Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
Comme je poste ce jour le rapport, je souhaite un Joyeux Noël et de bien terminer cette année à mes Masters et à tous les visiteurs de ce blog.
Mercredi, en revenant de chez le
médecin, dans la voiture, malgré le froid ambiant, le plug jouait toujours avec le côlon et les pics de la cage continuaient à exciter mon malheureux gland en le piquant ce qui prolongeait
l’érection contrariée par la cage. Je devais être en train de mouiller car, lorsque je sortais de mon véhicule, je sentis un long filet s’accrocher à ma cuisse. Je maudissais le jour où mes
Maîtres avaient validé une proposition d’un visiteur d’enlever tout papier absorbant ! Mouiller ainsi de la queue, du cul au risque de tâcher mes pantalons, devient de plus en plus frustrant,
déshonorant et dégradant !
En regagnant mon poste de travail, je me sentais tout honteux et
humilié en saluant mes collègues. Je posais ma veste, mon bonnet, mes gants et mon écharpe. Je vérifiais que le feutre noir et le téléphone portable étaient bien dans mes poches frontales de ma
sous-veste. Je commençais ma journée tout en sentant mes geôliers torturer mon malheureux pénis, ma petite fleur et son anneau. Non seulement la nuit je fais des cauchemars en fantasmant sur le jour
où je pourrai enfin me masturber et vider mes testicules mais la journée cela devenait aussi une obsession. J’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur mon labeur. Je méditais aussi aux
derniers commentaires de face book, validés par Maître Michael au nom de mes deux Masters, au bureau pour la corvée hebdomadaire je devrai enlever mes chaussettes pour être vraiment nu et les
mettre dans ma bouche. Pour les toilettes publiques et à l’hôpital, je pouvais toujours les garder. Je remerciais mon Maître car le matin même, les toilettes de la galerie étaient très sale et
j’avais dû éponger avec du papier toilette pour nettoyer partiellement le sol. Je maudissais ce commentaire validé en partie.
Quand ma vessie était pleine, je me décidais à me rendre aux
toilettes. Mon anneau jouait toujours avec sa boule, les pics de la cage martyrisaient mon malheureux gland et mon pauvre pénis avait une érection contrariée. À chaque instant, la honte, la
frustration et l’humiliation étaient grandissantes. Le collègue du bureau à coté du miens avait dû s’absenter un moment. Je jetais un œil dans le couloir. Personne n’était en vue ! Discrètement,
je quittais mon poste et je me rendais aux toilettes. Derrière moi, je refermais la porte à clef pour ne pas être déranger. Sur le bord du lave-mains,
je posais le portable et le feutre
noir. Je me déshabillais en posant mes vêtements pliés sur le bord du lavabo. Quand j’enlevais mes chaussures pour ôter le jeans, je sentis le froid du carrelage traverser les chaussettes.
J’allais devoir les enlever aussi ! Une nouvelle fois je maudissais le commentaire et sa validation. Je le ferai en dernier. Je continuais à me dévêtir en posant le maillot de corps. Je prenais
le feutre et je notais la date du jour soit : "Le 21-12". À contre-cœur, je terminais d’enlever les chaussettes. Pour terminer, suivant les commentaires validés par Maître Michael, je les pliais
en deux et les mettais dans ma bouche. Je haïssais de plus en plus cette nouvelle directive ! J’étais vraiment complètement nu ! J’avais les pieds glacés et des frissons parcouraient tout mon
être, de la tête aux pieds. Malgré ces frissons et ce froid, mon pauvre gland continuait à être torturer par les pics.
Je relevais la lunette des toilettes et
je m’assaillais sur la faïence gelée elle aussi. Un nouveau frisson secoua mon corps. Les fesses glacées calmaient un temps ma petite fleur, l’anneau et leur jouet. J’avais pris d’une main le
téléphone. J’ouvrais le robinet et ma vessie se vida progressivement. Je prenais les premiers clichés. Bien que cette corvée soit toutes les
semaines, je n’arrive pas à m’habituer
à cet exhibitionnisme. Quand ma vessie fut vidangée, je me relevais. Je ressentais encore les picots maltraiter mon malheureux gland malgré la froidure ambiante et du sol. Je prenais en gros plan
ce bourreau. Pour un temps le côlon s’était calmé. J’en profitais pour photographier le plug N° 04 en place tenu par la ceinture. Je continuais par immortaliser le slave pieds nus avec sa cage.
La série continuait avec les chaussettes de la salope dans sa gueule. Pour clôturer cette série, je prenais le bâtard de pieds.
Les photos en boîte, je m’empressais à remettre mes chaussettes.
J’avais les pieds glacés ! J’enfilais le pantalon et rechaussais mes baskets. Mes malheureux pieds allaient pouvoir se réchauffer progressivement. Je continuais à me rhabiller par le maillot de
corps et le pull à col roulé pour la quatrième fois de la matinée. Je rangeais le feutre et le mobile dans les poches frontales de ma sous-veste que je portais. Je tirais la chasse d’eau,
je
baissais la lunette et le couvercle des toilettes. Je me lavais les mains. Je me les séchais et j’ouvrais la porte lorsque mon voisin de bureau voulu entrer. Je me tirais de coté et lui laissais
la place toute chaude. Il ne m’avait pas fait de réflexions, ce qui voulait dire qu’il venait seulement de revenir et il ne savait pas depuis combien de temps je m’étais absenté. Je poussais un
"Ouf !" de soulagement ! J’avais évité des questions et des réflexions désobligeantes.
Je regagnais mon poste et reprenais mon travail tant bien que
mal…. Une nouvelle corvée venait d’être réalisée. Les photos étaient dans le téléphone. Je repensais alors à une réplique d’un humoriste "… On peut faire des photos, aller sur Internet,
l’utiliser en GPS, avoir une torche avec soi, suivre ses comptes, envoyer ou recevoir des SMS et occasionnellement téléphoner avec…." Il ne me restera qu’à redimensionner les prises de vues et
rédiger mon rapport.
Une nouvelle corvée humiliante et dégradante venait d’être réalisée et une nouvelle étape dans ma soumission à mes Masters exécutée. Maître Michael, en discutant avec lui, venait de me prévenir que les futurs propositions dans les commentaires seraient très certainement validés. Je maudissais toutes ces nouvelles propositions que je n’aie pas encore eu connaissance. Elles ne peuvent qu’augmenter mes humiliations, mes frustrations et mon avilissement.
Je remercie mes Masters pour leur magnanimité, leur bienveillance et leur indulgence envers le slave que je suis. Je leur renouvelle mes souhaits de passer un Joyeux Noël et de très bien terminer l’année et ce, à tous les visiteurs aussi.