Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335

Corvée du mardi 30 octobre 2018 :

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         Une nouvelle fois, j'étais descendu dans les entrailles des enfers. La nuit devient un sacerdoce barbare et impitoyable de cruautés. Pas un instant de répit ! Les geôliers étaient inflexibles et cruels. Mon malheureux gland était embroché en permanence et continuellement torturé. Cette douleur intolérable provoquait un gonflement instantané de ma nouille entravée dans un carcan ignoble. Cette maltraitance infligeait une érection brimée et avortée. Lorsque j'arrivais enfin à trouver le sommeil, les tortionnaires en profitaient pour reprendre de plus belle les supplices. Les minutes s'égrainaient au compte-gouttes. J'attendais, exténué, pointer les premières lueurs du jour. Lorsque le réveil sonna, j'étais endormi profondément. Je sursautais dans le lit et je maudissais ce satané appareil. Juste au moment où je trouvais un repos réparateur après une nuit d'insomnie ! Il fallait que je me lève, car j'avais plusieurs rendez-vous dans la matinée. Une nouvelle fois, je haïssais cette maudite prison qui ne cessait de supplicier ma malheureuse nouille. Comme chaque matin, je me levais 139 - Corvée. - D - -.-crevé par une nuit blanche de tourment, l'esprit embrumé. Machinalement, je me faisais un double expresso pour dissiper, le plus rapidement possible, la brouillasse qui assombrissait mon cerveau. Je me connectais pour saluer mes Masters. Je les informais de mes prochaines têtes à têtes programmées pour la matinée. Maître Michael ordonnait, comme je n'avais pas à me déshabiller, donc, pas besoin de sous-vêtements, de conserver les attributs de la sous-140 - Corvée. - D - -.-merde, la méprisable cage, le collier et sa médaille. Il ajoutait, pour plus d'humiliation, de réaliser de suite, tous les graffitis journaliers et de les porter toute la journée. Je faisais ma toilette, puis, j'attrapais le marqueur bleu. Comme d'accoutumer, assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais la date du jour sur la cuisse gauche et le numéro d'enregistrement de la sous-merde, sur la droite. Debout sur le mini-tapis, devant le miroir, je notais l'appartenance 141 - Corvée. - D - -.-de la sous-merde sur le torse et la date de la pose de la cage de chasteté sur le pubis. J'en profitais pour réaliser immédiatement la série de photographies quotidienne. Je débutais par une prise de pieds sur le nouveau paillasson de bain. Je poursuivais, dans les toilettes, un cliché de la date et un autre du numéro d'enregistrement sur chacune des cuisses. Je poursuivais par la paire de chaussettes, que je porterai toute la journée, dans ma gueule. Pour suivre, j'immortalisais l'appartenance de la sous-merde à ses Masters sur le torse, puis la date de mise sous chasteté sur le pubis. Pour terminer cette série, avant de vidanger ma vessie, je prenais une photo de pieds avec mes chaussettes dans ma trombine. Comme le couvercle et la lunette des toilettes sont en permanence relevés quand je suis seul chez moi, je posais mon postérieur sur le réceptacle hygiénique. Lorsque mon cul rencontrait la faïenceglacée, un frisson parcourait mon corps de la tête aux pieds. J'ouvrais les vannes et je vidangeais ma vessie. Suivant les commandements, j'immortalisais cet exercice, 142 - Corvée. - D - -.-dégradant et frustrant de publier cet agissement. Terminé, je secouais le mitard et son pensionnaire pour évacuer l'urine qui pouvait résider. Avec du papier-toilette, je les séchais. Je retournais en cuisine pour faire un nouveau café. Je préparais mes différents traitements. Depuis lundi, la veille, le médecin de l'hôpital, en avait ordonnancé un nouveau remède en prévision de l'hospitalisation. Lors de mes derniers examens, la coloscopie n'avait pas pu être 143 - Corvée. - D - -.-réalisée, car les intestins n'étaient pas nickel. Le goût était exécrable. Je le mélangeais avec un autre légèrement aromatisé. J'avalais les comprimés avec ce breuvage imbuvable. Je l'absorbais, à la suite, mon café allait faire passer la mauvaise saveur de cette décoction médicamenteuse. Je m'habillais pour me rendre à mon premier entretient avec l’anesthésiste de l'hôpital. Je commençais par mes chaussettes. Je continuais par un maillot de corps et mon 144 - Corvée. - D - -.-pantalon. Je terminais en enfilant un pull à col roulé en laine et mon gilet sans manches. Je préparais les différents documents que je devais lui transmettre. Pendant tout ce temps, les tortionnaires ne cessaient d'empaler mon gland. Cette torture provoquait une érection de ma nouille avortée par le carcan qui l'enchâssait. Ce cercle vicieux ne prenait jamais fin, jamais de répit ! Parfois, étant seul, je laissais échapper un gémissement ou un râle de souffrance. J'attrapais ma veste, je verrouillais mon appartement et je partais pour une nouvelle journée en enfer. Les problèmes commençaient dès la voiture. En prenant place dans le siège conducteur, le mitard se retrouvait coincé entre la cuisse et le tissu du pantalon. Pour plus d'aise, j'avais remonté légèrement les jeans, ce qui permit aux geôliers d'empaler un peu plus mon pauvre gland souffrant mille supplices. Ma nouille en érection permanente, avortée et encastrée dans le carcan, était aussi dans une 145 - Corvée. - D - -.-mauvaise galère. La journée se déroulait ainsi, tout en tentant, à tout moment, de retenir ou de masquer le moins mal possible les gémissements de douleur qui montaient en moi.

 

        Je remercie tout de même mes Masters pour les différentes étapes de soumissions qu'ils imposent à la sous-merde que je suis.

Jeu 1 nov 2018 1 commentaire

Bonjour Master ERIC et Maître Mickael ,

   Très bonne idée de la part de votre sous-merde que de prendre son laxatif avant de sortir !

 Mr Alain44

mralain44aster - le 27/11/2018 à 20h40