Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
En premier lieu, je prie mes Masters et les visiteurs du blog de bien vouloir m’excuser pour le retard que j’ai pris. Mon
poste a eu un bug et je n’arrivais plus ni à rédiger mes rapports ni à télécharger mes photos. J’ai mis plus de 4 jours (depuis mercredi après-midi) pour comprendre et réparer ce bug. Je vous
remercie pour votre compréhension.
Dans la nuit, j’avais du enlever le plug car il y avait du monde à
la porte du côlon. Ma petite fleur et son anneau avaient pu se reposer un petit peu, le temps où ils étaient seuls. Par contre, la cage en avait profité pour jouer et s’amuser à empaler mon
malheureux gland sur ses picots. Une nouvelle fois j’avais fait des cauchemars me voyant dans l’incapacité d’éjaculer bien que je sente mon jus monter. J’avais fait de petites taches aux draps
avec mes excrétions. Je me levais, une nouvelle fois, humilié, avili avec une frustration de
manque, grandissante de jour en jour.
Je devais donc passer le turbot car il fallait que je réalise un lavement avant de partir au bureau pour pouvoir remettre en place l’invité de ma petite fleur et de l’anneau. Je me faisais rapidement un café pour me réveiller et je me rendais à la salle de bain pour démarrer le nettoyage du côlon et faire ma toilette. Je gardais un temps l’eau en moi, puis, régulièrement, je me retrouvais aux toilettes pour évacuer les surplus. Devoir réaliser des lavements régulièrement est déjà humiliant et dégradant : mais devoir les réaliser sans pouvoir utiliser la lunette et en étant obligé de s’asseoir sur la faïence face au réservoir d’eau, devient le comble de la frustration et du déshonneur !
Terminé, j’en profitais pour réaliser une épilation de mes petites fesses et de mon trou. Je prenais une douche bienfaitrice
pour terminer cette toilette du matin. Je repositionnais le plug N° 04 et je le maintenais en place avec la ceinture. Dès qu’il fut dans son logis, l’anneau goba la première boule pour jouer avec
! C’est d’autant plus frustrant et humiliant qu’il soit ainsi ouvert car maintenant, dès qu’un hôte s’invite, il joue avec ! Je choisissais cet invité car l’après-midi j’avais un rendez-vous en
extérieur où j’aurai besoin de ma voiture.
Je me rendais au travail et à chaque pas les boules du plug
jouaient avec l’anneau et ma petite fleur. La cage en profitait aussi pour empaler ses pics dans mon malheureux gland ce qui l’excitait et provoquait des érections contrariées par ce même
carcan…. J’arrivais enfin à destination. Je saluais les collègues déjà présents tout en me
gardant de gémir. Je retrouvais mon poste et je me mettais au travail. Mon voisin me saluait en arrivant et pris un dossier car il avait une réunion de concertation avec d’autres collègues. Je
m’imaginais que je serai un peu plus libre pour la corvée du jour. Lorsque tous les collègues furent en réunion,
j’attendais encore
une trentaine de minutes avant de me décider à me rendre aux toilettes.
Je vérifiais que j’avais bien pris le marqueur et mon portable
dans la poche frontale de ma sous-veste. Je me remémorais les directives de Maître Michael qui avait rappelé que le feutre n’était plus d’actualité et que ce serait de nouveau le marqueur
indélébile comme l’avait proposé master Phénix. Ce sera plus compliqué pour enlever chaque semaine les inscriptions. Je fermais à clef la porte et je posais sur le bord du lave-mains le marqueur
et le mobile. Je commençais à me déshabiller et je posais mes vêtements pliés sur le bord du lavabo. Je posais mes chaussures et je sentis le froid à travers mes chaussettes. J’allais devoir les
enlever aussi. Pour vérification, je prenais en photo le marqueur comme preuve qu’il
est bien indélébile. J’enlevais les chaussettes que je repliais suivant les commentaires de master Phénix. J’en faisais une boule que je bourrais dans ma pauvre gueule. Elles faisaient un gros
bâillon qui emplissait ma bouche. Plus un mot ne pouvait sortir, seulement de légers gémissements que j’étouffais. Mes pieds se refroidissaient de plus en plus au contact du carrelage. C’est
encore plus frustrant, humiliant et dégradant d’être ainsi, pieds nus ! Je relevais la lunette des toilettes et je m’assaillais sur le bord de la cuvette pour écrire la date du jour. Devant
utiliser le nouveau marqueur, je faisais très attention pour ne pas faire de trop grosses lettres et chiffres. Je rédigeais donc sur la cuisse : "Le 04 – 01 – 2017" ! Je photographiais cette
inscription debout.
Ma vessie étant presque pleine, je me posais sur le trône en faïence et je commençais à vidanger la réserve. À contre cœur,
je continuais le reportage photographique. Une personne essaya d’ouvrir la porte et pesta se voyant interdire l’accès. J’entendis qu’il entrait dans les toilettes voisine tout en continuant de
rouspéter ! L’année
démarrait sur les chapeaux de roues, encore et toujours aussi humiliante dégradante et avilissante. Un jour je me ferai prendre dans les corvées et les
réflexions n’en seraient que plus déshonorantes ! Bien que j’urinais, je sentais encore les pics exciter mon pauvre gland. Quand je me levais, l’empalement en fut accentué ! Je prenais un cliché
en gros plan de cette geôle et de son prisonnier torturé puis un de pieds avec la date du jour. J’en profitais aussi pour immortaliser l’invité de ma petite fleur. Pour terminer, je faisais de
même pour le bâillon dans ma pauvre gueule et je prenais une dernière photographie de pieds du slave.
Quand tout était dans la boite, je m’empressais d’enlever mon
bâillon et je remettais mes chaussettes. Je continuais par me rhabiller. Je rangeais le marqueur et le portable dans une poche frontale de la
sous-veste. Je baissais la lunette et je tirais la chasse d’eau. Je me lavais et me séchais les mains. Je vérifiais que je n’oubliais rien et j’ouvrais la porte. Je regagnais mon poste de travail
et je reprenais mon labeur. En m’assaillant, je sentais le plug pénétrer un peu plus profondément ce qui excita l’anneau qui se mit à faire des vas et viens dessus. Je retenais des gémissements
lorsque mon malheureux trou essayait en vain de pousser ! J’espérais en silence que cette corvée cesse rapidement car plus elle dur, plus elle est humiliante, dégradante et avilissante.
Je remercie une nouvelle fois mes Masters pour leur patience et leur magnanimité. Bonne journée à vous tous et une nouvelle fois, meilleurs vœux 2017 à tous les visiteurs.