Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335

Le mercredi 15 février :

        Lorsque je rentrais à midi chez moi, je changeais de suite ma paire de chaussettes vues l’état du carrelage des toilettes publiques que j’avais du utiliser le matin après la visite médicale. Comme je dois mettre une chaussette dans ma bouche, je me voyais mal, devoir utiliser celles de la matinée. Je pourrai faire la corvée hebdomadaire cet après-midi ayant une paire propre. Après avoir déjeuné et écouté les informations à la télévision, je me préparais à retourner au bureau. Comme je devais faire quelles que courses après le bureau, je gardais le plug N°04 à deux boules que j’avais introduit dans mon petit trou après la visite médicale mensuelle. Malgré le froid glacial qui persistait, l’invité continuait à s’amuser avec ma petite fleur et le premier anneau du côlon faisait du toboggan entre les deux boules.

        En marchant sur le trottoir, je sentais une coulure s’accrocher à ma jambe. Je devais mouiller car mon malheureux gland était empalé et martyrisé par les pics de la cage ce qui le stimulait. Mon pauvre pénis essayait en vain de se gonfler pour une érection qui, à cause de celle-ci, les contrariait. À force d’avoir en permanence des excitations contrecarrées, je mouillais de désespoir. Cette situation était devenue encore plus frustrante, dégradante et humiliante. Psychologiquement parlant, cette abstinence forcée depuis plusieurs mois devenait de plus en plus difficile et avilissante. Non seulement je faisais des cauchemars la nuit mais ça devenait aussi une obsession la journée. J’avais de plus en plus de mal à me concentrer sur mon travail et mes dossiers. En temps normal, j’aurai maudit mes Masters et les commentaires des visiteurs mais j’avais eu suffisamment de remontrances et de punitions pour garder en moi mes états d’âme.

        J’arrivais au travail sur ces réflexions. À l’avenir je vais devoir faire plus attention sinon, je vais encore avoir des problèmes.

     {- D’autant plus que Maître Michael a pris le contrôle de ma boîte aux lettres hier, le 24 février, et suite à des commentaires que j’ai dû lui transmettre, je n’ai plus le droit à certains vocabulaires !!! Sur proposition de Mr Alain44 et Master Phénix, une partie du dictionnaire que j’utilisais à mon encontre, m’est dors et n’avant interdit !!! Ce qui va être d’autant plus frustrant et humiliant de devoir utiliser certains termes familiers, voir dégradants, me concernant, suite à cette prise de contrôle ! -}

     Je gagnais mon bureau à l’étage et je me mettais au travail après avoir posé sur le dossier du fauteuil, ma veste, mon bonnet et mon écharpe. Je vérifiais le téléphone dans une des poches frontales de ma sous-veste. Je cherchais le marqueur au fond de mon dernier tiroir sous mes dossiers que je rangeais dans la seconde poche frontale. Quand ma vessie serait pleine, je pourrais ainsi aller aux toilettes ayant le matériel nécessaire pour la corvée hebdomadaire. Je jetais de temps en temps un œil sur les allers et venus des collègues dans le couloir. En m’asseyant sur le siège, le plug avait redoublé de vigueur après s’être réchauffé. Je devais retenir des gémissements lorsque mon trou essayait en vain de trop pousser et que l’anneau du côlon faisait du gymkhana avec l’invité du jour. Mon pauvre gland n’était pas non plus à la fête et était martyrisé pas les pics de la maudite cage qui l’empalait. Mon malheureux sexe, ayant été stimulé, tentait en vain d’avoir une érection contrariée par la prison qui l’enchâssait. Un petit gémissement arrivait à m’échapper et je relevais la tête en vérifiant qu’aucune personne était dans les parages et ne m’avait entendu. Un de ces jours, un collègue va m’entendre et j’aurai alors des questions désobligeantes que je ne pourrai pas répondre.

        Je finalisais l’organisation des animations proposées pour les vacances scolaires qui débuteraient en fin de semaine. J’e faisais mon possible pour me concentrer sur mon ouvrage et ne pas tenir compte des perturbateurs qui me côtoyaient. Doucement mais sûrement je sentais ma vessie se remplir jusqu’au moment où je ne teindrai plus et qu’il faudra que je me rende aux toilettes. Le directeur passa me saluer avant de se rendre dans son bureau mitoyen. Je faisais mon possible pour ne pas trop penser aux convives qui faisaient la fêtes jusqu’au moment où ma vessie se retrouvait pleine. Je ne pouvais plus attendre. Je devais aller me soulager rapidement et réaliser la corvée du jour. (J’ai failli dire la maudite corvée !)

20 - Bureau - D - -.-        J’écoutais attentivement et n’entendant aucun bruit, je me décidais à me lever. Machinalement, avec la main, je vérifiais dans les poches frontales, les accessoires. Je regardais furtivement la porte du bureau du directeur car elle est en face du local où il y a les toilettes. Heureusement, sa porte était poussé. Il voulait certainement ne pas être dérangé. Cela m’arrangeait grandement, ainsi il ne pouvait pas voir le temps que je resterai aux toilettes. Je repoussais la porte du local et je rentrais dans les toilettes hommes. Je refermais la porte à clef. Je posais sur le rebord du lave-mains, le téléphone et (le mau…t) marqueur. Je commençais à me déshabiller et je déposais mes vêtements pliés sur le bord du lavabo. Quand j’ôtais mes chaussures je sentis le froid du carrelage 21 - Bureau - D - -.-sous la plante des pieds malgré les chaussettes ! Je terminais de me dévêtir. Je finissais par les socquettes. J’en déposais une en attente avec le reste des habits et la seconde, je l’accrochais au harnais.

22 - Bureau - D - -.-        Je prenais le feutre et j’inscrivais la date du jour soit "Le 15 - 02" en faisant attention d’inscrire le moins gros possible et le moins de mots inutiles. Je le reposais et je prenais le téléphone. Je photographiais cette maudite date que je devrai difficilement effacer. C’est pourquoi je me débrouillais pour qu’il y ait le moins de chiffres, le moins de lettres et le moins gros possible ! La semaine précédente, j’avais eu des difficultés à faire disparaître l’inscription du jour…. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes, à contre-cœur. Je m’assaillais sur la faïence glaciale qui refroidissait mes malheureuses fesses. Le plug se mit à pousser 23 - Bureau - D - -.-mais bloquer par le harnais et son complément anal. Je me soulageais et j’en profitais pour prendre les clichés suivants. Terminé, je secouais la cage et les dernières gouttes. Je séchais, avec du papier toilette, la prison et son intérieur le mieux possible.

24 - Bureau - D - -.-        Je me relevais et je prenais une photo du convive et de sa ceinture de sécurité. Je faisais de même de la geôle qui emprisonne ma malheureuse queue et des picots martyrisant mon pauvre gland. Je cadrais avec le nouveau cadenas et son numéro inchangé à mon grand désespoir. Je roulais la seconde chaussette que je fourrais dans ma gueule de soumis. Je photographiais cette nouvelle humiliation. Je prenais les derniers clichés de pieds et de la cage siliconée. J’entendais de plus en plus de bruit dans le couloir avec des voix d’enfants. Un groupe devait venir utiliser notre salle de réunion pour une animation à cause du froid et du mauvais temps extérieur. En début d’après-midi, il s’était mis à pleuvoir un petit crachat fin.

25 - Bureau - D - -.-        Quand je pensais que tout était dans la boîte, je me rhabillais le plus rapidement possible. Je débutais par les chaussettes pour me réchauffer le plus hâtivement. Je me précipitais sur mon pantalon et mon maillot de corps. Je continuais par les pulls. Je terminais en enfilant ma sous-veste où j26 - Bureau - D - -.-e rangeais dans les poches frontales, mon téléphone et le maudit marqueur. Je baissais la lunette des toilettes et le couvercle. Je tirais la chasse d’eau. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je vérifiais autour de moi si je n’oubliais rien.

        J’ouvrais la porte et je  sursautais en me retrouvant devant un collègue qui arrivait pour se soulager. Je le laissais passer et prendre la place toute chaude. En me retrouvant ainsi nez à nez, mon cœur ne fit qu’un tour et il se mit à battre la chamade. Je sentais chaque pulsation dans tout mon corps jusque dans les 27 - Bureau - D - -.-oreilles. En retournant à mon poste je sentis une grosse goutte couler le long de la jambe. Je maudissais une nouvelle fois toutes ses fuites intempestives. À chaque passage aux toilettes, après quelles que minutes, il y a continuellement une perte ! Bien que je fasse mon possible pour bien vider la vessie et sécher au mieux la cage et mon malheureux gland il y a inlassablement une goutte en attente. N’ayant plus le droit d’utiliser de papier absorbant, ces écoulements perpétuels sont de plus en plus humiliants, dégradants et frustrants ! Je la sentais couler le long de la jambe. La fuite devait être plus grosse que d’habitude !

28 - Bureau - D - -.-        le plug avait repris de la vigueur et jouait avec mon trou tout en étant bloqué par le harnais. Mon pauvre sexe continuait à avoir des érections contrariées par la maudite cage et ses picots qui empalaient et excitaient mon malheureux gland. Enfin j’arrivais à destination et je m’assaillais à mon poste de travail. Discrètement je frottais une jambe contre l’autre pour éponger et sécher la coulure inopinée. Je rangeais le marqueur sous mes dossiers dans mon dernier tiroir. Une corvée de plus de réalisée !

 

        Merci à mes Masters pour cette nouvelle étape et l’évolution de votre slave dans la soumission et l’obéissance.

Sam 25 fév 2017 Aucun commentaire