Jeudi 7 juillet
4
07
/07
/Juil
13:25
Une visite
humiliante.
Suivant les instructions de Maître Michael, je partais en avance
chez le médecin. Sur le parking de la zone commerciale, j’enlevais tous les attributs du slave sauf la cage car la clé est au congélateur dans un bloc de glace. Régulièrement, je jetais un coup
d’œil à l’extérieur. Je craignais qu’une personne ne me voie nu dans la voiture. Je maudissais les instructions du Master ! J’avais le cœur qui jouait la chamade. J’avais honte et me sentais
humilié, nu dans mon véhicule. Le Maître sait que je ne suis pas exhibe mais n’en tient pas compte ce qui accroît mon humiliation et ma honte. Je me pressais à prendre une première photo avant
d’enfiler le boxer par-dessus. Je saisissais un nouveau cliché avec le sous-vêtement. La cage se devinait dans le boxer. Heureusement pour le slave, le Master n’a pas changé de sous-vêtement.
C’est suffisamment humiliant, dégradant et avilissant de devoir garder la cage pour une visite médicale régulière. Je me rendais au cabinet en craignant le pire.
Étant le premier, j’arrivais et je rentrais de suite dans le
bureau du médecin. Je me déshabillais honteux et mal à l’aise. Après avoir fait les mesures, je m’allongeais sur la table d’auscultation. Le médecin faisait son travail mais j’avais l’impression
que son regard s’attardait sur la boxer. Elle ne dit rien mais fit un grand sourire…, qu’elle gardait assez longtemps. Plus-tard, elle me dit ironiquement que je devais bien m’amuser. Je me
sentais vraiment mal à l’aise, honteux et humilié ! Je ne savais quoi répondre. Mon cœur battait à tout rompre. Je me suis mis à rougir de honte ce qui l’amusa encore plus. Je maudissais Maître
Michael et ses instructions humiliantes, dégradantes et avilissantes. Elle me donna la permission de me rhabiller. Je m’empressais à le faire et j’enfilais rapidement mon panta-court. Je prenais
mon ordonnance et je la saluais sans demander mon reste. Je n’avais qu’une hâte, m’enfuir de ce cabinet, honteux et humilié. Je regagnais mon véhicule et je me rendais aux toilettes publiques
d’une galerie marchande. J’ôtais mon bermuda et le boxer après avoir pris un cliché. Debout et allongé sur la table d’auscultation, non seulement la cage se devinait mais le cadenas aussi !
Je haïssais encore plus les directives du Master ! Je n’ai jamais eu aussi honte et été aussi humilié lors d’une consultation médicale. Je remettais en place le collier du slave avec sa médaille
et le ballestrecher. Une nouvelle photo avec les entraves du slave.
Je me rhabillais une dernière fois, honteux, humilié dans des
toilettes publiques. Je n’arrêtais pas de maudire les directives du master, Maître Michael car il sait que je ne suis pas exhibitionniste. Heureusement, j’avais toujours le boxer. J’espérais que
cela durerait encore longtemps mais sans la cage ! Cette visite médicale à été pour le slave, très humiliante, dégradante et avilissante. Heureusement, les Masters savent ce qu’ils font. Le slave
n’a pas son mot à dire, il ne peut qu’obéir et exécuter les instructions des Maîtres car ils savent ce qui est bon ou non et ce qu’il faut pour le slave que je suis. Je n’ai qu’à m’habituer le
plus rapidement possible à ces instructions humiliantes, dégradantes et avilissantes. Car je crains que les ordres d’exhibitions n’aillent pas cesser de suite.
Merci à mes Masters, Maître Michael et Master Éric.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
-
Publié dans : Chez le Médecin
0
Derniers Commentaires