Mercredi 13 juillet
3
13
/07
/Juil
12:41
Élongation des couilles
!
Ayant dû m’absenter ce week-end, Maître Michael
donnait rendez-vous à midi au slave. Le temps que le portable démarre, je préparais le matos demandé. Je me déshabillais et je me connectais. Mes craintes furent fondées. Je craignais que le
Maître fasse la séance en cam. Le slave n’aime pas vraiment être ainsi exhibé. Il pouvait prendre les photos qu’il voulait, ce 
qui est encore plus humiliant et avilissant ! Le slave avait ses attributs habituels : Le collier et sa médaille, un bâillon cuir pour ne
pas entendre le slave, la cage emprisonnant son pénis, le ballestrecher étirant ses testicules, un plug bouchant son trou avec la ceinture pour bien le maintenir en place, des menottes aux
chevilles reliés à une barre de métal pour tenir les jambes écartées et de monter sur des dicos pour que le sceau ne touche pas le sol. Le Master demandait d’ôter le balle, de mesurer la hauteur
de ses couilles (8cm) et de mettre en place le parachute avec deux poids de 1 kilo. La séance débutait !
Les couilles du slave commençaient à s’étirer.
Maître Michael commanda d’attacher le
sceau au parachute et de vider une première bouteille de 2 litres d’eau. Le sceau se remplissait et le poids étirait
un peu plus les couilles. Il autorisa le slave à prendre du poppers. Après avoir sniffé plusieurs fois, la deuxième bouteille se vidait dans le sceau puis la troisième. Les burnes du slave
étaient étirées un maximum. Le master autorisait le slave à se gazer et il prenait un autre cliché.
Le Maître commandait alors de soulever le sceau. Après avoir pris
un nouveau cliché ordonna de tout lâcher. Une douleur fulgurante irradiait les testicules du slave. Il prit le poppers et en sniffa de bonnes rasades. Le master exigea de renouveler l’opération
une seconde fois. Un nouveau heurt et la douleur se propageait dans tout le bas ventre du slave. Il prenait de grandes rasades de poppers.
Après avoir fait balancer le sceau un moment le master autorisa le slave à le détacher du parachute. Il commanda de balancer les poids après s’être poppérisé. Pour terminer, il mesura la longueur
des couilles du slave. Elles étaient descendues à 18 cm… !!!
Le Master commanda alors au slave de se mettre à
genoux devant la Cam, les mains sur la tête. Il en profitait pour prendre un nouveau cliché. 
Je trouvais cela très humiliant et dégradant car je savais que je devrai la publier ! Être suivi en Cam est
déjà humiliant mais lorsque le maître prend autant de prise qu’il veut et qui doivent être publier ensuite est encore plus humiliant, frustrant et avilissant. Je maudissais le master bien que je
sache que c’est pour le bien du slave qu’il faisait ainsi.
Maître Michael autorisa le slave à se relever et à ôter le
parachute et les menottes aux chevilles. Il commanda de remettre en place le gros ballestrecher et à se rhabiller.
Je me rhabillais et je me préparais à retourner au bureau.
Merci Master Michael pour cette séance et à Maître Dédé pour
l'avoir proposée.
Derniers Commentaires