Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335

Nuit douloureuse

        Lundi matin, je saluais mes Masters. Je leur avais laissé un commentaire, pendant le 01 - Barre - H - -week-end, sur les modifications qu’ils avaient apportées sur le blog. Malheureusement ils ne l’ont pas bien apprécié et ils ont donné des impératifs au slave. Je devrai dormir cette nuit, bien sur nu comme je le fais d’habitude mais les chevilles attachées à la barre et mes pauvres testicules tendus avec celle-ci. Pour répondre à certaines commentaires et de demandes, la voici en détail :

14---Au-Lit---D----.jpg        Le soir, je positionnais le plug à deux boules N° 04 dans ma petite fleur en rentrant du travail. Je préparais une serviette sur le lit pour passer la nuit, la barre, les menottes en cuir, des mousquetons et un lien. À l’heure du couché, je m’installais sur le lit et je positionnais les menottes aux chevilles. Je les attachais, chacune d’elle à l’anneau extérieur de la barre avec un15---Au-Lit---D----.jpg mousqueton. Je repliais les jambes. Mon petit trou se mit à jouer sur une des boules du plug et je regrettais déjà de ne pas l’avoir tempéré avec un suppositoire. Je bondais mes misérables testicules et les reliais à l’anneau du milieu de la tige en fer. Je photographiais le tout comme me l’avaient commandé mes Maîtres et je m’allongeais pour la nuit. J’avais oublié en faisant le bondage que j’avais les cuisses pliées.16---Au-Lit---D----.jpg Dans cette position, le plug que j’avais dans mon trou voulait sortir et ma petite fleur se mettait à pousser. La ceinture empêchait toute expulsion. Quand je voulais resserrer les fesses en tendant les jambes pour retenir l’intrus, c’était le lien qui tirait encore plus sur mes infortunées bourses. La nuit allait être très longue….

        En tournant un peu les jambes, j’essayais de trouver le sommeil. Elles voulaient se tendre pour une meilleure position mais le lien tirait sur mes burnes. Je maudissais ma franchise d’avoir dit à mes Maîtres ce que je pensais de leurs changements. À force de tester différentes positions, j’arrivais enfin à trouver le sommeil. Je ne sais pas depuis combien de temps je m’étais assoupi lorsqu’une douleur irradia mes testicules et je me réveillais en sur-saut ! J’avais du vouloir tendre une jambe en dormant…. J’allais regretter toute la nuit mes écrits. Je me tournais un peu et je retrouvais le sommeil pour un temps. Je me mis à faire un rêve qui se transformait au fur et à mesure en cauchemar. J’étais nu dans une forêt et j’essayais de fuir, je ne sais quoi, en courant. Les brindilles et tout ce qui jonchait le sol écorchaient et blessaient mes plantes des pieds. Je voyais derrière moi de petites flaques de sang où j’avais marché. J’entendais des voix se17 - Au Lit - D - - rapprocher. J’essayais de courir plus vite sans pouvoir y arriver. Mon cœur battait de plus en plus vite et fort. Plus je tentais de courir et moins je parvenais à avancer comme dans un mauvais film au ralenti. C’est quand je passais sur un lit de feuilles mortes qu’un piège se referma sur moi. Un filet caché par ces dernières se referma sur moi-même et je fut projeter en l’air coincé dedans. Plus j’essayais de bouger et plus il se resserrait. J’étais comme un saucisson ficelé. Je vis arriver un groupe de personnes qui me raillaient en me voyant nu dans ce filin. Ils descendaient leur prise et menottaient mes poignets. Après quelques dizaines de pas, ils m’allongeaient à terre les poignets écartés maintenus par des piquets. Les jambes tendues en l’air accrochées à deux arbres. Mon trou leur était offert et ils commençaient à le travailler en y introduisant des objets que je ne pouvais voir. Une souffrance irradia d’un coup mon bas-ventre. Je me réveillais une nouvelle fois en nage et je compris que le premier anneau du côlon jouait avec l’intrus qui obstruait mon anus. Il montait et redescendait de la première boule ou essayait de monter sur la seconde. Il était tout excité ! Je mis un certain temps à calmer tout le monde dans la position inconfortable que j’étais. Lorsque tout cette société retrouva son calme, j’essayais de me rendormir. Je ne tardais pas à 18 - Au Lit - D - -trouver le sommeil mais pour combien de temps ? Très peu car, à peine je m’assoupissais, une nouvelle douleur irradia mes couilles. Je compris de suite que j’avais dû essayer d’allonger une jambe. Je me repositionnais pour retrouver le sommeil. Il ne durait jamais longtemps car, après un temps de somnolence plus ou moins longue, je me réveillais en sur-sauts et en nage au milieu d’un cauchemar ! Soit mon petit trou s’amusait avec son jouet soit une douleur irradiait mes testicules éprouvés soit les deux en même temps ! Sur le matin, je mettais un terme à cette nuit déplaisante et pénible.

        Cette épreuve et ce châtiment ont fait comprendre au slave son erreur ! Je ferai plus attention, à l’avenir, dans mes commentaires. En conséquence, je dois remercier mes Masters pour cette leçon douloureuse.

Sam 29 oct 2016 Aucun commentaire