Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
Après une nouvelle nuit d’insomnie à
cause de l’intrus qui joue avec mon côlon et de la cage qui devient de plus en plus petite et de ses pics qui maltraitent de plus en plus souvent mon malheureux gland et mon pénis, je me levais
pour préparer le petit déjeuner pour la famille. Je passais à la salle de bain pour ma toilette.
Après avoir salué mes cousins, je partais au travail. À chaque pas la première boule du plug jouait avec l’anneau qui montait dessus et le re-gobait. Mon pauvre cul ne cessait de pousser ! La cage faisait toujours des siennes. Les picots ne cessaient d’exciter le gland qui essayait de gonfler le pénis encastré avec une érection contrarié. J’avais une envie grandissante de me masturber et me vider enfin les couilles…. Cette abstinence forcée est de plus en plus frustrante, humiliante et dégradante chaque nouveau jour qui passe.
J’arrivais enfin au bureau. Je saluais les collègues en me rendant
à mon poste. Je serrais les dents car je devais retenir des gémissements pour ne pas alerter les collaborateurs. Un collègue dut s’apercevoir
de quelle que chose car il me demandait si j’allais bien et si je n’avais pas de problème. Je lui répondais entre les dents que ça passerait c’était seulement des problèmes de digestion…. Il
acquiesça sans vraiment avoir été convaincu. Je m’assaillais en espérant que tout ce petit monde se calme rapidement. Je préparais le feutre et le téléphone dans une poche frontale de ma
sous-veste ainsi, lorsque j’aurai envie d’uriner et que je serai seul, tout sera en place. Je me mettais au travail. Progressivement l’envie se fit de plus en plus pressente. Par contre, mes
hôtes se calmaient graduellement. Je regardais discrètement les allers et venus des collègues en espérant qu’ils prennent une pause cigarette. Je pourrai ainsi aller aux toilettes plus
discrètement. Connaissant leurs habitudes, je savais que ça n’allait pas attendre. Effectivement lorsque qu’une collaboratrice fit la proposition elle fut suivie par les fumeurs. Bien que j’eusse
aussi
envie d’en griller une, je me rendais tout de même aux toilettes en espérant être
tranquille.
Je m’empressais de bien fermer la porte à clef pour éviter tout
dérangement contrariant. Je posais le feutre et le téléphone sur le lavabo et je commençais à me déshabiller. Je rangeais mes affaires sur le bord du lave-mains. Quand je posais les pieds nus par
terre, je sentis le froid glacé du carrelage à travers mes chaussettes. Je prenais le feutre et j’écrivais la
date du jour sur ma cuisse gauche : "Le 7 - 12" que je photographiais. Je relevais la lunette des toilettes à contre cœur et je m’assaillais sur la faïence gelée. La froidure se propagea dans les
fesses et un frisson parcouru tout le corps du slave. Je maudissais une nouvelle fois de ne plus pouvoir utiliser les lunettes d’autant plus, je ne
peux uriner qu’assis sur le trône à
cause de la cage que Maître Michael avait commandée de poser, il y a 144 jours. Je prenais de nouveaux clichés. Installé sur le siège, je réfléchissais que je ne suis jamais resté aussi longtemps
en abstinence ! Cela devient, chaque jour qui passe, de plus en plus humiliant, frustrant et avilissant ! J’aimerai bien qu’à l’approche des fêtes, mes Masters m’autorisent à me masturber et à
enfin vider mes malheureux testicules qui débordent avec le temps. Quand ma vessie fut vidangée, je séchais le bout de la cage avec du papier toilette. Pour satisfaire la demande de Mr Alain, je
posais le portable sur le carrelage. Je déplaçais légèrement la ceinture pour voir la base du plug N° 04. Comme mon côlon s’était calmé, je n’osais le sortir de peur qu’il réveille son petit
monde que je ne pourrais pas contrôler. Par contre, les picots de la cage continuaient à maltraiter et exciter le pauvre gland qui essayait en vain de gonfler la verge. Non seulement de devoir
supporter une abstinence de presque 5
mois la cage contrariait mes érections ! Je ne pouvais plus bander normalement ! Ces érections contrecarrées augmentaient mes sentiments de frustrations,
d’humiliations et d’avilissement. Je prenais un cliché de cette prison où mon malheureux pénis prend toute la place et dépasse même des rares trous tellement il est à l’étroit ! Je continuais la
séance en photographiant la ceinture et je terminais par prendre le slave de pieds. J’étais tellement plongé dans mes réflexions que je sursautais lorsqu’une personne voulut entrer. Je lui
demandais 2 minutes…. Je me rhabillais en hâte. Je rangeais dans la poche le feutre et le portable. Je baissais la lunette, son couvercle, je tirais la chasse d’eau et je me lavais rapidement les
mains. Après les avoir séchées, j’ouvrais la porte et je me retrouvais nez à nez devant notre directeur. Je m’excusais et je lui laissais la place toute chaude. Je ne pense pas qu’il fasse
la même chose que moi aux toilettes….
En retournant à mon poste de travail, j’essayais de l’imaginer avec un plug au cul…. Ce qui me fit sourire. Dès que je me suis mis
à marcher, les picots de la cage reprenaient de plus belle leurs tortures du malheureux gland. Je faisais aussi attention à mon petit trou pour qu’il ne se réveil pas et qu’il ne reprenne pas la
fête. Je sentis alors une nouvelle goutte d’urine couler le long de ma cuisse gauche. De plus en plus souvent, quand je vais aux toilettes, il y a une goutte qui jaillit plusieurs minutes après
que je suis sortis. Cela devient aussi de plus en plus frustrant humiliant et dégradant d’avoir ainsi des fuites urinaires ! Heureusement j’étais de retour à mon bureau et je reprenais mon
travail.
Encore Merci à mes Masters pour cette nouvelle étape dans mon éducation.