Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335

Je me levais de bonne heure car j’allais avoir une journée très
chargée. Avant que la famille se lève, je passais rapidement à la salle de bain pour faire ma toilette comme je pouvais avec le Holter que je portais. La veille au soir ils m’avaient demandé de
voir l’appareil. J’avais levé le pull légèrement pour le faire voir tout en cachant les attributs du slave. Ils avaient plaisanté sur ma soi-disant pudeur. Comme je ne pouvais leur révéler les
vrais raisons de cette pudeur, j’encaissais leurs remarques, frustré, humilié et avili par des proches que j’apprécie ce qui augmentaient encore plus mes sentiments d’infériorités humiliés.
Heureusement, j’avais pris avec moi mes affaires pour m’habiller dans la salle de bain car j’entendis un de mes cousins se lever. Après s’être salué, je préparais le petit déjeuné et je lui
expliquais que j’allais partir de bonne heure car j’avais ma consultation mensuelle chez ma généraliste sans pouvoir lui avouer les autres instructions. Je passais dans
ma chambre pour enfiler ma veste et mettre le jock-strap avant de partir car j’étais déjà en retard. Je me garais un peu à l’écart pour enlever les attributs du slave soit le collier et sa
médaille, le plug N° 04 que je roulais dans du sopalin et la ceinture. Je rangeais-le tout dans ma sacoche. J’essayais de repositionner le sous-vêtement qui cachait que pour le principe. Je
craignais de mouiller car
mon malheureux pénis était gonflé un maximum dans sa cage
et les picots rentraient dedans et excitaient le pauvre gland d’autant plus que je n’ai pas de prépuce pour le protéger. Plus il était piqué, plus mon pénis essayait de grossir et plus la
stimulation du gland s’accroissait, un vrai cercle vicieux, frustrant et humiliant. Heureusement, en sortant du véhicule, le froid glacial le calma un bref instant. Je rentrais chez le médecin.
Je saluais le secrétaire et ma généraliste me fit entrer dans son cabinet. Comme d’habitude elle me convia à me déshabiller ! Tout en m’exécutant, je l’informais que je portais le Holter. Elle me
répondit, à mon grand soulagement, que la consultation serait plus rapide ne pouvant prendre toutes les mesures. Elle m’invita à m’installer sur sa table. C’est à ce moment là qu’elle fit la
remarque ironiquement :
-
"- Tu as remis ton super mini sous-vêtement ! Je n’avais pas fait
attention que non seulement tu avais rasé ton corps de près mais tu as fait aussi ton pubis ! Marina n’aime pas les poils ?"
Suite à cette réflexion, je ne savais quoi répondre et je me sentais, une nouvelle fois, humilié
et avili. Je maudissais les instructions de me raser entièrement et les sous-vêtements qui avaient été retenus ! À part le boxer blanc, les autres
ne cachaient presque rien ! Je lui répondais humilié, honteux et sans conviction :
- "- Quand on aime, on ne compte pas…"
Elle continua son travail et lorsqu’elle eut terminé, elle
m’invitait à me rhabiller. J’avais le cœur qui battait la chamade. Je me sentais très mal à l’aise une nouvelle fois. Ces consultations sont
toujours autant humiliantes dégradantes et avilissantes ! J’ai du mal à m’habituer au corps imberbe forcé et à ces tenues et, surtout, aux réflexions et interrogations qui en découlent ! La cage
faisait aussi des siennes avec ses pics ! Ils excitaient de plus en plus mon malheureux gland sans protection qui faisait gonfler mon pauvre
pénis qui se
retrouvait embroché sur les picots…. Sans demander mon reste, je m’empressais à me rhabiller le temps qu’elle remplisse mon ordonnance. Terminé, je la rageais dans une pochette que je glissais
dans la sacoche. En me raccompagnant à la porte elle me saluait. J’en faisais autant en retour. Je passais voir le secrétaire pour le prochain rendez-vous dans
quatre semaines. Je le saluais et je regagnais ma voiture
sans me retourner. Mon pauvre palpitant battait toujours aussi fort et rapidement. Malgré le froid, je sentais les picots torturer le malheureux gland…. Je montais dans ma voiture et je me
dirigeais vers la galerie marchande la plus proche car Maître Michael avait demandé que je me change dans des toilettes publiques. Je
me garais sur le parking qui se
remplissait déjà malgré l’heure précoce. Je me dirigeais vers les toilettes qui étaient prises d’assaut par les premiers visiteurs. Un froid glacial y régnait car une porte de secours était
restée ouverte non loin de là. Je dus attendre plus de quinze à vingt minutes pour que les plus grandes toilettes se libèrent car c’est la seul avec une cuvette et des
patères les autres sont à la turque et n’ont rien pour
accrocher ou poser des vêtements. Je me demandais qui était dedans et ce qu’elle pouvait faire tout ce temps. Mon imagination allait bon train quand la personne sortit enfin ! Je m’empressais à
la remplacer et je commençais à me déshabiller une nouvelle fois après avoir bien refermé à clef la parte. Je posais mes premiers vêtements sur un accoudoir et je posais dessus le portable en
équilibre. J’accrochais les autres avec la sacoche. Avant d’ôter le jock-strap, je prenais les premiers clichés. Malgré le froid du carrelage et la température ambiante glacée mon malheureux
pénis était toujours maltraité par les picots de la cage. Je la prenais en gros plan. Mon gland continuait à s’exciter sur les pics ! Je ressentais une grande frustration, une humiliation
dégradante. Je lubrifiais le plug à deux boules et je posais à terre le téléphone. Je prenais ma petite fleur soulagé de toutes contraintes. Ce qui n’allait plus durer ! Je présentais le plug
à mon petit trou. Je le poussais pour l’ouvrir tout en
prenant des photos. Je sentais mon orifice s’ouvrir et prendre la première boule. Je continuais la pression et mon petit trou goba la seconde boule. Je le maintenais un instant avant de poser la
ceinture et de le bloquer définitivement. Je terminais par poser le collier et je prenais les derniers clichés. Le travail terminé et les attributs du slave en place, je me rhabillais
précipitamment car j’étais frigorifié et qu’une personne avait essayé d’ouvrir la porte. Je rangeais rapidement dans la sacoche le jock et le lubrifiant. Je me lavais les mains et je regagnais ma
voiture. En m’asseyant sur le siège, je sentis le plug pénétrer encore plus profondément. La première boule joua avec le premier anneau ! Je sentais mon trou tenter de pousser ! Conduire dans ces
conditions avec un tel plug dans le cul n’est pas la solution idéale ! Je déposais l’ordonnance à la pharmacie avant de rejoindre mon bureau. Heureusement j’avais prévenu que je serai
certainement en retard ce matin.
Merci à mes Masters pour me faire évoluer dans l’obéissance, la soumission et aux visiteurs pour leurs commentaires instructifs.