Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
Corvée du mardi 23 octobre
2018 :
La nuit a été, de nouveau, une
série d'inquisition. Les tortionnaires, régulièrement, suppliciaient ma malheureuse nouille. Graduellement, je sursautais en nage dans mon lit. Les minutes s'égrainaient avec une lenteur
exaspérante. Quand j'arrivais enfin à retrouver le sommeil, de nouveaux cauchemars submergeaient et s'emparaient de mes neurones. Ils provoquaient des érections incontrôlables et
insupportables qui déclenchaient d'abominables délires infernaux. Impatiemment, j'attendais avec fébrilité et nervosité le jour qui ne désirait pas se lever. L'aube pointait, enfin, son nez
! Je sortais du lit, l'esprit embrumé de fatigue. Je préparais un café bien corsé pour dissiper, le plus rapidement possible, ce brouillard qui assombrissait mon cerveau. Reprenant
progressivement conscience, je saluais mes Masters sur le réseau. Après quelques renseignements sur ma prochaine hospitalisation, Maître Michael, suite à plusieurs
commentaires sur le blog, commandait que j'écarte un maximum
mes jambes aux toilettes. Je lui faisais part que les entrouvrir comme je faisais, était suffisamment humiliant et dégradant. Il rétorquait, qu'il s'en foutait et que je devais obéir
sous peine de sanctions. Il terminait en ordonnant que je porte l'inscription du jour toute la journée comme j'avais des rendez-vous en extérieur. Je passais à la salle de bain pour ma toilette
et une bonne douche afin de me réveiller complètement. Je
prenais, ensuite, le marqueur bleu.
Assis sur le bord de la baignoire, je débutais les inscriptions sur la cuisse gauche avec la date du jour. Je continuais par la droite et le numéro d'enregistrement. Je me levais face au miroir
où je notais l'appartenance de la sous-merde sur le torse et la date de mise en chasteté sur le pubis. Terminé, debout sur le nouveau tapis, je prenais un cliché de pieds avant de
m'habiller. Je m'habillais pour partir à mes rendez-vous avec
tous les attributs et les
inscriptions sur moi. Heureusement, je n'avais pas d'examens. Terminé, je rentrais à la maison en fin de matinée. Dès mon arrivée, je me déshabillais en déposant sur le sol du
couloir mes vêtements. Je me retrouvais nu comme un ver, unique tenue autorisée par mes Masters lorsque je suis seul chez moi. Je prenais mon portable et je réalisais les
photographies journalières. Je débutais par mes vêtements au
sol. Je continuais par la
cuisse gauche et la date du jour, puis la droite et le numéro d'enregistrement. Je poursuivais par le torse et mon appartenance, ensuite le pubis et la date, ignoble, de mise encage de ma
nouille. Je terminais par une prise de pieds avant de m'asseoir sur la faïence des toilettes. Mon petit cul ressentit immédiatement la froideur de l'objet. À cause des commentaires
et des dernières directives, j'écartais, à contre-cœur, mes cuisses au maximum, comme une pute offrant sa chatte. Cette nouvelle position était très humiliante et dégradante ! Je
vidais ma vessie tout en prenant une dernière photo de ma nouille encagée. Terminé, je secouais ce mitard et je le séchais avec du papier toilette. Je tirais la chasse d'eau et j'allais
me rincer les mains. Une nouvelle corvée de terminée.
Le lendemain, mercredi 24 octobre,
j'apprenais avec tristesse le décès accidentel d'un neveu. Je contactais mon directeur. Ayant son accord pour ne pas travailler le vendredi matin, dès que je rentrais chez moi, après mes
visites, je préparais ma valise. J'avertissais aussi mes Masters pour mon absence forcée. Le soir même, je me dirigeais vers mon pays natal. J'avais demandé confirmation à une
cousine pour m'héberger. Régulièrement, lorsque je me rends au village, elle me loge dans l'ancienne chambre de sa fille. Cela facilite grandement les commandements de mes
Masters. Je ne peux dormir que nu dans le lit. Étant seul dans la
chambre, je n'ai pas d'angoisse à
dissimuler la cage. Par contre, les inquisiteurs ne cessaient de torturer ma malheureuse nouille toute la fin de semaine, ce qui par moments, devenait frustrant et très humiliant dans de
telles circonstances.
Je prie mes Masters, Master Éric et
Maître Michael ainsi que tous les visiteurs du blog de la sous-merde de bien vouloir l'excuser pour le retard pris, indépendant de
sa volonté. Je les remercie vivement pour leur compréhension.