Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
Je me levais après une nuit tourmentée comme d'habitude. La nuit s'était entrecoupée de cauchemars et de réveils en sursaut. Maître Michael avait recommandé que le rasage soit impeccable. Je
buvais un bon expresso et je passais à la salle de bain pour parfaire, à contrecœur, le rasage complet du slave. Pour compléter cet ouvrage, je réalisais une épilation de mon trou et de mes
fesses ne pouvant pas, sans accident, les raser. Je prenais une bonne douche à la suite et j'en profitais pour réaliser un assainissement total de la cage et de son prisonnier. J'appréciais une
dernière fois la douceur et la chaleur de l'eau qui ruisselait sur ma peau. Je me séchais et je remettais en place le collier et sa médaille après avoir fait un décrassage complet. J'installais
le plug N° 03, celui qui tient seul, dans mon petit trou. Je m'habillais avec le boxer blanc, une paire de chaussettes, un jeans en laissant la braguette et les boutons ouverts, un maillot de
corps, une chemise et un gilet sans manche. Après avoir constaté qu'il pleuvait des hallebardes, j'en faisais part à Maître Michael. Il changea les directives pour
enlever le boxer et remettre le
collier car je devais garder pour ma consultation, non seulement la cage mais aussi l'ami qui stationnait dans mon côlon. Au lieu de le faire en extérieure comme prévu, au vu de la météo, il
recommandait de le réaliser dans la cave comme je devrai ensuite passer chez moi pour inscrire sur le corps les références du slave. Dans ma sacoche, je préparais mes papiers d'assuré et la clef
pour le collier. J'attrapais une veste de treillis car elle était assez longue pour dissimuler la braguette ouverte.
Les tortures continuaient à chaque nouveau pas. Les pics empalaient mon malheureux gland ce qui provoquait une érection avortée parla cage. Le copain de ma rondelle continuait à jouer avec
l'anneau qui tentait en vain de le gober. Je devais à tout moment retenir des gémissements incontrôlables. J'ouvrais ma voiture et en m'assaillant sur le siège, le plug excita un peu
plus la petite fleur. J'arrivais avec
soulagement sur le parking de mon médecin. Avant de sortir du véhicule, j'enlevais le collier et sa médaille que je rangeais dans ma sacoche. La pluie continuait de tomber en trombe. Je courais
jusqu'à la porte du bâtiment. Je sonnais à la porte et j'entrais dans
le cabinet médical. Le secrétaire
était derrière son poste. Nous nous saluions et échangions quelles que mots sur les grandes eaux qui tombaient des cieux. Ma doctoresse m'invita à entrer dans son bureau. Après s'être salué je
lui donnais ma carte d'assuré social. Elle m'invitait à me mettre
en tenue soit avec seulement mon
sous-vêtement. Je me déshabillais tout en retenant de nouveaux gémissements. Les picots continuaient à martyriser mon pauvre gland et la cage avortait toute tentative d'érection de ma bite. Le
plug n'était pas non plus sans ressources. Il continuait à titiller son ami dans le côlon. Je me retrouvais avec seulement le boxer blanc qui n'a plus de doublure. La cage et surtout le cadenas
se devinaient facilement par transparence. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je devais faire un effort surhumain pour contrôler ma respiration et ne pas
laisser sortir des gémissements intempestifs. Après avoir fait les mesures mensuelles, elle m'invitait à m'allonger sur la table d'auscultation.
En m'assoyant, le plug en profita pour
exciter un peu plus mon côlon. Avec grande difficulté je retenais les plaintes qui montaient en moi. Allongé, il continuait à s’amuser avec son hôte et la prison de ma queue était mise en
évidence avec sa serrure. Une nouvelle fois, je me sentais
frustré et humilié avec ces artifices
en évidences. Elle dû s'en apercevoir car elle me fit remarquer que j'avais toujours mon jouet dans mon sous-vêtement. Honteux et humilié de nouveau, j’acquiesçais avec colère et infamie. Elle
aperçue et me questionnait sur les raisons pourquoi je retenais ma respiration. Mon palpitant s’emballait et le sang me montait à la tête. Elle remarqua mes rougeurs et me fit part de ses
constatations. Frustré et avilis, je tentais de balbutier une réponse inaudible. Cela la fit sourire ce qui m'humilia encore plus. J'avais envie de fuir cette auscultation tellement j'étais
humilié, gêné et désappointé. Constatant mon désenchantement, elle changeait de sujet et me questionnait sur mon travail et mes journées. Elle
terminait enfin son auscultation et
m'invitait avec soulagement à me rhabiller. Je m'exécutais sans demander mon reste. Elle s'installait à son bureau pour remplir mon dossier et rédiger mon renouvellement d’ordonnance. Le martyre
de mes attributs sexuels continuait sans relâche. Je tentais en vain de calmer les geôliers et leurs prisonniers. Mon palpitant continuait à s’emballer. En me rhabillant, le médecin fit remarquer
que ma braguette était ouverte. Je la fermais momentanément en la remerciant et en la priant de m'excuser. Elle me tendait mes différents documents que je m'empressais à ranger dans ma sacoche.
Nous continuions à discuter de la pluie et du beau temps quelles que minutes. À mon grand soulagement, elle se leva et
m'invitait à en faire autant. Je
sortais de son bureau en nous saluant. Le patient suivant était là et elle le fit entrer à son tour. Je vérifiais avec le secrétaire les dates et les horaires de mes prochains rendez-vous. Nous
nous serrions la mains. Avec plaisir et soulagement je m'enfuyais de ce lieu d'humiliations et de frustrations. Dans le couloir j'ouvrais à nouveau ma braguette suivant les nouvelles instructions
de mes Masters. Les pics, la cage et le plug continuaient sans cesse à torturer ma malheureuse queue et mon infortunée rondelle. Je courrais à mon véhicule et je m'empressais à m’asseoir sur mon
siège. Je ressentais la fraîcheur humide pénétrer par l'ouverture inopinée de mon jeans. Je déposais mon ordonnance à la pharmacie et je revenais contrarié et humilié à mon domicile. Je
stationnait
ma voiture et je rentrais dans mon
immeuble. Au lieu de monter dans mon appartement, je descendais, contraint et forcé, à la cave. Par sécurité, j'ouvrais la porte de ma cave au cas où un voisin arriverait inopportunément. Je
déposais sur le sol en béton brute, ma sacoche et ma veste que je repliais. Je
prenais mon téléphone pour
immortaliser mon désarrois. Je continuais à me dévêtir et à déposer sur le sol mes vêtements pliés. Quand il me restait plus que le boxer, je le prenait à contrecœur en photo. Je faisais de même
pour mes vêtements pliés par terre. Pieds nus, je sentais la fraîcheur et la rudesse du béton brut. Un frisson parcourut mon corps de la tête aux pieds. À contrecœur, je déposais le sous-vêtement
et j'immortalisais le prison de ma queue et sa serrure inviolable. Je me retrouvais nu comme un vers. Tous mes sens étaient en alertes et je scrutais le moindre bruit pour me replier en urgence
dans ma cave. Je prenais un cliché des geôliers de ma queue. Mon palpitant battait toujours
la chamade. Mon angoisse était
grandissante plus je devais rester dans la tenue d'un nouveau-né dans ce maudit couloir. La minuterie arrivait à son maximum et la lumière du couloir s'éteignit. À tâtons, j'atteignais le bouton
et je relançais la minuterie. Que la lumière soit et la lumière fut ! Je continuais avec empressement les commandements de mes Masters. J'attrapais mon collier et sa clef. Je l'ouvrais et je
le positionnais avec sa médaille autour de mon cou. Après avoir prit un nouveau cliché, je commençais à me rhabiller. J'enfilais mon maillot de corps puis ma chemise et je prenais une photo de
celle-ci avec le médaillon du collier. Je le
positionnais ensuite dans mon dos et
je faisais de même avec la marque du slave qui se trouvait à la place de l'insigne précédemment, soit le "M" de …. Je continuais avec mes chaussettes que j'avais rangé momentanément dans mes
baskets. La lumière s’éteignit à nouveau. Toujours à tâtons, je retrouvais le bouton et je relançais la minuterie. La lumière revint immédiatement. Je poursuivais avec mon jeans en laissant à
contrecœur, la braguette et les boutons ouverts. Heureusement il était tenu par la ceinture mais la chemise arrivait à sortir par cette ouverture fortuite. Avant de ranger le boxer dans la
sacoche, je prenais un nouveau cliché. Enfin,
j'enfilais ma veste de treillis pour
camoufler cette embrasure occasionnelle. Je fermais à clef ma cave et je rangeais le trousseau dans une des poches du blouson militaire. Je regagnais l'ascenseur pour atteindre mon appartement
pour réaliser l'étape suivante des commandements de mes Maîtres. De nouveau, à chaque pas, les tortionnaires reprenaient de la vigueur. Les pics empalaient de nouveau mon malheureux gland qui
provoquait une érection contrariée par la cage qui emprisonne ma pauvre queue. De même, le plug recommençait à exciter l'anneau du colon et occasionnait des poussées intempestifs de ma rondelle.
Je faisais de mon mieux pour retenir tous gémissements malencontreux bien que personne ne soit à l'horizon.
Enfin une nouvelle consultation de terminé mais quelles frustrations et humiliations avec le visiteur de ma petite fleur. Je remercies tout de même mes Maîtres pour cette nouvelle étape honteuse et dégradante. La suite chez mon médecin sera de plus en plus compliquée si les consignes sont toujours aussi humiliante et avilissante. Je gratifie mes Masters pour me faire évoluer dans la soumission, l'obéissance et l'acceptation des frustrations et des humiliations. Je les salue aussi pour la patience qu'ils ont pour parfaire l'éducation et la soumission de leur slave.
Bonjour Master ERIC et Maître MCKAEL,
Beaux progrès de la part de votre sous-merde qui pour la première fois a passé sa visite mensuelle en étant plugué.
Je l' imagine bientôt sous cage et ceinture avec le plug N° 4 usuel
Mr Alain44
Mes respects à Master ERIC et Maître MICKAËL;
bonjour BastardàKC,
Voici encore un compte rendu bien précis. Le moindre détail y figure. On ressent bien le côté humiliant qui va très loin, notamment chez le médecin. Tes Maîtres doivent être contents de ta progression et je suis sur qu'ils vont encore trouver des choses pour te faire progresser. Je ne peux que t'encourager à poursuivre dans cette voie.
Mes respects à tes Maître et à Mr Alain44 mon Maître.
zorba soum. de MrAlain44
Bonjour Master Éric et Maître Michael,
Votre sous-merde fait des efforts dans la rédaction et les prises de vues, je le félicite pour cela.
J'espère que la prochaine fois votre bâtard se changera en extérieure s'il ne pleut pas et même si le froid le gène un peu. Un slave ne peut avoir froid il n'aura qu'a faire des mouvements.
J'ai tout de même quelles que remarques complémentaires à vous soumettre pour parfaire l'éducation de votre bastardakc :
Master Phénix.