Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335

Premier contact

 

         Cet après-midi là, j'avais rendez-vous avec un médecin pour la continuation de ma rééducation. Je me préparai en enfilant, encore, le boxer blanc, suffisamment dégradant. J'enfilais un maillot de corps, un pull, un jeans, une paire de chaussettes et des baskets. Avant de boutonner la braguette, je faisais un cliché du sous-vêtement. Lorsque les ambulanciers sonnèrent à l'inter-phone, je me couvrais de la parka et je les rejoignais. Nous partions pour le rendez-vous. En arrivant au centre, nous nous rendions à l'accueil. Après avoir ouvert un dossier et effectué les premières formalités j'attendais un instant. Une jeune doctoresse vint me chercher. Dans son bureau, je lui transmettais les documents et la lettre d'accompagnement du médecin précédent. Je répondais à ses questions, puis, elle m'invitait à passer à côté, dans son espace de consultation. Je m'allongeais, rassuré de pas être en sous-vêtement, sur la table d’auscultation. Elle s'approcha et me demandais de déboutonner ma braguette pour ôter le jeans. Honteux et avilis, je m'exécutais. Elle tira sur les jambes et je sentais le pantalon descendre progressivement le long de mes cuisses, puis, il découvrait l'humiliant boxer blanc ! Je jetais un œil dessus et j'apercevais un monticule, un pic, provoqué par la maudite cage. Après cela, je n'osais plus regarder le médecin dans les yeux. J'aurai préféré qu'elle me demande d'enlever le pull et le maillot. Mon palpitant s'accélérait de plus en plus et je me sentais de moins en moins à mon aise. Je lui jetais un coup d'œil furtif et j’aperçus un "petit sourire en coin" sur son visage. Les sentiments d'humiliations, de frustrations, d'ignominies et de hontes m’envahissaient. Je réprouvais le Master d'avoir ordonner de porter ce maudit boxer déshonorant avec cette putain de cage abject. Elle avait pris sur une étagère un goniomètre médical. Elle commença à mesurer les différentes amplitudes de ma jambe, de mon genoux et de ma hanche. J'avais l'impression morbide qu'elle prenait un malin plaisir à refaire plusieurs fois ces mesures. Enfin ! Elle mit fin à cette torture morale. Elle m'aida à remettre mon jeans et je le boutonnais avec empressement. Je me rassis à son bureau en face d'elle. Après quelles que minutes d'échanges, elle me dit qu'elle allait étudier avec ses confrères de la suite à donner à mon dossier. Je la saluais avec plaisir en maudissant une nouvelle fois cette consultation. Je demandais à passer aux toilettes où j'enlevais le boxer et je prenais un cliché de cette ignoble cage. Je me rhabillais rapidement pour retrouver mes chauffeurs et nous rentrions à la maison.