Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
Une nouvelle fois, je passais une nuit d’enfer et de torture ! Le plug N°04 avait joué avec son hôte et le premier anneau !
La cage de chasteté avait torturé mon pauvre pénis et ses pics s’étaient amusé à empaler mon malheureux gland ! Depuis un certain temps, j’étais éveillé en cherchant le sommeil que je ne
retrouvais pas à cause des supplices que je subissais…. N’en pouvant plus, je me décidais à me lever. Je buvais un bon expresso pour me réveiller et je passais à la salle de bain. Je faisais ma
toilette. Je me rasais de près et je prenais une bonne douche en réalisant un grand nettoyage de la cage et de son prisonnier. Je remettais les attributs du slave, le harnais, le collier et le
plug N°04 car j’avais pris mon après-midi pour me rendre à la sépulture d’une amie intime décédée samedi soir. La cérémonie se faisant dans son village à plus de 100 kilomètres de mon domicile.
Comme je devais prendre ma voiture, c’est pourquoi je choisissais cet invité contraint et forcé.
Il fallait, en conséquence, que je réalise la corvée hebdomadaire
impérativement dans la matinée. Je m’habillais avec un jeans sombre, un maillot de corps, un sous-pull, un pull à col roulé, une paire de chaussette propre et je me chaussais
avec des baskets. Je me connectais un instant pour saluer mes Maîtres et leur rappeler mon absence. Je saluais Maître Michael qui était en ligne et je lui souhaitais une excellente journée.
J’enfilais mon bonnet, mon écharpe, une veste sombre et des gants. En ouvrant les volets j’avais regardé la température extérieure. Il faisait – 8°C vers 08h00 du matin. Comme je devais me rendre
en montagne pour l’enterrement, je craignais que les températures soient encore plus sibériennes. J’emportais en plus, dans un sac, un pull supplémentaire au cas….
Je fermais mon domicile et je descendais par l’ascenseur. Lorsque
les portes s’ouvrirent au rez-de-chaussée, une vague de froid s’abattait sur moi. Il allait me préparer au froid glacial qui me gifla quand je sortis. Il y avait un petit blizzard. De petites
billes de glace cinglaient mon visage comme autant d'aiguilles qui venaient perforer les parties du corps non protégé par un vêtement. Je me pressais pour me rendre à ma voiture qui était blanche
de givre. Je démarrais le moteur et j’allumais le chauffage au maximum. Je branchais le dégivrage arrière et je prenais un racloir. Je refermais la portière et je
grattais le pare-brise, les vitres des portières et le haillon arrière. Ce froid polaire avait, pour un temps, calmé tout le petit monde en moi ! Terminé, je grimpais dans ma voiture, content de
fuir les froidures cinglantes ! Je me rendais au bureau comme cela j’aurai mon véhicule à midi pour partir rapidement. Je m’étais aussi préparé un petit casse-croûte pour me restaurer avant de
prendre la route.
Je me garais et je saluais les premiers collègues présents. Je
déposais ma collation dans le réfrigérateur de la salle commune. Je gagnais mon poste de travail toujours congelé car mon véhicule n’avait pas eu le temps de se réchauffer comme
le bureau est près de mon domicile. Le temps que mon PC se mette en marche, comme les cancres à l’école, je m’appuyais contre le radiateur bien chaud. Doucement, une chaleur bienfaitrice
envahissait mon être. Cette douceur eu comme conséquence, de réveiller mon invité qui se remettait progressivement à jouer avec ma petite fleur et l’anneau à faire ses exercices de gymnastique
sur la première boule ! Les pics de la cage en faisaient autant ! Ils empalaient mon malheureux gland ce qui l’excitait et provoquait une érection contrariée de mon pauvre pénis.
Je me décidais à poser ma veste, mon bonnet et mon écharpe sur le dossier de mon siège. Mes gants, je le déposais sur le
radiateur. Quand je les prendrai pour partir, j’apprécierai la chaleur qui régnera en enfilant mes mains. En m’assaillant sur mon fauteuil, je sentis le plug exciter un peu plus ma petite fleur
et son anneau. Mon trou ne cessait de pousser ! Je faisais mon possible pour ne pas gémir et ne pas alerter les collègues ! Je vérifiais le téléphone portable dans la poche frontale de ma
sous-veste que je boutonnais pour cacher les boucles et les sangles du harnais. Je recherchais le marqueur au fond de mon dernier tiroir et je le mettais en attente dans la seconde poche
frontale. J’avais sur moi les ustensiles nécessaires à la corvée hebdomadaire. J’attendais d’avoir envie d’uriner pour me rendre aux toilettes et que mon petit monde accepte de se calmer un tant
soit peu.
En milieu de matinée, n’ayant toujours pas envie d’uriner mais
voyant les aiguilles de l’horloge tournées et ne voyant personne à l’horizon, je me décidais à me rendre aux toilettes hommes pour exécuter mon labeur hebdomadaire. Je maudissais de devoir
réaliser toutes les semaines, cette besogne de plus en plus dégradante qui donne des
commentaires tout autant rabaissant et déshonorant. Je vérifiais une dernière fois les alentours et ne voyant personne à l’horizon, je me décidais à me lever.
Je refermais la porte à clef derrière moi. Je posais sur le bord
du lave-mains le feutre indélébile et le téléphone. Je commençais à me déshabiller à contre cœur et je déposais les vêtements pliés sur le rebord du lavabo. Lorsque j’enlevais mes chaussures, en
posant les pieds sur le carrelage, je sentis le froid traverser mes chaussettes et glacer la plante des pieds. J’achevais de me dévêtir en déposant mes affaires. Je
terminais par mes chaussettes que je mettais en attente avec le reste de mes habits. En posant les pieds nus sur le carrelage gelé, je sentis mes pieds, mes mollets et mes jambes se frigorifier.
Un frisson glacé secoua tout mon corps.
Je prenais le marqueur et assis sur le bord des toilettes, après
avoir relevé le couvercle et la lunette, j’inscrivais la date du jour soit : "Le 25 - 1". J’écrivais un peu moins petit que la semaine précédente en espérant que cela conviendrait à mes Masters
et Maître Phénix. Plus je dois noter gros avec ce feutre et plus il m’est difficile d’effacer l’inscription ! Devoir réaliser cette prestation chaque semaine est déjà humiliant, frustrant et
dégradant mais ce feutre augmente d’autant plus cette humiliation et ce déshonneur ! À L’idée que je dois aussi réaliser un reportage photo, un frisson de honte et d’avilissement parcourut de la
tête aux pieds. Je devais accélérer le mouvement pour éviter tout quiproquo avec mes collaborateurs. J’aurai tout le temps ensuite, lorsque je serai assis derrière mon bureau ou dans ma voiture,
pour maudire et être frustré de ce labeur. Je prenais le téléphone et je photographiais la date du jour.
Je sentais les pics continuer à empaler mon pauvre gland. Je pensais qu’en vidant ma vessie, je calmerai ce petit monde. Je m’assaillais sur la cuvette en faïence. Je ressentis de suite le froid glacer mes petites fesses ce qui excita un peu plus l’hôte de ma rondelle. Mon trou se mit à pousser et l’anneau monter sur la seconde boule. Étant arrivé presque à la moitié, il redescendait entre les deux en attendant de recommencer ce petit mouvement d’éducation physique dégradant ! J’en profitais pour ouvrir le robinet et vidanger le plus vite possible la réserve tout en continuant le reportage photos. La vessie vidée, je séchais le bout de la cage pour éviter au maximum toute fuite. Les picots ne s’étaient pas calmer pour autant ! Après avoir immortaliser le convive bloqué par le harnais, je faisais de même pour la prison et son misérable locataire qui débordait par les quelques trous de sa cellule.
Je priais en moi-même pour que mes Masters acceptent et décident de vidanger mes malheureux testicules. Je roulais mes
chaussettes comme demandé par les commentaires. J’ouvrais ma gueule et j’enfournais un peu ce bâillon. Je serrais un peu les dents pour les tenir. Je terminais les derniers clichés de pieds avec
le harnais, les chaussettes, de face et avec la cage. Quand j’estimais avoir tous les clichés nécessaires pour illustrer mon miséreux labeur hebdomadaire ! Je me rhabillais en débutant par mes
chaussettes. Je continuais par mon maillot de corps et mon sous-pull. J’enfilais mon pantalon pour enfiler mes chaussures et je terminais par le pull à col roulé. Je prenais ma sous-veste et
après l’avoir boutonné, je rangeais dans les poches frontales, le téléphone et le maudit marqueur. J’espérais qu’en ayant écris un peu plus gros, mes Masters et les visiteurs seraient satisfait
et que cela leur suffirait. Je baissais la lunette et le couvercle des toilettes. Je tirais la chasse d’eau. Je me rinçais les mains et je me les séchais. Je vérifiais que je n’oubliais rien et
j’ouvrais la porte.
Je sortais discrètement et après avoir jeté un coup d’œil, je regagnais mon poste de travail. En marchant, je sentais de nouveau le gland s'empaler sur ces maudits pics. Il était tellement excité par ces pervers qu’il provoquait une érection contrariée par cette prison. J’avais tellement envie de retourner aux toilettes me masturber mais cette geôle me l’interdisait ! Par contre, pour comble d’humiliation, je sentis une goutte couler le long de ma jambe. Certainement un restant d’urine qui daignait sortir un peu tard ! Le plug se remettait, lui aussi, à jouer avec ma petite fleur. Je ressentais mon trou pousser et l’anneau monter sur ce convive extravagant qui était bloqué par le harnais et ses bretelles. Contrairement à la ceinture, il ne pouvait pas prendre du jeu avec ce harnais. Cette camisole a cet avantage qu’il ne bouge pas et ne prend pas de mou, ce qui évite d’exciter encore plus le convive en place et ses hôtes.
Je retrouvais mon bureau et je reprenais place dans mon fauteuil.
En m’assaillant, j’immobilisais un peu plus l’intrus mais cela ne l’empêchait pas de se divertir avec
les boules de plug. Je craignais de regretter le choix de ce convive pour la cérémonie de l’après-midi. Mon malheureux gland continuait aussi à être martyrisé et à être empalé par les pics qui ne
faisaient que l’exciter un peu plus…. Je devais me concentrer sur mon labeur et oublier un temps soit peu tout ce petit monde qui ne demandent qu’à se divertir…. J’ouvrais le dernier tiroir pour
cacher, sous mes dossiers, le marqueur malfaisant ! Je terminais le dossier en cours avant de me restaurer et de prendre la route.
J’espère que mes Masters et les visiteurs seront satisfait que j’ai écrit la date un peu plus grand et que cette grosseur de lettres et chiffres leur conviennent. Je remercie aussi mes Maîtres qui me font évoluer dans la soumission et l’obéissance.