Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Samedi 3 septembre 6 03 /09 /Sep 12:46

À la plage :

        J’avais pris deux jours de congés pour profiter des derniers jours ensoleillés. Mes Masters m’avaient malheureusement donné des instructions pour cette journée. Je me préparais donc pour partir de bonne heure comme j’avais un peu de route à faire. Je faisais un sac à dos avec serviettes et une bouteille d’eau comme il faisait grand beau. Je mettais en place le plug qui tient seul, j’enfilais le boxer de bain et un polo à manche courte. Toujours suivant les instructions, je prenais les premiers clichés de ma tenue. Pendant que je les faisais, je priais pour ne pas rencontrer de voisin jusqu’à la voiture et, comme nous sommes début septembre, qu’il y ait moins de monde qu’au mois d’août !

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        Avant de partir, j’enfilais un gilet sans manche où je mettais mes papiers et le portable pour prendre les clichés demandés par les Maîtres. Avant de sortir, je jetais un œil au judas pour vérifier que personne n’était dans le couloir. Je sortais et appelais l’ascenseur tout en écoutant que personne ne sorte de chez lui. Je montais dedans et j’appuyais sur le rez-de-chaussée. Lorsque les portes s’ouvrirent, j’aperçus le local de la femme de ménage ouverte. Mes plus grandes craintes se réalisaient !!! Mon cœur se mit à battre de plus en plus fort ! Je sentais le sang affluer au visage et je me sentais de plus en plus mal à l’aise. Elle avait  du  entendre  les portes  car  dès  qu’elle  m’aperçut,  elle  me saluait  et  me  disait :

  • - Vous sortez Monsieur ?

          Je lui répondais :

  • - Oui Madame, je vais au lac. 
  • - Vous êtes déjà en maillot de bain ?

          Honteux, humilié, sur le coup je ne savais quoi lui répondre. Enfin je lui disais :

  • - Effectivement Madame, comme cela je serai en tenu dès mon arrivé….

        Je me gardais de lui dire que, suivant les commandements, je devrai me mettre nu comme j’avais eu comme instruction, d’aller à la plage naturiste (naturiste officieusement). Après s’être souhaité une bonne journée, je m’empressais de gagner ma voiture. Je maudissais les instructions des Masters et d’avoir, surtout, croisé cette personne car, étant un peu commère, tout le quartier risquerait de connaître ma tenue dans quelques jours ! Je me sentais de plus en plus humilié, déshonoré et avili en pensant à cette conséquence ! Je posais le sac dans le coffre et je m’empressais à monter dans mon véhicule. Heureusement pour le slave, je ne croisais pas d’autre personne. Je me rendais donc à cette plage. Il me fallait plus de 45 minutes pour m’y rendre. Après avoir garé la voiture, sorti le sac du coffre et un transat pliant, je prenais de nouvelles photos.

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        Je prenais tout mon barda et je me rendais à la plage. Je traversais le voie ferrée et je remontais le chemin qui longe la plage. Tout le long, j’apercevais des personnes déjà en place. Je ne pensais pas qu’il y ait autant de monde à cette époque et craignais le pire pour cette journée. J’espérais que mon petit coin discret serait libre. Arrivé en bout de plage, je voyais un homme dans l’eau en face de mon petit endroit. J’en déduisais qu’il y avait déjà une personne et je posais mes affaires où j’étais arrivé. Cette plage discrète est parallèle à la voie de chemin de fer et séparée par une rangée d’arbuste et de petits arbres qui forment de petites alcôves de 15 à 30 mètres de long. Où je m’étais rendu, elle faisait une quinzaine de mètres sur deux à trois mètres de large. Je posais le sac à dos et j’ouvrais le transat car la plage est de galets et de graviers. J’installais une serviette dessus et avant de me déshabiller, je prenais de nouveaux clichés. J’enlevais le gilet et le polo et je reprenais des photos.

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        J’enlevais le boxer de bain et je remerciais mes Maîtres de ne pas avoir fait enlever la doublure noire du boxer car je m’apercevais qu’il n’était pas opaque et qu’ils n’aient pas imposé de photos dans cette tenue. Je voulais me baigner mais il y avait déjà des personnes dans l’eau. Avec le plug dans mon petit trou, le collier, la médaille de slave et surtout la cage j’hésitais à y aller et me disais qu’il valait mieux attendre qu’il y ait moins de monde dans l’eau. Je prenais mes lunettes de soleil et je m’allongeais sur le transat en priant qu’il y ait le moins de monde possible ce vendredi. Malheureusement, peu de temps après cette réflexion, un couple s’installait sur l’alcôve d’à cotée après m’avoir salué. Je leur répondais en maudissant les directives des Masters de devoir garder la cage et un plug. Heureusement, quelques arbres nous séparaient légèrement et je souhaitais qu’ils n’aient pas vu les attributs du slave. Je prenais mon livre et je commençais à lire. Au bout d’un moment, un bruit de pas dans les galets au bord de l’eau, me fit tendre l’oreille. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite. Sans relever la tête, je guettais l’arrivée de cette personne. Il me saluait, c’était un homme avec un min slip de bain. Je lui répondais, honteux, en espérant sans convictions, qu’il n’ait pas vu toutes les marques du slave, surtout la cage et le plug. Mon palpitant battait de plus en plus fort et je me sentais de plus en plus mal à l’aise. Il continuait son chemin jusqu’au petit coin suivant où il discutait avec la personne présente. Ils devaient se connaître. À partir de 13h00, de nouveaux couples se présentaient et, voyant ma présence, faisaient demi-tour. Heureusement pour moi, précédemment des personnes avaient fait un barbecue en faisant un foyer avec des pierres. Ils avaient aussi apporté deux troncs d’arbres pour s’asseoir, ce qui occupaient le petit bout de plage où j’étais en plus des deux ou trois rochers présents. Je m’allongeais sur le ventre pour cacher la cage mais je craignais que la base du plug se voie ! J’entendais la personne qui discutait, revenir sur ses pas. Elle s’éloignait enfin. Je faisais semblant de dormir tout en jetant un coup d’œil discrètement lorsque j’entendais un bruit de pas. Un nouvel homme s’approchait. Il me dépassait et, quelques mètres plus loin, faisait demi-tour. Je sentais ses yeux caresser mon corps, surtout le plug et la cage. Une fois de plus je maudissais les ordres de mes Maîtres, l’humiliation et la frustration que je ressentais d’être dans cette tenue. Mon cœur battait la chamade. Je voulais m’enfuire ! Malheureusement pour le bâtard, il y avait de plus en plus de monde. Si je me levais pour m’habiller, les voisins verraient les attributs. Je me sentais encore plus mal à l’aise. Dans le désagrément, plusieurs fois dans l’après midi, j’en profitais pour boire un peu d’eau. Un couple s’installait avec celui qui était près de moi. Ce devait être des amis car, après s’être fait la bise, ils se mettaient aussi nues et discutaient avec mes voisins. Plusieurs hommes passaient devant moi en scrutant mes contraintes. Je trouvais que les minutes s’égrainaient vraiment trop doucement. Une femme arriva, me saluait et elle me demandait s’il elle pouvait s’installer à coté de moi. Je la saluais à mon tour et ne pouvant refuser, je l’autorisais à s’installer ainsi j’étais certain que personne d’autre ne viendrait trop près de moi ! Après s’être mise nue, elle allait se baigner. J’en profitais pour me mettre sur le dos en essayant de cacher la cage en repliant une jambe dessus. De nouveaux hommes venaient mater le slave et ses contraintes. Mon pauvre cœur s’emballait à chaque visite. Je devais être tout rouge car je sentais le sang affluer au visage. Lorsque ma voisine revint s'étendre sur sa serviette, les curieux se firent moins présents ou plus discrets. J’avais hâte de fuir cette maudite plage. Il y avait encore trop de monde près de moi dans l’eau pour que je puisse me lever en toute discrétion. J’avais le cœur qui battait de plus en plus la chamade. Lorsque mes voisins et ma voisine allaient se baigner. Rapidement je vérifiais que personne ne pouvait me voir et j’en profitais pour vite enfiler le boxer. Mon cœur battait à tout rompre. Je pliais les serviettes et les rangeais dans le sac avec mon livre. Je repliais le transat quand ma voisine sortait du lac. Après s’être salué et souhaité une bonne soirée, je prenais mon équipement. Je regagnais ma voiture après avoir traversé la voie ferrée. Il était déjà 19h00 ! Je maudissais mes Masters pour m’avoir obligé d’allé à la plage naturiste avec la cage et le plug. Le collier et sa médaille sont déjà humiliant mais les autres attributs sont encore plus dégradants, déshonorants et avilissants ! Le temps que je regagne mon appartement et que je défasse mon sac à dos, il était 20h00. Je n’avais pas imaginé qu’il pouvait y avoir autant de monde un début septembre et encore moins rester aussi longtemps au lac. Bien humilié, frustré, déshonoré et avili, je préparais mon dîner.


        Malgré toutes les humiliations, frustrations et avilissement que le slave a pu ressentir, merci à mes Masters.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Consignes des Maîtres - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
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Commentaires

Bonjour Mrs les MASTERS,

 votre slave a donc pris conscience que le collier et la médaille ont pu être observés par la femme de ménage, que votre slave a désobéi en gardant son maillot de bain.

Mr Alain44

commentaire n° :1 posté par : Mr Alain44 le: 08/09/2016 à 11h50

Bonjour les Masters de la sous-merde,
Comme Mr Alain, félicitation pour cette idée de balade. J’ajouterai à ses commentaires :

  • Il est dommage que votre bastard n’ait pas mis de photos de lui nu sur son transat !
  • Il serait bon aussi qu’il supprime la doublure de son boxer de bain. S’il n’a pas le droit aux sous-vêtements sauf exception, il n’a pas non plus besoin de doublure dans son boxer !

Master le Phénix.

commentaire n° :2 posté par : Master Phénix le: 05/09/2016 à 10h41

Bonjour Master Phénix,
La prochaine fois, il y aura une photo du slave sur son transat.

Pour la doublure, je la supprimerai si mes Maîtres me le demandent Master Phénix.
Le slave.

réponse de : Bâstard a KC slave n°411-103-335 le: 08/09/2016 à 08h43

Bonjour les Masters du bastard !

  Bravo pour cette idée de ballade au lac qui est une progession par rapport à la promenade seul en forêt en jock-strap.

  Bravo au batard qui sait désormais remercier ses Masters , en fin de rapport.

  Question 1- : Combien de boutons fermés sur le polo jaune en se trouvant face à la femme de ménage ? Quest. 2- : Par quel moyen et à quel moment le batard a t il prouvé à ses Masters que il portait bien son plug et la ceinture bloc-plug ? Quest. 3- : Le batard était il allongé sur le ventre en présence de cette femme seule ?

Mr Alain44

commentaire n° :3 posté par : Mr Alain44 le: 04/09/2016 à 14h06

Bonjour Mr Alain44
Je réponds à vos questions maître.
Question 1 - : Malheureusement je n’en avais fermé qu’un seul bouton comme sur les photos. J’espérais ne rencontrer personne et j’ai oublié d’en fermé plus après avoir pris les photos chez moi.
Question 2 - : Mes maîtres m’avaient demandé de porter le plug qui tient seul. Je n’avais donc pas besoin de la ceinture. Ils me font confiance et savent que je le fais mais pour une prochaine fois, je prendrai en photo comme preuve Monsieur.
Question 3 - : Lorsque la femme est arrivée, je lisais un livre et j’étais sur le coté appuyé sur un coude. J’ai replié une jambe pour essayer de cacher au mieux la cage. Mais je crains qu’elle l’ai tout de même vue.

réponse de : Bâstard a KC slave n°411-103-335 le: 08/09/2016 à 08h10

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