Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335

110 - Corvée. - D - -.-Corvée du lundi 22 octobre 2018 :

 

         Je passais une nouvelle nuit en enfer ! Les tortionnaires du carcan de ma nouille ne cessaient de la brimer et d'empaler son gland. Lorsque je trouvais enfin le sommeil, ils redoublaient de vigueur en la brimant, me réveillant en sursaut. J'attendais avec impatience que l'aube se lève pour que j'en fasse 111 - Corvée. - D - -.-autant. Bien que je l'attendais avec impatience, j'avais des difficultés à me sortir du lit. L’esprit embrumé, je buvais un double expresso pour dissiper le brouillard assombrissant mon cerveau et voilant mes yeux. Je saluais mes Maîtres. Comme personne n'était connecté, je passais à la salle de bain pour ma toilette et une douche réparatrice d'une nuit de divagations psychotiques. Je prenais le marqueur noir, couleur du lundi et je débutais une nouvelle fois, 112 - Corvée. - D - -.-assis sur le bord de la baignoire, les écrits du jour. Sur la cuisse gauche, la date du jour, sur la droite, le numéro d'enregistrement au répertoire des slaves. Sur le torse, l’appartenance de la sous-merde pour terminer par le pubis et la date de mise en prison de ma malheureuse nouille. Elle est tellement en manque qu'elle ne désenfle plus c'est pourquoi mon pauvre gland est en permanence embrochée par les pics de l'abominable pénitencier. Cette séquestration, 113 - Corvée. - D - -.-imposée sans avoir de date libératoire, est un calvaire de chaque instant, jour et nuit ! Je m'habillais avec un pull en laine avec un col roulé qui permet de dissimuler le collier et surtout la médaille. J'enfilais un jean, une paire de chaussettes propre, le gilet sans manches avec son hôte dans une des poches frontales. Ayant du mal à mettre la machine en marche, ce lundi, je m’apercevais que j'allais être en retard. J'attrapais ma veste et je partais au travail. Malgré la froideur humide de l'atmosphère, chaque nouveau pas était un supplice. Mon malheureux gland, une nouvelle fois, se retrouvait en enfer. Ma pauvre nouille ne débandait pas malgré les températures automnales. Les bourreaux du mitard s'en donnaient à cœur joie. De petits râles s'échappaient de mes entrailles que je tentais, en vain, d'atténuer. Entre deux soupirs, je constatais que j'avais oublié de prendre le premier cliché dans la salle de bain après avoir réalisé les graffitis. Je le ferai dans la soirée, lorsque je rentrerai chez moi et avant d'effacer ces ignobles inscriptions. Arrivé à destination, je gagnais mon poste de travail après avoir, 114 - Corvée. - D - -.-très rapidement, salué les personnes présentes dans le hall. Je posais ma veste sur le dossier de mon fauteuil et je prenais place. En m'assaillant, la cage, immobilisée entre ma cuisse et le tissu du pantalon, fit un mouvement de recul, qui permit aux inquisiteurs d'empaler encore plus leur otage. Un râle de surprise et de souffrance s'échappa de mes entrailles. Honteux, je vérifiais avec angoisse, la présence d'oreilles curieuses. À mon grand soulagement, le couloir et le bureau contigu étaient déserts. Je me mettais au travail. Ma collègue arrivait peu de temps après moi. J'allais devoir faire très attention à mes soupirs et aux râles intempestifs qui s'échappaient régulièrement de mes tripes. Je prenais, de nouveau, l'excuse de remontées gastriques insupportables. Régulièrement, je buvais une gorgée de la bouteille d'eau qui trône dans un coin, sur mon bureau. Tout liquide qui pénètre par un bout doit ressortir de l'autre. C'est pourquoi, dans la matinée, l'envie d'uriner devenait de plus en plus présente et je n'en pouvais plus de retenir ou d'étouffer mes gémissements. Je 115 - Corvée. - D - -.-refermais la porte derrière moi et, à l'accoutumée, je posais le téléphone sur le lave-mains. Je déposais mes vêtements sur le sol au fur et à mesure que je me déshabillais. Je me retrouvais rapidement nu comme un nouveau-né. Je roulais mes chaussettes et j'enfournais, dans ma petite gueule, la plante des pieds suivant les directives. Pieds-nus, le froid de la dalle glaçait mes chevilles et un frisson secouait tout mon corps dénudé. J'attrapais mon portable et je 116 - Corvée. - D - -.-débutais par photographier mes vêtements sur le carrelage. Je continuais par la date sur une cuisse et le numéro d'enregistrement sur l'autre. Malgré la froideur du sol, les bourreaux continuaient sans cesse de perforer mon gland. Ma nouille, gonflée à bloc, se retrouvait enchâssée dans son carcan en étant immortalisée. Les chaussettes dans ma gueule suivaient. Je poursuivais par l'appartenance de la sous-merde et je terminais cette partie par la 117 - Corvée. - D - -.-date, haïssable, inscrite sur mon pubis. Une dernière prise de pieds avant de m’installer sur les toilettes, le couvercle et la lunette relevés. Au contact de la faïence glacée, mon postérieur se frigorifiait. Un nouveau frissonnement agitait mon corps nu. J’entrouvrais mes cuisses pour prendre un cliché, dégradant, de ma vessie se vider. Quand elle fut complètement vidangée, je secouais précautionneusement le pénitencier afin de ne pas accroître les tortures de son locataire. Peine perdue ! Le moindre mouvement de ce mitard réactivait instantanément les persécuteurs qui, revigorés, maltraitaient de plus belle leur otage.  Un nouveau gémissement de douleur, et de plaisir, s'échappait instinctivement. Je séchais délicatement cette cellule avec du papier toilette. Je me rhabillais, en faisant très attention de ne pas accentuer les souffrances abominables du réclusionnaire. Je tirais la chasse d'eau et j'abaissais la lunette et le couvercle. Je me rinçais les mains. Je repositionnais le portable dans son repaire. Après un dernier coup d’œil autour de moi, j'ouvrais la porte. Je retournais 118 - Corvée. - D - -.-au bureau et j'invitais ma collègue à prendre une pause-café-cigarette qui acceptait immédiatement. La journée se déroulait avec des hauts et beaucoup de bas, car les picots ne cessaient d'embrocher mon malheureux gland, qui, excité, accentuait l'érection avortée de la nouille de la sous-merde. En rentrant le soir, je passais de nouveau à la salle de bain. Avant d'effacer les tags, je prenais le cliché de pieds, manqué le matin, sur ma nouvelle paillasse.

119 - Corvée. - D - -.-

         Une nouvelle fois, je gratifie mes Masters, Master Éric et Maître Michael, pour leur persévérance à suivre et faire évoluer la sous-merde que je suis.

Mer 24 oct 2018 2 commentaires

   Bonjour Master Éric et Maître Michael,

   Votre sous-merde, a-t-elle des problèmes ? Elle a pris du retard dans ses comptes-rendus. J'espère qu'il n'y a rien de grave !

    Je vous demande, Master Éric et Maître Michael, nous ne voyons plus votre sous-merde sur les réseaux sociaux. Il serait bon, pour l'éducation de votre salope, qu'elle s'exhibe régulièrement sur le chat de "SmBoys" ou tout autre chat. Cette pratique régulière sera un très bon apprentissage pour les prochaines sorties au sauna de votre sous-merde ou tout autre lieu d'exhibition.

   Master Phénix.

Master Phénix - le 27/10/2018 à 10h45

Bonsoir Master ERIC et Maître MICKAEL,

  Après une semaine d' absence je reviens prendre des nouvelles de votre sous-merde. Rapport correct mais il est temps que celle-ci porte un soutien-gorge !

  Mr Alain44

mralain44aster - le 04/11/2018 à 21h31