Dimanche 20 mars
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20:42
Une vidange électrique.
Samedi matin, Maître Michael me prévenait qu’une vidange sera programmée le
soir avec Master Eric. Lorsque je rentrais chez moi, après avoir fait mes courses, je me connectais. Je rédigeais le rapport que Maître Michael m’avait demandé de faire au supermarché (conféré
rapport précédent).
Je me dépêchais à dîner pour être prêt lorsque mes Masters appelleraient.
Malheureusement, je n’avais pas lu le dernier message de Maître Michael qu’il m’avait envoyé sur skype. Il me disait d’enlever la cage et de mettre le jock-strap.
Master Éric m’appelait et j’appelais Maître Michael en triple appel. Après
avoir pris connaissance du message, j’enlevais rapidement la cage et j’enfilais le jock-strap. J’avais toujours, sous ce dernier, mon trou bouché par le plug à deux boules et la ceinture cuir
pour le tenir. Maître Michael m’intima de donner 10 coups de poings dans les couilles pour lui et 10 autres pour Master Éric. Je m’exécutais et une douleur irradia mes malheureuses testicules.
Sans pouvoir prendre de poppers, je continuais la série du Master. Le supplice grandissait avec les heurts répétés. J’avais enfin terminé et je sentais le feu ravager mes testicules éprouvés. Ils
m’ordonnèrent de poser 10 pinces à linges sur chaque couille. Je prenais en mains, les bourses mal-menées et tout en les pinçant, je posais une à une les pinces, en les comptant, sur une ligne
comme pour faire une couronne. À la demande de Master Eric, je dus faire de même avec ma queue. J’accrochais donc sept nouvelles pinces à mon pénis en érection. Quand j’eus terminé, je dus
remonter le jock en place ! La douleur se propageait dans tout mon bas-ventre comme un éclair zébrant la nuit noire. Un incendie de douleur se répandait dans mon hypogastre. Maître Michael
m’intima de m’allonger et de ramper au sol. La douleur aux couilles ne fit qu’augmenter. Après avoir fait un bon mètre en avant en rampant, je dus faire le retour toujours à plat ventre. La
douleur ne faisait qu’augmenter. J’avais mal aux burnes comme si un train était passé dessus. Les Maîtres demandèrent que je prenne en photo le jock après m’être relevé. J’en prenais une seconde
après avoir enlever le sous-vêtement qui étreignait les pinces et qui augmentait la souffrance.
Maître Michael, commanda que j’enlève la ceinture et que
j’expulse le plug deux boules. Je m’exécutais et je poussais un bon coup pour faire sortir le bouchon qui obstruait mon orifice anal. Il demanda que je prenne le premier gode. Je le saisissais et
après l’avoir légèrement graissé, je m’empalais dessus. Comme il rentra facilement, il commanda de prendre le deuxième. Je faisais de même et l’introduisais dans mon côlon. Pour l’introduire,
comme il buttait contre l’anneau, je fus autorisé à prendre du popper
s. Maître Michael exigea que je m’assoye dessus et que j’allonge les jambes, Je me posais sur le gode et je m’installais par terre. Ils exigèrent de prendre le suivant. Ce fut donc le tour du troisième. Après autorisation, je
sniffais un peu de poppers pour le rentrer. Je m’empalais donc sur ce dernier pieu. Lorsque je fus assis dessus, mon cul se mit à pousser. Je sentais l’anneau monter et descendre sur ce phallus.
Je dus faire un mauvais mouvement car une douleur foudroyante explosa dans mes testicules qui me fit débander. La douleur était tellement intense et insupportable que je dus enlever
précipitamment les pinces. Je m’empalais et je remettais les pinces aux couilles assis sur ce lingam. Les Masters me demandèrent de prendre une photo et de la leur envoyer. Je m’exécutais et
j’envoyais le cliché.
Après l’avoir reçu, les Masters me demandèrent de me relever. Je
tenais le gode pour ne pas qu’il sorte de mon trou. Je n’arrivais pas à rebander tellement la douleur était intense. J’essayais de me masturber, malgré cela, je n’arrivais pas à avoir d’érection.
Je me sentais vraiment humilié et avi
li
de ne plus pouvoir raidir mon membre. Je n’arrivais pas à faire baisser la douleur qui tenaillait et irradiait mon bas ventre. Mes Maîtres m’autorisèrent à ôter enfin les pinces
qui me prodiguait un supplice, un tourment insupportable et qui m’empêchait de bander, ce qui m’affligeait et m’insupportait
! Les Maîtres commandèrent que j’installe sur le lit tout l’électro et que je m’y installe allongé. J’avais toujours
le godemiché en moi. Maître Michael demanda que je mette une électrode sur les couilles et une sur la queue avec une capote par-dessus. J’avais du mal à avoir une érection car la douleur était
toujours présente. J’installais tout de même, comme je pouvais, le matériel. Ils me demandèrent de prendre en photo l’équipement.
Sur leurs prérogatives, je démarrais l’électricité. Je sentis d’un coup, comme
des aiguilles qui pénétraient, dans mes couilles et ma queue. Ils commandèrent que j’augmente l’intensité. Plus l’intensité augmentait et plus je sentais une montée de jus. Doucement mais
sûrement, le sperme prenait le chemin de la sortie. C’était vraiment dégradant et froissant de sentir cette montée involontaire. Cette sensation était horrible, humiliante mais plaisante. Les
Masters m’autorisaient à prendre un peu de poppers pour ralentir le montée et augmenter les sensations. Bien que je n’aie pas une érection normale à cause de la douleur qui continuait dans les
bourses, la semence montait inexorablement. Un premier petit jet arriva dans la capote. Les Masters m’ordonnèrent de continuer l’électro. Je continuais à avoir comme des aiguilles dans les
testicules et la verge. Je sentis une seconde et plus grosse montée de sperme qui explosa dans le récipient. Lorsque je me fut bien vidé involontairement, ce qui était frustrant et régressant,
ils me demandèrent de mesurer dans la seringue, le volume de jus. Elle fut remplie et il y a resta dans la capote. Je prenais une photographie que j’avoyais aux Maîtres. Ils imposèrent que je
vide la capote dans la crème dessert ainsi que la seringue et de leur envoyer le résultat. Je prenais un nouveau cliché que je leur faisais parvenir.
Je saluais les Masters et je dégustais cette crème dessert parfumé spécialement.
J’allais prendre une douche bienfaitrice. Je nettoyais le matériel. Suivant les instructions que j’avais eus en fin de séance, je remettais mon pénis en prison dans sa cage en acier à 21h20 et
j’introduisais le plug urétral. Je bouchais aussi, avec un plug, mon trou pour ne pas qu’il se referme.
Merci à mes Master, Master Éric et Maître Michael d’avoir permis cette vidange
hygiénique et bienfaitrice.
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