulement 12,5°C. Je me
garais à l’écart des voitures déjà présente. Malheureusement le véhicule n’avait pas eu le temps de se réchauffer comme le cabinet est à un peu plus de 5 minutes en voiture. J’enlevais mes
baskets pour enlever le jeans. Dans une glacière, je prenais rapidement un premier cliché de la cage. J’enfilais à contre cœur le string choisi et je prenais une nouvelle photo.
Je jetais régulièrement un coup d’œil à l’extérieur pour vérifier
que personne n’approchait. Le froid de la voiture avait fait dégorger mon malheureux pénis dans sa cage. Je roulais le plug dans le sopalin et j’ôtais le collier que je rangeais dans la sacoche.
Mon cœur battait de plus en plus fort. Je me rhabillais rapidement et je bougeais de place ma voiture pour me rapprocher de l’immeuble. J’arrivais en même temps que mon médecin. Je rentrais avec
elle et je saluais le secrétaire le temps qu’elle se prépare. Elle me fit entrer dans son cabinet. Je lui donnais mes papiers et sur son invitation je me déshabillais à contrecœur. Mon pauvre
palpitant jouait la chamade et je me sentais de plus en plus mal à l’aise au fur et à mesure que j’ôtais mes vêtements. La consultation la plus humiliante et dégradante de ma vie allait débuter.
Lorsqu’elle me vit de face et avant d’aller à la pesée, elle me dit avec ironie :
-
- De mieux en mieux ! Tu ne pouvais pas trouver plus transparent ?
Honteux, ne sachant quoi répondre je lui répondais :
-
- Je fais ce que je peux….
Ne pouvant pas lui révéler la vérité. Sur son invitation, je montais sur la balance. C’est à ce moment
là qu’elle réalisait quel sous-vêtement je portais.
-
- Un string en plus ! Ça met tes petites fesses en valeurs ! Tu cherche quoi ?
Humilié, avilis, le cœur battant de plus en plus vite, ne pouvant pas dire la vérité, ne sachant quoi
lui répliquer, je répondais :
-
- Ce n’est qu’un pari stupide avec mon ami(e)
-
- Et la cage aussi ?
-
- Idem, elle ne veut pas que je me masturbe en son absence.
-
- Comment s’appelle-t-elle ? Depuis combien de temps êtes-vous ensemble ?
-
- C’est toujours Marina et ça fait quelques mois, depuis le début d’année que nous sommes
remis ensemble.
Je me sentais de plus en plus mal à lui mentir et m’enfoncer dans ce mensonge. J’avais trouvé ce
prénom car une fois, un collègue avait vu le "M" du collier lorsque mon Maître de l’époque me l’avait offert. Je lui avais dit qu’elle était italienne et que l’on se voyait que les week-ends et
les vacances. À l’époque, je me rendais régulièrement à Turin et à Milan.
-
- Tu t’es remis avec ta petite italienne ? Il faudrait que tu viennes un jour avec elle
depuis le temps. Que tu me la présente !
-
- Je ne sais pas car la semaine, elle n’est pas ici. On se voit que le week-end.
-
- Je serai contente de faire enfin sa connaissance ! Comment se passe cette relation ? Je
croyais que tu n’étais plus avec elle !
-
- Elle est très gentille et compréhensive. C’est vrai qu’un temps nous nous sommes
éloignés mais elle a repris contact avec moi….
-
- J’espère que tu as toujours des relations sexuelles ! C’est essentiel dans une vie de
couple. Je suppose que tu te protège ?
-
- Oui bien sûr ! Je mets des capotes régulièrement, je ne voudrai pas qu’elle ait des
problèmes.
-
- Si elle a besoin de discuter ou a des questions, qu’elle n’hésite pas à venir me
voir.
-
- Je te remercie docteur. J’ai déjà répondu à beaucoup de ces questions depuis le temps.
Elle sait aussi que je fais de la prévention.
-
- Allonges toi sur la table que je t’ausculte. Elle doit être assez excentrique pour te
faire porter ces sous-vêtements….
Pendant qu’elle faisait son travail, je repensais à la discussion. Je ne pouvais pas lui dire la
vérité. Je m’enfonçais dans le mensonge sans savoir si elle y croyait. Je me sentais suffisamment humilié, frustré et déshonoré. J’avais mon palpitant qui battait tellement fort que j’avais
l’impression qu’il allait sortir de ma cage thoracique.
C’est à ce moment là qu’elle continua :
-
- Tu es rasé complètement ! C’est Marina qui t’a demandé de le faire ? Pourquoi… ?
-
- Elle fait beaucoup de vélo et j’essaye de la suivre. Elle m’a conseillé de le faire si
un jour il m’arrivait un accident, ce que je n’espère pas….
Je maudissais une nouvelle fois les commentaires et les instructions qui en ont découlés. Je
continuais à m'enfouir de plus en plus dans le mensonge au fur et à mesure que je ne pouvais pas dire la vérité et je me sentais encore plus humilié et déshonoré. Après quelques nouveaux échanges
humiliants et de nouveaux mensonges comme réponse, elle m’autorisa à m’habiller. Je m’empressais à le faire tellement j’étais mal. Mon pauvre cœur battait toujours aussi fort et rapidement. En
hâte, je me rhabillais le temps qu’elle rédige l’ordonnance. C’est à ce moment là qu’elle leva la tête pour me dire ironiquement :
-
- Tu diras à Marina de te demander de porter un sous-vêtement un peu moins excentrique
pour ta prochaine visite !
Je rangeais les papiers dans la pochette et je la saluais. Lorsqu’elle voulus me raccompagner à la
porte, je lui
demandais si je pouvais me rendre aux toilettes. Je faisais très attention de bien fermer la porte à clef et je me déshabillais une nouvelle fois. Je prenais un
dernier cliché du string que j’avais du porter pour la visite. Je faisais de même avec la cage en place avant de remettre les attributs du slave.
Je prenais dans la sacoche que j’avais apportée avec moi, le plug.
Je le sortais de son papier absorbant. Je le lavais au lavabo et, après l’avoir séché, je le lubrifiais. Je positionnais le portable par terre et je m’accroupissais pour le mettre en place. Je
sentais mon trou s’ouvrir au contact de celui-ci. Je poussais pour que mon anus s’ouvre tout en le repoussant un peu plus. Je sentais ma petite fleur s’ouvrir au fur et à mesure que le plug
rentrait. Je prenais des clichés à chaque étape à la demande de mes Maîtres et des visiteurs. Je trouvais la situation de plus en plus humiliante et dégradante et je maudissais tous ces
commentaires désobligeants. Quand il fut à fond, que ma petite fleur ait bien gobé cet intrus, je le tenais encore un instant le temps que mon trou cesse de pousser, l’accepte et se calme.
Je me relevais et je prenais le collier. Je l’ouvrais
et le positionnais. Quand il était en place je le fermais définitivement et je prenais les derniers clichés avant de me rhabiller une dernière fois !
Je rangeais le string dans la sacoche et je me rhabillais. Quand
je fus prêt je sortais des toilettes et j’allais saluer le secrétaire ! Il me dit alors :
-
- Tu en as mis du temps….
-
- Désolé mais j’avais une grosse commission….
-
- Je craignais que tu sois tombé dans le trou… !
Humilié, je lui répondais :
-
- N’aie craint, j’ai juste pris mon temps. Je te souhaite une bonne journée.
-
- Merci toi de même, à bientôt.
-
- Merci.
Nous nous serrions la main et je m’enfuyais honteux et humilié de ce cabinet médical. Tout en me
rendant à mon véhicule, je maudissais une nouvelle fois les commentaires des visiteurs et mes Masters de les avoir suivis et d’en avoir ajouté. Mon cœur battait toujours la chamade et je me
sentais de plus en plus humilié, frustré et avili.
Bonjour Mrs les MASTERS de la lope,
Afin de prévoir la visite médicale mensuelle de votre sous-merde et sachant que le carton des sous-v^tements vient d' être déposé à la cave , je vous suggère d' imposer à votre soumis en formation de commencer à y penser.
Il serait judicieux que votre bastard nous indique la date de sa prochaine visite à la Doctoresse .
Mr Alain44
Bonjour à Messieurs les Masters du bastard, Mr Alain44 et aux visiteurs,
Je suis de l’avis de Mr Alain44, un rapport plaisant à lire. Sa doctoresse apprécie de plus en plus sa cage et son postérieur…. Le secrétaire se pose des questions, c’est très bien pour votre soumis.
Comme Mr Alain44, je trouve que votre sous-merde est bien mal rasé. Ce manquement mériterait un bon avertissement.
Je renouvelle mon avis que ses chaussettes sont inutiles avec ses baskets. Il aurait pu les enlever aussi aux toilettes. hors mis les visites médicales, il n’a pas besoin d’en porter avec ce type de chaussures.
Master Le Phœnix.
Bonjour Mrs les MASTERS de la larve, Master PHOENIX et à tous les visiteurs.
Voilà ce que l' on peut appeler un soumis obéissant , respecteux des instructions données par ses MASTERS qui passent du temps à s' occuper de lui.
Cette visite à la Doctoresse a été bien plus profitable pour l' éducation de la larve que sa ballade au lac . La Doctoresse semble avoir désormais plaisir à recevoir ce patient . Si le port du short/boxer blanc , laissait qques doutes ce string noir a permis à la Doctoresse de bien visualiser la cage et visiblement elle a aimé voir la larve de dos avec ce fin string noir.
Le passage aux toilettes du cabinet a certainement permis à la larve de prendre de l' assurance pour les prochaines visites à venir. Visiblement le secrétaire du cabinet a commencé à se douter de qquechose au sujet de la sous-merde.
J'ai remarqué que votre sous-merde était mal rasée hier matin
Mr Alain44