Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335

Mercredi 26 juillet.

        La nuit a été longue et douloureuse avec un trou aux enfers, qui ne cessait de mouiller, de jouer avec son invité, le plug N°3. Soit des cauchemars avec des réveilles en sursaut, soit des stages aux toilettes pour calmer ce petit monde composait la nuit du slave. Ma pauvre queue n’était pas, elle non plus au paradis. Les pics martyrisaient le malheureux gland qui, plus il se gonflait, plus il s’empalait sur les pieux et plus cela l’excitait….

01 - Corvée - D - -.-        L’heure du réveil sonnait enfin ! Je me levais, après avoir déjeuné et fait ma toilette, je me préparais à partir au bureau. J’avais mis un jeans, une chemisette, un gilet sans manche et une paire de socquette. Maître Michael avait commandé, à mon grand regret, que je reprenne la corvée hebdomadaire tous les mercredis. Au préalable, j’avais installé le plug N°4 après avoir calmé l’anneau intérieur avec un suppositoire et bloqué le tout grâce à la ceinture. J’en prenais en réserve dans une poche pour le travail.

        Le premier anneau avait gobé la boule supérieure du plug avant de partir. Je me rendais à mon travail. À chaque pas, je le sentais tenter de faire de même, sans succès, avec la seconde boule. Il montait et redescendait malgré le suppositoire que j’avais posé. De même pour la cage, les picots empalaient mon malheureux gland. Plus ils pénétraient et plus02 - Corvée - D - -.- cela excitait ma pauvre queue. J’arrivais enfin à destination. Je saluais les collègues et je prenais place à mon bureau. La veille, j’avais préparé le marqueur dans le tiroir supérieur. Je le rangeais dans la poche de la chemisette. En m’asseyant, je sentis le plug 03 - Corvée - D - -.-pénétrer un peu plus profondément dans le côlon. Quand mon trou redoublait de vigueur, je bloquais ma respiration pour éviter tout gémissement. J’essayais difficilement de me concentrer sur mon travail. En milieu de matinée, je me décidais à me rendre aux toilettes pour réaliser la corvée hebdomadaire. Je pourrai renouveler le suppositoire afin de tenir jusqu’à la04 - Corvée - D - -.- pause de midi car l’invité était en train, de plus en plus, exciter mon malheureux trou. Je jetais un œil au couloir et ne voyant personne à l’horizon, je me décidais à me lever. Chaque pas que je devais faire pour atteindre les toilettes, augmentait le calvaire de ma queue et de mon cul ! Je refermais la porte derrière moi. Je posais le marqueur et le portable sur la tablette. Je me déshabillais et posais mes affaires sur le bord du lavabo. Je prenais le marqueur à contre-cœur et je notais la date du jour : 05 - Corvée - D - -.- "Mercredi 26 juillet 2017." Après avoir pris un cliché, je relevais la lunette des toilettes et je vidais ma vessie.

06 - Corvée - D - -.-        Heureusement la ceinture maintenait le plug car l’anneau ne cessait de jouer avec. Avant de m’en occuper, je prenais des photos de la médaille que j’avais mise sur le devant et de la prison de ma queue. Je posais le portable à terre et je m’accroupissais. Je déplaçais légèrement le bloc-plug pour libérer celui-ci. Mon trou poussait tellement que je devais le tenir pour ne pas l’expulser d’un coup. Je prenais un suppositoire dans la poche de la veste que je présentais à ma petite fleur. Je le faisais pénétrer pour qu’il atteigne l’anneau. Je reprenais le plug et le présentais à mon petit trou qui se mis à pousser. La première boule pénétrait. Je sentis ma pauvre queue se gonfler encore plus et les pics empaler mon malheureux gland. Ces différentes piqûres avaient pour conséquence de l’exciter et d’augmenter07 - Corvée - D - -.- l’envie d’une érection contrariée par sa prison. Je poussais pour faire pénétrer le convive et qu’il reprenne sa place. Je ressentais de plus en plus les picots martyriser mon pauvre appendice. Je repositionnais la ceinture pour tenir ce petit monde.

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16 - Corvée - D - -.-        Je me relevais et je prenais un nouveau cliché de pieds du slave. La cage suppliciait de plus en plus ma queue. Je n’arrivais pas à la calmer. Chaque pic qui pénétrait dans le gland, l’excitait un peu plus. Elle était tellement compressée, qu’elle tentait de sortir par les petits trous de coté. Le gland emplissait le bout de celle-ci où les pics se situent. Plus ils l’empalaient et plus j’essayais en vain de bander. J’avais de plus en plus envie de pouvoir me masturber et enfin jouir. C’est devenu une telle obsession que la nuit j’en fais des cauchemars. Plusieurs fois le matin, je me réveillais avec une tache au drap. Je maudissais de ne pas avoir pu plus en profiter car ce n’était qu’un vague souvenir. Parfois, le jus coulait encore sur la cuisse ce qui augmentait ma frustration et mon humiliation d’être contraint à l’abstinence depuis si longtemps. Lorsque j’avais toutes les preuves dans mon téléphone, je me rhabillais avec17 - Corvée - D - -.- ces pensées en tête. Chaque jour j’espère  que mes Masters me convoque pour enfin pouvoir vidanger mes couilles débordantes. Je replaçais le marqueur et le téléphone dans les poches frontales. Discrètement, j’ouvrais la porte et n’entendant pas de bruit, je retournais à mon poste. Mon trou se calmait progressivement mais mon gland maltraité maintenait une érection contrariée.


        Je dois remercier mes Maîtres pour faire reculer mes limites et pour continuer à suivre le slave que je suis. Eux seuls savent ce qui est bon ou non pour un bâtard comme moi. C’est pourquoi ils ont toujours raison !

 

Merci à mes Masters !

Sam 29 jui 2017 3 commentaires

Bonjour Master ERIC et Maître MICKAEL,

  Voilà un retour à la vie habituelle de votre Bastard. La date de l' exercice/évènement apparait enfin de façon évidente, cependant la GROSSE faute d' orthographe sur le premier mot : " Bienvenu " est toujours présente.

   L' on peut comprendre aisément que le port du baudrier complet est difficile en cette saison, mais cela n' est pas - à mon avis - une raison suffisante pour que votre slave garde ses socquettes et n' en porte pas une entre ses dents.

   Je suis très fortement persuadé que le maintien de l' obligation du port du plug N° 3 et de la régularité de l' exercice hebdomadaire auraient évité à votre slave les difficultés actuelles dues aux réactions physiologiques de son colon, et son oubli au sujet de ses socquettes.

  Je note également la fin de jérémiades et des remerciements prononcés clairement envers vous, ses éducateurs.

Mr Alain44

MrAlain44 - le 29/07/2017 à 17h05

Les santés du Bastard.

    Santés au pluriel car sont en question la santé physique et la santé mentale du soumis.

  Pour ce qui concerne la santé physique , je ne me fais aucun souci car il s' avère que durant les nuits et parfois sur la journée il se produit des vidanges automatiques. Il n' y a onc pas de risque de pourrissement des liquides. Pour le fonctionnement physiologique de l' organe sous cage, les signes émis par les pics intérieurs de la cage sont des bons signes. Ils signifient que les veines irriguent correctement les corps caverneux.

  Quand à la santé mentale le Bastard sait que la décison des Masters sera certainement plus rapide dès lors que le slave aura visité le Lac, aura passé sa visite mensuelle, aura été au sauna et que peut être il aura proposé publiquement des solutions de vidange à ses Masters. Il vaudrait mieux que le Bastard agisse , putôt que de pigner !

Mr Alain44

MrAlain44 - le 29/07/2017 à 20h02

   Bonjour Master Éric et Maître Michael,

   Je constate avec plaisir que votre sous-merde reprend ses bonnes habitudes du mercredi. Comme le fait remarquer Mr Alain, les socquettes ne sont pas portées au bon endroit ! Elles devraient se trouver dans sa gueule de bâtard et non à ses pieds. Cela mériterait une sanction de ses Masters !

   Sa prochaine visite médicale chez sa doctoresse est prévue pour quelle date et a-t-il des instructions précises pour celle-ci ? Votre slave, pourrait-il faire une petite info.

   Prochainement, il faudra que ce travail hebdomadaire évolue pour que votre bastard apprécie encore mieux sa fonction.

   Master Phénix.

Master Phenix - le 30/07/2017 à 07h51