Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335

Corvée du vendredi 05 octobre 2018 :

28 - Corvée. - D - -.-

         Une nouvelle fois, la nuit était mouvementée. Non pas par des cauchemars, mais par les geôliers qui, toute la nuit, s'étaient acharnés à brimer et malmener mon malheureux gland. Plus il était martyrisé et plus son excitation augmentait et faisait gonfler mon pénis ! Je fus réveillé, des dizaines de fois, en sursaut ! De nouveau, une trique continue avait jalonné mon sommeil. D'habitude bienfaitrice, elle devenait un enfer assorti de ses tortures. Une bonne masturbation ne pourrait qu’apaiser mon pénis en manque réel de tendresse, de douceur et d'affection. Malheureusement, mis en prison, mon pénis était inaccessible et seuls ses matons profitaient de leur pouvoir pour opprimer le captif de ce cachot. Je maudissais, à de multiples reprises, cette prison de chasteté qui me privait de tout plaisir charnel depuis plus d'un an ! Enfin, l'aube se faisait entrevoir et je me levais 29 - Corvée. - D - -.-encore plus fatigué que je ne m'étais couché la veille. Je me faisais un double expresso pour tenter de dissiper les brumes de mon esprit. Entre-temps, j'avais lancé mon ordinateur pour pouvoir saluer mes Masters. Ils m'informaient qu'ils avaient accepté une demande du Slave Zorba contrôlé par Monsieur Alain 44. Je devais répondre à toutes ses30 - Corvée. - D - -.- demandes par e-mail avec toutes les déférences lié à son rang supérieur au mien. Un mot avait d'ailleurs été publié sur le blog annonçant ces conditions. Ne pouvant réprimer ouvertement ces dernières directives, je les acceptais avec angoisse et je refoulais avec colère la révolte qui montait en moi. Je passais à la salle de bain pour ma toilette matinale. Terminé, je prenais le 31 - Corvée. - D - -.-marqueur vert, couleur du vendredi, et je commençais les graffitis du jour. Sur la cuisse gauche la date de ce vendredi, sur la droite, le numéro d'enregistrement du slave. Je continuais par le torse et l'appartenance de la sous-merde pour terminer par le bas-ventre et le pubis avec la date de mise en cage de chasteté. Chaque jour,32 - Corvée. - D - -.- cette inscription devenait de plus en plus humiliante et dégradante au fur et mesure que les semaines et les mois s'écoulaient. Je prenais la paire de tennis que j'avais portée lundi toute la journée, car mes Maîtres m'avaient ordonné de mettre la même paire de chaussettes le lundi et le vendredi et une seconde paire pour les autres jours de la semaine. Je m'habillais avec un pantalon, un pull col roulé mi-saison, un gilet sans manches qui recevait le téléphone. Bien sûr, j'ai en permanence les attributs du slave que je suis soit la maudite cage de chasteté, le collier et sa médaille. J'enfilais une veste et un bonnet, car la nuit avait été fraîche. Je pouvais me rendre à mon travail. Chaque nouveau pas que j'effectuais était un calvaire ! Quand ma jambe gauche avançait, les pics de la cage pénétraient un peu plus dans 33 - Corvée. - D - -.-mon pauvre gland ! Cette excitation faisait gonfler d'autant plus mon pénis à l'étroit dans sa prison. Arrivé sur place, je saluais la secrétaire qui avait déjà un parent. Je montais à l'étage pour rejoindre mon poste. Une marche sur deux perpétuait le supplice. Je posais, enfin, ma veste et mon bonnet sur le dossier du fauteuil pendant que34 - Corvée. - D - -.- mon ordinateur se mettait en marche. Je prenais place sur mon siège et je me mettais à l'ouvrage. De temps en temps, je buvais une gorgée d'eau ayant en permanence, sur le coin du bureau, une bouteille. Je saluais les collègues au fur et à mesure qu'ils passaient devant mon bureau. Ce vendredi je serai seul car ma collègue avait pris 35 - Corvée. - D - -.-sa journée. Ce serait un peu plus facile pour la corvée journalière. Malheureusement, les tortionnaires continuaient leurs supplices. En milieu de matinée, à force de boire, ma vessie se remplissait inexorablement. N’entendant aucun bruit venant du couloir, je me décidais à réaliser la corvée journalière. Je me levais en vérifiant que le téléphone était bien dans la poche frontale du gilet. Les persécuteurs de mon malheureux gland redoublèrent de vigueur à chaque nouveau pas. Avec soulagement, je refermais la porte derrière moi. Je posais le téléphone sur le bord du lavabo et je me déshabillais. Je posais mes vêtements sur mes chaussures pour qu'ils ne reposent pas sur le carrelage. Les chaussettes, je repliais le haut pour qu'elles ne cachent pas les ignobles graffitis. Je prenais les différents clichés comme à l'habitude. Mon pauvre36 - Corvée. - D - -.- gland ne cessait d'être martyrisé par ses tortionnaires. Je maudissais cette ignoble cage, car, depuis que j'avais éjaculé inconsciemment, mon pénis me rappelait son abstinence forcée et ses manques de plaisirs. Pour terminer, je m'assaillais sur le rebord de la faïence des toilettes et je vidais, avec soulagement, ma vessie. Tous les clichés dans la boîte, je me rhabillais et je me rinçais les mains. Je tirais la chasse d'eau et je jetais un dernier coup d’œil avant de sortir et de regagner mon poste de travail.

 

        Merci à mes Maîtres qui me font progresser malgré les supplices des tortionnaires.

Dim 7 oct 2018 2 commentaires

Bonjour Master ERIC et Maître MICKAEL ,

   Votre sous-merde continue bien ses efforts d' écriture et d' orthographe .  Par contre il ya un manque de synthèse et de concordance dans ses écrits. la "maudite cage" , " ignoble cage " puis " Merci à mes Maîtres" .  Que votre sous-merde réfléchisse un peu aux diverses motivations de la mise de la sous-merde qu' il est. Tenue en bouche correcte, des scoquettes!

  Mr Alain44

Mr Alain44 - le 08/10/2018 à 22h34

   Bonjour Master Éric et Maître Michael,

   Personnellement, je trouve que vous êtes trop magnanime envers votre sous-merde. L'autorisation de changer de chaussettes plusieurs fois par semaine est un confort trop luxueux pour une salope. Elle devrait porter la même paire au moins toute la semaine voir plus, en cas de d'insubordination.

   Master Phénix.

Master Phénix - le 09/10/2018 à 18h38