Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
Après la dernière corvée du 13 septembre, je faisais part à mes Masters des difficultés et du temps très long que je passais à devoir inscrire toutes les références sur mon corps. Suite à leurs consultations Maître Michael faisait part de leur décision. Avant de me rendre au bureau, je devais réaliser les écris chez moi. J'allais devoir porter toute la journée sur moi toutes mes références au marqueur. Cette situation risquait d'être frustrante et dégradante….
Arrivé chez
moi après avoir remis tous les attributs, je me déshabillais une nouvelle fois. La veille au soir en partant du travail, j'avais emprunté le marqueur que je glissais dans une poche. Je passais à
la salle de bain avec ce feutre indélébile. Assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais sur ma cuisse gauche la date du jour : "Mercredi 20 Septembre 2017", sur ma cuisse droite mon
numéro
d'enregistrement dans le registre des slaves :
"Slave N° 411.103.335" et sur mon torse, mon appartenance : "Slave de Master Éric et de Maître Michael". Pour cette dernière inscription, je la réalisais devant mon miroir et j'écrivais mon
texte en le regardant. Trop tard, je m'apercevais que mes lettres était sur mon
corps, plus grosses que je ne pensais. Je me maudissais
pour cette gaffe. La prochaine fois, je devrai faire plus attention pour que le texte prenne le moins de place possible sur mon torse. Cette constatation eu une réaction inattendu ! Je
sentis les pics empaler mon malheureux gland et
provoquer une érection avortée par la prison de ma
pauvre queue. Je déteste ces maudits picots et cette cage qui martyrisent ma malheureuse bite. Je n'avais pas le temps d'effacer ces trop grosses inscriptions et de les refaire. L'odeur du
marqueur atteignait mes narines. Il faudra impérativement, après mon hospitalisation, que je
trouve un marqueur qui ne laisse pas d'effluves trop
fortes. Tout mon corps empestait l'odeur de ce maudit marqueur ordinaire. Je retournais dans ma chambre pour me rhabiller en laissant, à mon grand désespoir, ma braguette et les boutons du jeans
ouverts. Je m'empressais pour enfiler la veste de treillis et je partais rejoindre mon
travail. Chaque nouveaux pas étaient une torture
permanente. La geôle, plaquée contre ma cuisse, suivait tous les mouvements de la jambe. Les pics empalaient un peu plus, à chaque mouvement, mon malheureux gland qui, excité, provoquait une
érection avortée par la prison innommable de ma
pauvre queue. De plus, je sentais la fraîcheur humide
s'infiltrer par la porte ouverte béante du pantalon. Mon côlon n'était pas non plus à la fête ! Son invité, à chaque mouvements, excitait un peu plus l'anneau intérieur qui tentait en vain
de gober cette boule indésirable. J'avais ma pauvre rondelle qui, régulièrement, tentait des
poussées. Bien que je faisait mon maximum pour retenir
tous gémissements intempestifs, de temps en temps un râle involontaire s'échappait de mes poumons. Heureusement le bureau était en vue et discrètement je fermais boutique au maximum. Je montais
les quelles que marches et je me trouvais sur le perron. En entrant, au fur et à mesure que
je croisais des collègues, des parents ou des enfants,
je les saluaient et nous échangions quelles que mots. Je montais à l'étage pour regagner mon poste de travail. Chaque nouvelles marches étaient un calvaire ! Les pics empalaient toujours un
peu plus mon pauvre gland ! Cette excitation provoquait une érection torpillée.
Ma petite fleur n'était pas non plus de la fête !
Son convive excitait, à chaque nouveaux mouvements, encore plus son hôte. Je devais tenter de retenir des poussées intempestifs de ma rondelle. Arrivé à l'étage, je croisais mon directeur qui
m'invitait à rentrer dans son bureau. En premier lieu, il me demandait mon état de santé et mes sentiments par à port à ma prochaine hospitalisation. Je le rassurais et lui répondais que j'étais
tranquillisé avec tous les examens préalables réalisés. Ensuite il me demandait si mon collier était bien nécessaire au travail. Qu'il posait beaucoup de questions à certains parents et qu'il
serait bien que je pense à le laisser chez moi. Ne pouvant lui dire la vérité, ne sachant pas ses opinions, je lui répondais que j'en
parlerai à mon amie car c'était
elle qui en avait la clef. Il continuait en demandant à quoi ce "M" faisait référence ? Honteux et désappointé, je répondais que cette amie n'avait pas trouvé la lettre de l'initial de mon
prénom et quelle avait achetée celui de mon nom de famille. Heureusement j'avais déjà utilisé cette ruse pour expliquer sans commentaire l'explication de ce collier. Bien sûr, je passais sous
silence la médaille que je cachais sous le col de la chemise et du maillot de corps. J'allais partir lorsqu'il remarqua l'odeur du marqueur et me questionna sur l'origine de ces effluves. Ne
pouvant répondre correctement, je prétextais que je rechercherai l'origine de ces émanations. Nous nous souhaitions une bonne
journée et je regagnais, soulagé, mon
poste de travail. Je posais ma veste sur le dossier de mon fauteuil et je lançais mon ordinateur. Le temps qu'il s'allume, je prenais ma bouteille vide sur le coin de mon bureau et j'allais la
remplir dans notre salle de détente. Revenu, je lui redonnais sa place. L'aller retour avait été un enfer. Chacun des attributs sexuels que je portais en avaient profité pour martyriser un peu
plus leurs prisonniers ou leur hôte. Avec grandes difficultés je retenais au mieux tout gémissement incontrôlable. Je prenais place sur mon fauteuil. Je rangeais le marqueur que j'avais emprunté
dans son tiroir en attendant que je m'en procure un inodore, et
effaçable à l'eau. En m'assaillant, le plug pénétrait un
peu plus et excita l'anneau. Mon trou se mit à pousser. Pour retenir tous sons inopportuns, je bloquais ma respiration et je faisais des apnées pour retenir tous chuintements inconvenants. Je me
mettais au travail et je me concentrais dessus pour ne pas penser à mes invités. De temps en temps, je buvais une gorgée d'eau. Mon collègue travaillait lui aussi à son bureau à coté du miens. De
temps à outres nous échangions quelles que réflexions. En milieu de matinée, ma vessie se remplissait inexorablement. Ne tenant plus, je me décidais enfin à me rendre aux toilettes. Mon collègue
s'était
absenté et je jetais un œil dans le couloir vérifier
que personne était en approche. Je vérifiais que mon
portable était bien dans la poche frontale de mon gilet
sans manche et je me dirigeais vers les toilettes. Je refermais à clef la porte et je me déshabillais une nouvelle fois. Au fur et à mesure que j'ôtais un vêtement, je l'accrochais à un patère de
la porte. Quand j'enlevais mes chaussettes et que je posais les pieds sur le carrelage, je sentis le froid de celui-ci glacer mes plantes de pieds et remonter dans mes mollets. Je relevais le
couvercle et la lunette des toilettes et je m'assoyais sur la faïence gelée. Mes petites fesses reçurent, comme une gifle, la froidure de ce trône.
J'avais
pris aussi mon portable et je réalisais les premiers clichés. Je lâchais les vannes et ma vessie se vidait au fur et à mesure. Quand elle fut complètement vidangée, je séchais, avec du papier
toilette, le bout de la cage et mon méat urétral. Je posais sur le sol le téléphone et je m'accroupissais. Progressivement, je sortais l'invité de son garage et je prenais des clichés.
J'immortalisais ma petite fleur ouverte avant de repositionner ce convive turbulent. Je faisais de même avec la prison de ma queue et des différentes inscriptions sur mon corps malmené. Comme le
désire mes Masters, je roulais mes chaussettes propre du jour sur elle-même en
commençant par le haut et en terminant par la plante des
pieds. Je les fourrais dans ma petite bouche comme un bâillon. Je terminais avec une photographie de mes vêtements accrochés aux patères de la porte. Pensant que j'avais pris toutes les preuves
en photo, je commençais à me rhabiller pour la cinquième fois de la matinée !!! Avant de fermer boutique, je prenais de nouveaux clichés avec celle-ci ouverte puis fermé. Je rangeais le
portable dans une des poches frontales de mon gilet. Je tirais la chasse d'eau. Je refermais la lunette et le couvercle des toilettes. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je jetais un
dernier coup d’œil et je sortais de ces lieux. J'allais en salle de repos où je retrouvais des
collègues. Nous buvions un café ou un thé en fumant,
pour la plus part, une cigarette. Différents collaborateurs faisaient la remarque qu'il y avait une odeur de marqueur. Hypocritement, je faisais la même réflexion en omettant d'avouer que ces
effluves venaient de moi. Très prochainement, je devrai en changer et surtout, trouver un feutre effaçable à l'eau et sans odeurs. C'est de plus en plus humiliant, frustrant et dégradant de
porter ce parfum qui entraîne des questionnements de mes collègues de bureau. Je regagnais mon poste. Si aux toilettes mes geôliers s'étaient calmés un temps, dès que je ressortais ce petit monde
recommençait à maltraiter ma queue et mon gland ainsi que ma rondelle et son anneau intérieur. Avec soulagement je retrouvais mon siège et je reprenais mon labeur. En me concentrant sur mon
travail, j'arrivais la plus part du temps à ne pas faire attention aux tortures de mes attributs sexuels.
Impérativement, je dois demander l'autorisation à mes Masters de changer de marqueur ! Il faudrait que j'en trouve un qui soit sans odeur et qui puisse s'effacer avec de l'eau. Un feutre indélébile et odorant est avilissant et dégradant. J'espère que mes Maîtres accepterons ma demande pour que les références du slave soient un peu moins humiliantes et frustrantes à porter. Je remercie mes Masters pour cette nouvelle étape franchie dans la soumission et l'obéissance. Je souhaite qu'ils acceptent ma futur demande car ce serait encore plus déshonorant si je devais continuer avec cette marque de marqueur qui est, non seulement indélébile, odorant mais aussi avec une pointe très large. Un nouveau Merci à mes Masters pour me faire évoluer dans les limbes de l'assujettissement, de la soumission et la servilité.
Bonsoir Master ERIC et MaÏtre MICKAEL,
Excellent exercice qui devra être réalisé chaque Mercredi à la cave ou ailleurs durant les 4 semaines d' arrêt de travail de votre lope.
Mr Alain44
Bonsoir Master ERIC et Maître MICKAEL,
Voila un second très bon exercice dans la même journée. L' odeur et le questionnement du directeur, qui font suite aux questions de la doctoresse sont certainement ressenti comme des sources de bonheur pour votre soumis !
Mr Alain44
Bonjour Master Éric et Maître Michael,
Il me semble incongrue et irrévérencieux que votre sous-merde se permette de réclamer un autre marqueur surtout après la faveur que vous lui avez faites de réaliser en avance, chez lui, ses écrits et références. Il devrait être honoré de porter sur lui son état d'appartenance. C'est lui même qui avait choisie ce feutre, me semble-t-il !
Les jérémiades de votre esclave sont déplacées et impertinentes après les faveurs que vous lui avez accordées ! Il devrait remercier ses Masters d'avoir l'honneur de porter sur lui son état et son appartenance du matin au soir.
En reprenant l'historique de cet exercice hebdomadaire vous lui aviez bien réclamé un marqueur indélébile. Que votre bastard se permette de tels réclamation (soluble à l'eau) est inconcevable !
Pour sa peine, votre salope devrait se procurer un marqueur de chaque couleur de cette même marque : Noir, rouge, bleu et vert. Ainsi, votre pute pourra alterner les couleurs pour chacun de ses nouveaux exercices. (Ex : Jour en noir, date en rouge, mois en bleu et année en vert…. Et ainsi de suite pour chacune des inscriptions).
Master Phénix.