Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335

Chez le cardio.

        Ayant rendez-vous avec mes cousins pour déjeuner, je faisais un saut chez moi pour passer à la salle de bain afin d’effacer l’inscription sur la cuisse. J’appréciais ce feutre 02 - Cardio. - D - -car un peu de savon et la date était effacer. Je vais bien le mettre de coté pour les prochaines inscriptions. Je vérifiais mes affaires dans la sacoche et j’y mettais le short blanc. Maître Michael avait donné comme consigne de le porter pour le test à l’effort et la consultation médicale mais de le porter à la dernière minute. Je me rendais au restaurant et je retrouvais la famille. Après s’être restauré nous retournions en groupe à l’hôpital. Je passais dire bonjour à la personne hospitalisé. Je prenais congé de notre hospitalisée et je donnais rendez-vous ce soir au reste de la famille. Ayant envie d’uriner, je retournais au rez-de-chaussée. Je me mettais nu pour me soulager et j’en profitais pour prendre un premier cliché. Je séchais le bout de la cage et je me lavais les mains. Je me rhabillais une nouvelle fois et je montais en cardiologie. J’attendais quelles que minutes et une infirmière m’invita à entrer dans une salle et de me mettre en sous-vêtement. Il y avait une table d’auscultation, plusieurs moniteurs et un par à vent pour se changer. Je lui faisais remarquer que je devais réaliser 01---Cardio.---D----.jpgun test à l’effort et qu’il n’y avait pas l’appareil. Elle me répondit qu’une collègue allait arriver et m’expliquerait comment se déroulerait l’examen. Je posais mes affaires sur une chaise et je me déshabillais encore une nouvelle fois ! Je jetais un œil dans la pièce avant d’ôter le jeans pour vérifier que l’infirmière ne regardait pas dans ma direction bien qu’elle ne puisse pas voir à travers le par à vent. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et fort. Mon palpitant n’attendait pas pour démarrer le test. J’avais sorti le short de la pochette et posé dessus. Je le prenais à la volé et le plus rapidement possible, je l’enfilais. Ouf !!! Personne n’avait encore pu voir la cage mais malheureusement cela n’allait pas durer. Je le descendais un maximum sur la taille pour cacher la cage. Malheureusement il se retrouvait à la base du pubis rasé. Je commençais à me sentir mal à l’aise et je maudissais ce rasage intégral frustrant et humiliant ! Je sortais de mon alcôve. Une seconde infirmière était arrivée. Tout en enlevant le Holter, elle m’expliquait ce qui allait se passer car je ne ferai pas le test habituel :

  • 03 - Cardio. - D - --     "Vous serez allongé sur la table d’auscultation. Je vais vous poser un cathéter pour une perfusion. Un premier produit vous sera injecté pour visualiser vos artères puis un second qui vous accélèrera le cœur artificiellement. Vous pourrez avoir une sensation de chaleur au moment où le produit pénétrera dans votre corps. Je vais poser sur votre torse, vos jambes et vos bras différents capteurs reliés aux monitorings. Un médecin fera en parallèle, une échographie du cœur et des coronaires. Lorsque le test sera terminé, je vous injecterai un nouveau produit pour que votre 04 - Cardio. - D - -cœur reprenne son rythme normal. Je vous laisse les patchs en place car je vais en avoir besoin. Je vous les enlèverai tous lorsque ce sera fini. Si vous avez des questions ou si vous vous sentez mal, je serai à coté de vous. N’hésitez pas à nous faire part de vos sensations. Vous avez des questions avant de vous installer ?"

  Je lui demandais :

  • -    "C’est mon cardiologue qui fera l’examen ?
  • -    Non, c’est une spécialiste qui va arriver et qui lui ferra un rapport. Vous verrez votre médecin après l’examen. Vous êtes imberbe ou vous vous êtes rasé ?
  • -    Je me suis rasé en vu de l’examen du holter et du test à l’effort. Je répondais en lui mentant…. Ne pouvant lui révéler la vrai raison de mon rasage intégral !
  • -    Vous avez eu raison monsieur. Quand j’enlèverai tous les patchs, se sera moins douloureux ! Le pubis ce n’était pas nécessaire !"

05---Cardio.---D----.jpg        Honteux, humilié, ne sachant quoi répondre, je m’installais sur la table. Horreur !!! Dans cette position, ne pouvant écarter les jambes, le short ne cachait plus du tout la cage ! Je ne pouvais pas le toucher étant regardé. L’infirmière terminait de préparer le matériel. Dès qu’elle eut le dos tourné j’essayais en vain de cacher la cage qui faisait une montagne sous le short et qui devait apparaître lorsque l’on est aux pieds car elle était à la limite ! On pouvait donc voir ce que je portais dessous ! Mon malheureux pénis en cage et mes testicules séparées ! Mon 06---Cardio.---D----.jpgcœur se mit à battre de plus en plus vite et fort ! J’étais vraiment très mal à l’aise ! L’infirmière commença par poser le cathéter et la première perfusion. Elle installait des patchs et des pinces aux bras, sur le torse et aux mollets qu’elle reliait aux différents appareils. Un grand sourire irradia son visage lorsqu’elle s’occupa de mes jambes et qu’elle dut apercevoir la cage. Je faisais semblant de ne pas avoir vu mais je devais être écarlate de honte, de frustration et d’humiliation ! Elle alla voir sa collègue et lui parla discrètement. Elle se leva et en passant devant moi, elle jeta un coup d’œil sur le short et sorti avec un grand sourire. Elle revint 07 - Cardio. - D - -peut de temps après avec deux autres collègues. Quand la porte s’ouvrit et que je vis le défilé qui allait débuter, je fermais les yeux. Je les gardais très légèrement entre-ouvert pour regarder mes visiteuses me déshabiller des yeux, le peu qu’il me restait. Elles chuchotaient en me jetant des regards furtifs. Chacune à son tour, elles se mettaient en face de moi et avaient une vue plongeante sur la cage. Les commentaires allaient de bon train quand la spécialiste arriva. Avec soulagement je la saluais et les visiteuses en profitèrent pour quitter la pièce. Le médecin me ré-expliquait le déroulement et invita l’infirmière à lancer la première 08 - Cardio. - D - -injection et à installer un brassard pour la tension. Il allait la prendre toutes les minutes. Elles vérifiaient les appareils et la doctoresse débuta l’échographie des coronaires et du cœur en prenant des mesures. Elle invita l’infirmière à injecter le second produit. Dès qu’il arriva dans la veine du bras et se diffusait dans tout le corps je sentis une sensation de chaleur qui se propageait ! Mon palpitant se mit à battre de plus en plus vite. À intervalle régulier, je sentais le brassard se gonfler. Mon cœur battait de plus en plus vite et fort et des bouffées de chaleurs s’échappaient de mon corps. Après une vingtaine de minutes, le médecin demanda 09 - Cardio. - D - -d’injecter le dernier produit. Je sentis de suite mon cœur reprendre son cour normal. Après quelles que minutes, elle vérifia que tout était entrer dans l’ordre et demanda à l’infirmière de tout stopper. Elle m’expliqua qu’elle ferait un rapport qu’elle transmettrait à mon cardiologue. Avec soulagement, je voyais débrancher toutes les connexions et ôter de mon corps les patchs. L’infirmière, quand elle eut terminé, m’invita à passer dans la pièce contiguë où mon cardiologue attendait. Il m’invita à m’allonger sur sa table après s’être salué. Il fit à son tour une échographie et notait les différents résultats. Lorsqu’il eut terminé son examen, il m’invita 10 - Cardio. - D - -à me rhabiller et revenir le voir. Je repassais dans la première pièce et avec soulagement, je me rhabillais une nouvelle fois. Je retournais voir mon médecin. Il m’expliqua qu’il désirait un nouvel examen : la MAPA tensionelle car il avait remarqué de petites anomalies. Je lui demandais de m’expliquer la différence entre le Holter et la MAPA. Il me répondit !

  • -    " Le "Holter" consiste à enregistrer le cœur de manière continue c'est à dire un électrocardiogramme sur une période de 24 heures. La "MAPA"  est la Mesure Ambulatoire de la Pression Artérielle c'est à dire 11 - Cardio. - D - -la prise de la tension à intervalle régulier sur une période de 24 heures.
  • -    Je vous remercie docteur."

        Il dictait un mot pour ma généraliste. Terminé, nous nous rendions à son secrétariat pour prendre rendez-vous pour l’examen. Il me proposait le mardi prochain à 14h00. Je lui expliquais que j’avais rendez-vous à 10h00 chez le pneumologue et je lui demandais si je pouvais passer de suite après pour éviter un aller-retour. Il accepta à condition que je sois là avant 11h30. Je devrai le rapporter le lendemain à 14h00. Il attendait tous les résultats pour faire le renouvellement de l’ordonnance. Je le remerciais12 - Cardio. - D - - et nous nous saluions. Je devais encore retourner aux toilettes repositionner tous les attributs du slave. À chaque pas je ressentais les picots pénétrer dans le gland et l’excité. Cette cage est vraiment trop humiliante et dégradante ! J’arrivais dans le hall lorsque j’aperçus mes cousins en train de boire à une table. Heureusement les toilettes étaient proches de moi. Rapidement et discrètement, je traversais et je rentrais dans les premières ouvertes. Je fermais la porte à clef. Pour la septième fois de la journée, je me déshabillais. Je préparais le portable sur le bord du lave-mains et je sortais de la sacoche le collier et sa médaille, le plug N° 04, le lubrifiant et la ceinture. Avant d’enlever définitivement le short, je le photographiais. Je posais le téléphone sur le carrelage et je lubrifiais le plug. Je prenais en gros plan la petite fleur du slave. Je lui présentais son visiteur graissé et je commençais à l’introduire. Je la sentais s’ouvrir progressivement et avaler la première boule. Je maintenais le pression et elle s’ouvrit un peu plus lorsque le plug butta contre le premier anneau. Il s’ouvrit aussi sous la pression du visiteur et quand la petite fleur avala son hôte, l’anneau gobait sa boule. Je le sentais positionné entre les deux mais il se mit à pousser. Je le 13 - Cardio. - D - -maintenais un instant en place, le temps que tout le monde se calme. Je prenais alors la ceinture et je le bloquais avec. Je fermais le collier à sa place avec la médaille en avant comme commandé par Maître Michael. Je prenais les derniers clichés du slave nu avec ses attributs. Je me rhabillais enfin pour la dernière fois de la journée. Je me lavais les mains et je rageais dans la sacoche le lubrifiant et le short. Quand je fus prêt, j’ouvrai la porte et je sortais. La famille n’était plus à leur place. Je regardais autour de moi mais personne. Je sortais donc de cet établissement pour rejoindre mon véhicule et me rendre au bureau terminer ma journée de travail. Sur le trajet, je me remémorais cette journée frustrante, humiliante et avilissante pour le slave que je suis. Je me rendais compte que j’avais évité un maximum de maudire les instructions de mes Masters et les commentaires des visiteurs.

        C’est pourquoi, je remercie vivement Master Éric et Maître Michael, mes Masters, pour me faire évoluer dans la soumission et l’obéissance. Je gratifie aussi les visiteurs du blog et leurs commentaires qui alertent mes Maîtres pour mes manquements et leurs appréciations.

Ven 9 déc 2016 Aucun commentaire