Samedi 25 juin
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17:48
Chez le médecin
Mon médecin étant malade, c’est un remplaçant qui m’a reçu. La
visite fut très rapide ! Je rentrais dans son bureau et m’asseyais. Après s’être présenté et posé quelles que questions, il rédigeait le renouvellement d’ordonnance. J’étais heureux car,
contrairement à mon médecin, il ne m’auscultait pas et donc, je n’avais pas à me déshabiller. Je repartais et j’allais sur le parking de la galerie marchande. Je trouvais une place isolée pour me
changer. Malheureusement il était en plein soleil et la voiture était une fournaise. Je préparais sur la banquette arrière tout le matériel : Cockring, ballestrecher, cage, plug, ceinture
"bloc-plug" et collier.
Je baissais mon pantalon et prenais en photo mon boxer tout en
faisant attention que personne ne m’aperçoive. J’avais le cœur qui jouait la chamade et je maudissais les instructions de Maître Michael !!!
J’enlevais le boxer blanc en espérant pouvoir le garder et
l’utiliser encore longtemps. Une envie grandissante me prenait de me masturber pour me vider avant de remettre mon pauvre pubis en cage. Je me forçais à ne pas me toucher pour ne pas provoquer
une érection et surtout, je craignais qu’une personne ne m’aperçoive. Je jetais un œil sur le parking régulièrement de peur qu'une personne ne me voie. Je me dépêchais à prendre en photo mon
pubis et mes testicules libre encore un instant.
Je posais le cockring et je mettais mon malheureux pubis en cage.
Je me couchais sur la banquette car un couple s’approchait. Je suais à grosses gouttes. Heureusement ils s’arrêtaient à leur voiture et me tournaient le dos pour charger leurs courses. Je
m’empressais à fermer la cage et prendre une photo suivant les instructions de Maître Michael.
Je prenais le ballestrecher. Tout en étirant mes pauvres
testicules en sueurs, je le posais et le fermais avec sa clef. Mon cœur battait à tout rompre. J’avais l’impression qu’il allait sortir de ma poitrine. Je haïssais encore un peu plus le Master et
ses instructions ! De plus, j’étais en nage avec le véhicule en plein soleil….
Je prenais ensuite le plug et le graissais légèrement. Je glissais un peu de la banquette et relevais les jambes pour
introduire le plug dans le malheureux trou du slave. Je sentais ma petite fleur s’ouvrir et gober la première boule. Je continuais à pousser. La deuxième boule pénétrait progressivement. Je le
tenais un instant pour que mon trou ne l’expulse pas de suite. Je m’empressais à mettre en place la ceinture pour le bloquer. Je prenais une nouvelle photo.
En sueur, du coin de l’œil, je surveillais une femme qui
s’approchait avec son caddie. Je m’empressais à remettre mon pantalon comme je pouvais et je m’allongeais sur la banquette comme si je faisais une petite sieste tout en essayant de dissimuler le
boxer et le matos qui restait sur le siège arrière. Je me cachais de cette personne qui avait sa voiture deux places plus loin. Je relevais doucement la tête pour espionner et vérifier qu’elle ne
s’approche pas plus. Lorsqu’elle eut finit de charger sa voiture, elle allait ranger son chariot et montait dans son véhicule. Lorsqu’elle fut enfin partie et après avoir maudit le Master et haïr
ses instructions, je me relevais et m’assaillais sur le siège. J’avais le cœur qui battait à tout rompre. J’ai vraiment eu très peur qu’elle ne m’aperçoive à moitié nu. Je m’empressais à fermer
correctement mon pantalon. Je prenais enfin le collier et le posais autour du coup du malheureux slave. Je le prenais en photo avec la médaille avant de la cacher dans le polo et de fermer un
bouton pour le dissimuler.
J’avais le cœur qui jouait toujours la chamade. J’avais eu très
peur que l’on me voie. Ces nouvelles instructions ont été très humiliantes, dégradantes et avilissantes. Je maudissais un peu plus Maître Michael et ses directives bien que ce soit pour le bien
du slave. Celui-ci n’est pas exhibitionniste et pas l’habitude aux humiliations. J’ai vraiment eu très peur et je me suis senti très mal à l’aise…. Heureusement que le maître m’a autorisé à
garder le boxer pour la consultation bien que je ne me sois pas déshabillé pour une fois. Je crains malheureusement que ce ne soit pas toujours le cas. Je le rangeais dans le sac où j’avais
emmené le matos et je retournais au bureau.
Merci Maître Michael et Master Éric, mes Masters.
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