Vendredi 29 juillet
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18:55
Une consultation hyper humiliante !
Suivant les instructions de Maître Michael, je me
rendais chez le médecin avec le jock-strap blanc. Je n’avais pu enlever la cage car la clé est dans un bloc de glace au congélateur. Lorsque j’ai mis le sous-vêtement, il appuyait sur la cage et
la remontait ce qui fit entrer les picots dans le gland et provoqua une érection ! Plus ils rentraient et plus je bandais ! Je maudissais les instructions de Maître Michael et je craignais la
suite car lorsque je bande ainsi je mouille et je craignais de tacher le jock. Dans la voiture avant de sortir j’enlevais le collier, le plug et la ceinture. J’avais déjà le cœur qui jouait la
chamade ! Je me sentais très mal à l’aise avec ce jock car il ne cachait pas vraiment la cage et encore moins les testicules ! Je craignais la réaction de mon médecin et de ses commentaires.
J’arrivais à son cabinet et après un temps d’attente, elle me faisait entrer dans son cabinet. Comme à l’accoutumé, elle m’invitait à me mettre en petite tenue. Je me sentais très mal et elle a
du s’en apercevoir car elle demanda ce qui n’allait pas. Je répondais un peu de fatigue. Je me déshabillais. J’avais le cœur qui battait la chamade. Je me retrouvais seulement avec le jock-strap.
Je lui tournais le dos rapidement car le jock avais bougé et j’essayais honteux de cacher la cage. Je me retrouvais enfin debout devant elle quasiment nu. J’avais les deux mains devant pour
essayer de masquer le peu de sous-vêtement que je portais. Une nouvelle fois je maudissais les instructions de Maître Michael. En allant à la pesée elle dit avec ironie : "Tu as de belles petites
fesses ! Elles sont bien mises en évidence avec ce nouveau sous-vêtement. Comment s’appelle-t-il ?"
Honteux, je lui
répondais. Je devais être tout rouge car mon cœur battait à tout rompre et je me sentais humilié, avili, et très mal à l’aise. Je maudissais encore plus les directives du Master. Elle s’en rendit
compte et continua en disant que je devais bien m’amuser pour venir ainsi en consultation. Je ne savais quoi répondre et mon désarroi ne faisait qu’accroître. Je m’allongeais sur la table
d’auscultation. Le jock-strap faisait tenir la cage bien droite et se devinait très bien. Encore une fois, le médecin
demandait ce que sont ces anneaux et ce que je portais. Je répondais humilié et honteux que se sont des cockrings et une cage de chasteté que mon amie m’avait demandée de porter. Après quelles
que plaisanteries douteuses, elle me conseilla de me rhabiller. Elle rédigeait mon ordonnance. En me saluant, elle me demandait dans quelle tenue je viendrais la prochaine fois. Je ne pouvais pas
lui répondre. Humilié et honteux d’avoir été ainsi exhibé, je partais sans demander mon reste. Je remontais dans ma voiture à la recherche d’un coin tranquille pour continuer les commandements du
Maître. Je trouvais un coin de forêt. Je préparais l’appareil photo et je me déshabillais une nouvelle fois. Je regardais de tout coté
pour vérifier que personne ne venait. Je me sentais honteux et encore humilié de devoir
ainsi m’exhiber et de devoir publier touts les clichés que mon Maître m’avait commandés. Je me retrouvais avec
seulement le jock-strap et les baskets aux pieds.
Je reprenais des clichés de coté et de dos toujours suivant les
commandements du Master. Je craignais de voir apparaître quelqu’un. Je maudissais ses instructions n’aimant pas être exhibé et publier ces nouvelles photos.
Je posais le collier et sa médaille au coup. Mon cœur battait à tout rompre. Le Maître avait insisté que je prenne
une photo à chaque étape et sans couper la tête. Je maudissais cette dernière instruction et de devoir m’exhiber en entier nu. Je portais toujours le jock-strap. Puis, je l’ôtais et reprenais un
cliché juste avec la cage.
Je prenais le plug à deux boules et le graissais légèrement. Je m’accroupissais pour l’offrir à mon petit trou. Doucement
mais sûrement la première boule ouvrait la petite fleur qui la goba. Puis ce fut au tour de la seconde boule et le plug était en place.
Je mettais la ceinture pour le bloquer pour qu’il ne bouge plus de
son orifice. Je reprenais une photo recto verso suivant les maudites instructions du Maître. Je me sentais de plus en plus humilié de devoir ainsi m’exhibé.
Pour terminer la séance d’exhibition en forêt et pour suivre les commandements du Master, je me mettais à genoux, les mains sur la tête
et je prenais le dernier cliché. À l’intérieur de moi, je maudissais toutes ces nouvelles directives. J’avais le cœur qui jouait la chamade.
Je me rhabillais rapidement et je retournais à mon véhicule. Je
rentrais chez moi pour rédiger le rapport du Maître.
La larve est elle en vacances sans possibilité de répondre ?
Mr Alain44
Très judicieuse instruction donnée par les Maîtres ( exhibition en lieu privé protégé par le secret médical)
Je rejoins l' avis précédent relatiif à la pilosité de cette larve
Mr Alain44
Très belles photos ! Félicitation à ses Masters pour leurs directives.
Pour les prochains commandements, encore plus de clichés sous toutes les faces du slave et toutes les positions de salope serait un top pour ce bâtard !
Il faudrait peut être qu’il soit en permanence rasé de près ! Crane, torse, pubis, jambes, aisselles, bras…. Il peut garder son petit bouc cela le rend plus sexy. Un bâtard n’a pas à avoir de signes virils. C’est réservé aux êtres supérieurs.
Mais dommage que tous les albums ne soient pas en publication libre sous leur rubrique. Cela pourrait peut-être faire partie d’une prochaine punition qui satisferait beaucoup de visiteurs.