Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
J’ai eu le malheur de demander que la mise sous cage ne dure pas aussi longtemps que la dernière fois. Maître Michael commanda au slave, après son travail de retour chez lui de se mettre en t-shirt plus le short noir et jaune. De descendre dans sa cave et se prendre en photo. Puis, se mettre nu à genoux et de faire de même. Le soir de retour chez moi, je me mettais en tenue et je descendais dans ma cave. Je regardais d’abord au judas que personne ne soit dans le couloir. J’avais le cœur qui battait la chamade et je craignais de croiser un voisin ainsi habillé. Je sortais dans le couloir et appelais l’ascenseur. Je tendais l’oreille pour écouter si une porte s’ouvrait. J’attendais les jambes tremblantes. Je n’avais qu’une peur, croiser un voisin. Mon cœur battait à tout rompre en attendant l’arrivée de l’ascenseur. Enfin je montais et appuyais sur le –1 ! Je descendais enfin. Il arriva au sous-sol et je me dirigeais vers ma cave qui est une des dernières au bout du couloir. Je pressais le pas. J’avais préparé la clé et j’ouvrais de suite la porte. J’allumais une lampe torche et je refermais la porte. Je prenais une première photo du slave en tenue. Je me déshabillais, à genoux les mains sur la tête je prenais un deuxième cliché. J’avais les tétons en feu avec les pinces depuis près d’une semaine. Je n’en pouvais plus et je les supportais de moins en moins. Mon pénis essayait de se gonfler mais était contrarié dans son érection par la cage et les picots qui rentraient de plus en plus dans la verge et le gland.
Je m’empressais à me rhabiller lorsque j’entendis des pas dans le couloir. Je m’immobilisais pour ne plus faire de bruit. Une clé s’introduisait dans une serrure et une porte s’ouvrait. J’entendais des bruits furtifs. Enfin la clé refermait la porte et les pas s’éloignaient. Heureusement que j’avais la porte de ma cave fermé mais mes clés étaient restées dessus ! Je me maudissais de les avoir oubliées ! Je sortais en faisant toujours très attention aux bruits qui me parvenaient. J’appelais l’ascenseur et l’attendais un moment qui me parut une éternité. Il mettait trop de temps et je craignais de voir sortir un voisin. Il arriva enfin et la porte s’ouvrit. Heureusement pour le slave, il était vide ! Je maudissais les punitions du Master ! Elles sont de plus en plus humiliantes, frustrantes et avilissantes. De plus, il sait que je n’aime pas être ainsi exhibé mais n’en tiens pas compte. Je remontais chez moi et faisais mon rapport.
Ce short est pas mal mais tu en as des plus court, je le trouve assez grand non ? J’ai vu dans tes sous-vêtements des shorts pas mal (les N° 1 ; 3 ; 6 & 7) j’espère que tes Maîtres t’ont fait enlever les slips intérieurs. Si je peux te donner un conseil, quand tu achètes des shorts essaye de prendre une taille inférieure pour qu’il te moule bien !